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Burning like smoke and fire | ft. Terrence
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
Luke Cage-Jones

Luke Cage-Jones
Humain modifié
More about you :
"This is how it has to be."

Burning like smoke and fire | ft. Terrence Tumblr_papfgnywSN1u5bvdeo1_1280
Codename : Power Man
Pouvoirs : ⋆ Force Surhumaine : Ce sont, en moyenne, 25 tonnes que l’homme peut soulever sans difficultés, ce sont des plaques d’acier et des pans de murs entiers que son poing peut traverser.  Malgré tout, les limites ne sont pas des plus précises. Les situations les plus stressantes ont pu témoigner de poussées extrêmes de la part du surhomme.

⋆ Vitesse améliorée : Sa musculature poussée prodigue une puissance intense à ses jambes. La course entamée, ce sont des dizaines de kilomètres qui sont traversées par heure écoulée.

⋆ Endurance surhumaine : La fatigue n’est pas vraiment éprouvée malgré les efforts démontrés. Malgré sa masse corpulente, l’épuisement est donc restreint, au-delà des limites de l’ordinaire.

Burning like smoke and fire | ft. Terrence Y2rmyj3u

⋆ Peau invulnérable : Peau impénétrable. Les balles ricochent tandis que les lames les plus aiguisées se brisent sur sa peau. Si son invulnérabilité n’est pas sans limites, il reste un homme à la résistance extraordinaire : des chutes de plusieurs mètres ne peuvent briser ses os, pas plus que les chocs électriques et changements de températures extrêmes ne peuvent l’atteindre.

⋆ Facteur guérisseur : s’il est loin d’atteindre le niveau de Wolverine, ses capacités cumulées permettent à l’homme de se remettre de ses blessures les plus graves en un temps accéléré.
Emergence :
Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr112 / 52 / 5Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr11
Maitrise :
Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr112 / 52 / 5Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr11
Messages : 350
DCs : Vous voyez le jeu des 7 familles ? Bah je les joue toutes.
Pseudo : Renescence

https://houseofm.forumactif.org/t3882-cage-never-backward-always-forward https://houseofm.forumactif.org/t3739-luke-just-assume-that-ever

Mar 4 Juin - 21:29


Burning like smoke and fire
Terrence & Luke
Insane, inside the danger gets me high ; Can't help myself got secrets I cant tell ; I love the smell of gasoline ; I light the match to taste the heat ; I've always liked to play with fire | Play whith fire - Sam Tinnesz



Souffle glacé, ironie quand tu nous tiens. Le regard est tourné vers le bâtiment en flammes, une ultime fois. Les collègues s’assurent que les tenues ne possèdent aucun défaut, ne risquent pas de brûler leur peau. Des mains frappent à plus ou moins grande intensité les épaules qui tremblent sous le poids des équipements portés. Le pompier soupire, redresse un peu plus le torse. Mesurant, comme à l’accoutumée, la lourdeur qu’il peut assumer. Son regard noir se tourne vers l’ami et allié. Celui qui, comme lui et comme tant d’autres parmi eux, défie la mort à chaque incendie vaillamment combattu. Le soldat du feu croise ses yeux concernés, une lueur dansante dans leurs prunelles respectives. Ils savent. Ils l’ont toujours su et cette connaissance ne s’évaporera pas ainsi. Pas comme cette eau qui fouette les flammes sans que le feu ne parvienne vraiment à diminuer. Du moins pas au premier abord. Dans les faits, toutefois, la différence est légère. L’acharnement des professionnels ayant permis de dégager un passage, qui ne saurait malgré tout durer. Il y a en effet fort à parier que le peu de bâtiment qui tient encore debout finira, à un moment ou à un autre, par succomber. Symbole fourvoyé, sort risible. Destinée que de finir enterré. Cendres qui, cette fois-ci, ne pourront se relever.

Luke ricane alors que les poignées se serrent, que l’épaule de Nivans frôle la sienne. Rictus nerveux, mais également réconfortant. Les deux, après tout, sont plongés dans la même galère. Il n’y a plus de temps à perdre, pas même pour écouter quelques désespérées prières. «C’est le moment de bronzer mon vieux. » Dernière plaisanterie avant de se jeter dans la gueule du loup. Littéralement. Ils se sont portés volontaires pour traverser la gueule béante de l’enfer. Les pompiers secondaires, eux, les soutiendront par leurs lances immenses. De l’extérieur, ils continueront. Ils chercheront à vaincre, à éteindre ce feu qui est encore parti pour durer plusieurs heures. Cela ne les fera pas baisser les bras. Au contraire, leur ardeur a désormais redoublé. La vision de leurs alliés se plongeant dans l’entrée infernale du bâtiment en flammes, procurant une nouvelle motivation presque poussée à l’extrême. Cage, de son côté, porte un coup sur son casque, comme pour se donner une ultime inspiration. Les yeux bien que cachés derrière la visière, il n’est aucunement dérangé par le matériel, bien au contraire. Les kilos supportés sont loin de l’empêcher d’analyser froidement le chemin à peine dégagé par les collègues. Étroitesse de la voie encore rongée par les flammes. Ultime entrée comme dernière sortie apprivoisée. Les hauteurs ne sont toutefois pas garanties. Rien n’est moins certain quant à l’état des étages supérieurs, au nombre de six au total. S’il n’y a que quatre étages à emmagasiner, le temps n’en demeure pas moins sérieusement compté. D’autant plus que la femme piégée a pu encore se mouvoir entre temps. En somme, le pire est à craindre. Les bases de la bâtisse sont ancrées au sol, mais la chaleur amenuise petit à petit les racines de l’architecture. Le souffle est quelque peu coupé quand enfin les corps sont plongés. Protégés à moindre mesure du feu qui, doucement, cherche à les caresser. Luke et Terrence avancent pas à pas, leur matériel nécessaire serré précieusement dans les mains. Les infos obtenues sur la victime coincée sont donc limitées. Forçant les deux soldats à improviser. La cavalerie tout entière, d’ailleurs, s’est étonnée. Employée du muséum qui est parvenue à fuir la mort, telle la peste représentée. Où s’est-elle réfugiée pendant la dernière heure écoulée ? Impossible de prédire exactement la survie de la miraculée. Pourtant, après tant de bravoure démontrée, il est hors de question de l’abandonner. Bien qu’il n’est pas possible d’envoyer tous les effectifs sur une même affaire, chaque homme et femme savent qu’ils vont tout essayer, tout donner. L’espoir est mince, mais il est là. Il éclaire les cœurs réchauffés, inspire chacun des soldats présents. Follement, ils y croient. Prient encore une dernière fois pour que la femme résiste, encore un tout petit peu. Le destin n’est pas encore tout tracé pour elle, contrairement au bâtiment imposant. Elle n’a pas à finir en cendres.

Alors, Luke jette un regard de biais à l’allié tandis que le rez-de-chaussée est fébrilement traversé. L’immeuble est macabre. Muséum qui portait, il y a encore si peu de temps, la mémoire de Genosha. Désormais il n’existe rien d’autre que cette vision cauchemardée. Que ce brasier immense, qui oblige les pompiers à s’enfoncer prudemment. Un premier étage s’annonce à gravir, par des escaliers sérieusement endommagés. Marbre d’une richesse indescriptible, pourtant abusé par une catastrophe sans nom. Si la pierre ne peut fondre, les affres du feu se dessinent déjà en des fissures impressionnantes. Les marches déraillent, leur fiabilité tombe en morceau. Tout se meurt un jour. Même les plus costauds finissent un jour par partir. Triste leçon à retenir. Luke et Nivans continuent leur périple. L’avancée est obstruée, le fer des barres permettant de s’accrocher se tordant sous la chaleur imposée. L’homme souffle, regarde son allié qui ne peut qu’être témoin de cette décomposition avancée. Et dans cette brève seconde, un nouveau morceau se détache. Plafond qui n’en peut plus de tout supporter. Bois d’une poutre jusque là invaincue qui finit par chuter. Nivans et Cage se tirent mutuellement en arrière, chemin désormais obstrué qu’il va tout de même falloir passer. « Putain ! » Juron lâché, énervement cuisant. Autant que cet incendie cruel. «Ça va ? » L’être à la carrure imposante se tourne à nouveau vers l’ami de tout instant. Claquant sa main gantée contre son casque aux reflets imprécis. «C’est pas passé loin... » Et le pire est encore à venir. Si proche du deuxième étage et pourtant absolument pas effleuré du bout de leur pied. Et cette poutre qui attire les flammes à elle. Qu’ils peuvent emboîter, mais qui annonce la couleur de leur avenir néanmoins incertain. «Faut continuer, on n’a pas l’choix. Mais ce n’est pas sûr que lorsqu’on sera en haut, on pourra revenir en arrière. » Sous entendu obligé. Leur métier, c’est de périr ou sauver. Et pourtant, Luke ne peut se résoudre à voler le choix à son allié de toujours.

Ⓒslytbitch.
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Terrence Nivans

Terrence Nivans
Humain modifié
More about you : Burning like smoke and fire | ft. Terrence 2v0w
Codename : Soldier
Pouvoirs : Un virus lui permet d'envoyer des décharges électriques suite à une altération physique importante. Il possède également une force surhumaine bien qu'il soit déformé par l'infection.

Il est insensible aux influences et persuasions extérieures et/ou supérieures, du fait de la possession d'un ancien charme offert par sa mère. Ah les talismans magiques...

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Emergence :
Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr113 / 53 / 5Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr11
Maitrise :
Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr113 / 53 / 5Burning like smoke and fire | ft. Terrence Fonddr11
Messages : 462
DCs : Amaury, Morgan, Ryan, Hailey, Moran, Eames, Nathan, Lena, Eden, Karsten & Adrian
Pseudo : Holmesienne

https://houseofm.forumactif.org/t3569-when-the-ashes-start-to-rise-o-terrence https://houseofm.forumactif.org/t3562-bury-me-and-burn-me-to-ash

Mer 12 Juin - 15:42

Burning like smoke and fire

Going through the motions. Harmful side effects. Undying devotion. A millstone around your neck. Heavy as a heart of gold. People come and people go. Yeah everything new gets old. Modern day broken hearted soul. Poetry in motion. Rising from the depths. Lower than the ocean. Starting all over again.

Les flammes ardentes s'épanchaient alentour en une danse incandescente. Un brasier iridescent qui grimpait aux murs du muséum en le consumant. Ne laissant derrière lui plus que des cendres virevoltantes. Des débris enflammés, des ruines calcinées. Qui se mélangeaient aux restes qui tenaient encore miraculeusement debout. Le bâtiment était touché, atteint par cet incendie qui s'intensifiait. Mais le plus gros persistait, se maintenait encore comme il le pouvait. Telle une brave âme, qui contrait l'affront occasionné par l'élément déchaîné. Impétueuses flammes qui dévoraient les matériaux offerts à son appétit, avançant à sa guise. Et toi, soldat du feu, te dressait devant sa prestance insidieuse. Dardant tes iris concentrés sur le brasier qui se jouait juste devant toi. Tes mains se mouvant en une gestuelle mécanique, des mouvements que tu avais pris l'habitude d'effectuer depuis ton arrivée chez les pompiers. Te couvrant de cette combinaison que tu portais depuis maintenant plusieurs mois d'affilés. Enfilant cette tenue qui te seyait. Te protégeait des feux les plus impétueux que tu avais pu affronter. Tissu ignifugé tant qu'aucune brèche n'y avait été percée. Tes collègues s’affairant à déjà rajuster ce qu'il fallait tandis qu'ils t'aidaient à te préparer. Pinçant les lèvres, tu jetais un regard vers ton camarade tout aussi préparé. Les yeux de Luke s'ancraient aux tiens et tu y percevais cette détermination similaire à la tienne. Cette lueur au creux de ses iris, un éclat miroitant à celui qui brûlait en tes pupilles. Un hochement de tête ferme en sa direction, et tu te détournais. Terminant de te recouvrir avec la combinaison, serrant bien le tout avant de rigoler à la petite remarque de ton camarade infortuné de la soirée. Portés volontaires pour cette mission des plus périlleuses, tu ne pouvais regretter de t'être seulement proposé. Tu connaissais les risques, tu savais ce qui pouvait arriver. Mais ça ne t'empêchait pas de trouver un certain réconfort dans ces répliques, qui contrastaient avec la brutalité de la réalité. Des propos qui parfois te raccrochaient, te permettant de te maintenir à la surface, et de ne pas sombrer.

Ton épaule frôlait celle de Cage alors que tu avançais enfin vers le brasier. Le centre enflammé, le foyer, qui vous narguait depuis les entrailles du muséum. La chaleur caressant insidieusement ton visage au travers de ton casque pourtant fermement apposé. Tu expirais lourdement, à chaque pas élancé, et empruntais ce petit chemin dégagé par les autres pompiers. Ces collègues qui désormais s'occupaient de tarir le feu depuis l'extérieur, grâce aux lances reliées aux différents camions disposés pour cette mission. Une de plus où tu bravais les flammes sauvagement affamées. Dirigées vers la structure de l'architecture, la rongeant savamment. Tandis que tu les évitais comme tu le pouvais, en t'abaissant et en t'écartant parfois, pour ne pas non plus trop abîmer la combinaison censée te protéger. Tes iris parcouraient les recoins illuminés par les feux, tandis que tu suivais Luke, ton matériel fermement enserrés entre tes paumes. Le moindre indice pouvant vous indiquer la présence d'autrui parmi les futures ruines. Selon les rapports préliminaires, beaucoup de visiteurs s'étaient déjà échappés du bâtiment. Ainsi que les habitants qui logeaient à proximité. Mais l'employée présente ce jour-là avait réussi à se renfoncer plus loin au sein du muséum. Peut-être même avait-elle trouvée un autre chemin, une passerelle pour s'échapper du brasier. Cela aurait été inespéré mais rassurant tout de même, pour elle. Cependant, selon la structure de la bâtisse, tu en étais pourtant très peu sûr. Votre présence en ces lieux devait compter pour cette employée qui s'y trouvait alors encore terrée. Et il n'était pas question de baisser les bras, ou de faire demi-tour, peu importe ce qui pouvait bien se passer. Tu étais déterminé à avancer aux côtés de Luke, pour aller sauver cette employée. Contre flammes et brasiers.

Votre avancée était lente et prudente, alors que vos pas se devaient d'être assurés. Une pression pour vérifier de la stabilité, un poids apposé, et ainsi en allait votre progression. L'entrée improvisée au niveau du rez-de-chaussée vous semblait loin désormais. Et pourtant, vous n'étiez arrivés qu'à l'escalier menant à l'étage supérieur. Les marches de marbre ressemblant tout autant à des vestiges oubliés d'une culture délaissée dans un passé devenu historique. Un abandon qui aurait pu figurer dans un musée, triste ironie. Tu soufflais lourdement en grimpant les marches, testant leur solidité durant l'ascension. Pente ardue à emprunter du fait des fissures et barres ferrailleuses qui marbraient le passage. Les prises sécuritaires n'étaient plus disponibles en cet instant, où tout se soldait par la précarité. Tremblement de tes lèvres alors qu'un écho retentissait. Un craquement qui te fit te relever la tête, vers cette poutre qui tombait du plafond. Tes mains cherchant instinctivement Luke pour le tirer en arrière, alors que lui-même te cherchait pour t'entraîner derrière. Le juron de ton collègue t'effleurant alors que tu dardais ton regard vers le chemin désormais obstrué. Corps fébrile et muscles tendus, tu cherchais déjà à emprunter un autre chemin, pour avancer parmi la fumée. A déterminer si vous pouviez passer par dessus la poutre enflammée. Perdu en tes pensées, tu fus tout de même rappelé à la réalité. La voix de Luke résonnait, demandant si tu n'avais rien. Tu le regardais un instant avant de secouer la tête en entendant sa main claquer contre le casque. Ta propre visière embuée te cachant quelque peu la vue. Tu l'essuyais comme tu le pouvais malgré la suie qui parsemait tes gants. « Ouais, je vais bien. Et toi, t'as rien ? » Tu soupirais en essayant de reprendre une respiration moins saccadée, moins opprimée par l'assaut de l'adrénaline qui pulsait. La remarque suivante indiquant que vous auriez pu y passer, mais que vous y aviez, de justesse, échappé.

Hochant la tête doucement, tu commençais à peine à reprendre une respiration plus contrôlée. Malgré les martèlements au creux de ta cage thoracique et la boule en ta gorge, tu te recomposais. Toussant maladroitement pour évacuer le poids et la pression sur ta langue. Reprenant une figure plus assurée, sans plus te préoccuper de ce qui venait de se passer. T'intéressant à nouveau à la structure qui allait bientôt sombrer. « Bordel, ouais... Va falloir qu'on grimpe à l'étage si on veut pouvoir trouver l'employée. Elle a dû se réfugier dans un coin pas trop attaqué par les flammes, ou même sur le toit. » Tu soupirais entre tes lèvres pincées, grommelant presque ce constat pour toi-même. « C'est pas grave si on peut pas retourner sur nos pas pour sortir d'ici. On devrait pouvoir trouver une autre alternative une fois en hauteur. Au pire on peut encore demander aux collègues de sortir les échelles pour évacuer près d'une fenêtre. Ou ce qu'il en reste. » Tu reniflais à la fin de ta phrase, non pas pour montrer une quelconque expression snob, mais pour désencombrer tes narines tiraillées par la fumée. Ta voix résonnait encore peu après, alors que tu remarquais un renfoncement vers la gauche, qui pourrait sans doute permettre de contourner. « Luke, regarde l'alcôve là, sur la gauche. Juste à côté de la poutre. Elle a peut-être endommagé la moitié de l'escalier mais on devrait pouvoir passer par là. Si on la pousse légèrement on pourrait dégager le passage et grimper à l'étage sans trop de problèmes. » Tu t'avançais vers le recoin enfoncé, t'approchant déjà de la poutre, prêt à la dégager. Ton regard glissant sur Luke, s'attardant sur son visage caché par sa visière. Cherchant ses iris, attendant une quelconque approbation de sa part avant d’enclencher ce plan improvisé, qui risquait de causer votre perte plus que de vous sauver.

belle âme
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Luke Cage-Jones

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Pouvoirs : ⋆ Force Surhumaine : Ce sont, en moyenne, 25 tonnes que l’homme peut soulever sans difficultés, ce sont des plaques d’acier et des pans de murs entiers que son poing peut traverser.  Malgré tout, les limites ne sont pas des plus précises. Les situations les plus stressantes ont pu témoigner de poussées extrêmes de la part du surhomme.

⋆ Vitesse améliorée : Sa musculature poussée prodigue une puissance intense à ses jambes. La course entamée, ce sont des dizaines de kilomètres qui sont traversées par heure écoulée.

⋆ Endurance surhumaine : La fatigue n’est pas vraiment éprouvée malgré les efforts démontrés. Malgré sa masse corpulente, l’épuisement est donc restreint, au-delà des limites de l’ordinaire.

Burning like smoke and fire | ft. Terrence Y2rmyj3u

⋆ Peau invulnérable : Peau impénétrable. Les balles ricochent tandis que les lames les plus aiguisées se brisent sur sa peau. Si son invulnérabilité n’est pas sans limites, il reste un homme à la résistance extraordinaire : des chutes de plusieurs mètres ne peuvent briser ses os, pas plus que les chocs électriques et changements de températures extrêmes ne peuvent l’atteindre.

⋆ Facteur guérisseur : s’il est loin d’atteindre le niveau de Wolverine, ses capacités cumulées permettent à l’homme de se remettre de ses blessures les plus graves en un temps accéléré.
Emergence :
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Jeu 13 Juin - 14:30


Burning like smoke and fire
Terrence & Luke
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Brasier incandescent qui pompe l’air des pompiers. Flammes dansantes qui sabrent l’oxygène et l’environnement écartelé. Papier peint ironiquement dépeint, volutes de fumées qui laissent de marquantes traînées. Ruines d’un muséum qui,  fut un temps, participait à une certaine renommée. Île tant aimée soumise à cette chaleur de bien trop de degrés. Dizaine accumulée pour s’assembler en une voire plusieurs centaines acharnées. Fahrenheit qui broie tout sur son passage, qui mord la terre pour ne la forcer à n’être plus que poussière. Impressionnante bâtisse soumise, si tendue. Forcée de rendre à la nature ce qui lui est dû. Musée qui manque de trembler, pas loin de s’effondrer. Mobiliers intérieurs fondus, qui déjà commencent à s’écouler. Les pas des soldats pressent le sol qui n’a plus aucune propriété. Les tableaux sont partis en cendres, les porcelaines exposées éclatent en des morceaux et bien des milliers. Plus rien n’est cohérent dans ce simple bâtiment. Carcasse unique qui dorénavant ne s’apparente plus qu’à de la lave brillante. De l’argent vient de s’envoler, de vulgairement cramer. Un patrimoine chiffré qui n’a désormais qu’une valeur déjà oubliée. Nul doute que les associations caritatives font lever des fonds, tout reconstruire sans prendre connaissance de la leçon enseignée. Feu forcené à la force indéterminée. Ils sont si loin de s’en tirer. Si loin de taper dans leurs mains et de crier victoire, le souffle au bord des lèvres séchées. Luke soupire derrière sa visière, ses mains gantées essuyant l’infâme buée.  Les yeux sombres cherchent le moindre détail qui peut tout arranger. Le moindre recoin où la victime est capable de s’abriter. Mais les hauteurs, ce sont les seuls moyens d’espérer encore respirer. Tête secouée alors que les escaliers doivent être grimpés. Marches gravées par les flammes, chaleur impitoyable qui les forcent à s’abaisser. Aucune pitié pour ce qui constitue le symbole même de Genosha, emportée par feu et raz-de-marée.

Avancée précaire dans ce brasier qui ne cesse d’augmenter. Délicates. Caresses réchauffées, qui effleurent les habits ignifugés. Aucune brèche acceptée pour escompter atteindre l’objectif, pouvoir s’échapper avec l’employée. Iris qui analyse les environs disparus, mouvement de recul soudain quand une chute est aperçu. Prémonition qui paye, recul obligé. Poutre qui manque d’écraser les pieds des deux alliés, qui ne peuvent qu’essuyer leur stupeur de l’instant et s’en remettre au chemin obstrué. Cage souffle, répond à son tour à l’ami inquiété. « Ça va... La routine comme on dit. » Pouce en l’air et léger sourire pour appuyer les fameux dires. Frayeur malgré tout passagère, alors que la paire a connu aussi bien meilleur que pire. Traversée de la poutre enflammée envisagée mais option bientôt vivement ravisée. Danger conséquent, comme tout ce qui subsiste encore dans ce putain de bâtiment. Ils sont loin, encore, de gagner. Mais ce n’est que partie remise alors que Terrence entrevoit un exit solutionné. Renfoncement léger, mais qui pourrait bien marcher. Les yeux des hommes surveillent le passage qui ne pourra pas toujours être ainsi éclairé. Luke vérifie les gants, s’assure qu’aucune fissure ne puisse nuire au plan fomenté. Adrénaline qui redouble, s’écoule dans les veines saillantes et masquées. Sang chaud, illustration appuyée de la situation éprouvée. Avant finalement de souffler, d’un hochement de tête appuyé. « Okay, mec. On va pas pouvoir tenir longtemps, alors faut qu’on s’y prenne vite et bien. » Positions déjà vite accompagnées. A peine les mots sont prononcés que les corps adoptent la stratégie décidée. Morale inutile à rappeler alors que leurs vies mais également celle de l’inconnue rescapée peuvent encore leur être coupées. Mais il y a bien longtemps qu’ils ont signé. Pétrin devenu bien trop familier. « On l’fait en même temps. A trois. » Compte à rebours lancé, vieille habitude connue du pompier. Le un et le deux s’enchaînent très vite alors que les bras s’abaissent au troisième chiffre énoncé. Les mains gantées saisissent le bois morcelé, brûlant, qui cherche à transpercer le moindre obstacle apparent. Mais ce n’est pas aujourd’hui que les deux amis perdront leurs empreintes cachées. Hurlements poussifs quand la poutre est relevée, redressée brièvement dans leurs paumes couvertes mais endolories, forcément soumises à un effort surhumain et quelque peu obligé. Mouvement sec qui décale le bois détaché de quelques centimètres, violemment balancé, autant qu’ils le peuvent, contre le mur paré, à son tour, à chuter. Effritement déjà perçu par la palme des doigts qui ne peuvent s’y attarder. La poutre est lâchée dans un haussement d’épaules hachuré, les quelques marches restantes rapidement foulées. L’étage deux apparaît alors, visage brièvement éclairé. La partie n’est pas encore terminée.

Tapis rouge qui brûle sur l’escalier marbré. Juron entêté alors que tout était bon, à l’époque de la construction, pour appuyer la richesse bien reconnue de l’île maintenant divisée. Luke se tourne vers l’allié, grince doucement des dents. Atteindre les hauteurs s’avère encore plus ardu que d’éteindre ce feu avec de simples extincteurs. Objets d’ailleurs aperçu à même le sol, attaches décrochées par les flammes, mais bonbonnes encore oxygénées. Un léger sourire étire le visage du pompier, imperceptible derrière le casque bien soigné. Du bout des doigts, il désigne l’extincteur visionné. Camelote réglementaire qui peut bien les sauver. L’argent a ses limites, même  lorsqu’il est question de sécurité. « Regarde ça, un seul extincteur par étage. Les radins. » Pour un muséum imposant, ils auraient pu signer pour un supplément. Ricanement soufflé, mais planification entamée. Esprit qui visualise le tapis enflammé, qui bloque toute intrusion envisagée. Intervention de l’un pour éteindre les flammes, tandis que l’autre peut espérer faire rouler le tissu noirci et s’en débarrasser. Passage obligé pour atteindre la cible encore cachée. Crétine de Dynastie dont les membres n’ont songé qu’à se montrer. Luxure dans laquelle se baigner qui les plongent à leur perte, non seulement la leur mais aussi celle des soldats exténués. « Ok, ça va pas être jojo mais.... » L’idée est ridicule, mais elle vaut le coup d’être tentée. « On ne va jamais passer avec cette moquette des enfers. » Littéralement. Les deux hommes peuvent avoir un aperçu du poids pesé, de la lourdeur acclimatée à la chaleur, loin de céder. « Faut qu’on avance pas après pas. Avec l’extincteur on va tenter de ralentir les flammes du tapis et on va l’enrouler sur lui. Ce truc fait la taille de toutes les marches, on n’peut même pas espérer passer sur les trois centimètres de côté découverts. » Moquerie que tout un muséum à franchir. Devoir malgré tout approuvé, besoin et passion d’en vivre. Nivans se met déjà en marche, extincteur ramassé à la volée. Luke souffle, frotte les mains gantées. « Ok, quand t’es bon, j’te suis. » Pouce en l’air, iris inquiétés entrecroisés. Confiance absolue pourtant perçue. Pas le moment de douter, il faut avancer. «  On va y arriver, mec. » Il le faut.

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Lun 13 Avr - 0:58

Burning like smoke and fire

Going through the motions. Harmful side effects. Undying devotion. A millstone around your neck. Heavy as a heart of gold. People come and people go. Yeah everything new gets old. Modern day broken hearted soul. Poetry in motion. Rising from the depths. Lower than the ocean. Starting all over again.

Un court instant de silence, seulement perturbé par les épanchements des flammes incontrôlées. Brasier ardent qui enfumait les escaliers, et le grand hall en contrebas qui y était relié. Tu clignais des paupières, tentant de chasser le voile qui venait embrumer ton regard concentré. Tes iris portés sur ton camarade, ton allié, qui bravait l’enfer de l’incendie, lui aussi. Tous deux, élancés dans le muséum en train de succomber à ce feu qui déferlait. Vos contours toutefois protégés par les combinaisons ignifugées. Les flammes vous gardant pourtant prisonniers de leur volonté. La fumée enlaçant vos silhouettes épousées en une danse chaotique, archaïque. Empêchant de temps à autre de correctement respirer. Ta gorge empoignée par la prise âcre, irritant la zone concernée. Tu tentais de ravaler ta salive pour apaiser quelque peu le tiraillement prononcé, suite à ta proposition énoncée. De ton regard plissé, tu pouvais voir Luke vérifier ses gants, alors qu’il considérait l’option proposée. Il ne mit point longtemps à l’accepter, un hochement de tête appuyé, signifiant qu’il était paré. Sa voix résonnant à tes tympans la seconde d’après, tandis que, par réflexe, tu lui répondais comme tu avais pu répliquer il y avait quelques années. Lorsque tu étais encore un soldat dans la marine, et point l’un qui bravait les feux désormais. « Roger that. » Tu te mettais en position, t’abaissant vers la poutre et prenant place, de sorte à pouvoir l’attraper aisément. L’empoigner entre tes paumes recouvertes par les gants épais. Luke annonça le décompte sur lequel tu te calais, prenant bien appui sur tes pieds. Les ancrant là où tu ne percevait point d’instabilité. Ton corps gainé au possible, et tes muscles contractés, tandis que les nombres décomptés étaient prononcés. Compte à rebours parvenant à terme, tes mains s’élançant vers la poutre que tu agrippais avec fermeté. La soulevant de toutes tes forces que tu pouvais invoquer. Des exclamations s’échappant d’entre tes dents serrées, alors que tu forçais sur tes muscles employés et déjà fort éprouvés par la lourde tâche à effectuer. L’apport de vos forces combinées permettant ainsi au bout de quelques secondes d’efforts prononcés, de soulever la poutre afin de la décaler. La déplaçant le plus vivement et rapidement possible sur le côté, pour dégager un passage plus sécurisé. Tes mains venant à délaisser le bois rongé par les flammes, alors qu’enfin, une échappatoire se discernait. Les marches jusqu’à l’étage dégagées, et sans plus perdre un seul instant, tu t’élançais à la suite de ton allié. Grimpant les escaliers malgré ton souffle quelque peu hachuré. Parvenant enfin après quelques pas empressés, à rejoindre le second étage, un palier.

Se relâcher n’était pourtant point permis, alors que tes iris se dardaient sur le décor en proie au brasier. Le mobilier dans les couloirs, rongé par les flammes, ainsi que le tapis central ornant l’escalier suivant, totalement grignoté par le feu dévorant. Les murs alentours, incrustés de fissures qui continuaient inlassablement de s’étendre plus encore. La lumière qui éclairait les lieux, non loin de flancher, vacillant à mesure que le temps s’écoulait. Que les secondes s’égrenaient, dans cet enfer de flammes et de fumée. Tu pestais, dans l’espace confiné de ton casque, grognant contre l’élément destructeur qui ne faisait que plus encore vous menacer. Le temps jouait contre vous, et il n’y en avait plus aucun à perdre, pour espérer pouvoir vous en tirer. La voix de Luke te tira de ta contemplation grommelée, et tu fis glisser ton regard sur lui. Suivant ce qu’il te désignait, te montrant du bout de ses doigts, un extincteur tombé au sol. Les lanières le maintenant contre le mur, décrochées mais autrement aucun autre défaut apparenté. Sa réplique fortement teintée par des reproches mérités, te faisant ricaner. Une touche de légèreté malgré l’ambiance pesante qui régnait. De quoi juste souffler une fraction de seconde, dans cet enfer qui vous encerclait.  « C’est bien connu que la haute préfère exposer des artefacts dérobés, que de payer pour la sécurité de la plèbe qui vient les observer. » Un soupir glissant sur le bout de tes lèvres tandis que tu faisais claquer ta langue contre ton palais. Ravalant à nouveau ta salive et reniflant par après, afin de désencombrer tes narines assaillies et tourmentées par la fumée. Cage s’exprima à nouveau dans ce capharnaüm décimé, et tu devais te concentrer pour écouter ce qu’il disait. Pour parvenir à l’écouter par delà le bruit du brasier. Il proposa à son tour, un plan pour vous sortir de là. Une idée loin d’être ridicule en réalité, mais qui risquait d’être compliqué à réaliser sur le long terme. En principe, l’action était banale à effectuer. Mais en pratique, c’était toute autre chose. Si le tapis était accroché à un quelconque endroit, cela pourrait retarder votre avancée. D’autant plus qu’à partir d’un certain moment, il deviendrait difficile de soulever le tapis lorsqu’une bonne partie sera déjà bien enroulée. Mais cela était votre seule chance de survie alors que les secondes continuaient de menacer votre sécurité. Alors sans plus attendre, tu hochais la tête, hurlant ta réponse. « Okay, je marche. J’m’occupe de l’extincteur. »

Tu t’élançais, mais tout de même par pas précautionneux, alors que tu récupérais l’objet convoité. Attrapé en chemin, tandis que tu te plaçais ensuite à l’extrémité du tapis. Lançant un coup d’oeil à ton collègue déterminé. Un pouce en l’air t’indiquant qu’il était prêt à te suivre, dès lors que tu actionnerais l’extincteur. En réponse, tu élevais une main, pinçant ton index et ton pouce entre eux. Les faisant se toucher aux extrémités, prononçant le geste universel pour bien l’appuyer. Un ‘Okay.’ silencé, mais qui vous permettait de vous accorder. D’instaurer la confiance et la longueur d’onde sur laquelle vous deviez vous trouver, afin de pouvoir vous adonner à la tâche à effectuer. La démarche à suivre, se faisant plus pressante que jamais, alors que tu inspirais longuement. Luke intimant qu’il fallait que vous y arriviez. Et tu étais d’accord avec lui. « Il n’y a pas d’autre alternative. Interdiction de rater. » Tu expirais lourdement, une certaine vivacité teintée de détermination dans tes propos énoncés. Ta voix s’élevant, alors qu’une de tes mains venait enserrer l’extincteur pour bien le maintenir. L’autre, dégageant la goupille de sécurité que tu retirais prestement. Celle-ci attrapant ensuite la poignée, et la main précédente le flexible pour diriger le flux de poudre carbonique enneigée. « Prêt ? » Un dernier regard vers ton allié, avant que tu ne t’en retournais à ce tapis en proie à être calciné. « GO ! » Pression sur l’autre moitié de la poignée, celle flexible qui allait tout enclencher, tandis que la buse était dirigée vers les flammes ardentes et épanchées. La neige carbonique fondant sur le feu qui dévorait l’objet décoratif à tes pieds. Luke à tes côtés s’élançant dès lors que le signal avait été donné. Ton poignet tournant prestement à chaque seconde, pour bien couvrir toute la surface touchée. Tes pas suivants par après, à mesure que le tapis était enroulé par les bons soins de ton allié. Loin de démordre de la situation, il la prenait plutôt à bras le corps. Et c’était là une vision plutôt extatique, qui laissait entrevoir votre réussite estimée.

Mais comme tu avais pu l’imaginer, un problème s’était imposé en cours de route. Un pan du tapis, coincé dans la ferraille qui ornait l’un des côtés de l’escalier. Une tige recourbée sous la chaleur, et les fibres du tissu accrochées auprès. Des grognements poussés marquant bien l’agacement soudain face à cet obstacle sur le chemin. Ton regard tentant de trouver l’origine de la cause, alors que Luke s’en retrouvait ralenti. Encombré par le poids du tapis qui refusait de se contraindre à être encore enroulé. Tes iris finissant par enfin se poser sur la tige ferrailleuse, que tu scrutais. « Je m’en charge. » Cessant l’apport de poudre enneigée, tu quittais une seconde ta position. Contournant ton camarade infortuné mais tout autant dévoué à votre métier. Te postant au côté opposé à ta précédente position. Recouvrant à nouveau les flammes d’un coup de neige carbonique, pour ne pas qu’elles reprennent le terrain que vous aviez déjà dûment gagné. D’un geste rapide, tu posais l’extincteur à côté de Luke, alors que tu t’accroupissais. Tes mains libérées par l’entrave du poids de cet objet salvateur, tu les dirigeais vers les fibres coincées. Essayant de les attraper pour les retirer de ce qui les retenaient prisonnières. Tirant brusquement dessus, quitte à les arracher. Tant que l’emprise était dégagée, peu importait. Mais les fibres étaient bien trop nombreuses, et surtout, emmêlées entre elles. Rendant la tâche quasi impossible à réaliser sans une dextérité proche de l’expertise parfaite. Tu grognais entre tes dents, pestant contre la dynastie, et ces foutus tapis dont la qualité équivalait au prix. Pas étonnant que les fils étaient difficiles à déchirer, s’ils étaient tissés très serrés et formés du plus pur et dur des tissus raréfiés. En un grognement marqué par l’agacement, tu retirais tes mains pour attraper une pince coupante qui se trouvait attachée à l’une des multiples ceintures de ton harnais. L’agrippant rapidement avant de l’apposer contre les fibres, souhaitant les couper. Avec un certain acharnement, tu finissais par y parvenir et à découper quelques liens précipitamment. Dégageant enfin le tapis de la ferraille recourbée. Vous pouviez enfin continuer à avancer. Tu poussais un soupir soulagé en rangeant ta pince coupante. « C’est bon Luke. Tiens. Prend l’extincteur, j’vais assurer le tapis pour le reste de la montée. »

En quelques enjambées, tu prenais la place de Luke, auprès du tapis. Ton ami récupérant à son tour l’extincteur tandis que les rôles étaient inversés. Un échange bienvenu, qui lui permettrait de souffler après l’effort fourni. Et pour toi, de profiter des reste de l’adrénaline qui avait percuté tes veines lorsque tu t’étais occupé du problème. Inspiration prononcée, malgré ta gorge tiraillée par la fumée, et tu enlaçais le tapis enroulé, paré à continuer sur ta lancée. N’attendant plus que le signal de Luke pour t’y adonner. Secondes égrenées, et enfin le tout reprenait. Soulevant le lourd poids du tapis, tu entamais l’enroulement nécessaire pour votre survie. Jusqu’à enfin parvenir au troisième étage, celui le plus proche de la sortie aérienne convoitée. Et vous n’étiez pas les seuls à tant la considérer. Une voix perçant le brouhaha ambiant des flammes, vous parvenant depuis les tréfonds du muséum. « A L’AIDE ! » Tu lâchais le tapis en le poussant au maximum à l’opposé de ta position, très loin des surfaces instables, t’éloignant de lui tout en plissant les paupières et tendant l’oreille pour déterminer d’où provenait l’écho prononcé. « T’entends ça, Luke ? » Un micro sourire tandis qu’à nouveau, la voix s’élevait. « S’IL VOUS PLAÎT ! » Tu distinguais la zone depuis laquelle la sonorité semblait parvenir, la considérant un instant. Finissant par lancer un regard vers ton ami, de ton sourire non départi. « Je crois qu’on a retrouvé notre employée. » Une expiration écourtée alors que tu te redressais, paré à y retourner, contre flammes et fumée. « Y a plus qu’à aller la chercher. » Mais avant même de pouvoir réellement vous lancer à son secours, un craquement sinistre se réverbérait. Signalant ce que vous craigniez tous deux, depuis votre entrée en ces lieux. Le bâtiment tombait en ruines, à chaque seconde égrenée, le temps écoulé n’étant que votre ennemi face à l’instant chronométré. Un pan de mur en hauteur, au dessus de vous, à la jonction avec le plafond. Surface fissurée et endommagée, qui s’ébranlait. Ne supportant plus le poids des poutres, ni de la charpente dégradées. Et encore moins celui de l’artefact qui, il y avait quelques secondes encore, l’ornait. Ceux-ci s’écroulant sur place, les débris menaçant de vous emporter. « OW OW OW, ATTENTION ! RECULE ! » Ne réagissant plus que par impulsion, tu t’élançais d’un bond en arrière vers lui, pour l’écarter du danger. Ton bras tendu devant ton allié, le pressant à se reculer, afin d’éviter les gravats qui manquaient de vous effleurer. Les débris tombés ayant amoché la surface à emprunter. Formant un énorme creux dans le sol du couloir que vous deviez arpenter. Un dégât considérable qui rendait la situation plus encore instable qu’à l’accoutumée. « Eh merde ! »


belle âme
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Luke Cage-Jones

Luke Cage-Jones
Humain modifié
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"This is how it has to be."

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Codename : Power Man
Pouvoirs : ⋆ Force Surhumaine : Ce sont, en moyenne, 25 tonnes que l’homme peut soulever sans difficultés, ce sont des plaques d’acier et des pans de murs entiers que son poing peut traverser.  Malgré tout, les limites ne sont pas des plus précises. Les situations les plus stressantes ont pu témoigner de poussées extrêmes de la part du surhomme.

⋆ Vitesse améliorée : Sa musculature poussée prodigue une puissance intense à ses jambes. La course entamée, ce sont des dizaines de kilomètres qui sont traversées par heure écoulée.

⋆ Endurance surhumaine : La fatigue n’est pas vraiment éprouvée malgré les efforts démontrés. Malgré sa masse corpulente, l’épuisement est donc restreint, au-delà des limites de l’ordinaire.

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⋆ Peau invulnérable : Peau impénétrable. Les balles ricochent tandis que les lames les plus aiguisées se brisent sur sa peau. Si son invulnérabilité n’est pas sans limites, il reste un homme à la résistance extraordinaire : des chutes de plusieurs mètres ne peuvent briser ses os, pas plus que les chocs électriques et changements de températures extrêmes ne peuvent l’atteindre.

⋆ Facteur guérisseur : s’il est loin d’atteindre le niveau de Wolverine, ses capacités cumulées permettent à l’homme de se remettre de ses blessures les plus graves en un temps accéléré.
Emergence :
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Maitrise :
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DCs : Vous voyez le jeu des 7 familles ? Bah je les joue toutes.
Pseudo : Renescence

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Dim 31 Mai - 13:40


Burning like smoke and fire
Terrence & Luke
Insane, inside the danger gets me high ; Can't help myself got secrets I cant tell ; I love the smell of gasoline ; I light the match to taste the heat ; I've always liked to play with fire | Play whith fire - Sam Tinnesz



Incarcérés dans la tenue familière des sapeurs-pompiers, il y a ce sentiment qui prédomine, cette sensation d’étouffer qui gratte la gorge, accompagnée par cette lourdeur qui affaisse les épaules des héros improvisés. Les flammes ne sont pas encore pleinement traversées que la chaleur qui en émane a de quoi faire tourner de l’œil. Mais les experts du domaine retiennent leurs souffles, ou plutôt, l’utilisent à respirations mesurées, tandis que l’avancée au sein du musée se révèle dangereusement précaire. Luke et Terrence ont pleinement conscience qu’il y a une vie en jeu, une femme innocente qui pourrait mourir ce jour, pour le simple fait d’être venue à son travail comme à l’accoutumée. Alors, comme le veut leur devise, comme l’impose leur honneur, ils s’engagent sans sourciller sur les pavés de l’enfer déchaîné. Bravant le bois qui s’écroule, manquant d’aplatir leurs têtes casquées. Les soldats du feu ont toutefois de la ressource, bien plus que n’importe qui d’autres en ces lieux singuliers et en ces circonstances particulières. Dégager une poutre de leur chemin ne constitue là qu’une étape parmi d’autres, un obstacle à supprimer pour continuer à progresser. En dépit de tout, en dépit de ce musée qui tombe en ruines à chaque seconde perdue, en dépit de ces murs qui se fissurent, ou de ce tapis en feu qui menace le chemin emprunté. Cage souffle, intérieurement, agacé par la situation qui a été, très certainement, envenimée aussi bien par la panique des clients ayant fuit le musée que par les règles élémentaires à peine respectées. Un extincteur et une paire de bras, c’est tout ce qui leur reste pour entraver cette embûche imprévue, qui se doit d’être éradiquée pour le bien de tous. Un plan est apprivoisé, rapidement, parce qu’il faut faire avec les moyens du bord, mais surtout parce que le temps est compté. L’homme se tourne vers son coéquipier, attendant confirmation qu’il sera là avec lui, jusqu’au bout, peu importe les défauts partiellement remarqués. Tout peu facilement mal tourner, après tout, il suffit que l’extincteur tombe en rade en milieu de pression, que le tapis s’accroche ou bien que son poids ne soit pas supporté pour que tout tombe à l’eau. Mais comme souvent, les deux hommes sont habitués à la dure loi des incendies, où un rien peut tout envoyer valdinguer. C’est leur quotidien, c’est la routine, de risquer leurs peaux pour des inconnus, et de tout tenter pour les sauver, qu’importe si le prix à payer, c’est d’en crever. Alors c’est sans surprise que le camarade approuve la folie miroitée, y prenant part malgré le risque impliqué.

Luke lève le pouce, souriant légèrement face à la combativité sans failles toujours démontrée par le soldat Nivans. Sur le terrain, ils affrontent tout, armés de leurs propres équipements et détermination impossible à rabattre. Et s’ils sont à deux doigts de sombrer dans la fournaise de ce musée désormais incandescent, ils savent aussi que dehors, leurs collègues accomplissent une grosse partie du job également. Ils font vibrer les flammes, usant des camions et des lances rapprochées pour diminuer l’impact des flammes, le temps que le duo puisse sauver la dame cachée. Tous savent pertinemment que la bâtisse est destinée à s’effondrer, mais avant que les cendres ne s’éteignent d’elles-mêmes, il y a un jeu contre la montre entamé. Il leur appartient, alors, de faire en sorte que leurs efforts ne soient pas vains. « Tu nous connais : on ne rate jamais notre coup. » Cage commente doucement alors qu’il se met en position, arc-bouté pour saisir rapidement le tissu bientôt aspergé par de la poudre pulvérisée. Hochant la tête, à son tour de suivre le lancement enclenché par le frère de feu, hurlant presque en réponse : « LET’S GO ! » Les go proclamés ne peuvent résonner, tant le bruit du brasier est conséquent. Mais la synchronicité des deux soldats est suffisante pour suivre la machine échafaudée à l’instant. Les jambes à demi-pliées, autant que le corps rabattu, la carrure bien tenue du pompier est soumise à rude épreuve dès les débuts inaugurés. Les mains gantées saisissent pourtant sans difficulté le tissu, c’est le tapis qui se révèle déjà de lourde qualité qui broie les muscles travaillés. Si, en réalité, l’étape ne prend même pas deux minutes pour être accomplie, le sentiment que la situation perdure sur un temps bien plus rallongé est là. Cage-Jones, s’il n’était pas concentré uniquement sur le tapis à enrouler, aurait le temps de se questionner sur la finalité de cette épreuve trois fois durant quand un œil extérieur se contenterait d’acclamer la prouesse exécutée. Les deux pompiers ne sont toutefois pas là pour se congratuler, et ce sont des grognements et de larges souffles poussés qui accompagnent les efforts déployés. Malheureusement, la richesse démontrée n’est pas du côté des hommes acharnés. Une barre du tapis bloquant celui-ci, refusant qu’il soit décroché pour découvrir le marbre incroyablement immaculé. Luke souffle, s’échine à faire tordre le métal pourtant tenace malgré les flammes ambiantes qui ont de quoi le faire fondre sur place. « Meeerde, la Dynastie a vraiment tout misé sur cette carpette. » Sous la farce lâchée avec frustration, le message est passé. Conduisant le Nivans à revoir sa position tandis que l’époux Jones pose un genou à terre, calculant le temps compté avant que le feu ne reprenne sa position dominante sur le tissu replié. Lâchant un juron propre à sa connaissance, l’homme maintient l’enroulement bancal d’une jambe, forçant la pression de celle-ci pour préserver la bobine de fibres concrétisée. De ses mains libres, il récupère l’extincteur laissé par Terrence, pressant la poignée pour jeter de la neige tant dévouée sur les fils salvateurs. Assurant ainsi l’action de l’équipier qui se doit de couper à même le tissu, garantissant également les échelons parcourus jusque alors. Reposant rapidement l’appareil, l’homme doit malgré tout reprendre le tapis à bras le corps, le genou ne pouvant amortir plus longtemps le choc. Quand enfin, le cri victorieux survient, permettant ainsi aux deux camarades d’échanger les rôles afin de finaliser la mission. « Heyaa, bon travail soldat. » Il y a ce réflexe de toujours s’échanger des paroles tels des militaires aguerris, quand la seule arme ennemie n’est constituée que d’éclairs orangés. Mais il n’est point important de se perdre sur le vocabulaire parlé, tant la situation ne se prête pas à se questionner. Reprenant le travail du collègue apprécié, Cage s’autorise un peu de répit, crachotant un nouveau « go » à l’intention de Nivans qui recommence à repousser le tapis d’arrache-pied. Luke apprécie les secondes de calme offertes par son collègue, mais il le remerciera plus tard. Car voilà enfin que le troisième étage se profile au-devant de leurs visions embuées, galvanisant leurs veines d’une excitation délicatement savourée. « On y est man, lâche-pas ! » Mais il n’y a même pas besoin de le préciser que les mouvements aguerris de Terrence achèvent enfin la dure mission essuyée. Luke posant alors l’extincteur portatif pour claquer cinq doigts contre ceux de son ami, fier de leur réussite du moment.

Mais les félicitations ne sont pas encore de vigueur. La voix de l’employée éperdue filtre à travers le bûcher revendiqué, faisant tourner les têtes des sapeurs-pompiers. Jamais Luke n’aura été si content de percevoir un son aussi fin, mais aussi vindicatif en même temps. La femme s’époumone, elle hurle, probablement consciente que les secondes suivantes seront décisives de sa survie. « Amen, brother. Il est temps de lui faire son baptême du feu. » Répartie suivant la proposition de Nivans, les dents luisant derrière les casques détrempés par la sueur et la chaleur. Mais l’ascension ne peut même pas être considérée que la charpente du musée cède sous la pression. La tête de Luke est relevée prestement, l’œil remarquant les poutres se détacher au rythme des fissures accrues, accrochant étrangement l’artéfact qui ornait le mur sur toute sa hauteur. Le totem l’impressionne plus que tout le reste, et c’est le collègue qui a le réflexe de le tirer en arrière alors que le plafond s’effondre, sans plus de cérémonie. Il tombe, lourdement, creusant le sol à peine tâté par les pompiers éraflés. « Pfiou, merci mec. » C’était moins une, et il le sait. Sauf que là encore, le temps ne peut se perdre en accolades supplémentaires. Cage s’avance prestement, la pointe de son pied effleurant le vide alors qu’il se penche légèrement en avant. Le sol est creusé, mais pas que sur un étage, sur les deux du dessous également. Autrement dit, aucun retour en arrière possible. Heureusement que les plans d’architectures ont pu être étudiés avant leur arrivée, leur laissant entrevoir un exit par la ventilation de la bâtisse déstructurée. L’allié à ses côtés lâche alors un juron, qui fait relever le front de l’homme, aux traits désormais pensifs. « AIDEZ-MOI ! » L’employée crie à nouveau, l’impact de la chute évitée l’ayant sûrement fait douter sur l’arrivée des secours précédemment entendue. « ON ARRIVE ! » Cage répond par réflexe, tandis qu’il se tourne vers Nivans. Il a bien envisagé l’idée de faire le grand écart et sauter pour parvenir au rebord du sol, mais le risque est trop important : d’un côté comme de l’autre, le choc de deux hommes bondissant sur le sol pourrait ne pas être supporté, et le trou s’agrandir. Sans compter que si le saut est loupé, c’est une chute de trois étages qui les attend. La chance de s’en remettre est alors infime, pour ne pas dire complètement improbable. Par chance, la charpente n’est pas totalement partie trois niveaux en deçà de leur position. Il y a un espoir entrevu, peut-être complètement taré, mais c’est toujours un rayon apporté. Une possibilité à analyser, avant qu’il ne soit trop tard.

Alors, en priant pour ne pas raconter de la grosse connerie, le pompier agrippe son ami, et désigne de l’index le totem qui l’avait tant fasciné auparavant. En travers du trou, il tient presque par miracle depuis l’autre extrémité convoitée. Sauter sur le totem reviendrait à un suicide assuré, puisque les hommes le feraient sûrement pencher vers le fossé. Mais « […] si on parvient à récupérer le totem et à le caler par terre à nos pieds, tout en s'assurant qu'il est toujours accroché de l'autre côté, on pourrait s’en servir comme planche de traversée. » Une sorte de pont à la McGyver, en somme. « Crois-moi, ça vient du Wakanda, ça pourrait soutenir notre poids sans sourciller. » Il devance déjà l’interrogation de l’ami, se justifiant rapidement : « Donation d’un PDG d’une grosse société pour assurer une bonne relation avec les Magnus, j'te le dis tout c’qui provient de ce pays, c’est du lourd. » Et il ne blague pas, Cage. Il en a lu des choses à ce sujet. Il connait également certains membres du peuple tant réputé. Mais ce n’est pas l’heure de s’épancher sur un tel sujet. « Le problème, c’est que là, il tient simplement d’un côté. Y a pas de balance, on peut pas l’utiliser en l’état. Faut qu’il puisse tenir des deux côtés. » Sans y passer, par ailleurs. Quand bien même leur pont envisagé ne tiendrait que 30 secondes, c’est tout ce qu’il leur faudrait. Juste pour traverser le trou, et rejoindre l’employée en danger. Encore faut-il pouvoir récupérer le totem. « Ce que je te propose, c’est qu’il y en ait un de nous deux qui joue à l’anguille, tandis que l’autre le tient, et l’aide à reculer. Mais faut y aller vite. Les solidités du musée viennent d’être remises en cause par la charpente défoncée et par ce creux en plein milieu de couloir. » Et par les flammes qui mangent tout sur leur passage. La solution proposée paraît complètement irréalisable. Que l’un, des deux, rampe et tende les bras pour choper à pleines mains un foutu totem, tandis que le second l’empoigne par les chevilles et le tire en arrière quand il a l’artéfact ? C’est complètement surréaliste. Mais ont-ils vraiment le loisir d’agir autrement ? « Qu’est-ce que tu en dis, mon vieux. On s’la joue à ça passe ou ça casse ? »


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