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Romance Without Finance [Lorenzo]
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Sam 11 Mar - 11:39


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
Vraiment, Betsy avait parfois un don, elle avait tenue à me présenter son fameux sauver, cet italien qui l’avait délivré d’un homme des plus barbant. Et bien sûr, je m’étais laissé faire, j’étais tombée dans son piège, me disant qu’après tout ce je ne faisais juste que les rencontrer, et que cela n’allait surement pas aller plus loin. Mais voilà, ce soir, je me retrouvais devant mon placard, regardant mes affaires le téléphone coincé entre mon épaule et mon visage parlant à ma meilleure amie et l’accusant de mon désarroi. « Je ne sais pas quoi me mettre et c’est de ta faute ça. » Je passais les vêtements un à un « J’espère que tu es contente de toi. » Cela était une évidence, Betsy avait soigneusement élaboré son plan à partir du moment où elle avait rencontré Lorenzo, ou peut être quelques heures après. Mais une chose était sûre, c’était que l’Anglaise nous avait fait rencontrer dans un plan d’entremetteuse qu’elle avait soigneusement établie. Je n’avais pas été dupe, je l’avais vu venir, et même lui avait fait la réflexion en lui lançant une petite taquinerie « Tu en as tellement marre de m’avoir comme amante que tu m’organises des rencontres ? Moi qui pensais te satisfaire.»

Quoi qu’il en soit je pouvais l’entendre dans mon téléphone rire de la situation en m’avouant qu’elle était plutôt satisfaite. « Si ça ne se passe pas bien, il y aura des représailles… Si j’y vais avec un sac à patates, tu crois que je serais toujours aussi attirante ? » Mais pour finir, je trouvais quelque chose à me mettre, « Bon, j’ai trouvé, je vais m’habiller… Oui, je te raconterai tout, demain autour d’un café, promis. » Et je partis mettre la robe, que j’avais enfin réussie a choisi, lançant mon téléphone sur mon lit après avoir raccroché avec l’anglais. Ce n’était pas une robe trop courte, mais une de ses robes qui descendaient un peu en dessous des genoux, simples et efficaces, laissant mes épaules libres. C’était tellement rare de me voir ans ce genre de vêtement que même moi, je devais m’y habituer. Quand j’allais travailler, j’étais le plus souvent en jeans qu’en robe. Faut dire que la robe n’est pas des plus pratique pour courir après les méchants dans la rue.

Mais, voilà, je prenais donc une bonne douche regardait que mes jambes étaient parfaites, car si elle ne l’était pas cela allait gâcher tout l’effet de la robe. Je me séchais les cheveux essayant de les arranges de manière correcte, leur donnant un petit effet ondulé. Puis je commençais à passer au maquillage, un maquillage sombre, pas trop charger, car je n’aimais nullement cela. Pour moi, ça donnait un petit côté prostitué et ce n’était nullement l’effet recherché et la dernière touche une goûte de parfum. Puis il n’y avait plus qu’à attendre que le bel italien vienne me chercher.

La soirée était un rendez-vous classique un dîner au restaurant, lequel ça, je lui laissais le soin de choisir. Mais en attendant que la soirée comment, je faisais presque les cent pas dans mon appartement, résistant à prendre un crayon un bloc de croquis. J’avais cette appréhension que tout le monde a le premier soir, sentant ces papillons dans mon ventre, me demandant si tout allait bien se passer. Puis la sonnette retentit, je pris une grande inspiration, ainsi que le petit sac à main où j’avais placé mon téléphone et des affaires de fille, ainsi qu’une veste qui allait très bien avec la robe. J’avançais vers la porte la porte tout en marmonnant à l’encontre de Betsy « Je vais la tuer quand même. Même si ça fonctionne.» Je n’avais jamais vraiment aimé les premiers rendez-vous, c’était beaucoup de gêne, de fausses politesses qui ne servait qu’à la cacher ou cette maladresse dans nos mots. Mais il fallait reconnaître quand tout cela passait au fil des heures et que tout se passait pour le mieux, il y avait de s chouette moment, comme les petits sourires échangés qui se voulaient être à la fois prudent, mais qui mon clairement qu’on appréciait l’autre.

Je pris une grande inspiration, me sentant nerveuse alors que je ne savais qu’il n’y avait pas de raison. J’ouvris la porte et lui sourirais déjà d’un sourire ravi de le voir. « Bonsoir. » Il y avait une chose que je devais reconnaître du premier coup d’œil, c’était que Lorenzo Virreti était un homme qui ne manquait pas de charme et qui plaisait aux femmes.

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Jeu 23 Mar - 20:49
Betsy était la meilleure amie de Lorenzo, enfin, ce qui se rapprochait le plus d'une meilleure amie, même si, parfois, ça ressemblait plus à une soeur qui veillait continuellement sur lui. L'italien trouvait ça amusant, la relation qu'ils entretenaient enfin ça... C'était avant de connaître Cameron, la meilleure amie d'Elisabeth. L'anglaise avait permis à l'italien et à la génoshéenne de se rencontrer, de discuter et même plus... De se fixer un rendez-vous galant. Il fallait dire que Lo n'était pas resté indifférent au charme fatal de la jolie brune. Un seul regard avait suffit a troublé l'océan calme des yeux de l'européen et son cœur s'était emballé. Pouvait-on appelé ça un coup de foudre ? Non, probablement pas mais le petit bout de femme laissé une marque profonde dans l'esprit du cuisinier. Mais Betsy... Elle ne perdait rien pour attendre, celle là ! Il restait persuadé que l'anglo-saxonne avait manigancé cette rencontre uniquement pour les fourrer l'un dans les pattes de l'autre. Et si ça ne fonctionnait pas et qu'ils se trouvaient détestables ?

Au téléphone avec Deaky et Eli, rapidement suivit des Peter, Enzo s'habillait en fixant le reflet dans son miroir. Sa chemise taupe se voulait sobre tout en restant visible, mettant ainsi la musculature du robuste fils du pays en forme de botte. Son pantalon gris rendait honneur à la chemise et la ceinture noire venait liée le tout. Les yeux clairs du restaurateur matait le visage du gaillard et ce dernier soupira alors que les voix dans le combinée cherchaient à le rassurer. Il stressait... Ce n'était pas arrivé depuis longtemps, qu'il se fasse aussi beau, qu'il stress et qu'il sorte avec une femme, dans l'espoir que ce soit concluant. Bon sang... Dans le salon, Luca finissait de préparer son sac à dos avec quelques vêtements pour la nuit et le lendemain. Le père s'approcha du petit bout et vint le serrer fort contre lui en lui parlant la langue paternelle, lui souhaitant ainsi la bonne nuit tout en faisant les dernières recommandations. Lorenzo vint serrer dans ses bras son amie pâtissière, l'embrassant sur le front et chuchotant à son oreille un "Merci de me rendre se service, vraiment, je t'en dois encore une." ce à quoi Lydia lui répondit qu'elle prendrait soin du petit Viretti. La femme et l'enfant partis, Enzo retrouva son portable et balança sa pensée. "Les gars, et vous avez pensé que ça marcherait probablement pas ? Parce que j'ai un gamin, parce que j'ai un boulot aléatoire et elle aussi, parce que... J'sais pas et si ça marche pas ? " Trop d'appréhension alors que la soirée n'avait pas encore débutée. C'est Elijah qui parvint à résonner son pote. Le garde demandait à l'employé de cuisine de se calmer, de respirer et de retrouver la demoiselle. Ils avaient prévus une soirée ensemble, le travail était déjà à moitié fait, pourquoi abandonner en si bon chemin ?

Raison plus fort qu'Inquiétude, Lorenzo remercia son ami pour finalement raccrocher avec son cercle de joyeux larrons. Chaussures mises, barbe taillée à la perfection, tenue impeccable, le rendez-vous ne pourrait être que parfait. Les clés dans les mains, le portable dans la poche, veste sur les épaules, l'italien quitta son appartement pour prendre le volant et se diriger vers l'habitation de sa belle du soir alors que dans son auto, les musiques pleines d'énergie envahissaient l'air, comme pour lui donner le courage d'aller jusqu'au bout. Arrivé devant ce qui lui semblait être un château fort à cause de l'appréhension, Enzo zieuta la forteresse avant d'inspirer un bon pour retrouver son courage. Il quitta son antre pour aller toquer à la porte de la femme et là...

"Bon-... Woah..." ce furent les seuls mots que pu dire le restaurateur alors qu'il détaillait longuement la douce silhouette de son invitée. Cameron resplendissait, rayonnait au point où elle aurait pu rendre Venus jalouse par tant de beauté. Dans un automatisme, l'italien prit la main de sa compagne du soir pour la baiser du bout des lèvres, en un effleurement si léger qu'on aurait pu croire que seul le souffle de l'homme avait effleuré la peau délicate de la combattante. Soufflé par tellement de beauté, Lorenzo en oublia son latin, se demandant même à un moment pourquoi ils attendait à l'encadrement de la porte, comme des idiots. Se souvenant alors de la raison de la visite,l'italien se décala pour permettre à l'agent de sécurité de prendre le chemin de l'automobile, la suivant de près. Derrière elle, galant jusqu'au bout, le cuistot ouvrit la portière et laissa la jeune femme s'installer, refermant ensuite pour enfin s'installer à ses côtés, derrière le volant.

Les clés sur le contact, l'homme ne put décoller ses mirettes de sa ravissante partenaire, la détaillant longuement avant de toussoter, gêné d'avoir été prit sur le fait. "Tu es magnifique Cameron, vraiment..." qu'il chuchotait, intimidé par cette situation. "J'ai beaucoup de chance de passer cette nuit avec toi..." ajoutait-il avant de démarrer pour prendre le chemin du restaurant, un chinois plutôt délicieux. "J'espère que ça ne t'as pas dérangé de sortir avec moi, ce soir... Tu sais je... Je sais plus comment ça marche de genre de choses, après huit ans a... " a élevé son fils. En huit ans, l'homme n'avait pas prit la peine d'offrir une chance à qui que ce soit de s'occuper de lui. Il se consacrait entièrement à Luca. Et maintenant... Avec la génoshéenne à ses côtés, l'italien se sentait mal à l'aise, se demandant où il avait pu tirer le courage de l'inviter à se tenir près de lui, à cet instant. "J'espère que tu aimes manger chinois." concluait-il pour sauter sur autre chose de plus intéressant., un sourire aux lèvres.
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Jeu 23 Mar - 20:59


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
Un sourire se dessina sur mon visage suivi d’un « Merci ». Alors que j’entendais la réaction de l’homme à qui je venais d’ouvrir la porte et qui allait surement me faire passer une agréable soirée. Puis je sentis sa main prendre la mienne sentant ses lèvres venir effleurer ma peau, sentant son souffle venir s’y déposer dans une caresse. Si j’avais été étonnée par ce geste, ma réaction m’étonna encore plus, un frisson m’avait parcourt. Mes joues s’étaient rosies à ce léger contact, me donnant l’impression d’être une adolescente qui sortait pour la première fois avec garçon. Je pris une grande inspiration, me mordillant la lèvre inférieure et reprise un peu de contenance. Alors qu’il s’écarta pour me laisser passer en bons gentlemen. Je plongeais mon regard dans le sien, lui souriant. Je pris la direction de l’ascenseur, y pénétrai et continuais à observer le bel italien qui allait passer la soirée avec.

Je me sentais encore un peu nerveuse, comme si c’était la première fois qu’un homme m’invitait à sortir, revenait à mes premiers émois, je ne pouvais m’empêcher de sourire face à Lorenzo ou de lui porter des regards en coin qui s’étaient voulus discrets, mais qui n’étaient pas passés inaperçus aux yeux de ma meilleure amie. Et ce, depuis le jour où Betsy nous avait présentés. C’est surement cela qui l’avait surement convaincue de nous pousser l’un vers l’autre et d’être l’instigatrice de ce moment.Je me sentais encore un peu nerveuse, comme si c’était la première fois qu’un homme m’invitait à sortir, revenait à mes premiers émois, je ne pouvais m’empêcher de sourire face à Lorenzo ou de lui porter des regards en coin qui s’étaient voulus discrets, mais qui n’étaient pas passés inaperçus aux yeux de ma meilleure amie. Puis, je détournais mon regard quelques instants, me mordillant la lèvre, me sentant encore comme une jeune femme découvrant ce que c’était de me faire inviter, sentant toute la nervosité de ce moment, et les peurs d’acte un peu gauche qui allait surement se faire. Cette pensée me fit rire intérieurement, me disant que cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps et que si ma charmante Anglaise me voyait en ce moment, elle ne pourrait s’empêcher de rire face à cette nervosité que je ressentais en la présence du bel italien.

Puis nous arrivions à sa voiture, il m’ouvrit la porte et je pris place en ne le quittant pas des yeux puis il la referma. Et pendant ce cours instant où j’étais seule, je ne pouvais m’empêcher de soupirer en m'essayant de calmer mes nerfs tout en me disant à moi-même que ce n’était pas la première fois que je sortais avec un homme. Puis j’entendis la porte côté conducteur s’ouvrir, Lorenzo s’installa. Je sentis son regard se poser moi, alors que je le regardais. Son regard ne me gênait pas le moins du monde, au contraire, je l’appréciais, me donnant cette impression qu’à cet instant, il ne regardait que moi. Et encore une fois, je lui souriais toujours, plongeais mes yeux dans les siennes. Puis il me fit ce compliment qui me redonnait des couleurs à joue et sur un ton presque aussi un intimidé que lui, je lui avais « Merci. Tu n’es pas mal toi non plus. »

Intérieurement, je rageais, encore plus quand je l’entendu dire qu’il avait de la chance de passer cette nuit avec moi. J’avais juste relevé légèrement les sourcils d’un ais un peu étonné et n’avais pas fait de remarque là-dessus « cette nuit. » Avec un sourire. Alors qu’habituellement, je l’aurais fait, j’aurais envoyé une petite pique pour le provoquer. Je lui aurais surement dit avec un de mes sourires provocateurs « Juste cette nuit ? » , mais là aucune remarque n’était sortie, trop peur de le faire fuir ou de le rendre encore plus nerveux qu’il l’était. Car nous l’étions tous les deux et moi pour une raison dont j’ignorais totalement. Cela n’était pas dans mes habitudes d'être aussi dans un tel état, après tout, j’avais été sur le front, j’avais eu la vie d’homme entre mes mains, mais jamais je ne m’étais sentie comme maintenant.

La voiture avait démarré et l’italien avait commencé à prendre le chemin. Le cuisinier reprit la parole, me disant des mots qui me touchent me faisant comprendre qu’il était un peu nerveux. Je posais doucement ma main sur la sienne, la serrant délicatement, celle qu’il avait mise sur le boîtier de vitesse, le rassura d’une voix douce que cela ne me dérangeait nullement d’être en sa compagnie et qu’il s’y prenait de la meilleure des manières « Et Lorenzo, je suis plus que ravie de passé cette soirée avec toi. Et jusqu’à présent, je ne trouve pas que tu as perdu la main. Bien au contraire » puis je laissais glisser ma main sur sa peau pour libérer sa main. Il fallait reconnaître que cela faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas rendu ainsi. Pour moi, cette soirée s’annonçait très bien. « J’adore la cuisine chinoise. »

Puis nous arrivions au restaurant, et encore une fois l’italien faisait preuve d’une galanterie venant m’ouvrir la porte. Puis nous rentrions dans le bâtiment aux décorations venant d’Asie. Colonne vêtue de noir, de vert et de rouge, avec un dragon les remontant, des estampes chinoises qui décoraient la salle, nous donnant cette impression d’être dans un autre monde. On venait de nous installer à une table pour deux, le serveur tirait la chaise pour que je puisse m’installer, nous donnait la carte par la suite pour qu’on puisse faire notre choix. Puis je lui posais une question engageant ainsi la conversation. Je décidais de partir sur le sujet de son fils, en apprendre plus sur la petite famille qu’il formait avec son bonhomme « Betsy m’a dit que tu avais un fils, Luca c’est ça. Il a quels âges ? » Et ainsi en apprendre un peu plus sur l’homme qu’il était. Le serveur revenait pour prendre nos commandés, demandant si nous prenions un apéritif, je décidais de prendre et je décidais de prendre un kir, et commandait un poulet aigre-doux. Je regardais encore une fois les yeux de l’italien, me plongeant dans ce vert sans retenue, lui offrant un large sourire, content d’être en sa présence, même si je me sentais encore nerveuse

Codage par Emi Burton
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Mer 5 Avr - 14:02
Le trajet en voiture avait paru ultra court à Lorenzo qui avait souhaité, l'espace d'un instant, que la main de Cameron reste posée sur la sienne. Bon sang, c'etait la première fois, depuis des années, que l'homme ressentait un frisson parcourir son corps alors qu'une femme le touchait. Purée... Voilà déjà qu'il se sentait presque suppliant, avide de retrouver le réconfort de la douce paume féminine... Mais il était temps d'oublier, d'effacer de sa mémoire ce passage de douceur pour revenir au présent et se concentrer sur la sortie. Arrivés au parking, garés, l'homme retrouvait son côté gentleman et revint ouvrir la portière a sa compagne, lui offrant alors sa main pour l'aider a quitter son siège, doux sourires aux lèvres. Pourquoi la présence de la femme le rendait si nerveux, si... Enfantin ? Qu'importait, finalement, puisqu'il appréciait le simple fait de se tenir près de la demoiselle. Elisabeth ne perdait rien pour attendre mais en même temps, l'italien se sentait reconnaissant de lui avoir offert l'opportunité de plaire à nouveau. Surtout à elle, qui lui avait tapé dans l'œil dès leur première rencontre, le soir de sa rencontre avec la marraine de son garçon, il y avait des mois de cela.

Cameron s'était voulue avenante, douce, avec lui qui ne savait plus comment s'y prendre réellement lors de rendez-vous galants avec une damoiselle. Il se sentait libre, libre d'essayer et d'apprécier une soirée, même si elle ne menait probablement à rien. En tous les cas, l'homme attendit que la femme soit installée pour lui faire face. Dans un cadre aux couleurs d'Asie, pour concorder avec la cuisine proposée, l'italien avait l'impression d'avoir quitter la terre pour un cocon d'intimité et de chaleureuse entente.D'un geste expert, Loren ouvrit le menu et le détailla comme son invitée, cherchant quelque chose qui le tenterait. Au moment où le serveur revint prendre les commandes, l'homme s'arrêta sur un porc caramel, un cocktail de fruits a boire puisque conduite responsable exigeait d'être sobre, et une carafe d'eau. Suite à cela, le barbue se tourna vers l'amie de Betsy et lui offrit un sourire, répondant enfin à sa question par un "Luca, oui. Il va avoir huit ans dans quelques mois." terminant pas un petit sourire timide. "Je crois que Betsy est heureuse d'être devenue la marraine de mon petit bout... Jusque là, il n'en avait pas. Je n'avais même pas proposé le rôle à ma soeur, c'est pour dire..." ajoutait alors Enzo en pensant qu'effectivement, même Caterina, sa cadette n'avait pas eu le droit à la proposition. Remarque, ce n'était pas plus mal en y repensant puisque la Viretti passait sa vie sur le terrain en tant que reporter, d'après les dernières informations reçues et Elisabeth... Eh bien, au moins elle était sur place et pouvait donc avoir de longs contacts avec son nouveau filleul.

Enfin, ce n'était finalement pas la question. Se reconcentrant sur la soirée, Lorenzo vint poser délicatement sa main sur celle deCameron en lui offrant un doux sourire. "Parle moi de toi, plutôt. Je sais que tu es la meilleure amie de Betsy, je sais que vous bossez ensemble mais c'est tout." fit-il en hésitant un peu, calculant posément chaque propos ou encore geste pour ne pas avoir l'air de brusquer les choses. Entre temps, le serveur vint poser les plats devant le duo, souhaitant aussi une bonne soirée aux bruns. L'italien remercia le travailleur et reposa son regard clair sur le doux visage de la femme. Bon sang, il n'en revenait pas d'avoir un ange face à lui. Tranquillement, il prit son cocktail et présenta le verre à sa compagne, venant trinquer délicatement, lançant un "Que notre soirée soit bonne." avant de prendre une gorgée du saisissant jus. Qu'il était bon, même s'il se doutait qu'il s'agissait d'un mélange venant d'une brique. Il connaissait bien le gout mais peu importait, finalement. Pour une fois, il était hors de sa cuisine, alors autant oublier son titre.

Simple client, simple rencard, la sortie se devait d'être correct pour que les deux puissent passer un bon moment ensemble.
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Jeu 13 Avr - 15:01


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
Sa main venant se poser sur la mienne, délivrant un ce doux contacte que j’appréciais déjà, laissant se rependre ce frisson dans chacun de mes membres. Dans un réflexe, mon pouce venait enfermer cette main avec douceur, mon regard ne quittant pas le sien. J’aimais déjà ce contact, ce simple toucher que cet homme avait apposé sur moi. Cela était étrange, mais je ne voulais pas qu’il brise cette légère étreinte. La soirée se passait pour le mieux, nous avions entamé tranquillement la conversation, même si on ressentait quelques par ce tract que nous avions tous les deux. Il s’intéressait à moi me demandait de parler de moi.

Je n’avais jamais vraiment aimé parler de moi, j’avais eu une vie des plus banals, j’avais vécu avec ma mère, j’avais été au lycée, fait des études dans un domaine dans lequel on ne m’avait pas attendue. Mon entourage avait toujours pensé que je me serais tournée vers l’art, moi qui avais toujours dessiné ou que ce soit même dans un train alors qu’on était mal installé. Le serveur arrivait avec nos plats, le contact de la main de Lorenzo se brisa me laissant un profond regret et râlant quelque peu par cette intervention. Il posait les plats, je le remerciai. Lorenzo trinquait, moi aussi. « À notre soirée. » Je le regardais dans les yeux, étant comme absorbé par eux, ne pouvant m’empêcher de sourire et j’étais sure que mes joues étaient légèrement plus roses que d’habitude. Je pris une gorgée à mon verre.

Cela faisait quelque temps que je n’étais plus sortie de cette manière avec un homme. Bien sûr, j’avais été avec quelque un, mais pas de cette manière. Nous nous étions vues sans tout ce petit rituel, passant juste du bon temps entre nous sans rien vouloir de plus.
Alors, me retrouver ici à cette table avec le bel italien était quelque peu intimidant. Eh oui, j’ai bien dit le bel italien, car Lorenzo était un homme des plus séduisant. Il avait un sourire charmeur, un regard qui attirait immédiatement le mien. Je me raclais la gorge, pour lui répondre à mon sujet, tout en commençant à piquer dans mon plat, détournant mon regard pour voir ce que je prenais dans mon assiette. « En fait, rien ne me destinait vraiment à être dans la même section que Betsy. C’est un peu par hasard que je suis arrivée là-bas. » Et c’était vrai, ce n’était vraiment qu’un pu hasard. Santa avait montré le bout de son nez lors d’un entraînement que je faisais avec une militaire, m’avait proposé un combat d’entraînement et je ne sais pour quelle raison m’avait fait rentrer par la suite dans sa section. Pourtant, je n’avais rien d’une combattante à la base, j’étais juste un médecin en traumatologie, qui soignait les blessés sur les champs de bataille parfois avec des moyens dont les hôpitaux auraient refusé.Mais je ne regrettais nullement le choix d’avoir suivi Santa, dans la section antiterrorisme, j’avais trouvé ma place auprès d’elle qui était devenue une amie de confiance, d’Hunter avec qui je rigolais bien et surtout de Betsy qui était devenue ma meilleure amie « Je suis chirurgien en traumatologie à la base. J’ai fait mon internat à l’armée parce que je ne voulais pas juste attendre dans un bâtiment tout blanc des blessées. Alors j’ai préféré aller à l’armée chercher un peu plus d’action.» Je n’avais jamais vraiment aimé l’inactivité, et je ne m’étais jamais vu trainer dans les couloirs d’un hôpital austère à attendre que mon bip pour une intervention. J’avais eu le besoin de ressentir en plein milieu de l’action de pouvoir sentir cette adrénaline, être mise sous pression. Alors je pense que maintenant, j’avais trouvé ma place, même si je ne pratiquais plus vraiment la médecine. « Et quelques années plus tard, je suis tombée au SHIELD dans la même section que Betsy. » Je le regardais dans les yeux, lui offrir un sourire doux, portais ma fourchette à ma bouche pour prendre le poulet qui était au bout.

Et cette fois, c’était à mon tour d’en apprendre un peu plus sur cet homme qui m’accompagnait pour cette soirée et qui sait pour d’autres. « Et toi, Betsy m’a parlé que tu avais Luca et que tu étais cuisiné. Mais mis à part ça elle ne m’a pas dit grand-chose sauf que tu l’as sauvé d’un crétin avec qui elle a passé la soirée ou plutôt devait passer la soirée. » Père célibataire, ça, je ne pouvais que m’en douter, après tout, on ne serait pas là, s’il était avec quelqu’un. Je posais ma main libre sur la table avec le désir secret qu’à nouveau, il pose la sienne sur la mienne ou même qu’il la prenne.

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Dim 16 Avr - 21:23
Cameron avait répondu bien volontiers au questionnement du cuisinier. Elle parlait et même si elle ne s'étalait pas réellement sur elle mais plus sur sa carrière, l'italien ne pu s'empêcher de sourire en comprenant que, comme sa meilleure amie, elle avait un sacré caractère malgré le calme apparent dont elle faisait preuve. Tranquillement, l'homme venait piquer des morceaux de viande de sa fourchette, rassemblait tout dans son ustensile pour finalement déguster le plat, ressentant les différents goûts et arômes qu'offraient la cuisine chinoise. Une fois le contenu de sa bouche avalé, l'italien s'essuya la bouche, sans quitter du regard la belle blonde alors qu'elle lui renvoyait la question. Ah. Au moins, l'agent n'était pas du genre à accaparer la conversation quand on lui laissait le champ libre et ça, c'était un bon point pour elle. Maintenant, les relations devenaient de plus en plus compliquées quand on savait qu'il y avait des cons qui oubliaient le respect et des emmerdeuses qui ne se préoccupaient que d'elles.

Néanmoins, le restaurateur offrit un doux sourire à sa compagne du soir, venant boire un petit coup avant de se racler la gorge et de répondre "Il n'y a pas grand chose à dire sur moi. J'élève seul mon fils depuis sa naissance. Sa mère n'était pas une sainte et j'ai eu la garde de Luca. Euh... Je bosse pour Magnus. Je fais de la boxe. J'ai toujours aimé la cuisine, c'est pour ça que je me suis redirigé vers ça. J'ai une petite soeur qui est reporter ou quelque chose comme ça, donc je la vois pas souvent. Euh... Un de mes meilleurs amis est l'héritier d'une famille blindée, l'autre est garde... Euh... Je ne vois pas trop quoi dire d'autre, en fait." avant de pouffer de rire tant il avait expédié la question à la vitesse grand V.

Le repas avançait lentement et Enzo se laissait à chaque distraire par la présence de Cameron, la genoshéenne ayant un petit quelque chose qui faisait qu'il ne parvenait pas à délaisser sa vision. Ils avaient discuté de banalités, entre deux bouchées. La famille, les origines, ce genre de choses complètement futiles. Lui, le faisait parce que ça lui permettait de rester plus longtemps avec la jeune femme à qui il offrait toujours de nombreux sourires tendres. Et puis, machinalement, alors qu'ils approchaient de la fin de vie de leurs assiettes, l'italien vint poser ses doigts contre ceux de l'agent, les prenant délicatement et les caressant de son pouce. Quelle ne fut pas sa surprise de sentir son propre coeur s'emballer a cette simple action, comme s'il découvrait ce que cela faisait de tenir la main à une femme, tel un ado découvrant pour la première fois la sensation que c'était d'être aussi proche de son opposée.

"Dis moi. Imagine que je te propose qu'on aille au cinéma, juste après ce repas... Tu serais plus film d'amour, d'horreur, d'action, d'animation ? Fais gaffe, ton choix sera déterminant !
" avait lâché Enzo avec un petit rire amusé. Il ne mettait pas la pression à sa douce mais il voulait connaître ses gouts de tous les jours. Etrangement, il voyait mal Cameron s'éterniser devant un film à l'eau de rose qui finirait en baiser sous la pluie battante alors qu'elle s'apprêtait à le quitter pour toujours parce que l'imbécile n'avait pas comprit assez vite ses erreurs mais ! Savait-on jamais que la femme soit surprenante. Après tout, ce n'était pas interdit d'être un soldat et d'avoir un coeur d'artichaut devant les films cucul. En tout cas, après s'être nettoyé la bouche, Lorenzo vint embrasser délicatement les doigts féminins qu'il avait entre les siens, prouvant ainsi à la demoiselle son réel intérêt pour elle. Une nouvelle fois, il avait eu envie de la remercier de l'accompagner mais à la place, il se contentait de la dévisager avec beaucoup de tendresse, comme il ne l'avait jamais fais auparavant, sourire timide aux lèvres.

Bon sang, c'était vraiment étrange de ressentir ce genre de choses, comme lorsqu'on découvre son premier amour de jeunesse, au lycée... Ouais, voilà, le rital se sentait exactement comme ça.
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Mer 19 Avr - 1:39


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
Les yeux dans les yeux, ne les quittant jamais. J’y trouvais dans ce regard cette sensation d’être pour l’espace de cette soirée, la plus importante, la plus étincellent comme s’il n’y avait que moi qui existais. Lorenzo avait le don de me faire sentir si bien et pourtant si mal à l’aise, car je ne savais pas vraiment comment je devais me comporter. Je me retrouvais telle une adolescente, hésitante et tellement impatiente de voir la suite, de pouvoir rester en sa compagnie, de sentir encore mon cœur battre, sentant cette respiration s’accélérer petit à petit, cette nervosité s’emparer de moi. Cela était des sensations que j’aimais ressentir, les premiers émois, les premiers instants d’un possible début d’histoire entre deux personnes. C’était aussi les moments, ou on pouvait maudire intérieurement l’ami qui nous avait rapprochés et par la même occasion la remercier, car tout ceci était grâce à elle.

Je parlais avec le bel italien, lui répondais à ses questions écoutait son passé avec attention. Je lui posais des questions avides de les connaître de savoir ce qui faisait son monde. Je voulais tout connaître de lui, mais je voulais aussi prendre mon temps, pouvoir découvrir petit à petit chaque facette de sa personnalité, pouvoir être surprise à chaque moment. J’aimais voir ce sourire, pouvoir me plonger dans son regard, ne pas comprendre réellement ce qui était en train de se passer à cet instant précis. Ou, je le savais, mais je voulais me laisser porter par cette soirée en la compagnie de se cuisiner qui était si prévenant avec moi. Et quand ses doigts venaient toucher les miens, mon cœur ratait un battement, le souffle couper, me laissant envahir par tous ces frissons que ce toucher rependait en moi, me donnant la chair de poule. Je plongeais mon regard dans le sien, m’y plongeant sans aucune précaution, me mordant légèrement la lèvre inférieure. Je me laissais bercer par cette caresse qui laissait sur ma main, mon pouce venait lui aussi effleurer sa peau, dans un geste naturel, voulant laisser une empreinte sur chair. Ma respiration s’accélérant quelque peu, mes joues devenant légèrement plus roses.

Et sa question, j’eus un léger rire qui se dessinait sur mon visage, non pas moqueur, mais un rire tendre appréciant l’attention que cet homme montrait à mon égard. Je lui répondais d’une voix douce avouant mon péché mignon, même si j’aimais les autres styles de film. « Je dois avouer que j’aime le film romantique. J’aime particulièrement Orgueil et Préjugée. » Peut-être mon côté fille qui ressortait, ce côté fleur bleue que j’avais. J’aimais les histoires, faisant une ode à l’amour, parlant de deux êtres qui se trouvaient enfin après avoir tant cherché leur place. Mon souffle se coupa en une seconde sentant le baiser qu’il déposait sur ma main, avalant un peu de salive, électrifiant chacun de membres, passant ma langue sur mes lèvres, la mordillant légèrement. Cet homme me rendait nerveuse, me faisait complètement oublier ce qu’il y avait autour de nous, les bruits des couverts, les serveurs passants près de nos tables, le bout de conversation qui nous parvenait. Il me faisait ressentir tant de choses, que j’en étais abasourdie, moi qui jusqu’à présent n’étais pas de celle qui se laissait aller dans toutes ses promesses que ce genre de soirée pouvait apporter. J’en perdais même cette provocation qui pourtant était quelques parts comme une marque de fabrique chez moi, un élément indispensable de ma personnalité. Je me raclais la gorge légèrement, reprenant ainsi une certaine contenance, du moins assez pour m’excuser auprès de Lorenzo pour prendre la direction des toilettes.
Il n’y avait là aucunement un signe de gênes, mais je sentais qu’il n’en faudrait qu’un peu plus d’intention de sa part, pour qu’il m’ait sous son bon jour, même si en réalité, cela était déjà fait. Je restais devant le miroir, inspirant profondément, pris mon téléphone cherchant le contact que je désirais contacter. Je laissais la sonnerie retentir, en n’ayant rien à faire du à l’heure qu’il était ni même de la possibilité qu’elle soit en train de flemmarder tranquillement. La voix retentit enfin avec un simple Allo et d’un coup, je lançais sans aucun bonjour, ou bonsoir. « Je te hais Elisabeth ! » et sans sommation, je raccrochais au nez de ma meilleure amie. Car tout ceci était de sa faute, cette sensation d’adolescente, ce sentiment de gêne qui était si agréable, se contacte que mes mains réclamaient de toute leur force.

Je revenais auprès de l’homme, reprenant place devant lui, lui offrant un doux sourire, laissant ma main reprendre la sienne. Car j’aimais ce contact et je ne voulais pas m’en séparer. La soirée continuait, le dessert fut commandé moi, je prenais une glace au chocolat, la conversation reprenait, je lui parlais de ma passion première qui était le dessin. Mais je n’avais qu’une envie, sortir de ce restaurant, me balader avec lui dans les rues, poursuivant notre découverte d’une l’un et autre. « Depuis que je suis enfant, je dessine, ma mère me disait souvent que j’étais née avec un crayon à la main et d’ailleurs, elle a toujours pensé que j’irai vers les arts et non les sciences. JE fais aussi quelque dessin pour un ami qui a un salon de tatouage.»


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Lun 24 Avr - 14:10
Lorenzo n'arrivait pas calmer les battements de son cœur alors que ses doigts se promenaient contre ceux de la femme. Il caressait sa peau lentement, goûtait sa douceur et profitait du simple fait qu'elle se laissait faire paisiblement. Il mangeait d'un main restant accroché à sa belle de l'autre. "Ah oui ? Madame est du genre fleur bleu ?" disait-il en ricanant doucement, plus amusé que moqueur. Il ne serait pas douté de ça mais ce n'était pas pour déplaire à l'italien qui se doutait que la demoiselle devait cacher deux visages d'elle, comme beaucoup dans le métier ou dans la vie de tous les jours. Dans tous les cas, il adorait sa présence et ne parvenait pas à détacher son regard de ce doux visage au sourire hypnotisant. Et puis la femme avait fuit, se dirigeant vers les toilettes. De là, Enzo profita du temps d'absence de la brune pour sortir son téléphone portable de sa poche et écrire un sms.

"Je sais pas quoi faire ! Elle me rend nerveux !" furent les mots qu'il envoya à Betsy, l'amie en commun qu'ils avaient, Cameron et lui. Il rangea rapidement son appareil et attendit sagement que l'agent anti-terroriste revienne, sa poigne venant chercher la sienne, ce qui fit sourire l'italien. Le repas avançait et la fin avec. La brune prit un dessert chocolaté tandis que le rital, pas trop fan du concentré de cacao choisissait une tarte aux pommes qui fut accompagné d'une boule de glace vanillée. L'homme grignotait et répondait à la demoiselle jusqu'à qu'elle fasse part de sa passion pour le dessin et l'aide qu'elle apportait à un tatoueur. D'un regard taquin, Loren jeta un regard à la femme, détaillant les encrages sur sa peau et pointa l'ensemble de sa cuillère tout en lançant un "Et c'est toi qui a dessiné chacun de tes ornements ?" amusé et impressionné à la fois. Cameron répondit à son questionnement et plus la conversation se rallongeait moins il faisait attention à ses gestes. Cela faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé, de ne plus voir les choses se dérouler. C'est pourquoi il avait quitté la table, entraînant la femme avec lui pour ne pas couper court à la discussion tout en payant le dîner. Gentleman, il avait invité la demoiselle puis s'était dirigé jusqu'à l'extérieur pour arpenter simplement la rue, rejoignant la voiture ainsi, à petit pas.

Sur le parking, Lorenzo ne prit pas la peine d'ouvrir la voiture, cherchant plutôt une façon d'allonger son temps avec l'agent. Le cuisinier vint tranquillement s'adosser à la carrosserie tout en fixant la belle en faire autant. Les yeux clairs du restaurateur vinrent à nouveau croiser ceux de la tatouée et dans un geste délicat, il approcha les doigts de sa joue, la caressant à peine alors sa main rangeait une mèche derrière la petite oreille. Est-ce que son coeur battait encore ? Il avait un doute tant il se sentait complètement perdu. Et maintenant ? Et maintenant ? Pas le temps de réfléchir que son corps agissait sans qu'il ait son mot à dire. En quelques secondes, il se voyait se rapprocher dangereusement de la génoshéenne, se penser vers son visage et... L'embrasser rapidement du bout des lèvres, une première fois, comme tout tester la réciprocité du rapprochement. Doucement, la main de l'italien se cala sur la nuque féminine tandis que sa bouche venait chercher la sienne pour un nouvel échange, tendre au mieux.

En se détachant enfin de la jeune femme, le barbu resta proche de sa belle, pouffant de rire un instant alors qu'il parvenait enfin à reprendre le contrôle de lui-même. "A la base, je voulais juste t'inviter à aller au cinéma..." dit-il pendant qu'il se laissait aller à l'enlacer, se retenant autant que possible pour ne pas l'embrasser à nouveau, se contentant plutôt de coller le front contre le sien avec un petit sourire crétin au visage. Il ne regrettait absolument pas de lui avoir voler des baisers, encore moins d'être si proche d'elle. Il le sentait, la brune serait une expérience dont il ne craignait pas les échecs et pour laquelle il donnerait tout ce qu'il était.
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Lun 24 Avr - 17:14


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
La soirée était es plus agréables, j’aimais la présence de l’italien, souriait à sourires, plongeait mon regard dans le sien. Je l’écoutais me parler, ne quittait pas cette main qui avait pris la mienne, profitant de ces caresses avec douceur. Je me laissais porter par cette soirée, ne voulant pas qu’elle se finisse, espérant secrètement qu’il ait une suite, la désirant. Je vis ce regard taquin qui me fit sourire d’un sourire malicieux et espiègle lui répondant avec une légère provocation « La plupart. Dont bon nombre qui ne sont pas visible » Ne détournant nullement le regard. Je continuais à le chercher, et continuerai sans hésitation. Cet homme me faisait un effet fou, sans même que je ne sache pourquoi. Je ne voulais nullement que cette soirée se finisse, je voulais pouvoir encore entendre sa voix, pouvoir rire avec lui ou simplement échanger ses regards et ses sourires.

Le temps n’avait plus d’emprise sur nous, il était complément oublié remplace par ce sentiment de bien-être qu’il me faisait ressentir. J’eus même un regret quand nous nous étions levés pour payer ce fabuleux repas que nous nous avions partagé ensemble. Je me sentis à la fois heureuse et à ma place sentant sa main dans la mienne, gardant un sourire au visage, aimant le contact et les frissons que tout ceci me procurait. Et rien qu’avec ce geste, je pouvais sentir mon cœur battre plus fort, humectais mes lèvres.

Nous avancions, vers sa voiture, sortant du restaurant, moi toujours le sourire aux lèvres, me sentait à mon aise, même si aucun mot n’était prononcé. J’avais resserré légèrement mon étreinte sur sa main, venant caresser à mon tour sa peau. Quelques regards en coin s’échappèrent vers l’italien, avançant tranquillement avec lui vers sa voiture. Nous primes même pas la peine de l’ouvrir, nous nous étions installés, l’un à côté de l’autre captant nos regardes. Ma respiration s’accélère légèrement à ce toucher qui venait remettre une mèche derrière mon oreille. Mon être espérait qu’il ne s’arrête pas là, en voulait plus, il trépignait d’impatience quand il se rapprochait doucement son visage du mien, le cœur battant donnant cette sensation qu’il était près à sortir de mon cœur.

Et quand ses lèvres touchèrent enfin les miens, après une attente qui m’avait paru si longue, tout mon corps se figea surpris pas toutes ses émotions qui m’envahissaient d’un seul coup, réclamant déjà un deuxième baiser. Laissant le frisson parcourir chacun de mes membres, alors que mes lèvres cherchaient celle de Lorenzo ne voulant pas les quitter, les embrassant avec une douceur qui me semblait si inconnue jusque-là. Le temps de ce baiser, j’eus l’impression que le temps s’était figée, qu’il n’y avait que nous deux dans ce parking. Pourtant, il y avait surement d’autres couples qui venaient de finir de leur dîner, comme nous deux. Mais ce moment n’était rien qu’à nous deux.

Puis un rire, une réflexion sur ce cinéma qui soudain ne trouvaient plus grâce à mes yeux. Je laissais échappé à mon tour un léger rire à ça réflexion. Je me laissais emporter par cette douce étreinte, par ce moment si particulier, inspirant profondément. Je m détachais légèrement du bau cuisinier, pour mieux lui faire face et me rapprocher de lui, venant même coller mon corps contre le sien, plongeant mon regard dans ses yeux clairs, un sourire aux lèvres alors que je me rapprochais de lui enfermant délicatement son visage dans mes mains lui disant sur un murmure taquin « Et toi qui croyais avoir perdu la main.» Pour venir chercher encore ses lèvres, avec douceur, mais aussi avec passion, pendant que mes mains venaient se noyer dans ses cheveux. Je profitais de ce moment, voulais de ses premiers baisers échanger, voulant ressentir toute cette promesse qui s’ouvrait à nous, voulant perdre mon soufflé dans le sien. Mes lèvres se détachèrent avec regret de celle de l’italien, venaient enfuir mon visage au creux de sa nuque, venait lui murmurer au creux de l’oreille. « Il y a bien mieux qu’un cinéma.» C’est ainsi qu’on avait repris la route, revenant à notre point départ, avec un sourire qui ne voulait se défaire, regardant Lorenzo comme je n’avais jamais regardé aucune autre personne jusqu’à présent, trépignant d’impatient de pouvoir encore goûter à ses lèvres. Et arrivé dans l’ascenseur, je n’attendis nullement qu’on soit chez moi pour reprendre possession d’elle. Non, je ne voulais pas attendre, pas avec lui. Et arriver au seuil de ma porte après l’avoir ouvert, j’attirais une nouvel fois l’italien à moi.



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Mar 25 Avr - 22:45
Les lèvres de Cameron contre celles de Lorenzo offrait un long frisson de plaisir à l'italien qui ne pouvait faire autrement que profiter de cette tendre sensation. Ses bras autour de la taille de la jeune femme, son souffle se mêlant au sien, les chuchotements échangés, tout faisait croire à l'homme la suite de la soirée se porterait bien. Entre deux nouveaux baisers, la jeune femme se fit plus taquine, plus, annonçant que le cinéma ne valait plus le coup et qu'autre chose serait bien plus intéressant. Le sous entendu fit ricaner le restaurateur qui laissa échapper un petit "Entendu, mon général." avant de voler un autre baiser à la belle puis la laisser s'éloigner de lui afin d'entrer dans la voiture. Enzo l'observa jusqu'à ce qu'elle disparaisse à l'intérieur, la rejoignant ensuite après s'être mordillé la lèvre inférieure. Est-ce qu'on pouvait passer une meilleure soirée que celle-là ? Non, pas du tout. Et s'il était stressé depuis le début, le fait que l'attirance soit réciproque lui enlevait un poids des épaules. Bon sang... C'était réciproque !

Dans la voiture, il ne perdit pas de temps et démarra le moteur en un rien de temps, se contentant de suivre le code de la route tout en s'amusant à effleurer de ses doigts, le genou de la brune. Parfois il lui lançait des regards et des sourires tendres, se sentant par moment totalement idiot devant ces faits de timidités. C'était une situation bien rare pour pouvoir le noter bien que finalement, ce ne soit pas si gênant que cela. Il l'assumait entièrement. Contrairement à l'allé, d'ailleurs, le retour pour le domicile de la demoiselle se fit quasiment à toute allure, probablement que l'état mental dans lequel il se trouvait l'encourageait à voir ce trajet différemment. Le restaurateur n'avait fait le chemin que quelques fois, mais il s'en souvenait comme si c'était vital de s'en rappeler, aussi, bien rapidement, il trouva une place sur le parking de l'immeuble et refit exactement le même manège qu'au début. Gentleman, ouvrir la porte et la fermer derrière mademoiselle, lui offrir son bras pour la guider d'un pas tranquille jusqu'à son domicile.

Tout du moins c'est ce qu'il comptait faire jusqu'à ce qu'ils entrent dans l'ascenseur. De là, c'est la genoshéenne qui réclama ses dus et à lui d'y répondre, se faisant même plus fougueux alors qu'elle se faisait passionnée. La libérant juste le temps de rejoindre le nid qui verrait leur amour naître, il n'eut pas à patienter longtemps avant de recommencer à apprécier les baisers de l'agent. Le cuistot ferma la porte d'entrée en la poussant de son pied et d'un geste tranquille, vint soulever la femme qui vint lier ses jambes autour de la taille masculine. La soutenant, Enzo n'hésitait pas à varier les plaisir, s'amusant à mordiller la lèvre inférieure de sa belle, par exemple ou même en l'embrassant dans le cou, sa mâchoire ou tout simplement en se faisant, à son tour, passionné plus que de raison. C'est d'ailleurs dans cette situation qu'il chuchota à la demoiselle un "Ta chambre ?" s'immobilisant le temps qu'on lui réponde, ayant un léger passage d'inquiétude à ce moment là. Et s'il se méprenait finalement ?

La bouche de Cameron recommençait à prendre possession de la sienne, balayant ainsi ses craintes d'un revers de main. Sans plus réfléchir, le barbu prit le chemin de la pièce convoitée alors que son palpitant devenait de plus en plus furieux, son corps se réchauffant et son envie grandissant. Avec délicatesse, le cuisinier allongea la femme sur son lit et se plaça au dessus d'elle. Il vint lui caresser la joue puis les lèvres du pouce avec un petit sourire pour enfin dire "Tu es sûre ?"; Après tout, il valait mieux poser la question une fois pour toute, pour se lancer à l'aventure et redécouvrir un monde qu'il s'était interdit depuis si longtemps. L'affirmation ne tarda pas à arriver et comme pour sceller l'accord d'un possible jour nouveau, entre eux, l'italien vint offrir un doux et long baiser à sa compagne.

Il ignorait totalement comment ils réagiraient le lendemain en se réveillant l'un dans les bras de l'autre, ignorait comment se passerait l'étape du petit déjeuner, si même il y en aurait un d'ailleurs. Loren ignorait même si cela finirait par un véritable engagement ou s'il ne s'agissait que d'un soir mais en tout cas il profitait longuement de la magie de leur rencontre, de leur union et de l'amour naissant auquel il voulait croire.
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Mer 26 Avr - 12:15


Romance Without Finance
Cameron et Lorenzo
Cette soirée avait été des plus inattendue, d’une douceur qui m’avait exaltée, transportée dans un moment ou plus rien ne comptait. Il n’y avait plus que lui et moi, plus que ce désir qu’on éprouvait pour l’un et l’autre. Je ne savais nullement ou tout ceci nous mènerait, peut être était-ce juste une aventure e courte durer ou peut être qu’il était mon avenir, celui qui allait pouvoir me garder auprès de lui pour le reste de notre vie.

Je me laissais emporter, par cette tendre promesse, par ce moment tendre et enivrant. Je répondais aux lèvres du bel italien, avec passion et fougue, avides de les faire miennes. Nous rentions dans mon appartement, reprenais nos doux échangés, je laisser mes sourires parcourir sa peau, venait y gouter avec plaisir. Je me laissais envahir par ces frissons, par cette chaleur. Je me laissais porter par cet homme, refermant mon doucement ma prise sur lui, lui indiquait ou se trouvait mon lit. Je couvert son cou de mes lèvres venait mordiller le lobe de son oreille, déboutonnant doucement sa chemise. Encore quelques instants d’appréhension de la part de l’homme qui m’accompagnait pour cette nuit et bien d’autres dans un sourire, je lui disais que je n’avais jamais été aussi sure, venant chercher ses lèvres. Le bien-être était de bien réel, Lorenzo me donnait à cette impression que tout ceci était des plus naturel, qu’il était la personne avec qui je devais n’être pas une autre. Alors on se laissait porter par ce moment envoutant, laissant nos désirs s’exprimer pour cette nuit et j’espérais pour d’autres nuits encore.
____

J’étais allongée sur le dos, sentant les doigts de Lorenzo caresser ma peau, un petit rire quand il me demandait quel tatouage était mon œuvre, lui répondant d’un ton espiègle. « Ça dépend. » Je le laissais me couvrir de caresses, me renvoyant la question. Je ramenais ses lèvres aux miennes tout en lui disant que ça dépendait s’il l’aimait ou nous. Nous discutions de tout et de rien. Je reprenais possession de ses lèvres. Je ne voulais pas le laisser partir, je désirai qu’il reste ici avec moi que je puisse continuer à embrasser ses lèvres sans complexe, pouvoir sourire à chacun de ses baisers.
____

Le lendemain, je me réveillais dans les bras du bel italien et je restais là quelque instant à l’observer. Je déposais mes lèvres sur son torse, sortis du lit faisant attention à ne pas le réveiller et commençait préparer un petit-déjeuner pour lui et moi. Je ne regrettais nullement cette nuit, j’étais même heureuse, et gardais un de ses sourires bien niais qui trahissait le bonheur que je ressentais.

Et la sonnette retentit. Il n’y avait pas de toute à avoir, je savais pertinemment qui cela pouvait être. Après tout, je n’allais nullement m’en sortir après ce coup de téléphone que je lui avais passé hier. Je me dirigeais donc vers la porte pour ouvrir à ma meilleure amie une tasse de café à la main pour elle que je lui donnais quand la porte s’ouvrit. « Salut, mon amie adorée. Entre. » J’invitais mon amie à entrée l’emmenait dans la cuisine prise une tasse de café pendant que je lui demandais comment ça allait. « Alors, ma chère et tendre amie. Tu as passé une bonne soirée. » Il n’y avait aucun doute quant on me regardait que la mienne avait été au-delà de ce que j’avais espéré. Betsy me posait cette question à laquelle je n’allais pas y couper, je portais ma tasse à mes lèvres en voyant Lorenzo arriver tout en répondant à notre amie commune toujours le nez dans ma tasse « Plutôt bien. »

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Mer 26 Avr - 13:38


Romance without finance

Sweet surprise in the morning


Un sourire étirait les lèvres de l'anglaise alors qu'elle laissait ses doigts fins glisser sur son clavier. Paisiblement installée sur son lit, un plaid couvrant ses jambes dénudées, alors que l'ordinateur trônait sur ses cuisses. Les divers onglets illuminaient la pièce plongée dans le noir, une musique s'envolant dans les airs pour accompagner la soirée de la brune. Ses pensées filaient à toute allure dans son esprit, et elle ne pouvait s'empêcher d'imaginer la soirée de ses deux meilleurs amis. Sans trop vraiment comprendre comment ni pourquoi, elle s'était retrouvée à les faire se rencontrer, et avec du temps et son caractère espiègle, l'anglaise avait réussi à les faire s'apprécier. Elle avait bien remarquer les coups d’œils discrets entre eux, les rougissements et respirations quelques peu hachurées. Ces petits détails ne pouvaient pas lui échapper. Et c'était ainsi qu'elle s'était mis en tête de les faire se rapprocher. Par un malin hasard, Lorenzo et Cameron se retrouvaient alors ensemble pour la soirée, à dîner dans un somptueux restaurant, presque en amoureux. Et ce qui amusait le plus Betsy dans toute cette histoire, c'était sûrement les ressentis de ses deux amis au fil de la soirée. Le coup de téléphone de Cameron en pleine après-midi lui revenant en tête, la brune ne put empêcher un ricanement de s'échapper d'entre ses lèvres fines. Oh ça oui, je suis fière de moi, Cam. Son téléphone vibra à côté d'elle sur le plaid, et la belle tendit sa main pour l'agripper du bout des doigts. L'appareil posé dans sa paume, elle fit glisser son index sur l'écran, afin d'afficher le message de Lorenzo. Un rire s'échappa d'entre ses lèvres et ses yeux brillaient malicieusement, l'éclat luminescent illuminant son regard.

1 nouveau message:


A peine l'anglaise dépose son pouce sur l'écran pour envoyer le message, qu'un appel s'affiche, illuminant encore plus le visage de la belle. Son sourire s'agrandissant alors qu'elle se mordait les lèvres pour ne pas rigoler. Prenant l'appel, Betsy déposa l'appareil contre son oreille, la voix de Cameron cognant contre ses tympans. "Je te hais Elisabeth !" La tonalité retentissait à nouveau, alors que la brune finit par se laisser aller à l'euphorie. Ses yeux brillants perlaient doucement, alors que son rire s'envolait dans les airs, l'une de ses mains couvrant sa bouche pour éviter de réveiller les autres habitants du manoir. Betsy finit par souffler pour tenter de reprendre contenance, son ventre la tiraillant sous les assauts de son hilarité passée. Un soupir amusé quitta ses lèvres alors qu'elle se redressait, s'installant un peu mieux sur son lit, tout en remettant son plaid en place. Maintenant que les deux tourtereaux lui avaient fait part de leurs sentiments, elle allait pouvoir se poser pour la soirée. Mais ce n'était pas dit qu'elle s'arrêtait pour de bon, ça non. Le sourire narquois qui étirait ses lèvres en disait long, tout comme son esprit malicieux qui lui intimait de revenir à la charge très prochainement. Appuyant tranquillement sur la barre d'espace sur le clavier de son ordinateur, la belle lança un nouvel épisode de sa série pour la soirée, profitant de l'accalmie avant la prochaine tempête. A demain les amoureux~

Lorsque son réveil la tira de son sommeil le lendemain main, Betsy frappa le bouton snooze si rapidement, qu'elle était déjà fichée sur ses deux pieds avant que la musique ne s'éteigne. Passant rapidement sous la douche, la belle se prépara en vitesse, enfilant des habits confortables mais pas moins élégants avant d'enfiler ses chaussures. Attrapant son sac, l'anglaise y déposa quelques affaires, comme ses clefs et son porte-monnaie, avant de filer hors de la maison, au volant de l'une de ses voitures. Le sourire amusé n'avait pas quitté ses lèvres depuis la veille, et c'était ainsi qu'elle débarqua dans une boulangerie, le visage illuminé d'une lueur joyeuse, les yeux brillants, pour acheter quelques pâtisseries. Déposant la monnaie sur le comptoir, la belle salua la caissière avant de retourner dans sa voiture, démarrant en trombe et oubliant presque de s'attacher, pour retourner sur la route. Filant à toute allure sur le bitume afin de se rendre chez sa meilleure amie. L'impatience lui brûlait les veines et elle pouvait sentir l'adrénaline pulser dans son corps alors qu'elle s'arrêtait devant l'immeuble de Cameron. Une fois sortie de la voiture, elle la verrouilla de loin avant de passer la porte d'entrée. Après avoir tapé le code et une fois le couloir passé, elle grimpa les marches quatre à quatre, les sacs de pâtisseries frottant contre ses jambes. Son cœur battait un peu plus rapidement que la moyenne lorsqu'elle sonnait sans ménagement chez sa meilleure amie. Au bout de quelques secondes qui parurent durer des heures, Cameron ouvrit enfin à Elisabeth, et avant même qu'elle n'ait pu placer un seul mot, son amie l'accueillie avec une tasse de café fumant. L'anglaise attrapa la tasse en soupirant d'aise, Cameron la connaissait beaucoup trop bien.

« Salut, mon amie adorée. Entre, proposa Cameron en l'attirant vers la cuisine.
_ Salut ma belle ! Oh, adorée, carrément ? Je croyais que tu me haïssais, plaisanta l'anglaise en lui faisant un clin d'oeil. Merci pour le café. J'ai pris des croissants pour le petit déjeuner, je me suis dit que vous deviez avoir faim après votre soirée ensemble, susurra-t-elle en prenant place à la table, déposant les pâtisseries par la même occasion.
_ Alors, ma chère et tendre amie. Tu as passé une bonne soirée ?
_ Oh que oui, je me suis beaucoup amusée, mais... Parlons du plus important, lança malicieusement l'anglaise en souriant narquoisement, attrapant un croissant avant de mordre pleinement dedans. Comment s'est passée votre soirée ?
_ Plutôt bien, souffla Cameron, le nez dans sa tasse alors que Lorenzo débarquait dans la pièce.
_ Ouuuuuh, je vois ça. Salut Loren~ … Viens t'asseoir avec nous, je sens que vous avez pleiiiiiiiin de choses à me raconter et j'ai toute ma journée, ricana la belle sans se départir de son sourire amusé. »



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