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Un psychopathe chez la psy, épisode un.
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Lun 30 Jan - 1:36
Je me demande encore pourquoi on m’a choisi pour cette mission. Normalement, c’est pas mon boulot. Après… Bon, c’est peut-être effectivement moi qui réunit deux critères intéressants pour ce genre d’opération : le fait d’être un psychopathe en puissance mais d’avoir quand même une assez grande gueule pour constamment improvisé des conneries que tout le monde peut croire. Après, il va falloir la jouer serrer. J’vais avoir une psy en face de moi et elle a dû croiser de sacrés cas dans sa carrière. Ca ne va pas être simple. Docteur Emma Frost. Selon nos informations, elle aurait des consultations avec certains membres du Shield et de la Garde Rouge. Mais c’est une civile. Du coup, on m’envoie jouer le gentil patient qui a besoin d’un suivi psy, tout ça pour tenter d’acquérir sa confiance et peut-être encore un peu plus que ça, et chopper par je ne sais quel moyen à lui extorquer des informations sur certains de nos ennemis. En soit, ça a l’air sympa, mais ça va être un boulot de longue haleine. Pour l’instant, je dois juste aller au premier rendez-vous, et il faut que je m’arrange pour lui donner l’impression d’en avoir vraiment besoin. Et surtout, le plus régulièrement possible. Pour avoir au moins l’espoir de passer plus de temps avec elle. Parce qu’elle doit voir un paquet de patients, et avec un rendez-vous tous les six mois, je ne risque pas d’atteindre mon objectif.

Je suis habillé relativement normalement. une petite chemise blanche et une veste en cuir. Une paire de lunettes de soleil, un jean délavé. Le parfait exemple du mec en pleine crise de la trentaine. Enfin. J’espère en tout cas. Autant faire une impression dès le départ. J’arrive finalement au cabinet, me présentant à la secrétaire qui me demande de patienter dans une grande salle d’attente. Je vais m’asseoir dans un des fauteuils rembourrés. Il y a des plantes vertes et de la moquette, ainsi qu’un tas de magazines posés sur une table. J’imagine que ça doit fournir aux vrais patients une impression sécurisante, mais je me sens pas vraiment en sécurité. Ca vient peut-être du fait que je ne pouvais pas prendre mon flingue pour venir. Et je me déplace rarement sans mon flingue. Même pour dormir, il est sur ma table de nuit. Là… J’ai l’impression d’être à poil, même si je sais que je risque pas grand chose. Surtout que j’ai une idée reçue assez étrange des psychologues. Je l’imagine vieille, ridée, avec une petite voix de grand-mère, habillé d’un vieux pull en laine grisâtre et avec une mine fatiguée et acariâtre. Bon, j’avoue que j’y crois qu’à moitié, d’autant plus qu’on m’a bien précisé que le docteur était une jeune femme, mais j’ai quand même du mal à imaginer autre chose.

Finalement, une voix m’appelle. Déjà, c’est un premier coup dans les dents. Elle est chantante, et disons le clairement, plutôt sexy. A mon goût en tous les cas. Je déplie ma grande carcasse et me dirige vers le bureau, ouvrant la porte et débarquant dans le cabinet. Et là, c’est la deuxième claque. Ok, faut que j’arrête avec les clichés et les idées reçues. La femme qui m’attend, c’est pas du tout ce que j’imaginais. C’est une bombe. Dans tous les sens du terme. Peut-être que cette mission sera un peu plus agréable que ce que je pensais, finalement. Je retire ma veste et la pose sur le dossier d’un fauteuil, jaugeant la salle du regard. Mouais, par contre, ça, c’est conçu à peu près comme je m’y attendais. Un bureau, un ordinateur, des fauteuils, un divan…

Je m'assois en retirant mes lunettes de soleil et plonge mon regard dans celui du docteur. Elle n’a pas le temps de dire un mot que je suis déjà en train d’ouvrir ma gueule.

“- Bonjour. Myron Falkreath. On avait rendez-vous…

J’ai décidé d’utiliser mon vrai nom. Après tout, ça ne risque pas grand chose et dans le pire des cas, si je veux la réduire au silence, ça ne sera pas très compliqué. J’enchaîne tout de suite.

“- On peut passer tout de suite sur mon prénom merdique, ça évitera les commentaires à l’avenir. J’me demande encore comment mes parents ont eu cette idée de chiottes, mais bon, j’ai pas choisi.

J’enfonce le clou directement. Ca devrait lui donner du grain à moudre. Evocation des parents, tout ça. Elle finira par embrayer là-dessus à un moment ou à un autre, alors autant commencer par là. Et je décide de poser une question qui sert évidemment plus ma mission qu’autre chose. Histoire d’avoir confirmation, même si je pense que je connais la réponse.

“- On est d’accord que tout ce que je vais vous dire ici est sujet au secret professionnel et que vous serez la seule au courant ?

Je hausse un sourcil, laissant un petit sourire que je veux timide accrocher mes lèvres, avant de me tasser un peu sur ma chaise. La partie commence, et je suis prêt à jouer. Mais comme il faut toujours que j’en rajoute, je termine par une connerie.

“- Je m’attendais à tomber sur une vieille doctoresse chiante à mourir, mais je dois dire que je suis surpris. Vous êtes une femme magnifique. ”

Ferme ta gueule, Myron, ferme ta gueule...
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Lun 30 Jan - 23:24




 ♥♥♥


↨↑Un psychopathe chez la psy, épisode I.↨↑


Je n'avais jamais eu autant de retard ses derniers jours, retard surement dû à l'état de santé de Christopher. Je passais beaucoup de temps à m'occuper de lui, essayer de faire de mon mieux pour qu'il ne se fatigue pas. Mais malheureusement pour moi concilier vie privée et vie professionnelle n'était pas facile, j'avais un planning assez charger avec beaucoup de rendez-vous dans la journée. Entre la Garde, l'institut et le privé, j'avais réussi à me faire une place rapidement. Mais lors de mes rendez-vous j'avais la tête ailleurs à me demander ce que trafiquait Kit, j'avais cette impression qu'il sortait dans mon dos. Même si je n'étais personne pour lui, je savais bien que je lui devais beaucoup voilà pourquoi j'essayais de faire mon possible pour l'aider.

A peine le temps de préparer mes affaires pour la journée, qu'il était l'heure. Enfilant la première robe bleue face à moi, très simple avec un petit décolleter en quadrillé, mais qui restait classe et sobre pour un rendez-vous. Mes cheveux comme à mon habitude naturellement ondulé, un maquillage qui reste très léger simplement de quoi donner bonne mine. Voilà qu'en quelques minutes, j'étais enfin prête pour mes rendez-vous de la journée. En chemin jusqu'au bureau, je lance un rapide coup d'œil sur mes rendez-vous. Je sentais que ma journée risquait d'être très longue, les oreillettes dans les oreilles. Laissant jouer une musique douce, c'était le secret de ma patience. La musique.

Après une bonne petite demi-heure, j'étais enfin arrivée. Montant rapidement les marches qui menèrent à mon bureau, comme pour essayer du temps. Alors que j'avais quinze minutes d'avance sur mon premier rendez-vous. J'entre rapidement et offre un doux sourire à ma secrétaire « Pourriez-vous attendre mon premier rendez-vous un court instant ? Merci » Un simple hochement de tête comme réponse et voilà que je me trouvais dans mon bureau. Il n'avait rien de très exceptionnel, mais je m'y sentais bien à l'intérieur. Les murs blancs avec de simple décoration noire et argent. Des fleurs sur tous les meubles ainsi que des bougies que j'allume à chaque fois que j'entre dans la pièce pour me détendre. Je ne me suis jamais posée la question si la délicate odeur des bougies avaient un effet apaisant ou bien énervant sur eux.


11H Mon premier rendez-vous était enfin arrivé, j'avais l'impression qu'une éternité c'était écroulé entre mon arriver au bureau et l'arriver du patient. Je me lève rapidement jusqu'à la porte avant de l'ouvrir « Monsieur Falkreath s'il vous plait ! » Je retourne rapidement sur mon bureau pour préparer une page vierge d'un dossier de suivie vide puisqu'il s'agit du premier rendez-vous.

Je relève la tête lorsque mon interlocuteur entre dans la pièce, mais je ne m'attendais pas à voir un homme d'une telle allure. Pour commencer mon regard ne pouvait plus s'arrêter de monter, il mesurait quoi ? Environ facilement deux mètres de haut. Essayant de me lever de ma chaise pour pouvoir me présenter, j'écarquille les yeux en écoutant parler Monsieur Falkreath. « .. » Oui il venait réellement de me clouER le bec, il ne me restait plus qu'une chose à faire l'observer. C'était bien la première fois qu'un patient était autant impatient de s'ouvrir à moi « Je trouve votre prénom au contraire très original et c'est cela qui fait sa beauté. » Et il n'y avait pas que le prénom qui était beau ! Un large sourire en guise de cadeau, pour terminer par me lever et venir face à lui « Emma Frost, mais vous pouvez m'appeler Emma si cela vous aide à vous sentir plus à l'aise »

Se sentir plus à l'aise ? Je pense qu'il l'était déjà avant son arriver. « Un café ou bien du thé ? Une boisson fraiche ? » Je détestais commencer des entretient en donnant l'exemple d'une psychologue renfermer dans son boulot à écouter les gens, non. J'avais ce côté humanitude qui faisait que j'aimais le contact avec mon patient, j'aime partager une chose avec lui, je trouve que cela l'aide à se sentir beaucoup plus à l'aise. « Aucun soucis, je suis reliée au secret professionnel. Sauf si votre vie est en danger. » Je continue à marcher à travers la salle en arrangeant ma robe une fois arrivé face au petit coin boisson dans mon bureau « Je vous remercie, mais il ne faut pas rester fixé sur un type de personne. Avez-vous déjà fréquenté une psychologue ? » Cet homme me faisait bizarrement penser à Christopher, mais en beaucoup plus propre. « J'aimerais vous prévenir avant le début de cette entretient, je ne suis pas une psychologue comme les autres. Je ne parle pas de l'enfance pour arriver à un point précis de votre présent. J'aime attaquer le vif du sujet, sauf si vous préférez autre chose ? »







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Mar 31 Jan - 19:17
Est-ce qu’elle vient vraiment de complimenter mon prénom ? Sérieusement ? La vache, c’est jamais arrivé avant, et je suis à peu près sûr que ça n’arrivera pas après. Par contre, je pense qu’elle joue plutôt la psychologue. On peut pas vraiment aimer Myron. Ca fait mal aux oreilles, ça fait mal au coeur. Si j’avais pas une belle gueule, suffirait que je donne mon nom à haute voix pour que tout le monde se mette à vomir, je suis sûr. Bref. Je suis serre la main alors qu’elle se présente à son tour. Emma. Plutôt basique, mais j’aime bien.

“- Va pour Emma, alors…

Elle continue et il me faut toute ma force de caractère pour rester dans le rôle du gentil patient. Mais franchement, thé ou café, elle a rêvé. A moins qu’elle y verse du whisky, et encore je suis pas certain d’apprécier ces boissons même avec ça dedans. Je hausse les épaules, avec un petit sourire contrit sur le visage.

“- Non merci. Enfin… J’imagine que vous ne servez pas d’alcool à vos patients, hein ? Parce que je serai pas contre une petite bière.

Elle fait les cent pas, et se dirige finalement vers son coin boisson en répondant à ma question à propos du secret professionnel. Ca me fait sourire un peu. Sauf si ma vie est en danger… Je peux pas m’empêcher une remarque.

“- Quand il vous arrive tellement d’emmerdes que votre vie est constamment en danger, est-ce que ça compte dans votre clause ? Tenez, par exemple, l’autre jour, j’étais tranquille au bar avec un pote, et boum, bagarre générale qui se déclenche. Et ça arrive tout le temps.

Je parle, je parle, histoire de meubler et surtout de faire celui qui a envie d’être coopératif. Elle me remercie du compliment et je hoche la tête avant qu’elle ne me pose une nouvelle question. Taquin, je cherche son regard.

“- Vous voulez dire dans la vie ou dans un cabinet ? Parce que la réponse est non au deux, mais je suis ouvert à toutes propositions. Et je préfère largement rester fixé sur vous plutôt que sur une rombière de soixante ans prête à m’écouter pendant des heures sans ouvrir la bouche.

Je sens que je vais jamais dire autant de conneries que depuis que je suis entré dans ce bureau. Mais bon, si ça peut instaurer un climat de confiance, ou au moins un peu de légèreté à l’entretien, c’est toujours ça de pris. Ca peut que faire aller ma mission dans le bon sens. Je reluque la donzelle alors qu’elle m’explique qu’elle n’est pas une psychologue comme les autres et qu’elle va attaquer dans le dur. Ca me va. Pas la peine de perdre plus de temps. Je hausse les épaules.

“- C’est vous le doc, Doc’. On abordera tout ce que vous voudrez comme vous le voudrez. C’est mon patron qui m’envoie, il pense que je fais du mauvais boulot et que le problème vient de là. Je tapote ma tempe du bout de l’index avant de soupirer. Moi j’en sais trop rien. J’ai pas l’impression d’aller mal. Mais à côté de ça, je dors presque pas et ça se ressent physiquement. Donc attaquez où vous voulez, mais je suis curieux de voir où est-ce que ça peut nous mener.

Je m’enfonce dans mon siège en réfléchissant. Va falloir que je lui donne du grain à moudre et que je sois convaincant dans mes mensonges. Après, y instiller une petite part de vérité fera pas de mal. Objectivement, ceux qui me connaissent doivent tous penser que j’ai besoin de voir quelqu’un, donc je suis plus ou moins à ma place. Quant au reste… Je sais mentir, et une petite joute verbale avec une psychologue, ça me fait pas plus peur que ça.

“- Après, j’ai jamais connu de gens ayant subi une thérapie de ce genre et je me suis pas trop renseigné, donc c’est vous qui avez la balle. Je ne sais pas du tout comment c’est censé se passer. Par contre, faut que je vous prévienne, j’ai comme qui dirait un syndrome de diarrhée verbale. J’ai du mal à m’empêcher de parler. Mais ça j’imagine que vous vous en êtes déjà rendu compte. Et si c’est pas le cas, je me demande ce que je fais ici, vous faites du mauvais boulot !

Je lui adresse un petit sourire pour qu’elle comprenne que je plaisante, avant de décider de fermer ma gueule pour le moment. Si elle arrive pas à en placer une, on va pas aller loin.
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Jeu 2 Fév - 3:20




 ♥♥♥


↨↑Un psychopathe chez la psy, épisode I.↨↑


Dans mon cas, c’est souvent qu’il m’arrivait de penser comme une personne normale lors de mes entretiens et, le contraire dans la vie de tous les jours. J’observais tout le monde avec les yeux d’une psychologue et non d’Emma, cela m’a servi plus d’une fois à me sortir de situations délicates. Comme la crise de Scott, j’avais remarqué qu’une chose le tracassait mon instinct et surtout mon observation confirme mes idées. Mais bien au contraire lors de mes entretiens, j’aimais être sincère et avoir de la discussion, dire le fond de ma pensée et non répondre par des protocoles.

Bon, j’avais réussi à le mettre à l’aise, même si cela n’avait pas été très difficile. Il était à l’aise avant même d’entrée dans la pièce ou bien le stress qui parle à sa place ? Ça ne me dérangeait pas, bien au contraire, il arrivait même à me faire rire à ma plus grande surprise. Moi qui avais la tête ailleurs a penser à Kit et toutes ses histoires voilà que, je venais de lâcher un rire a la demande de Myron « Non, je suis désolée pas d’alcool. Vous buvez souvent de l’alcool ? » Les questions commençaient tout en douceur et c’est en compagnie de ma tasse de thé que je m’assois naturellement à côté de Myron, sans créer cette barrière médecin patient.

Croisant délicatement les jambes, je porte ma tasse à ma bouche en écoutant ses histoires de bagarre « Vous êtes celui qui déclencher les bagarres ? Ça vous arrive souvent de vous battre dans des bars ? » Je penche la tête sur le côté en l’observant discrètement des pieds à la tête, c’était plus fort que moi. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de le trouver mignon « Ce que je veux dire par votre vie est en danger… C’est plutôt une personne ayant des troubles psychologiques ayant le besoin d’être suivie et traiter par un médecin. »

Lorsque j’essayais d’expliquer cette phrase, j’avais trois réactions aux choix. Soit le patient perdait patiente et cassait tout ce qu’il se trouvait autour de lui en expliquant qu’il n’était pas fou, ou bien la réaction opposer. La personne pleurnicharde, qui s’apitoyait sur son compte en disant que maintenant elle était bonne à être jetée. Ou bien… Le vrai malade qui commence à s’inventer une vie. Voyons dans quelle famille Myron fait partie. Mais Myron réussit à me faire perdre le fil de mon observation avec son regard « Pardon ? » Ah oui les vielles psychologue « Non-non… Dans un cabinet, enfin, je veux dire un psychologue. Vous savez les vielles…. Rombières sont très expérimentées. Mieux que moi, je pense dans tous les domaines »

Un petit rire avant de reprendre mon sérieux et de pencher mon corps sur le côté pour attraper mon bloc-notes, en tenant ma robe pour ne rien montré. « Votre travail ? Et vous travaillez dans ? » Je commence à prendre quelques notes en jouant avec ma cheville « Vous avez quelle relation avec votre patron ? Votre patron vous fait-il subir certaine pression ?» Terminant mon écriture, je glisse mon stylo dans ma bouche et le fait tourner à l’intérieur de ma bouche avant de sourire à Myron « Vous ne dormez plus depuis combien de temps ? » Stylo posé sur le carnet, je prends une nouvelle gorgée de thé « Vous avez déjà eu des problèmes de drogue ? »
Un nouveau rire s’échappe de mes lèvres et une main se pose sur la cuisse de Myron« J’ai bien cru le comprendre, mais j’apprécie ce côté diarrhée comme vous dites. C’est très différent de ce que je vous d’habitude. Et sinon Myron dans la vie, avait vous déjà subit de grosse déception ? Professionnel amical ? Amoureuse ? Êtes-vous en couple célibataire avec sans enfants ? »








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Un psychopathe chez la psy, épisode un.
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