✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Ven 28 Juil - 12:01
Are you calling me a sinner ?J’étais levé tôt, beaucoup trop tôt pour mon propre bien. Impossible de dormir. Impossible de me reposer. J’avais essayé, mais ses horribles cauchemars étaient là. J’avais toujours bien dormi, un sommeil de plomb même. Il suffisait que j’ai Nando à mes côtés et je dormais comme un loire. Naturellement, je m’étais habitué à enrouler mes jambes et mes bras autour de lui, me servant alors de mon amant comme d’un oreiller et d’un doudou. La chaleur de la peau de Nando m’avait toujours calmée, rassurée, comme un enfant qui avait besoin de dormir avec sa mère. Mais là, les choses étaient différentes. Je m’agitais, j’avais peur, et j’entendais ses voix dans mon sommeil. J’entendais principale sa voix à lui, celle de mon frère. Celle qui disait sans cesse que je l’avais trahi, qu’il me détestait et je n’existais plus à ses yeux. Ces phrases arrivaient en boucle sans que je puisse en saisir le contexte. mais c’était… impossible. Nando ne m’aurait jamais dit cela. Non. Alors pourquoi tout me semblait si réel. Impossible de dormir comme cela. Malgré tout ce que mon amant faisait pour me calmer, malgré ses caresses dans mes cheveux, malgré ses gestes rassurant. Rien… rien ne faisait que j’étais calme. Alors je m’étais extirpé du lit, non sans partir en déposant un baiser sur ses lèvres comme j’avais l’habitude de faire ne me levant. Je m’étais alors bougé jusqu’à ma table de dessin, vidant tout ce qui me traversait l’esprit avec du papier et de l’aquarelle. Ce vide en moi. C’était tout ce qu’il persistait de mon rêve. Cette sensation d’être parfaitement seul au monde. Dans ce rêve, Nando n’était pas là. Comme si ce lien qui avait fait toute ma vie s’était brisé. Je posais ma main sur mon thorax et serra le tissu du tee-shirt que j’avais enfilé. Pourquoi ? Pourquoi ? Je voulais me dire que c’était impossible. Que jamais cela ne pouvait arriver. Je fermais les yeux quelques instants, laissant mes doigts glisser sur mes paupières, avant de dériver sur mon front et s’emmêler dans mes cheveux platine fraîchement décolorés. Je ne pouvais pas y croire. En rouvrant mes yeux, je tombais sur le dessins que j’avais fait pour Nando, le dernier tatouage que j’avais créé pour lui, celui que je rêvais de lui encrer dans sa peau. Je fronçais les sourcils quelques instants et pris dans un excès de rage, je l’attrapais pour froisser le papier et ensuite le déchirer. Je regardais les restes sur le bureau avant de donner un grand coup de poing sur le bois avant de me lever d’un coup. Je ne pouvais pas rester ici, ça m’était impossible. Je devais fuir. Fuir très loin.
Je pris rapidement quelques affaires, avant de sortir sans même vérifier si Nando était éveillé ou pas. Je voulais juste…. je n’en savais rien fait. Je ne savais pas ce que je voulais. Je voulais m’éloigner de lui. Je voulais le prendre dans mes bras à m’en étouffer. Je voulais le garder contre moi et le repousser pour ne plus souffrir. Tout était si contradictoire. Dans le fond, qu’est-ce qu’un traitre comme moi pouvait faire d’autre que de s’éloigner ? Traitre ? Non, je ne l’avais pas trahi. Jamais. Alors quoi ? Je soupirais alors que je m’étais rendu jusqu’au QG d’Hydra pour trouver un refuge qui pouvait être neutre. Trouver une occupation n’importe quoi. J’avais avalé le trajet si vite, trop pris par mes pensées et ses rêve étranges. Je soupirais alors que je sortais mon téléphone portable pour envoyer un message à Nando et lui dire que j’étais à Hydra pour une mission. Juste histoire qu’il ne s’inquiète pas…. puis comme je le connaissais, à peine serait-il seul qui allait boire comme un trou. Je soupirais une nouvelle, je me demandais encore dans quel état improbable j’allais le trouver. C’était encore bibi qui allait devoir reprendre ses conneries. J’étais fatigué rien que d’y penser. Mais surtout inquiet. Nano d’y allais pas à moitié quand il s’agissait de mettre sa propre santé en danger et j’avais beaucoup l’engueuler, il n’en avait rien à foutre. Il continuait d’enchainer conneries sur conneries en riant parce qu’il était high, alors que ma plus grosse occupation était surtout de vérifier que ce crétin ne faisait pas une overdose. Il finirait par le faire avoir des rides et des cheveux blanc avant l’âge à force. Je rangeais mon téléphone dans la poche de mon jean noir serré avant de jouer avec les trous qui étaient au niveau des genoux. Puis rapidement je pus voir quelqu’un passer dans le secteur. Présence qui m’arracha un sourire, vu que c’était Malik. Je sautais sur mes pieds avant courir excité vers mon collègue. Fiiiiils de puuuuute ! Je souris alors que je lui sautais sur le dos joyeusement comme un enfant l’aurait fait avec son grand frère. Sans attendre qu’il m’accepte ou nom j’avais enroulé mes bras autour de ses épaules et mes jambes autour de sa taille. Puis dans tous les cas, c’était facile de me porter, vu comme j’étais léger. Dis moi que tu pars en mission Malik, avais-je gémis comme si j’allais. Je m’ennuie tellement, j’ai envie de tuer des gens avec toi. Je finis par rire en posant ma tête sur son épaule avec innocence. Je peux venir tuer des gens avec toi Malik siteuplé ?
Pouvoirs : * Contrôle de la folie. Il éveille des pensées meurtrière ou des envie de suicide chez les plus faibles d'esprit.
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Pseudo : Awen
Sam 29 Juil - 19:39
Are you calling me a sinner ? Sangwoo & Malik
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Malik était légèrement de mauvais poil. Il passait son temps à jurer, à rouspéter à tout va et même la dizaine de café qu'il avait ingurgité depuis ce matin n'y changeait rien.
Tout le gonflait. Des affaires qui trainaient un peu partout dans sa grande baraque. Car il estimait que ce n'était pas à lui de ranger. Bah ouai. Pour le coup, sa bonniche de femme lui manquait, juste pour ça. Juste pour cette raison parce qu'avec elle, au moins tout aurait été niquel. A sa moto aussi qui, malgré les réparations d'Anna, avait eu du mal à démarrer. Alors oui, au bout d'une dizaine de minute, elle avait arrêté de faire son caca nerveux or, tout ça mis bout à bout, l'avait profondément gonflé au point de le rendre grognon et mal baisé pour le reste de la journée.
Sur la route, il avait même manqué de shooter une femme et son marmot. Pour la seule et unique raison qu'il n'avait pas voulu s'arrêter à un feu rouge. Heureusement, celle-ci avait eu le réflexe de reculer. Elle s'était mise alors à l'insulter et le jeune assassin avait lever son bras pour lui adresser au passage un magnifique doigt d'honneur. Dans le genre rien à foutre et va te faire voir. Car franchement, s'ils étaient passé sous ses roues, il aurait haussé les épaules et serait reparti, comme si de rien n'était.
Dégueulasse? Oui. Mais il ne fallait pas s'attendre à plus avec Malik. Bref, il avait fini par arriver au QG plusieurs minutes plus tard, en garant sa Harley n'importe comment. De toute façon, il n'en avait pas pour très longtemps. Il allait devoir surement repartir quelques heures plus tard, pour une nouvelle mission à accomplir.
Laquelle? Il ne le savait pas encore. Le jeune assassin entra dans le bâtiment, non sans insulter au passage l'un de ses collègues qui l'avait bousculé sans le faire exprès. - Tu peux pas faire attention?! Tête de bite.
Non, franchement. La journée commençait mal et il avait déjà hâte qu'elle se termine. A moins que la futur mission s'annonçait prometteuse et qu'il pourra passer ses nerfs dessus. Là, par contre, il pourrait retourner chez lui avec le sourire.
Comme il s'y attendait, Malik sortit du QG une heure plus tard, avec un objectif bien en tête. Celui de retrouver un gars, pour lui soutirer quelques informations. Et le buter, une fois qu'il ne servirait plus à rien. Le genre classique quoi. Sauf que cette fois, le rebelle avait bien l'intention de s'amuser avec comme il se doit. - Tu vas morfler sa mère, sale enfoiré, susurra-t-il, un léger rictus au coin des lèvres.
Il pourra même offrir son cadavre à Kea. Peut-être que cette dernière le remercierait comme il se doit. Tout en imaginant la scène, le jeune assassin se mordit la lèvre inférieure, pas contre l'idée de remettre le couvert en plein milieu de la morgue.
Mais alors qu'il s'apprêtait à rejoindre sa moto, le motard entendit soudain une voix familière l'appeler. Il se retourna, fronçant les sourcils avant que ce dernier ne fonce sur lui et atterrir sur son dos, lui faisant pousser un grognement rageur. - Putain mais je ne suis pas un cheval bordel de cul ! Je vais devoir le répéter en quelle langue? Petit con va.
Un petit con qu'il appréciait cependant bien assez. Et ce, depuis qu'ils s'étaient rencontré. Sangwoo tout comme son frère avaient d'énormes potentiels. Ils étaient fêlé, jeune et Malik kiffait ce genre de personne. C'est pourquoi, il ne tenta pas de le foutre à terre. Il se contenta de ronchonner, supportant le gamin qui était de toute façon comme un poids plume sur son dos. - Bwa putain tu fais chier, grogna-t-il cependant lorsque celui-ci se mit à le harceler.
Tout en disant ces mots, le jeune assassin poussa un soupir. En même temps, ce n'était pas lui qui allait refuser une petite sortie avec le coréen. Après tout, ce dernier avait beaucoup de chose à apprendre et la mission lui permettrait peut-être de s'améliorer, dans l'art du sadisme et du gore en tout genre. Même si les frères Blink étaient plutôt doué là-dessus. Pour se baiser entre eux comme des lapins en rute. Il fallait avoir un sacré pet au casque.
Alors ouai, il les aimait plutôt bien ces gamins. Au moins, il s'en foutait clairement de l'avis des autres. Le rebelle s'immobilisa près de sa moto, sortant de la poche de sa veste son paquet, qu'il tendit à Sangwoo pour lui en proposer une. - Et tu me donnes quoi en échange merdeux? Si tu veux te rameuter, va falloir que tu racles. Hors de question de poser ton petit cul sur ma moto sinon.
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by Wiise
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Jeu 3 Aoû - 23:01
Are you calling me a sinner ?Dès que j’avais repéré Malik, je l’avais appelé de ma voix la plus douce. Le traitant ouvertement de “fils de pute”. Cela aurait pu être insultant, mais cela faisait partie de nos petites habitudes, c’était nos surnoms affectueux. Depuis que j’avais rencontré le tueur, je m’étais pris d’affection pour lui et c’était assez rare que je me prenne vraiment d’affection pour quelqu’un. Je faisais souvent sembler d’apprécier les gens, je faisais souvent des faux sourires, des faux compliments… tout un tyas de trucs faux en bref. Je n’étais pas souvent moi. Je m’arrangeais toujours pour ne montrer que les parties les plus adorables de ma personnalité. Pourquoi j’étais un homme-enfant avec une bouille de bébé, cette bouille à laquelle personne ne pouvait résister. Mais rares étaient les gens qui me connaissaient vraiment. Nando en faisait partie, clairement. D’un côté, il me connaissait depuis toujours, je ne pouvais pas tromper celui que je considérais comme mon âme sœur. Mais Malik, c’était une nuance différente. Malik était un enfoiré de notre envergure, et les liens de la saloperie nous avaient rapidement unis. J’avais eu ce sentiments que je pouvais être pleinement moi en compagnie de l’assassin. Une véritable bouffée d’air frais l’air de rien.
Je lui avais littéralement sauté dessus pour l’interpeller. J’avais laissé pendre mes bras autour de son cou et j’avais noué mes fines jambes autour de sa taille. Comme un gamin qui demandait à son grand frère de le porter après une longue journée de marche…. sauf que nous n’étions pas frère et que j’étais loin d’être fatigué. J’étais surtout rongé par l’ennui et le désespoir. Je voulais penser à autre chose qu’à mon crétin de frère à cet instant. Je voulais cesser de penser que je pouvais le trouver en train de faire un comas ou mort d’une overdose. Je voulais juste pendant quelques instants m’extirper de ces pensées immonde et balancer toute la rage que j’avais pu cumuler. Je voulais tuer, je lui demandais de ma voix la plus adorable, tout en posant ma tête sur son épaule. Je n’avais jamais eu la notion d’espace personnel et de zones sociales. Je sautais sur le dos des gens, je caressais les gens et les mains et je câlinais à outrance sans prévenir, mais je m’en foutais. Je n’hésitais pas à envahir l’espace personnel des gens et violer les distances de sécurité. Malik soupirais, Malik râlais, mais dans le fond Malik m’adorait. Sinon j’aurais fini au sol, clairement. Je ne suis pas un cheval, avais-je répété dans ma langue maternelle, avant de rire joyeusement. Tu peux le répéter en coréen, avais-je ajouté à titre informatif. Je souriais alors qu’il continuait de râler alors que je l’avais largement harcelé. Tu adores ça quand je te fais chier.
J’attrapais une cigarette dans le paquet de l’assassin, avant de descendre de son dos avec agilité. Je portais le tube à mes lèvres avant de sortir de la poche de mon jean noir un briquet. J’allumais la cigarette avant d’aller celle de mon collègue par automatisme avec ce même briquet. J’affichais un large sourire quand il me dit que je devais lui donner un truc en échange. Le fameux échange équivalent, comme disait si bien mon frère. Donner quelques chose d’équivalent en retour. Je continuais de sourire alors que j’inspirais lentement et lascivement la fumé nocive de la cigarette. Ouais, j’avais des sales habitudes, je savais bien. Je recrachais la fumée en fixant Malik avec une certaine intensité. Je refis ce manège plusieurs fois avant de m’approcher de lui et poser une main sur son torse. J’ai bien une idée qui me vient en tête, comme imager mes propos je laissais ma main couler le long de son torse alors que ma seconde main tenait toujours la cigarette. Je lui recrachais la fumée au visage non sans avoir un sourire lubrique. Mon cul sur ta moto, et tu as le droit à mon cul tout court. Je connaissais les goûts de Malik et je savais que l’offre pouvait l’intéresser. Je savais que je lui plaisais, après tout nous avions déjà laissé le désir l’emporter entre nous deux quelques fois. Je savais que j’étais à son goût. Je finis par me mordiller la lèvre. Cordes, fessées, brutal ou non…. tu pourras faire ce que tu veux. Je ris légèrement avant de m’éloigner de lui. Une seconde provocateur et celle d’après innocent comme un enfant, une véritable dualité. Je trouve ça équitable. Je m’approchais de sa moto pour pour ouvrir de le siège et récupérer un second casque. Je me demande si on peut baiser sur une moto... Rajoutais-je les yeux en l’air avec un ton pensif.
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Pseudo : Awen
Sam 19 Aoû - 11:48
Are you calling me a sinner ? Sangwoo & Malik
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Malik avait toujours trouvé la langue Coréenne franchement chelou. D'ailleurs, quand Swangoo et Nando lui avaient parlé la première fois comme ça, il s'était franchement foutu de leur gueule. Clairement. En leur disant que ça faisait con et que ça lui rappelait trop l'autre trou du cul qui bougeait son boule en faisant son gangnam style à la noix.
C'est pourquoi, il leva les yeux au ciel quand le tatoueur répéta sa phrase dans sa langue maternelle. Il râla, jura, fit quelques remarques sans pour autant le foutre par terre. Car ouai. Dans le fond, le coréen avait raison. Il kiffait que ce dernier l'emmerde. Ce qui faisait de lui, un sorte de privilégié. Tout comme son acolyte d'ailleurs.
Les Blink avait vraiment ce quelque chose. Ce gain de folie qui suscitait son intérêt. Et venant de lui, c'était assez rare. Car même s'il avait quelques amis, comme Marc, Alice, Amara ou Kea qui était devenu carrément sa partenaire sexuelle préféré, généralement, il se comportait comme un réel connard avec tout le monde. Il aimait appuyé sur les points sensible et tant qu'il pouvait faire chier son peuple en foutant le bordel un peu partout, il trouvait son compte. Bref. Tout ça pour dire que ce petit connard pouvait s'avérer chanceux. Dans un sens. Car cela ne voulait pas dire non plus que les Blink étaient épargné. Loin de là. Quand l'envie lui prenait de les titiller un peu, il le faisait, sans se foutre une muselière. Sauf qu'avec eux, ça avait juste moins d'impact que sur d'autres. Pourquoi? Parce qu'ils se ressemblaient. Tout simplement. Enfoirés assumés et fier de l'être.
Un fin rictus éclaira alors son visage et il tendit son paquet de cigarette vers lui, l'invitant à en prendre une. - C'est pas faux.
Puis, il lui demanda ce qu'il lui donnait en échange. Car bon. Il ne fallait pas non plus pousser mémé dans les orties. C'était donnant donnant. D'ailleurs, on appelait ça de l'échange équivalent. Malik ancra ses iris dans ceux de Sangwoo, portant sa propre clope à ses lèvres. Ce dernier ne chercha pas à briser leur échange. Il le regarda avec une certaine intensité. Et s'approcha finalement de lui avant de poser une main sur son torse. De telle manière à l'aguicher. Comme il le faisait si bien dès qu'il en avait l'occasion.
Un frisson agréable le parcourut. Tout en tirant sur sa cigarette, le jeune assassin ricana, amusé, une lueur fébrile dans les yeux. Ses dires n'étaient pas pour lui déplaire. Lentement, ses prunelles glissèrent sans honte sur la silhouette appréciable du gamin. Il le mata sans aucune discrétion, se mordant les lèvres de temps à autre. Son cul... - Voilà une proposition foutrement intéressante, susurra-t-il alors d'une voix rauque, son sourire devenant presque coquin, aguicheur avec une pointe de sadisme.
Ils avaient quoi? Sept ans d'écart à tout péter? Pourtant, Malik n'était pas de ceux qui était outré par la différence d'âge. En vérité, il en avait strictement rien à foutre. Tant que ce couillon avait passé la majorité, le prendre et le baiser comme un animal en rute ne le dérangeait pas. Bien au contraire. Ils avaient même déjà fait l'expérience plusieurs fois, forniquant joyeusement dès qu'une envie leur prenait.
Tandis que Sangwoo s'éloignait pour se rapprocher cette fois de sa moto, le jeune assassin tira une taffe puis deux sur sa clope avant de le rejoindre. Un rire s'échappa de ses lèvres quand ce dernier se demanda si on pouvait s'envoyer en l'air sur une moto, ce qui lui soutira un rictus amusé. - Bien sûr qu'on peut. Tu crois quoi mon petit cochon? balança-t-il en lui foutant une main au cul, palpant ses formes bien rebondies.
Il marqua une pause, se penchant délibérément pour lui susurrer à l'oreille : - Je pourrais te montrer si tu veux.
Avant de le lécher, de telle manière à le provoquer. Quelques minutes passèrent. Il resta immobile, un instant, jouant avec le coréen en posant cette fois ses mains sur ses hanches. Puis, sans crier gare, il lui donna un violent coup de bassin avant de ricaner, s'écartant de lui pour prendre finalement place sur sa harley. - Allez enculé, monte. Et traine pas si tu veux pas que je te laisse ici comme une pauvre merde.
Ce bâtard allait avoir ce qu'il voulait. Les bras posés nonchalamment sur le guidon, Malik attendit donc qu'il se place derrière lui avant de démarrer au quart de tour.
Il leur fallu une vingtaine de minute avant qu'ils arrivent à destination, dans une banlieue aux bâtiments miteux qui tenaient à peine debout. Le plan était simple. Alpagué l'enfoiré au détour d'une ruelle, lui faire cracher quelques informations utiles et faire ensuite, ce qu'ils voulaient avec.
Garant sa moto en plein milieu d'un parking, le jeune assassin coupa le contact et mit pieds à terre. Il jeta un regard à Sangwoo et s'avança vers son sac d'arme, posé à l'arrière de sa bécane. - Tu veux te la jouer comment crevure? En mode Jackie Chan ou James Bond? Vas-y, fais moi rêver petite bite et choisit ton arme. Je veux savoir ce que tu vaux.
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by Wiise
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Lun 28 Aoû - 0:54
Are you calling me a sinner ?Emmerder Malik ? C’était rapidement devenue l’une de mes activités favorite. Il fallait dire que le tueur avait un caractère que j’aimais particulièrement. Aucun de nous n’avait à cacher à l’autre à quel point il était un connard. Nous étions des salopards, et nous l'assumions tout particulièrement en présence de l’autre. Ainsi les insultes fusaient entre nous sans pour autant que cela soit à but négatif ou rabaissant, c’était même notre manière atypique de se dire dans mots doux. Pourquoi n’importe qui cela aurait été choquant… mais dans le fond, nous n’étions pas n’importe qui, justement.
Mon sourire devint lubrique quand il me dit que je devais lui échanger son service contre quelque chose. Il était dur de ne pas laisser mes pensées transparaître. Un échange charnel me semblait parfaitement approprié. Nous avions plus de quelques années de différences. Certains n’auraient même pas envisagés le fait que nous ayons une relation sexuelle. Mais c’était une notion dont on se foutait tous les deux, puis que nous avions cédé - enfin céder… encore fallait-il résister à la tentation pour évoquer la notion de céder - quelques fois à nos pulsions bestiales. Je savais que l’assassin était un putain de bon coup. Logique, sinon je ne serai pas retourné le voir et je ne serai pas en train de l’allumer plus ou moins discrètement…. plus moins que plus en fait. Je tenais toujours ma cigarette dans une main alors que l’autre avait glissé le long du torse de Malik, nous échangions un regard lourd de sens. Ce genre de regard qui pourrait voler votre âme, dévorer votre retenue et brûler vos hormones. Je savais d’avance que la proposition lui plairait. Pourquoi ? Parce que j’étais un putain de bon coup moi aussi. Et que Malik avait aussi peu de morale que moi. Baiser à tout de champs, ça faisait partie de ses délires et des bien aussi. Nous avions des intérêts communs, en quelques sortes. Son regard sur moi en attestait plus que largement. Ces paroles ne virent que confirmer tout cela.
Je continuais de fumer alors que je m'éloignais de l’assassin pour aller vers sa moto, je récupérais un casque avant de lancer une pensée lubrique à mon collègue. Baiser sur une moto, non je ne l’avais jamais fait. Et oui, je n’avais pas tout fait en matière de sexe. Il fallait bien qu’il me reste certaines choses à découvrir à mon âge, sinon j’allais finir par m’ennuyer… sauf avec Nando. Je ne m’ennuyais jamais avec mon frère. Je pus voir le rictus amusé de ce petit con de Malik. Je me mordis la lèvre inférieure alors que je sentis sa main se poser sur mes fesses. Bon sang, qu’est-ce qu’il avait de grandes mains. Ses lèvres se glissèrent vicieusement à mon oreille alors qu’il me proposait de me faire la démonstration d’une chevauchée sur sa moto. La langue glissa sur ma peau et ses mains sur mes hanches. Putain Malik, avais-je gémis sans me retenir. Mes mains étaient allé cherchées fébrilement le crâne du tueur, avant de glisser mes doigts dans ses cheveux sombres. Il était doué ce salop, il le savait, il en abusait et je subissais. Une mise en bouche des plus “délicate”. Je sursautai quand il termina sa prestation par un coup de bassin aussi brutal qu’évocateur. Tsssk, avait sifflé entre mes dents. Un vrai fils de pute, avais-je balancé en regardant Malik sur sa moto. J’enfilai le casque sur ma tête avant de grimper à l’arrière. Je restais tout de même surexcité par le fait de suivre l’assassin dans sa mission. J’aimais tout particulièrement ce qu’il faisait et j’appréciais torturer les gens. Si Nando était connu pour sa violence et ses cassages de gueule brutaux, j’étais plus vicieux, plus manipulateur… avec une âme d’enfant. Sur le trajet mes doigts s’étaient serrés sur la taille de Malik, emprunt à l’excitation comme le jour de Noël avant d’ouvrir les cadeaux. Mais c’était quoi mon cadeau ? Malik ou l’idée de tuer ? les deux bien sûr !
La vingtaine de minute me sembla durer si longtemps, mais cela fut si court. Des fois le temps s'écoulait de manière particulièrement étrange. Quand le contact fut coupé, je retirais mon casque avant de le ranger. Je suivais ce petit con des yeux silencieusement, comme si je cherchais à me nourrir de chacun de ses actes, observant tout court comme un cours magistral. Les bras croisé j’observais le sac, les bras croisés. Un mode d’action. Je suis un créatif, bébé, je ne pompe les styles, je créé le mien. Je levais un sourcil en regardant Malik. Je comptais bien lui prouver que j’avais mes ressources. Je n’étais un assassin professionnel comme lui, mais j’avais appris à survivre et développer mes propres capacités. Même si je formais un duo avec Nando, je savais me débrouiller seul. J’avais toujours un don pour manipuler et embobiner mon monde. Et sans conteste, je savais me défendre et utiliser les armes blanches. J’eus un sourire en coin tout en continuant à regarder le tueur. Je m’avançai avant de rajouter alors que mon sourire devint plus carnassier. Tu ne la qualifiais pas de petite la dernière fois. Perdrais-tu la mémoire à cause de ton âge mon connard ? Je plongeais ma main dans le sac récupérant un couteau que je fixais à ma ceinture. Je vais devoir te rafraichir la mémoire je crois, avais-je ajouté avant d’en récupérer un second que je plaçais à de l’autre coté de ma ceinture. Je finis par me pencher, je vins doucement happé la lèvre inférieure de l’assassin entre les miennes. Je la mordillais doucement comme un chaton qui jouait. Pendant quelques secondes avant de m’éloigner, juste un peu. Alors qu’est-ce je vaux Malik ? Je souris avant de m’écarter et de croiser les bras sur mon torse. Des infos sur ton gars ? Je regardais le tueur plus sérieusement, déjà plongé dans l’idée de m’en prendre la cible. L'appâter, c’est dans mes cordes, je pourrais même attirer des mouches avec du vinaigre, avais-je dis en souriant innocemment.
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Pseudo : Awen
Lun 4 Sep - 12:06
Are you calling me a sinner ? Sangwoo & Malik
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Un vrai fils de pute. A ses dires, un rictus étira le coin de ses lèvres. Tout en le fixant d'un air enjôleur, limite perverse, le jeune assassin ajouta : - Et fier de l'être mon couillon.
Avant de l'inviter cette fois à monter sur sa bécane, non sans lui balancer une petite remarque à la Malik. Dans le genre fils de pute, Sangwoo était aussi excellent en la matière. Il savait parfaitement s'y prendre pour avoir ce qu'il voulait mais il n'allait pas s'en plaindre. Tout excité, ce dernier ne se fit pas prier et enfila le casque, sous l’œil amusé de l'homme qui lui, ne prit même pas la peine de mettre le sien.
Pourquoi faire? Non seulement, il estimait que les casques étaient fait pour les chiens mais en plus, ça le gênait plus qu'autre chose. Sans prendre la peine de lui dire de bien se tenir, l'assassin porta son regard au loin et fit rugir le puissant moteur de l'engin.
Vingt minutes plus tard et ils étaient déjà arrivé à destination. Après avoir garé sa Harley en plein milieu du parking, Malik mit pied à terre et se dirigea vers le sac à l'arrière qui était rempli d'arme en tout genre : des flingues, des couteaux, des calibres 9mm et même une dague qu'il avait récupéré un jour sur le cadavre de l'une de ses victimes.
Il se tourna ensuite vers le coréen et lui demanda d'en choisir une. A sa remarque, concernant le fait que c'était un créatif, l'homme ricana. Pour le coup, il n'allait pas le contredire. Sangwoo avait comme qui dirait... un côté "sauvage', "artistique" et "bestial" qui allait parfaitement avec sa personnalité. Du moins, la plus sombre. L'assassin avait même eut le loisir d'y gouter plusieurs fois dans leur moment de baise en tout genre. Il se mordit les lèvres, silencieux, laissant le jeune asiatique prendre deux couteaux et les foutre à sa ceinture avant d'ancrer ses yeux dans les siens. - Enculeur de mouche va, balança-t-il d'un ton hargneux tandis que ce petit pd faisait maintenant une remarque sur son âge.
Il lui adressa un fuck. Mais ne le repoussa pas pour autant quand ce connard se pencha sur lui et lui happa la lèvre inférieure pour jouer avec. Mais quel face de pet franchement. Poussant un grognement appréciateur, Malik posa ses deux mains sur son petit cul et les palpa sans aucune délicatesse. Avec même une certaine frénésie. - Mais quand tu veux garage à bite. Comme ça, je pourrai aussi te rappeler à quel point la mienne est encore plus grosse.
Tout en disant ces mots, il lui adressa une bonne tape sur les fesses avant de ricaner de plus belle.
Qu'es-ce qu'il valait? A sa question, qui n'en était pas vraiment une, l'assassin se redressa, quelque peu amusé par la situation. Hummm. Cet enculé valait beaucoup. Il n'avait aucun doute la dessus. Une chose est sûr, il ira loin or, l'homme n'était pas du genre à sortir des compliments à tout va. Il se contenta donc de répliquer, fouillant à son tour dans son sac pour en sortir un flingue qu'il planqua à l'arrière de son jean. - T'es pas une pédale ça c'est sûr mais bande pas trop vite mon branleur, tu as encore des choses à me prouver.
Il marqua un silence, agrippant cette fois une machette qu'il fourra dans un étui en cuir avant de l'accrocher ensuite côté gauche à la ceinture. - Concernant le mec, tout ce que je sais, c'est qu'on doit lui soutirer des infos. Il sait où sont planqué de foutus émergés et on doit lui faire cracher le morceau. En s'amusant avec par la même occasion. Où serait le plaisir, sinon. Le reste, je m'en branle. Qu'il est des marmots, une femme à niquer ou une grand mère a torcher, c'est pas mon problème. Une fois qu'il nous aura dit ce que nous voulons, on le bute et basta.
De nouveau, Malik marqua une courte pause. Puis, s'avança vers Sangwoo tout en prenant soin de le frôler, un même rictus éclairant son visage. - Parfait alors. Appâte le et ramène le moi dans la petite ruelle là bas. Je t'y attendrais. Te foire pas merdeux. Sinon à gare à tes boules.
Histoire de bien ponctuer sa phrase, le jeune assassin se rapprocha un peu plus et posa carrément sa main sur le devant de son pantalon. Il resta ainsi quelques minutes puis, partit dans un grand éclat de rire en reculant légèrement. - D'ailleurs, il devrait plus tarder à rappliquer. A toi de jouer face de cul.
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by Wiise
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Are you calling me a sinner ? [Maliwoo]
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