| Ven 21 Oct - 18:53 | | Après terminé un rapport d'autopsie, je fus fière de voir que celui-ci était enfin clos, ça allait faire deux mois que le SHIELD était sur l'affaire, heureusement le meurtrier a était retrouvé avant de faire davantage de dégât. Maintenant l'homme qui avait été assassiné, allait enfin pouvoir reposer en paix et dans un lieux plus convenable pour les morts que dans une chambre froide. La personne est peut-être décédée, ça ne veut pas dire que je suis une sans coeur, lorsque je fais une autopsie, on apprends à devenir très intime avec le défunt, on apprends ses secrets, on passe beaucoup de temps avec ... Cela peut être étrange à comprendre, mais pour moi ce n'était pas un travail ou j'étais toujours "seule", non je suis en compagnie des morts et ceux-ci viennent me parler à leur façon. A la fin je fini par tisser un lien avec eux et c'est toujours un plaisir de rendre justice. Mon travail est funèste, heureusement j'arrive à me détacher de mon travail une fois sortie de la morgue. Je sais parfaitement que j'ai une vie, que je ne peux toujours pleurer sur le malheur des autres, déjà j'aidais à rendre justice, c'était pas mal, alors une fois que j'avais terminée, j'allais profiter de l'extérieur. J'avais envie d'aller danser ce soir ... Mais hors de question que j'y aille seule! disons que je suis loin d'être une personne renfermée, j'arrive à sympathiser avec tout le monde, alors ce soir j'allais tenter de trouver une amie voir des amies, avec qui nous changer les idées. Alors que je sortais de la morgue, je me rendis à la salle de pause pour prendre un café avant de longer les couloirs du SHIELD. Depuis peu j'ai appris à connaître Brunehilde, et voilà que je me rends compte que je ne l'ai jamais croisé à l'extérieur. Vue que j'apprenais à découvrir l'une de mes collègues, pourquoi ne pas en profiter pour mieux se connaître autour d'un verre ? Je pris mon téléphone avant de tomber sur sa messagerie, je l'invitais tout de même ce soir à me rejoindre au Mermaid's Cove, oui c'est moi qui invite, si celle-ci ne pouvait pas tant pis ... Quand à moi, j'irais quand même sur les lieux, j'avais besoin de me changer les idées. |
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