If you want to yell at me, go ahead, I deserve this. {Cameron&Marc}
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
Marc Bowman
Sorcier
More about you :
Codename : Pride
Pouvoirs :
Manipulation des ténèbres ► Marc possède la capacité de manipuler à sa guise les ombres. Il faut cependant que ces dernières soient présentes. Dans une pièce intégralement noire, son pouvoir ne lui servira à rien.
En plus de les manipuler, il peut également s'en servir pour guérir certaines blessures et recharger son énergie. C'est une capacité passive et elle ne sera jamais aussi efficace qu'un vrai repos.
Magie ► Marc est un sorcier, ce qui le rend donc logiquement capable de maîtriser la magie. Il est capable de lancer certains sorts après les avoir appris - et non naturellement comme avec sa maîtrise des ombres. Il peut également détecter les autres sorciers et reconnaître une empreinte magique s'il y a déjà été confrontée.
If you want to yell at me, go ahead, I deserve this.
Le téléphone collé à l’oreille, Marc fixe le paysage à travers la fenêtre ouverte en se maudissant d’avoir eu une telle idée. Comme d’habitude, me direz-vous. D’ordinaire, ses idées terminent mal. Quelqu’un finit par être blessé et le plus souvent c’est lui. Il n’y a qu’à voir dans quel état il est aujourd’hui. Pourtant, celle-ci aurait dû faire partie des bonnes. Parce que pour une fois, elle ne le concerne pas mais concerne sa fille. Après avoir eu ce tête à tête avec l’unique survivant d’un gang qu’il a aidé à décimer, il n’a pas envie que Mercy paie les frais de son pétage de câble. La solution la plus logique pour la protéger de la vie qu’il mène a été de l’envoyer chez ses parents. Les Bowman. Cela fait bien des années qu’il ne leur a pas adressé la parole et sans Mercy, il aurait continué de cette façon. Jouer le rôle du mouton noir de sa famille, ça va bien trente secondes. Il sait qu’il n’est pas Saint Aidan et qu’il ne le sera jamais. La preuve en est, puisque même si ça fait des années qu’il n’a pas parlé à sa mère, la seule chose qu’elle trouve à faire, c’est de l’engueuler au téléphone.
Cela fait bien cinq minutes qu’elle est en train de lui brailler dessus, lui répétant qu’Aidan n’aurait jamais fait une chose pareille, lui. Faudrait déjà qu'il soit sur cette putain d'île, hein... « Vraiment, Marc ? Trois ans de silence et tu nous ramènes une gosse ? Une gosse de seize ans ? Et je peux savoir quand tu comptais nous le dire, à ton père et moi ? » Marc roule des yeux en soupirant, portant sa cigarette à ses lèvres. « Bah… Là ? » Et elle repart de plus belle, sa voix montant d’un octave à chaque mot sortant de sa bouche. Il est irresponsable. Il aurait pu faire un peu plus attention. Il aurait donner des nouvelles au lieu de faire le mort tout ce temps. Et comme par hasard, il n'appelle sa pauvre mère que lorsqu'il en a besoin, tel le sale môme ingrat qu'il est. Et ça continue, continue. Au terme de ce long monologue pendant lequel Marc a eu trois fois le temps de regretter son choix, elle poursuit « T’aurais pu l’accompagner jusqu’ici au lieu de lui faire prendre les transports en commun. » Dans son état ? Il n'aurait pas été fichu de prendre le volant sans provoquer un accident. Mais ça, sa mère n'a pas besoin de le savoir. « Elle a seize ans, maman. C’est bon, elle n’est pas éclopée, la gamine. » « Marc Bowman, je ne t’ai pas élevé comme ça ! » « Tu m’as pas élevé tout court, je te rappelle. T’étais trop occupé à nettoyer les slips d’Aidan à chaque tâche qu’il faisait dessus. » Et allez, ça, c’était fait. Il jette sa clope à travers la fenêtre et se traine non sans mal jusqu’au canapé, en grimaçant. Son flanc est douloureux comme jamais. Il se laisse tomber en grognant, tenant sa blessure et reprenant le fil de la conversation, tout en tentant de garder une voix la plus neutre possible. «Ecoute, je t’ai jamais rien demandé, d’accord ? Pas une seule fois en trente ans. Mais là, j’ai besoin que tu gardes Mercy chez toi quelques jours, le temps que je trouve une solution. Les choses craignent un peu par ici. » Sous-entendu, j’ai merdé et pour sa sécurité, je préfère l’envoyer loin de moi. Silence à l’autre bout du fil. Maman Bowman a des choses à se reprocher et Marc joue allègrement sur la corde sensible. Sans la moindre pitié. « Pour une fois dans ta vie et la mienne, tu pourrais me rendre un foutu service ? Et pendant ce temps… je sais pas, noue des liens avec ta petite-fille ? » « C’est la fille de Meryl, tu dis ? » « Ouais… » « Tu pouvais pas trouver mieux pour nous pondre un môme ? » Marc se tient l’arête du nez en soupirant. Pas une phrase ne sort de sa bouche sans que ce ne soit une pique à son encontre. Comme d'habitude. Bien sûr, si c'était Aidan qui leur avait ramené un gosse de cet âge, un gosse fait avec une folle, le discours n'aurait pas été le même. Marc en est persuadé. Et ça, ça commence vraiment à le gonfler. « Est-ce qu’un jour tu pourras me servir autre chose que des reproches plein la gueule ? Ce serait grandement apprécié. »
Il savait à quoi il s’exposait en envoyant Mercy chez ses parents. Le coup de fil furieux de sa mère. Via le téléphone de sa fille. Profitant d’un appel entre Mercy et lui pour prendre le combiné et commencer à lui passer un savon comme s’il avait encore quinze ans. Certaines choses ne changent jamais et Marc en a la preuve. Ce n’est qu’une question de jour. Il l’a dit. Le temps qu’il se remette de ses blessures et qu’il soit de nouveau capable d’assurer. Il ne peut pas se concentrer sur sa guérison s’il se met à flipper à l’idée que sa fille mette un pied dehors. Et voilà ce que ça fait d’être parent. Merci mais non merci. L’inquiétude paternelle, c’est un truc dont il se passerait très bien. Et dans le silence que laisse cette nouvelle pique à l’encontre de la personne qui l’a adopté, des coups furieux résonnent à la porte. Marc prend soin de les ignorer. « Ecoute, maman, je t’expliquerais tout quand je viendrais chercher Mercy. D’accord ? Mais là, je ne peux pas. » Les coups résonnent une nouvelle fois et il entend quelqu’un l’appeler par son prénom. Il reconnait cette voix et écarte le téléphone de son oreille en arquant un sourcil. Sérieux ? Maintenant ? « Je dois te laisser, ça frappe à la porte. » « Marc ? Attends, Marc, on a pas termin- » « Je te rappelle plus tard. » Il raccroche aussi sec en jetant son téléphone sur le canapé. Au moins, ça met un terme à une conversation désagréable. Même si ça en implique une autre. Il est tenté de faire le mort mais il connait l’identité de la personne qui frappe à la porte. Et il sait qu’elle ne lâchera pas l’affaire. Ce n’est pas sa meilleure amie pour rien. Il se redresse en grognant une nouvelle fois. Il est à court d’anti-douleur et chaque pas est un calvaire pour lui. Sans compter qu'il soupçonne Mercy d'avoir balancé toutes les bouteilles d'alcool de cette maison avant son départ pour être certaine que Marc n'en profite pas pour mélanger les médicaments à la boisson. Autant dire qu'il est condamné à souffrir jusqu'à ce que ça passe. Cependant, il doit ouvrir cette porte avant qu’elle ne l’enfonce. Y’a pas moyen de guérir tranquille sur cette île. Il atteint finalement la porte et avec la plus grande difficulté du monde, il finit par l’ouvrir, devant se retenir au battant. « Arrête de brailler comme ça, Cameron, tu vas rameuter tout le quartier ! »
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Dim 26 Aoû - 21:13
Marc Bowman
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Manipulation des ténèbres ► Marc possède la capacité de manipuler à sa guise les ombres. Il faut cependant que ces dernières soient présentes. Dans une pièce intégralement noire, son pouvoir ne lui servira à rien.
En plus de les manipuler, il peut également s'en servir pour guérir certaines blessures et recharger son énergie. C'est une capacité passive et elle ne sera jamais aussi efficace qu'un vrai repos.
Magie ► Marc est un sorcier, ce qui le rend donc logiquement capable de maîtriser la magie. Il est capable de lancer certains sorts après les avoir appris - et non naturellement comme avec sa maîtrise des ombres. Il peut également détecter les autres sorciers et reconnaître une empreinte magique s'il y a déjà été confrontée.
If you want to yell at me, go ahead, I deserve this.
Il y a des jours, comme ça. Des jours où rien ne va. Et aujourd’hui, bien évidemment alors qu’il est à court d’anti-douleur ou d’alcool, il faut qu’il se fasse engueuler par sa mère comme lorsqu’il avait seize ans. Cela fait bien une dizaine d’année qu’il ne lui avait pas parlé. Et il n’y a aucun doute à avoir sur le fait qu’il aurait pu continuer longtemps de la sorte. Mais à court de solution pour préserver Mercy de ses propres conneries, il n’a pas eu d’autres choix que de se tourner vers elle. Après une engueulade maternelle en bonne et dûe forme, la seule chose dont il se passerait bien, ce serait Cameron passant ses nerfs sur la porte d’entrée. Il l’entend hurler à l’autre bout. Et il sait qu’elle appliquera sa menace, il n’a aucun doute là-dessus. Elle n’est pas sa plus proche amie pour rien. Ce sont rarement des menaces en l’air. Pestant et clopinant, Marc se dirige vers la porte, se demandant pourquoi il a fallu que ce soit aujourd’hui. Ça craint. Elle va le voir dans cet état et connaissant Cameron, elle va lui poser des questions. Et il ne pourra pas vraiment lui dire ce qui s’est vraiment passé, il sera donc forcé de trouver un mensonge qui rende le tout crédible. Le pire dans tout ça ? C’est que n’importe quel mensonge serait crédible venant de lui, s’il le balançait à quelqu’un d’autre que Cameron qui le connait aussi bien que Mai et donc, bien mieux qu’il ne se connaît lui. N’avaient-ils pas fait les quatre cent coups, quand ils étaient jeunes ? Il s’arrête à quelques pas de la porte, grognant à cause de la douleur et s’obligeant à se redresser pour ne pas trop avoir l’air d’être passé sous un bus. Elle frappe une nouvelle fois et Marc s’accroche au battant en l’ouvrant, cherchant à la fois un appui mais aussi un moyen de dissimuler son état. Il invite poliment Cameron à arrêter de hurler. Poliment étant ici ironique, bien entendu.
Cette dernière n’attend pas l’invitation pour entrer, obligeant Marc à se décaler. Bon, pour faire semblant de péter la forme, on repassera. Il referme la porte en serrant les dents et en fermant les yeux. Évidemment que la douleur ne passera pas en quelques jours. Entre son épaule et ses côtes, il est incapable de dire ce qui fait le plus mal. Une main contre son flanc, il avance vers Cameron, presque plié en deux parce qu’il n’arrive pas à faire semblant plus de cinq minutes. Elle a déjà posé son casque sur la table et le regarde à présent. Le fameux regard scanner qui permet à Fox de savoir quand Bowman a fait une connerie. Elle le sonde, analyse le tout et tire ses conclusions en une fraction de seconde. Et il a à peine le temps de protester qu’elle prend déjà en direction de la salle de bains pour aller chercher la trousse de soin. Il la maudit, à cet instant, car il sait ce que ça veut dire. Qu’elle ne le lâchera pas. Car Cameron est comme un pitbull, parfois. Elle ne lâche rien. Et pour preuve, à peine revenue dans la pièce, elle lui ordonne de s’asseoir sur le canapé. Et en lui interdisant de râler.
« J’vais bien, Cameron, c’est bon. J’ai juste plus d’anti-douleur. Et j’ai déjà été recousu, donc perds pas ton temps avec ça. » On se refait pas, hein ? Bowman qui ne râle pas, ce ne serait pas Bowman. Mais comme il sait que Cameron ne lâchera pas le morceau, il lève les yeux au ciel, se dirige vers le canapé et s’asseoit après avoir retiré son tee-shirt. Laissant ainsi à découvert les deux entailles fraîchement recousue qu’il a sur l’épaule droite et sur le flanc droit. Il sent venir le moment où elle va l’interroger donc il prend les devants. « Bagarre.» dit-il simplement. Cela devrait suffire. Ou non. Alors il ajoute un autre détail. « J’étais bourré. Et c’est lui qui a commencé.» Demi-mensonge. Ce n’est pas vraiment une bagarre mais un guet-apens car ce sale petit enfoiré l’attendait bien tranquillement. Mais il ne peut pas expliquer à Cameron pourquoi. Car ça équivaudrait à avouer directement qu’il bosse pour Hydra et qu’il est directement responsable de ce fameux incendie. Même si techniquement, ce n’est pas lui qui a fait exploser la chaudière, vu qu’il était bien trop occupé à se vider de son sang dehors à cause de la balle reçue en pleine épaule. A cette pensée, il pourrait éclater de rire s’il n’avait pas peur que Cameron lui demande la raison. Il se retient aussi parce que rigoler lui fait mal. Mais tout de même... Il a pris une balle dans l’épaule droite et quelques semaines après, c’est son épaule gauche qui trinque. C’est marrant, quand même.
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Dim 21 Oct - 19:44
Marc Bowman
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Manipulation des ténèbres ► Marc possède la capacité de manipuler à sa guise les ombres. Il faut cependant que ces dernières soient présentes. Dans une pièce intégralement noire, son pouvoir ne lui servira à rien.
En plus de les manipuler, il peut également s'en servir pour guérir certaines blessures et recharger son énergie. C'est une capacité passive et elle ne sera jamais aussi efficace qu'un vrai repos.
Magie ► Marc est un sorcier, ce qui le rend donc logiquement capable de maîtriser la magie. Il est capable de lancer certains sorts après les avoir appris - et non naturellement comme avec sa maîtrise des ombres. Il peut également détecter les autres sorciers et reconnaître une empreinte magique s'il y a déjà été confrontée.
If you want to yell at me, go ahead, I deserve this.
Il laisse Cameron regarder, malgré sa réticence. Il sait au fond de lui qu’elle ne lui laissera pas le choix, quitte à devoir l’assommer pour qu’il la laisse observer ses plaies. Et Marc préfère rester conscient, histoire d’avoir l’honneur sauf. Il a déjà pas mal ravalé son orgueil ces derniers jours, après avoir passé suffisamment de temps à l’infirmerie d’Hydra à se faire recoudre la peau. Parce que c’est elle et uniquement pour cette raison, il expose ces entailles, ces marques qui lui rappelleront qu’il n’est pas invincible. Pire que ça. Il a eu un moment de faiblesse. Il a fait le choix stupide de se retirer du combat, parce qu’il n’avait pas envie de tuer ce jeune blanc-bec. Cette seconde décisive avait failli lui coûter la vie. Ces entailles sont le douloureux rappel qu’il ne faut pas épargner ses ennemis. Parce qu’eux, ils ne te louperont pas. Il s’en est sorti par on ne sait quel miracle, mais il a retenu la leçon. Il grimace et siffle quand Cameron observe les plaies sans la moindre douceur. Allant jusqu’à le narguer. Il lève les yeux au ciel en grognant. « Si t’étais aussi douce que ça avec tes patients, t’as bien fait d’arrêter la médecine, oui.» Le mauvais Marc est de sortie. Sa mauvaise volonté se manifeste, ainsi que ses remarques acerbes. Cameron le fait exprès et Marc, fidèle à lui-même, ne se prive pas pour dire ce qu’il pense.
Il soupire de soulagement quand elle s’écarte de lui, même si ce n’est que de courte durée. « Pourquoi je t’aurais appelé ? On m’a déjà recousu. Si je devais t’appeler à chaque fois que je me bats, tu finirais par vivre ici. Et tu veux pas de moi en colocataire, crois-moi. » Un rire rauque sans joie s’échappe de sa gorge. Il braque son regard sur Cameron qui se lève, pensant qu’elle a terminé de jouer au docteur Fox avec lui. Mais non. Elle est investie dans sa mission. La preuve, elle décide d’aller chercher de quoi s’occuper de ces plaies. Il lève les yeux au ciel. « Cameron, c’est bon, je vais bien ! » Putain de merde. Il adore Cameron, ce n’est pas sa meilleure amie pour rien. Mais là, il n’a pas envie de passer le reste de la soirée à moitié à poil. Surtout pour des blessures qui ont déjà été recousues. Mais elle insiste, lui indiquant que ça s’est infecté. Forcément. Ça devait arriver, vu que Marc n’a pas été fichu de rester jusqu’à la fin de sa convalescence à l’infirmerie d’Hydra. Et personne n’est venu le chercher quand il s’est barré, parce qu’ils savent tous que Marc est le pire patient du monde. Ce n’est pas pour rien qu’il a passé beaucoup trop de temps à son goût sous sédatif. Pour l’empêcher de retrouver ce sale gamin, déjà. Et aussi pour qu’il ne frappe personne. Il s’est barré entre deux injections, regagnant l’appartement par miracle plus que par chance. Il soupire quand elle lui dit de ne pas fermer la porte à clé, sous peine de réveiller tout le bâtiment. Elle en est capable, c’est ça le pire.
A son retour, elle lui tend des anti-douleurs et là, tout de suite, il pourrait la bénir. Il n’attend pas qu’elle lui répète pour se les envoyer sans hésitation. Il n’en ressent pas les effets tout de suite mais il sait que ce n’est qu’une question de temps. Et il serait préférable que ça agisse avant qu’elle ne refasse ses points. Marc décide pour une fois d’être un bon patient et de se laisser faire, pour se débarrasser de ce mauvais moment à passer. Il se laisse donc faire, sans râler, grogner ou quoi que ce soit d’autres, attendant avec impatience l’engourdissement caractéristique des anti-douleurs. Il manque cependant de s’étouffer quand elle souligne le fait qu’il devrait changer de bar s’il se fait poignarder à tout va. Forcément, bougre d’idiot. Cameron sait reconnaître des blessures à l’arme blanche. Il se racle la gorge en penchant la tête sur le côté. Fuck. « Comme tu peux t’en douter, j’ai pas que des amis. C’est juste un connard qui a pas apprécié que je drague sa copine. Je savais pas qu'elle était avec ce débile. » Il doit maintenir l’illusion. Cameron ne doit pas découvrir ce qu’il s’est passé en réalité. Il a servi ce mensonge à sa fille, également. Il n’aime pas particulièrement leur mentir, mais c’est pour leur bien. Elles n’ont pas à connaître ses activités. Et encore moins les détails, comme le fait qu’il avait failli y passer. « Pas vraiment par surprise, en fait. Disons que je pensais pas qu’il allait me planter. J’ai peut-être un peu trop fanfaronné et il en a profité.» C’est à ce moment-là que les anti-douleurs commencent à faire effet, alors que Marc a besoin de toute son attention et ses capacités de réflexions pour mentir comme un pro. Il prie intérieurement pour que Cameron n’ait pas ramené les trucs qui font planer. « C’est quoi, que tu m’as filé ?» demande-t-il dans le vain espoir de changer de sujet. Lui qui aurait pu vendre un rein pour des anti-douleurs ces derniers jours regrette maintenant leur usage, parce qu’il doit garder ses capacités intactes.
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If you want to yell at me, go ahead, I deserve this. {Cameron&Marc}
✦ There's no crying wolves now 'Cause the truth has settled in ✦