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A psychologist life is a hard one [Pv Russel et Bucky]
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Ven 23 Nov - 12:10


A psychologist life is a hard one

Ft Bucky
Boulot. Dodo. Boulot. Dodo. Dodo. Boulot. Oui, bon. En ce moment, j'ai un peu l'impression de vivre comme ça. Entre les membres du SHIELD et ceux de la Garde, je suis verni. J'en viens même à mettre mon métier en doute et nom d'une pipe, si on m'avait dit qu'être psychologue allait être autant difficile, pas sûr que j'aurai accepté ce poste. Ou si peut-être. Si quand même parce que moi j'aime mon métier. J'aime m'occuper des autres et on a beau me voir comme un fouineur à qui on ne dit absolument rien. Pensée pour ce cher Graham... humhum. D'ailleurs, il n'est pas censé me voir ce mois-ci? Je sais plus. C'est malin. Faudrait peut-être que je retrouve mon agenda au milieu de tout ce bordel. Oh oui. Ça, ça ça serait une bonne idée ! Et.... Mince, j'en suis où dans mes pensées?
- Euh....

Je bafouille. Je plisse mes sourcils et je reste là, tel un idiot à faire les cents pas dans mon bureau parce que flûte ! J'ai oublié ce que je voulais dire. C'est pas possible. Mes doigts viennent frotter ma barbe et voilà que je commence à m'agiter, à faire des ronds dans la pièce et à reprendre toute ma journée pour retrouver le fil de mes pensées vagabondes.

Non vraiment, Nathan mon bro a raison. Je devrais apprendre à moins me disperser des fois. Mais comment faire alors que j'ai toujours été comme ça en fin de compte. Aussi loin que je me souvienne d'ailleurs. Bref. Concentration. Concentration. Un soupir s'échappe de mes lèvres et je cesse enfin de m'agiter pour m’asseoir à mon bureau.
- Bon !

Au pire, c'était pas important. Ma journée est loin d'être fini et je dois encore voir un dernier patient. Un certain.... Comme à mon habitude, je bouge dans tous les sens. Du regard, je balaye mon bureau dévasté par tout un tas de bordel et je cherche mon agenda perdu. Agenda qui, bien sûr, était déjà tout neuf de base à défaut d'avoir égaré l'ancien. Mais ce n'est qu'un détail. Un tout petit minuscule détail et oh ! Le voilà ! Caché au fin fond de ces papiers administratifs. Papiers administratifs, d'ailleurs, que je n'ai toujours pas rempli. Ouf. M'en voilà rassuré. Non pas que je commençais à stresser mais un petit peu quand même. Car sans lui. Car sans ce précieux agenda à la reliure dorée. Beau n'es-ce pas? Mais là n'est pas la question je sais. Pas sûr que je me souvienne de tous les rendez-vous prévu cette semaine ou même dans l'année entière. Je reprends mon souffle. Tout en secouant la tête pour chasser tout ce qui me traverse à l'esprit, ma main vient à l’agripper et je feuillette les pages d'un air distrait.
- Oui voilà. James Buchanan Barnes. Blessé lors d'une mission. Evaluation psychique pour savoir s'il est apte à revenir sur le terrain.

Le pauvre. Alors que je reste là, les pieds posés sur mon bureau à mâchouiller désormais un crayon de papier, je relis brièvement le dossier. J'essaye d'en apprendre le plus possible sur lui et je regarde ma grande pendule. Qui continue à faire ses tics-tacs comme d'habitude. Je peste contre elle. Je me demande si je ne vais pas finir par la jeter et je me redresse. Je prends ma tasse de café posée sur mon bureau. J'en bois un peu le contenu et je gémis alors que je viens de me brûler la langue avec. Super. Turlutututu. Mais c'est qu'il est l'heure en plus. Et moi qui ne suis pas prêts. Bon. Pas de panique. Dans des mouvements désordonnés, je commence déjà à ranger un minimum mon bureau. Je fais tomber les trois quarts de mes papiers au passage mais je n'ai pas le temps de les ramasser que quelqu'un frappe à ma porte, me faisant sursauter sur place.
- Oui. Oui. Deux minutes ! Deux petits minutes et je suis tous à vous !

A la guerre comme à la guerre, je fourre tout dans un tiroir et je rangerai plus tard. Ou jamais. Me connaissant de toute façon, je vais oublier de le faire. J'y pense déjà même plus et je m'assois correctement. Dans une inspiration, je calme ma respiration effrénée et je souris. J'ancre mes prunelles sur la porte et murmure enfin d'une voix joyeuse et enjouée :
- Vous pouvez entrer !

Avant de rouler un peu mes épaules histoire de me sentir le plus à l'aise possible. C'est partit. Je suis paré à l'accueillir. Ce James Buchanan Barnes qui, d'après son dossier, ne sera pas non plus un patient facile. Je soupire à l'avance. Reste à espérer qu'il soit quand même plus bavard que Graham mais ça. Difficile de faire pire et je me rattache à cet espoir tandis que la porte s'ouvre, laissant entrevoir mon nouveau patient.
Ⓒayaraven
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Ven 23 Nov - 13:21

A psychologist life is a hard one
Russel & Bucky

« I'm nuts, baby, I'm mad. The craziest friend that you've ever had. You think I'm psycho, you think I'm gone, tell the psychiatrist something is wrong » Mad Hatter
Toujours ce même rêve depuis l'accident. Toujours la même action et la même scène qui se déroule devant mes paupières closes. Mon esprit semblent refuser cette vérité. Et pourtant, depuis quelques semaines maintenant, depuis... l'accident, cette explosion, d'autres images se superposent. Des images et des scènes bien trop réalistes pour être inventé de toute pièce. Enfin, peut être pas... Peut être que mon cerveau devient tout simplement fou. Je soupire et passe ma main dans mes cheveux. Je ne les avais pas coupé depuis. Ils ont poussés en quelques mois. Je soupire encore et finalement ouvre mes yeux. Le silence qui m'entouraient était bien trop pesant et à peine étais je arrivé que je souhaitais faire demi tour.

Assis sur une chaise rembourrés dans une salle d'attente, me voilà à serrer ma main gauche posée sur mon jean alors que je fulminais intérieurement. On m'avait forcé à voir un psy au sein du SHIELD, savoir si le trauma n'était pas trop sévère et si j'avais la capacité à reprendre le travail. Je jetais ma tête en arrière, mon crâne heurtant le mur dans un bruit sourd. Je souffle et observe les dalle de polystyrène qui recouvrait le plafond, cachant surement les innombrables fils électriques et tuyaux qui permettait le bon fonctionnement de la pièce et des lampes. L'attente était interminable.

Tant pis, je repasserai plus tard. J'avais autre chose à faire que de voir quelqu'un pour parler d'une mission foiré. J'étais déjà assez en colère contre moi même pour aller le répéter à un mec qui va me poser des questions. Trop de blabla tue le blabla. Je n'étais pas fait pour ça. Et je ne le serai jamais surement. Je préférai l'action aux paroles. Décidé, je me levais pour quitter la pièce, ma veste en cuir retourné noir sous le bras, contrastant avec mon tee shirt blanc, quand une secrétaire entra pour me signaler que c'était l'heure. Bon, faut croire que le destin aime jouer avec mes nerfs...

Je m'arrêtai au milieu de la salle vide et finalement rebroussa chemin pour me diriger vers le bureau qu'elle me pointait. Mon regard glissa sur le corps de la jeune femme. Un sourire en coin de lèvres, hautain fut bien vite effacé quand je remontai mon regard vers son visage quand je pus y lire de la pitié. Je grognais et détourna le regard pour frapper à la porte, la faisant partir, satisfaite de sa tâche surement accomplie.

J'entendis une voix d'homme qui me demanda d'attendre encore deux minutes. Cette fois ci, j'étais réellement prêt à partir. Ou a arracher la porte de ses gonds. Je fermais les yeux et tenta de relâcher la tension dans mes épaules. Cette colère, ce n'étais pas moi. Rappelle toi Barnes. Observer, Analyser, Plan B et C, porte de sortie, Action.

Quand la voix repris c'était pour me permettre d'entrer. Ce que je fis dans le plus grand des silences. Ma main gauche tenant la poignée, je fermai la porte derrière moi et m'avança vers le bureau sans trop savoir quoi dire ou faire. Je m'attendais à voir un homme d'une cinquantaine d'année, cheveux grisonnant, un carnet et un stylo à la main. Au lieu de ça, j'avais en face de moi, quelqu'un de mon âge. Je haussais un sourcil surpris alors que je finis par me planter devant son bureau. Un regard rapide et je pus y voir à certains endroit que le bureau était plutôt désordonné mais le milieu, vide de tout papier. Je ne dis rien, ne sachant que dire face à cette individu qui allait évaluer si j'étais apte à revenir sur le terrain ou pas.

Un stress immense naquit soudainement au fond de mes tripes. Et si il décidai que je ne pouvais pas y retourner ? Que se passerai t-il par la suite ? Je ne voulais même pas y penser. Je suis un soldat. J'étais né pour faire ça. Je tendis alors mon bras droit vers l'homme en face de moi et pour la première fois de ma vie, j'engageai la conversation. Comme lors d'une mission, c'était un rôle que je me donnai. Espionner, cela voulait dire se mouiller aussi et parfois endosser des rôles qu'on ne voulait pas. Jouer la comédie était facile.

-Bonjour.

Se fut le seul mot que je lui adressais pour le moment.
(c) DΛNDELION
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Lun 26 Nov - 14:27


A psychologist life is a hard one

Ft Bucky


Pour dire la vérité, je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Les yeux rivés sur la porte, je sens les battements de mon coeur s'accélérer. J'ai un peu le trac et je me dis que c'est un petit peu stupide quand même. Ce n'est pas comme si c'était mon premier patient. Ni mon dernier d'ailleurs et je secoue brièvement la tête. Je me donne une claque mentale et j'inspire un bon coup pour être le plus concentré possible. Si c'est faisable. On sait tous que ça ne l'est pas cela dit et c'est sur cette pensée vagabonde que je porte mon regard sur Monsieur Barnes. Car ce dernier vient d'entrer et me salue d'un air neutre. Bon bon bon. C'est déjà un bon début. Au moins daigne-t-il me dire bonjour. C'est un bon point. Un très bon point même et je me redresse. Je lui tends ma main dans l'espoir qu'il me la serre. J'espère vraiment ne pas me retrouver le bras dans le vide cette fois, comme avec ce cher Graham et je garde mon sourire. Toujours. Pour apporter de la bonne humeur à cet entretien.
- Bonjour !

Dis-je d'une voix enjouée. Puis, dans un geste un peu désordonné, je lui désigne le siège en face du mien. Je marque une légère pause et je rajoute, même si ce n'est pas très utile en soi. Car mon geste suffit à lui-même et bref. De toute façon, c'est déjà trop tard.
- Mais je vous en pris, asseyez-vous et mettez-vous à l'aise.

L'entretien commence. En vu de ma première impression, oui. Je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Il reste courtois mais je n'oublie pas qu'il est ici par obligation. Pour m'assurer de son état. Pour savoir aussi s'il est apte à remettre un pied sur le terrain et. Et... et. Et zut. Voilà que je ne sais plus ce que je voulais dire de base. Un peu stressé, je toussote. Tandis que mon patient prend place devant moi, je fais de même de mon côté. Je laisse un silence couler entre nous. J'essaye de ne pas être déconcentré par la grande pendule qui fait ses tics-tacs incessants et je porte toute mon attention chamboulée sur le dossier de Monsieur Barnes en pesant chacun de mes mots, histoire de débuter le plus doucement possible. Car nul besoin de le secouer comme un prunier. Par expérience, je sais que ça ne fera rien avancer. Bien au contraire. Et mon but ultime n'est pas de le faire fuir qu'on se le dise. Même si bon. Ici, au Shield comme à la Garde Rouge, on ne peut pas dire que je suis aidé. Niveau compassion, parole, tout ça. En règle générale, je fais fuir sans rien dire. C'est le comble un peu. Je n'ai jamais mangé personne à ce que je sache mais il faut croire que les psychologues ont une très mauvaise réputation. Et pourquoi je pense à ça maintenant? Mon patient. Ma concentration doit se tourner sur mon patient. Pas sur mes pensées.
- Nul besoin de revenir sur le pourquoi vous êtes ici Monsieur Barnes. Sachez que tout ce qui sera dit ici, resterons ici. Je ne suis pas votre ennemi mais votre allié. Mon but est que vous puissiez reprendre le travail au meilleur de votre forme.

Les doigts posés sur le dossier, je le tapote légèrement. Tout en gardant le sourire, je reporte mes iris dans les siens et j’essaye un peu d'analyser son comportement. La manière dont il est adossé sur son dossier. La manière dont il accroche mon regard aussi. Je sens bien qu'il aimerait être ailleurs et j'espère pouvoir le mettre à l'aise. C'est pourquoi, tout en tirant l'un des tiroirs de mon bureau, je sors de mon bordel monstrueux une tablette de chocolat que je tend joyeusement vers mon patient.
- Du chocolat? Ou un café peut-être?

En parlant de café. J'aimerai bien m'en refaire un tient. Peut-être plus tard. Je n'ai pas fini l'ancien et voilà que je m'en rend compte en portant ma tasse à mes lèvres. Il est froid. Beurk. Ca m'apprendra à ne pas le boire tout de suite et je papillote des paupières. Je bouge légèrement les fesses sur mon siège avant de poursuivre, en posant mes deux coudes sur le bureau.
- A moins que vous préférez qu'on commence la séance tout de suite. Comment vous sentez vous?
Ⓒayaraven
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Mer 28 Nov - 19:02

A psychologist life is a hard one
Russel & Bucky

« I'm nuts, baby, I'm mad. The craziest friend that you've ever had. You think I'm psycho, you think I'm gone, tell the psychiatrist something is wrong » Mad Hatter
Un sourire et un bonjour plein de vie d'entrain en suivit le mien plutôt froid et plus... protocolaire. Il me tendit une main que j'hésitais franchement à serrer. Les débordements de joie et d'affection c'était pas vraiment dans mes cordes. Surtout au SHIELD. Peut être en privé, si un jour, je rencontre celle qui sera la future Madame Barnes, je pourrais alors changer mais pour le moment ce n'est pas le cas. Alors je saisis la main tendue au bout d'un temps dans un bref bonjour. Aussi, la lâchais-je peut être une ou deux secondes plus tard. Il me montra alors le siège et me dit de m'asseoir et de me mettre à l'aise. Okay pour s'asseoir. Se mettre à l'aise on repassera.

Dans le silence le plus total, je posais ma veste sur le dossier, pliée en deux et m'assis sur la chaise présenté. Une chaise somme toute des plus classiques avec deux accoudoir rembourrés. Je gardais une posture droite, les mains liés entre elle alors que je fixais l'homme en face de moi. Il semblait stressé. Il toussote une fois avant de chercher quelque chose dans la pièce puis il semble finalement reprendre contenance avant de m'informer qu'il n'y a pas besoin de répéter pourquoi j'étais ici. Et le bla bla commença. Votre allié hin ? Un petit sourire, narquois, naquit à cette parole en coin de lèvres mais je ne le gardais pas. Mon regard passait sur les murs sur le bureau, les étagères pleines de dossier pour revenir sur le psy. Ouais, joli discours tout ça. Mais moi j'avais rien demandé. Mais je savais que plus j'entrai dans son jeu facilement, et plus je sortirai vite de cette pièce. Aussi, dans le silence qui suivit sa première tirade, je hochais la tête positivement pour lui faire comprendre que j'étais d'accord et que j'avais entendu ce qu'il disait.

Mon regard passa ensuite sur le dossier qu'il avait tapoté du doigt. Le mien. Je me raidis un tant soit peu, ignorant ce qui était marqué dedans. Certaines missions n'était clairement pas notifié là dedans alors jusqu'où les infos circulaient ? J'eus l'envie soudaine de lui arracher le dossier des mains et de m'enfuir le plus rapidement possible. L'avait il déjà lu ? Puis il fouilla dans son bureau dans un son de bric-à-brac qui s'entrechoquait. Il en sortit une tablette de chocolat alors qu'un sourire trônait sur son visage. Il m'en proposa en même temps qu'un café. Je n'avais, ni l'envie de l'un, au vu de l'origine douteuse du fin fond du tiroir, ni envie de l'autre. Mais pour ne pas passer pour un asocial et quelqu'un de fermé, j'acceptais l'offre du café.

-Un café sans sucre, merci.

J'observe chaque mimique traversant le visage de ce psy et finalement y discerna quelques émotion. Du stress évident, une pointe de dégoût quand il porta sa tasse à ses lèvres. Surement froid. Et puis de nouveau le stress quand il me demanda si on préférai plutôt commencer la séance tout de suite. Et alors qu'il me demandai comment j'allai, j'inspirai un coup.

Comment je me sentais ? Comme.. Je fronçais les sourcils. En vérité je n'en savais rien. Ces rêves et ces flashs venait parfois endommager mon sommeil, au quel cas, je restais le reste de la nuit à m'entraîner. Mais moralement, je ne m'étais pas vraiment posé la question. Elle était pourtant banale, comme lorsqu'on croise un ami dans la rue et qu'on prend des nouvelles. Pourtant, ici, elle semble prendre un tout autre sens. Alors, au bout d'un moment, je décrétai, presque trop sarcastique.

-Comme quelqu'un qui vient de perdre son bras.

Bon c'est vrai, j'l'aidais pas. Allez, soit poli et souris. T'es observé !
(c) DΛNDELION
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