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Take my hand through the flames + Serlan
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Lun 2 Jan - 15:10
Sergei & Dylan

       


Il faisait frais, la belle île de Genosha était une terre humide malgré le climat tempéré qui y régnait mais la jolie rouquine qui se dressait sur le perron de l'orphelinat de l'église d'Hammer Bay s'y été habituée et a présent elle ne craignait plus le froid. Le balancement du vent dans les arbres avait la même douceur que les mélodies de piano que la jeune femme créait lorsqu'elle avait un peu de temps. Elle aurait presque pu mettre des notes sur le bruit harmonieux de la nature. Tout n 'était que beauté. Et c'est avec son regard innocent qu'elle se perdait entre les couleurs du ciel, entre les images qu'elle filtrait dans son esprit mais ce sur quoi elle s'attachait le plus, c'était les sentiments. Il lui fallait de peu de choses pour s’imprégner de la véritable essence des émotions  : tout ce qu'elle regardait lui faisait ressentir quelque chose, tout ce qu'elle touchait lui procurait des sensation différentes et c'est pour cela que la jeune femme fit glisser ses doigts le long des pétales douce et duveteuses des roses. Son regard était insistant, elle les trouvaient parfaite en tout point... mais cela était sans doute du au fait qu'elle se sentait bien dans cet instant qui aurait pu s'arrêter. Elle aimait l'air frais du matin et profiter de cet instant où l'orphelinat s'éveiller à peine. Les enfants n'aillaient plus tarder à chausser leurs pantoufles duveteuses et se diriger vers un bon bol de céréales et de bons chocolats chauds fumants. La rouquine faisait de son mieux pour que leur expérience ici soit aussi magique que possible et espérait qu'un jour ils trouvent une famille aimante. Une famille aussi débordante d'amour que celle qu'elle s'apprêtait à fonder avec l'homme de sa vie, Ezra. Un long frisson parcourra l'échine de la demoiselle. La bénévole de l'orphelinat du retenir quelque peu son souffle et se concentrer sur les diverses mélodies qui s'élevaient lentement dans les airs. Ses cils chassèrent les larmes que le froid avait fait naître dans ses yeux. Il était temps pour elle d'aller prendre son petit déjeuner avec ses petits anges, comme elle aimait les appeler. La belle se dirigea alors vers le salon où les enfants prenaient déjà place, elle les salua en leur déposants un baiser au sommet de la tête et s'installa auprès des gouvernantes. La jeune femme à la chevelure passa en revue la salle qui s'animait sous les rires des enfants déjà bien éveillés et ne put que sourire devant un spectacle si merveilleux. Depuis son plus jeune âge Dylan donnée de son temps pour accompagner les orphelins dans leur malheur. Elle même n'avait jamais connu son père et n'imaginée pas ce qu'elle serait devenue sans sa mère. C'est comme ça que Madame Miller lui avait fait découvrir les joies du bénévolat.

Bien sûr lorsqu'elle était enfants elle ne s'occupait que de petites tâches ainsi et passait le plus clair de son temps à jouer avec les autres enfants. C'était d'ailleurs dans un orphelinat qu'elle avait rencontré les Andrews et que Ezra du haut de ses 7 ans avait juré de l'épouser plus tard. La vie en grande joueuse lui avait fait le cadeau de réaliser cette promesse quelques années plus tard. Et après quelques années à se conforter dans leur amour Ezra lui avait fait sa demande ! Demande qui s'était suivi de l'arriver d'un nouveau membre de la famille au creux de son ventre. Celà faisait 3 mois que la belle portait la vie et un petit ventre commencé à se pointer. Cela restait encore subtil mais si l'on regardait bien on pouvait voir son nombril pointer. Après avoir bu son café la demoiselle salua les nourrisses les informant qu'elle devait voir le prêtre de la paroisse avoisinante afin de lui apporter des cupcakes. La belle se dirigea alors d'un pas léger vers l'église du père Sergei, un sourire rayonnant sur les lèvres. Sa cape de velours verte bien planté sur ses épaules elle gravit les marches de pierres menant à l'immense porte de pierre qu'elle poussa avec un peu de mal. Un fois à l'intérieur la belle bâtit des cils et effectua un signe de croix avant de fulminer silencieusement vers l'hôtel où le père Dzagoev rangeait ses sermons. La demoiselle se racla la gorge et prit une petite voix avant de s'adresser à lui "Bonjour mon père. Je suis Dylan Miller, la bénévole de l'orphelinat d'Hammer Bay. Nous nous sommes rencontré il y a peu et je souhaitais vous apporter des pâtisseries pour la vente de charité de samedi. Je ne savais pas trop ce que vous vouliez alors... Si vous avez un peu de temps à m'accorder, nous pourrions faire une dégustation ?" dit elle en ouvrant la boite de cupcake son sourire toujours figé sur ses lèvres rouges.

(c) naehra.

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Ven 6 Jan - 18:28


"Take my hand through the flames"


Dylan & Sergeï







Malgré son âge mûr que certains pourraient déjà qualifier de vénérable, Sergeï n'avait jamais eu qu'une seule chose dans sa vie. Qu'un seul intérêt, qu'une seule passion et qu'un seul but. Il n'avait aussi jamais eu qu'un seul véritable amour. Oh, bien entendu, il aimait sa mère, d'un amour profond et sincère, mais, quel homme serait capable d'annoncer n'avoir aucun amour pour sa génitrice ? L'homme avait beau être froid, sans pitié et même capable de tuer des dizaines de personnes sans sourciller, il prenait régulièrement des nouvelles de sa chère maman, lui envoyant même quelques lettres et cadeaux, dans l'espoir d'afficher, ne serait-ce qu'un instant, un petit sourire sur ses lèvres. Malheureusement, à cause de son poste à Genosha, l'homme n'avait que peu l'occasion de la voir, mais, simplement l'entendre et discuter de tout et de rien suffisait à lui donner du baume au cœur. Pourtant, malgré cela, il y avait bien quelqu'un qui avait éclaté le plafond déjà haut de cet amour. Quelqu'un qui marqua à jamais sa vie, quelqu'un qui lui fit découvrir ce qu'était un amour profond, sans limites même. Quelqu'un qui donna un sens à sa vie, un vrai sens. Il ne s'agissait pas de sa compagne mais bel et bien de la fille que tout deux eurent, Yulia. Une charmante rouquine, douce comme la brise, rayonnante comme le soleil de midi. Lorsqu'il était avec elle, rien ne semblait capable de lui faire perdre le sourire, elle était … Sa seule raison de vivre, tout simplement.

Malheureusement, cet enfant, cet ange, ce trésor lui fut arraché sans qu'il ne puisse rien faire. Sans qu'il ne puisse rien dire, ni répondre. Par la même occasion, on lui arracha ainsi son cœur et son âme, ne faisant que le rendre plus froid et renfermé. La créature de peu de sentiments qu'avait créé son père ne fit que devenir plus bestiale, de plus en plus, au fur et à mesure que sa foi en l'idée de retrouver sa chère fille s'amenuisait avec les années. Voyageant aux quatre coins du monde pour la retrouver, il tenta, d'une certaine façon de se racheter une conscience, aidant les populations locales. Les aider ? Oui, mais notre homme ne connaissait qu'une seule chose, la guerre et la violence. Alors, lorsqu'il le pouvait, Sergeï revêtait son costume et allait massacrer les gêneurs et les menaces, de son propre chef, le tout en se faisant passer pour un missionnaire le jour. Aussi absurde que cela puisse paraître, cela marcha, pendant un long moment, très long moment. Et puis, un jour, sa quête arriva à terme, retrouvant les traces de sa fille. Les années avaient déjà fait d'elle une femme, magnifique, qui n'avait rien perdu et de son sourire et de sa douceur. Elle était … Ce que n'importe quel père pouvait espérer de voir chez ses enfants. Peut-être que la passion et la joie de retrouver sa raison de vivre parlaient pour lui, mais, dès les premiers instants, l'agent d'Hydra fut l'homme le plus fier de ce monde en posant ses yeux sur cette rousse. Tellement qu'une petite larme coula le long de sa joue, étrange impression et sentiment qu'il n'avait d'ailleurs pas ressenti durant plus de vingt ans, ce qui le fit presque rire, de façon idiote.

Même si le père avait retrouvé la fille, cela ne signifiait pourtant pas que son calvaire était terminé. En effet, il fallait aller lui parler, entrer dans sa vie, d'une manière ou d'une autre, pour plus tard, dévoiler qui il était. Tout raconter de but en blanc semblait une des pires idées qu'il avait jamais eu. Nombreux sont ceux qui pourraient se dire que le pope avait eu tout le temps nécessaire pour imaginer les premiers mots qu'il aurait pu prononcer en sa présence et pourtant … Non. La retrouver était la seule chose importante. Il avait simplement besoin de la voir, afin que son vieux cœur brisé et terni puisse battre à nouveau. Qu'elle le haïsse ou non, qu'ils puissent parler ou non, cela n'avait pas la moindre importance. Ce que lui pouvait ressentir, cela n'en avait pas plus non plus. La seule chose qui l'était, était de la savoir en bonne santé, joyeuse, heureuse et toujours souriante. Le reste … Il devrait faire avec. Pourtant, comme si le Seigneur semblait avoir eu pitié de lui, ce fut elle qui fut les premiers pas. Tout deux discutèrent quelques fois, s'échangeant quelques banalités durant lesquelles notre homme regretta de ne pas mieux parler cette langue et puis, un jour, la jeune femme s'invita dans son église pour venir lui parler. Jamais il n'aurait pu s'imaginer pareille surprise.

C'était une journée des plus simples et des plus habituelles, en plein hiver. Notre ami se moquait gentiment en voyant tous ces habitants emmitouflés dans plusieurs épaisseurs de laine, malgré ce froid largement supportable. Il s'imaginait avec malice l'état dans lequel les habitants de l'île pourraient se trouver s'ils découvraient la rudesse de l'hiver de sa terre natale. Il s'occupa un moment à couper du bois pour réchauffer une partie de sa bâtisse avant de s'affairer à ranger ses missels, avant qu'une douce voix étrangement familière ne s'élève dans ce silence pesant, ce qui le fit se retourner avec un sourire presque étrange et, bien trop inconnu sur ce visage si dur, pour écouter avec attention ce dont il était question, malgré quelques mots inconnus dans ce vocabulaire. Notre homme comprit cependant qu'il était là question de la vente de charité qui aurait lieu quelques jours plus tard et de l'apport qu'elle souhaitait fournir à celle-ci. Cette idée l'enchanta. Il la reverrait, une fois de plus et, mieux, elle voulait aider son église, sans qu'il ne lui demande quoi que ce soit. Sergeï était heureux tant et si bien que son pauvre petit cœur commença à s'accélérer, ce qui lui fit se demander ce qu'il se passait. Quel étrange sentiment que voilà. « Da, souvenir jeune fille rousse. Comment oublier sourire soleil ? Très gentil, vous, proposer pour Samedi. Jeune fille grand cœur. Bonne chose, très bonne chose. Je … Désolé. Pas bien encore comprendre et parler langue. Pas comprendre dernière chose avoir dit. » Oh, qu'il regrettait de ne pas parler cette langue, de ne pouvoir mieux discuter avec sa fille. Son cœur ne pouvait que saigner à cette idée, comme à l'idée de paraître idiot, étrange ou dérangeant devant la seule personne vraiment importante de ce monde. « Comment être déjà  … ? Des  gus stations ? Pas connaître, désolé. Mais … Quoi qu'être, je, très content présence jeune fille. Très content voir jeunes gens intérêt pour église, charité, orphelins. Très gentil. »

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Take my hand through the flames + Serlan
✦ There's no crying wolves now 'Cause the truth has settled in ✦
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