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Au rythme des ballons qui frappent le sol
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Sam 2 Déc - 20:53
Le match, même amical était rude, et je sentais la sueur coulait le long de mon dos, trempant mon maillot. Même si aucun sourire n’étirait mes lèvres, j’étais ravie de jouer ce genre de match. J’étais un bon joueur, sans doute pas le meilleur au monde, et ce genre de match me permettait de m’améliorer. Il y avait une bonne ambiance, et le ballon était disputé. Il n’y avait eut pour l’instant aucun mauvais geste, mais on ne savait jamais. Je finis par prendre le ballon après un duel particulièrement intense. Aussitôt, me je mis à courir en dribblant comme un fou pour arriver au panier. Je bondis et réalisé un dunk. Bon, j’étais pas Michael Jordan, mais c’était l’un de mes buts. Je ne savais pas encore ce que je voulais faire, mais devenir basketteur pro … Pourquoi pas ! Mais j’étais aussi à l’institue Xavier pour devenir bon partout non ! Je repris aussitôt le match sans même m’occuper de mes collègues. On avait un match à gagner !

Et c’est ce qu’on fit ! À trois point, grâce à un magnifique panier, pas de moi je n’étais pas encore assez bon ! , d’un de mes coéquipiers ! Yeah ! Je le félicitais, on se félicita tous mutuellement, et je me laissais tomber sur un banc vidé par le match. AH ! J’avais hâte que les saisons de compétitions arrivent ! Avec les récents événements … J’avais besoin de me changer les esprit, et profiter de mon sport favori. Dire que c’était parce que j’étais grand et que je savais sauter haut que j’étais rentré à l’institue. Parce contre je détestais sentir mon maillot trempé de sueur collé à ma peau. D’un geste ample je l’ôtais avant de m’essuyer le visage et le corps avec une serviette et de vider une bouteille d’eau. Je détachai mes cheveux qui tombèrent autour de mon crâne. J’avais seulement laissé le dessus de mes cheveux blonds, rasant le reste. J’aimais bien, avec le début de barde que j’avais cela me vieillissait un peu. Je faisais moins gamin.

J’observai avec attention mes camarades draguer les filles venu nous voir et je détournai les yeux sans rougir. Je n’aimais pas les filles. Je ne savais pas si mes coéquipiers s’en étaient aperçu et je m’en fichais un peu … Personne ne m’avait fait de remarque, et c’était le plus important. Je pris un t-shirt propre et le passai pour éviter de rester torse nu. Je n’étais pas nudiste, et je n’aimais pas forcément me balader torse nu. Je rattachais mes cheveux en arrière pour qu’ils ne me tombent pas dans les yeux. Mon regard acier tomba sur un jeune homme que je connaissais bien. William. Je me redressai brusquement et mes muscles hurlèrent leur douleur et je dû rester immobile quelques secondes pour que les points noirs qui dansaient devant mes yeux disparaissent. D’un pas souple je m’approchais de William en souriant.

« Salut ! Tu viens d’arriver, ou tu as pus voir un bout du match ? »

Ce n’était que des rencontre amicales entre plusieurs groupes de jeune, rien d’anormale. Il n’y avait que du respect et de l’amitié entre nous. Et bine sûr, certains faisaient parmi de mon club. Je réarrangeais les strap autour de mes doigts, je protégeais mes articulations. J’étais heureux que Willian soit là pour le match, et que je ne l’ai pas perdu. Il aurait eut des armes pour me taquiner ! Et je lui en donnais trop souvent.
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Mer 20 Déc - 16:29

AU RYTHME DES BALLONS QUI FRAPPENT LE SOL
Theodore Altman & William Kaplan


Encore à moitié nu, je prenais rapidement des affaires dans ma commodes et enfilais un pantalon noir, simple, slim tout en portant mon regard sur la photo qui trônait près de mon lit ; pendant plusieurs secondes, je restais sans bouger, l'observant attentivement, stoppant même ce que j'étais en train de faire. Mon regard se perdait, tandis que je la regardais. Elle datait d'il y avait à peine trois jours, je l'avais prise avec Teddy alors que nous étions chez lui, à discuter. Un de ces moments agréables et libérés, où nous discutions de tout et de rien sans nous prendre la tête. Un léger soupire s'échappa du creux de mes lèvres, presque un désespoir. Je me reprenais dans mes pensées, terminant d'enfiler mon pantalon puis en le boutonnant, avant d'enfiler simplement un t-shirt noir. Je m'habillais simplement, attrapant ma veste sur ma chaise pour ensuite quitter ma chance, non sans avoir jeter un nouveau coup d’œil à la photo. Je saluais brièvement mes parents, mon père étant assis devant la télé puis je quittais la maison. J'avançais rapidement, puis montais dans le bus qui arrivait. Je m'asseyais à un siège, près d'une vitre puis sortais mon téléphone. Une nouvelle photo, mais cette fois-ci, il y avait toute notre bande. J'affichais un maigre sourire puis posais mes écouteurs sur mes oreilles, me plongeant dans la musique le temps du trajet qui dura une vingtaine de minutes. Il me fallut marcher encore quelques minutes avant d'arriver au gymnase où Teddy allait jouer ce soir. J'entrais rapidement, pour aller m'installer dans les gradins. J'étais dans les premiers arrivés, mais cela ne me gênait nullement d'attendre. Alors je sortais une nouvelle fois mon téléphone, envoyant quelques messages, jouant à quelques jeux le temps que d'autres arrivent dans la salle pour assister à ce match.

Rapidement, les joueurs entrèrent sur le terrain. Il ne me fallut quelques secondes pour repérer celui qui m'intéressait le plus dans le lot, détaillant tout son corps, chaque infime détail et contemplant sa musculature au travers de son t-shirt sans manche qui me permettait de voir la taille de ses bras. Instinctivement, je me mordillais la lèvres inférieure avant que je ne sois sortie de mes songes par des paroles juste derrière moi. « Théodore est tellement craquant, il a pas pris un peu de muscle depuis la dernière fois ? » Les paroles de la fille derrière moi me firent crisper les traits de mon visage. « D'ailleurs, tu n'étais pas en crush sur lui ?» Le rire typiquement féminin qui suivit, aigu et enfantin, eut le don de m'agacer. Je n'appréciais pas quand ces filles tournaient autour de mon Teddy, qu'importe qui elles étaient, cela me déplaisait au plus haut point. Je ne savais que trop bien à quel point il pouvait avoir qui il voulait, des personnes bien mieux que moi. Je n'étais qu'un étudiant en art et en mathématique, je n'étais pas spécialement plus beau qu'un autre. Non, j'étais tout ce qu'il y avait de plus banale. « Bien-sûr que si, je voulais aller le voir, mais je n'ose pas… On dit qu'il a l'habitude de remballer les filles qui lui adressent la parole… » Un maigre sourire venait se dessiner sur mes lèvres. À part observer Teddy et écouter ces filles, je ne faisais rien d'autre, même si je ne manquais pas de regarder le match d'un air distrait. Je voyais Teddy ôter son t-shirt à la fin du match et n'en manquait pas une miette, déçu lorsqu'il en remit ensuite un alors qu'il venait vers moi. Son geste, lorsqu'il s'attachait les cheveux, était incroyablement séduisant, comme tout chez lui. Mais une nouvelle fois, j'entendis une des filles derrière moi s'exciter. Mais je tentais de ne pas faire attention, me concentrant sur l'étalon face à moi. « Salut ! J'espère que tu vas bien... » Le maigre sourire qui se trouvait sur mes lèvres ne tarissait pas, mais mes paroles faiblirent sur la fin tant j'étais contrarié par les filles derrière moi. « Je suis là depuis le début, j'ai pu voir tout le match. » Et Teddy. Tout le long. C'était même ce que j'avais principalement fait. « Vous avez bien joué, comme toujours. Je suis sûr que tu pourrais jouer parmi les pros. » Il était bon, il avait tous les talents pour cela. « Ca te dirait qu'on mange ensemble après ? Enfin, si tu n'as rien de prévu bien-sûr… » Peut-être qu'il allait passer la soirée avec son équipe, pire même, peut-être qu'il allait partir avec une de ces filles.
AVENGEDINCHAINS
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Mer 20 Déc - 17:55
Je souris à William, et je sentis mon cœur battre un peu plus vite. J’adorais William, sûrement un peu trop pour ma santé mentale, et j’espérais un jour convaincre cette tête de mule de montrer à des éditeur ses comics. Mais il était têtu le bougre ! Je restais debout, même si j’avais mal aux muscles malgré ma bouteille d’eau vidé, deux fois.

« Ça va écoute ! On vient de gagner un match alors ça va toujours ! Et toi ? »

Je lui ébouriffais les cheveux dans un geste amical, et heureusement qu’il était venu tout le match !Je lui fis un grand sourire et attendis qu’il finisse de parler.

« Heureusement que tu es venu ! Tu es mon porte bonheurs, dés que tu es là, on ne peut pas perdre ! Et c’est avec plaisir que je viens manger. Quand être dans les pros, je le serais quand toi tu acceptera de montrer tes comics à des éditeurs tête de mule ! Bouge pas je vais chercher mes affaires. »

Je redescendis à toute vitesse prendre mon sac et changer mes chaussures, et vider une troisième bouteille d’eau apporté par notre aimable pompom girl qui avait déjà distribué toute les bouteilles pour les autres. Après quelques instants à parler avec mon coach qui me promis un debriefing à la prochaine session d’entraînement et une salutation de mes camarades. Je mangeai assez régulièrement avec eux pour vouloir passer un peu ma soirée avec William. J’ôtais les straps autour de mes doigts avant de les jeter dans une corbeille et d’étirer mes doigts. Je crois qu’une es filles voulaient me parler mais je n’avais pas envie de perdre mon temps, si bien que je l’ignorais pour rejoindre mon William. Je passai ma veste, j’avais chaud pour l’instant, mais dehors il faisait plus frais pas questions d’aller attraper mal.

« J’ai pas envie de m’enfermer dans un restaurant ou un fast-food, on prend des sandwich et on s’installe au calme dehors ? »

Ce que j’adorais chez William c’était qu’il faisait presque la même taille que moi, pour une fois je n’avais pas besoin de me plier en deux pour discuter avec quelqu’un. Je jetais mon sac sur mon épaule en sortant du gymnase. En passant j’adressai un signe de la main à mes collèges qui me souhaitèrent une bonne soirée. Un des garçon discutaient déjà avec la fille qui avait tenté de me parler.

Je passais un bras autour des épaules de William, qui je trouvais , faisait un peu trop la tête je lui souris avant de l’entraîner vers une boulangerie proche. Sans même lui laisser l’opportunité de refuser, je me tournais vers lui.

« Prends ce que tu veux Billy ! Et c’est toi qui choisira où l’on va manger. »

Je lui ébouriffais une nouvelle fois les cheveux en demandant une salade en une bouteille d’eau ainsi qu’un café pour après. Même si j’allais sûrement le regretter après. Mais autant profiter de la présence de William, qui me manquait quand il n’était pas là. Je réglais nos achats et sortis avant de suivre William là où il voulait aller. Je n’avais pas envie de voir des gens, j’espérais qui ne nous mènerait pas au cette ville mais un peu à l’écart.  
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Jeu 3 Mai - 18:41

AU RYTHME DES BALLONS QUI FRAPPENT LE SOL
Theodore Altman & William Kaplan


Ces moments valaient les plus belles choses au monde, permettant au jeune garçon de se sentir heureux quand bien même le bonheur n'était pas encore total. Mais c'était infiniment revigorant de partager quelques instants avec une personne qu'on aimait, même si l'on ne savait pas ce qu'elle pouvait ressentir en échange. Un sourire amical s'afficha sur mes lèvres quand le blondinet vint ébouriffer mes cheveux d'un noir de jais, alors que je lui lançais un regard amical et au-delà du simple sourire, car mes yeux entiers trahissaient toute l'affection que je pouvais éprouver pour lui. « Je ne peux qu'aller bien, Teddy. » lui répondis-je première d'une voix amusée et agréable, pourtant légèrement faiblarde dû à la timidité qui pouvait bien être présente. Mais cela m'importait peu, car mes si mes joues rougissaient légèrement face à cette proximité que nous partagions, je restais serein face à lui. Mais au fond de moi, une certaine colère était encore présente, celle d’avoir entendue ces filles bien trop présentes baver sur le corps de l’apollon qui me faisait face ; j’étais quelque peu jaloux, craignant pour ma place auprès de lui quand des filles, trop belles pour être réelles mais qui, au contraire, ne me faisaient aucuns effets à moi, cherchaient à s’attirer ses faveurs. Un léger soupire s’échappa brièvement du creu de mes lèvres, espérant brusquement après cela que Teddy ne s’en soit pas rendu compte. « Tu ne vas pas voir ton fan club ? » dis-je sur le ton de la rigolade mais cachant pourtant une frustration bien présente. Il ne fallait pas être aveugle pour voir qu’il était typiquement le genre d’homme à plaire aux femmes - et pas que ! -, mais cela faisait naître une jalousie chez moi. « Voyons, tu n’as pas besoin de moi pour gagner ! C’est dû à ton talent, tu le sais ! » renchéris-je à ses paroles, lançant quelques regards derrière lui quand les joueurs passaient, avec leurs supporters. Je soufflais ensuite à la fin de sa phrase, évoquant le fait que je devais montrer mes comics à des éditeurs. Si on comparait, il avait bien plus de talents dans ce domaine que je n’en avais dans le mien, cherchant encore à parfaire mes dessins pour espérer un jour, pouvoir les montrer à quelqu’un, autre que lui. Car Teddy voyait la plupart de ce que je faisais, partageant avec lui plus qu’avec aucun autre. Il me quitta pour aller chercher son sac et j’attendis, observant quelques fois les personnes aux alentours, jusqu’à le voir revenir à toute vitesse près de moi. Un nouveau sourire s’afficha. « Tu m’as abandonné longtemps... » dis-je faiblement pour le taquiner, alors que je n’avais pas manqué l’ignorance dont il avait fait preuve envers une des filles qui semblait vouloir lui parler. C’était sûrement cela la véritable raison de mon sourire. « Mais je suis d’accord, faisons ça. » fis-je en guise de réponse à sa proposition. Puis, on se mit rapidement en route, quittant les autres joueurs ainsi que les quelques supporters présents. Mon sourire quitta mes lèvres alors que je commençais à me perdre dans mes pensées, mais je n’eus pas le temps de m’y terrer que le bras de Teddy vint se poser autour de mes épaules. « C’est ton moyen de t’assurer que tu fais deux centimètres de plus que moi ? » m’amusai-je à lui dire. Nous faisions la même taille, bien qu’il ait un ou deux centimètres de plus. Et quand j’avais prononcé ces paroles pour le taquiner, j’avais tourné la tête vers lui, mon visage bien trop proche du sien pour ma propre santé mentale. Le sourire qui s’était affiché sur mes lèvres voulait en dire beaucoup, pour qui arrivait à le déchiffrer. Mais ce moment dura trop peu de temps, car il se décolla pour se tourner vers moi une fois arrivé à une boulangerie. Je commandais simplement un sandwich classique, l’éternel jambon-beurre, une valeur sûre pour qui était compliqué en terme de nourriture. Une fois sortis, je me mis naturellement en route. « Allons au parc, il y en a un pas loin. Il est plutôt calme, on sera tranquille comme ça. » suggérai-je en continuant de marcher. Nous arrivâmes rapidement à ce lieu, le chant des oiseaux était omniprésent, presque envoûtant. Je me posais sur un banc et laissais Teddy venir à mes côtés, non loin de moi. Je croquais une bouchée dans mon sandwich et tentais d’enchérir en disant quelque chose, mais j’avalais de travers, toussant bruyamment puis me repris en inspirant. « Tu as fais quoi d’autre aujourd’hui ? » lançai-je naturellement, une simple conversation comme une autre le temps que nous mangions notre repas.
AVENGEDINCHAINS
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Jeu 3 Mai - 19:51
Je souris en regardant William, heureusement qu’il allait bien, je ne voulais pas qu’il aille mal, ça me rendais dingue quand il allait mal. Je ris doucement, j’aimais son sourire et son petit air jaloux. Je m’écoutai je l’aurais embrassé là tout de suite pour le faire taire. Je lui fis un fin sourire avant de lui souffler :

« Mais je suis avec mon fan club puisque je suis avec toi mon cher William. »

Il affirma que je n’avais pas besoin de lui pour gagner. Je n’étais pas vraiment d’accord, surtout qu’il rougissait en me disant ça … Arrête d’être aussi mignon nom de dieu ! J’allais finir par l’embrasser devant tout le monde. Et merde s’il me foutait un râteau ! Mais heureusement je disparu récupérer mes affaires, le temps que je revienne il grogna gentiment que je l’avais abandonné. Je secouais la tête sans rien répondre. Je préférais me faire couper bras et jambes que de l’abandonner. Enfin breeeeeeeeeeef ! Je devais un peu me calmer. Ou pas … J’aimais trop être près de lui et le sentir près de moi pour ne pas vouloir passer mon bras autour de ses épaules. Je ris à sa blague et le serrai un peu plus contre moi.

« J’aime m’assurer que tu ne me rattrape pas et que tu reste un peu plus petit que moi. »

Comme ça je peux t’embrasser plus facilement. Je me mordis la langue pour ne pas le rajouter. Heureusement la boulangerie était là. et je pus cacher ma gêne en commandant mon repas et en payant celui de William. Un classique.

Et mon William me proposa un parc au calme, parfait, je pourrais être seul avec lui sans qu’on m’enquiquine. Je coupais discrètement mon portable pour qu’on me foute la paix alors que je profitai de William tout seul. Je me laissai tomber sur lu banc près de lui avant d’ouvrir ma barquette de salade et de poser ma bouteille et mon café près de moi. Je bus une gorgée d’eau avant d’attaquer ma salade. William s’étouffa avec son sandwich et je lui donnai une tape dans le dos avant de lui tendre ma bouteille d’eau entamé pour qu’il boive un coup. Ce que j’avais fais ? Je finis ma bouchée de salade avant de reprendre :

« J’ai bossé un peu au magasin avant d’aller manger avec ma mère puis toute l’après-midi j’étais avec les gars du basket histoire de revoir les tactiques, s’échauffer et s’entraîner. Et toi ? Tu as dessiné ou fait encore des maths ? »

Je lui souris, j’adorais le taquiner sur ses formules mathématiques qui ressemblaient plus à des romans qu’à des vraies formules, du moins pour moi. J’observai le profil de William avant de replonger le nez dans ma salade pour ne pas me faire attraper.

« Tu t’es pas ennuyé pendant le match ? T’avais l’air un peu contrarié quand je suis venu. »

Je n’avais pas envie de le forcer à venir me voir s’il n’aimait pas me voir jouer quand même ! Je serais un très mauvais ami. Mais lui serait terriblement un bon petit copain. Je me giflai mentalement pour cette pensée en sentant le rouge me monter au joues.
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Au rythme des ballons qui frappent le sol
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