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La connaissance absolue n'existe pas {Avery} ✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦ |
| | Ven 10 Mai - 12:02 | | La connaissance absolue n'existe pascar il y a toujours quelque chose à apprendreFeat Kobik & Avery Ce n’était ni rare, ni anodin de voir Kobik au sein de l’académie du Shield malgré son diplôme obtenue depuis quelque temps maintenant. Elle n’était pas une ancienne étudiante ayant quitté les bancs de l’école depuis suffisamment longtemps pour avoir été oublié, mais tout de même pour avoir sa place bien marquée au Shield. Une place qu’elle aimait et qu’elle exploitait au sein de ses missions sans remords. Cependant, la jeune femme revenait souvent dans les locaux lui ayant appris bon nombre de choses, entretenant ce fait de ne pas être oubliée. Certains avaient pu être surpris de la voir se faufiler dans les amphithéâtres un premier temps, mais l’explication avait été toute simple. Même une fois dans l’agence, la jeune blonde considérait qu’il y avait toujours à apprendre et, se mettre aux goûts de jour se faisait toujours si facilement en allant écouter certains cours des plus passionnants, ou des plus soporifiques selon les intervenants.
De mémoire, la jeune femme ne se souvenait pas d’avoir eu de soucis lors de son temps en ces murs. Sans forcément être l’étudiante la plus modèle, celle dont les enseignants voulaient placarder la tête en mémoire, elle n’avait pas non plus été cette cancre à qui on souhaitait mettre un bonnet d’âne. Tout au long des années, Kobik avait cherché à ne jamais se contenter de ses facilités, s’était heurtée à certains problèmes, et c’était pour l’un deux qu’elle revenait aujourd’hui, profitant d’une de ses journées de repos.
Légèrement en retard, ayant mal calculé son arrivée, elle s’était faufilée sans se faire remarquer sur l’un des sièges de l’intervention qu’elle souhaitait écouter. Prenant place aux côtés des étudiants, son bloc note posé et prêt à prendre des notes, elle s’était penchée vers sa voisine de chaise, une étudiante à la chevelure brune.
« Qu’est-ce que j’ai loupé ? »
Elle n’avait pas cherché à parler trop fort afin de ne pas déranger le cours. Kobik restait respectueuse de chaque intervenant et elle refusait de déranger une intervention à cause d’une simple information qu’elle demandait.
Une façon aussi de sympathiser de façon informelle. Il n’était pas rare de voir des étudiants échanger en cours, sur des sujets qui n’avaient strictement rien à voir. La jeune femme se souvenait de discussion afin d’organiser une soirée dans les lieux connus seulement par ceux présents en formation. Le genre de soirée qu’avait toujours adoré la blonde qui ne se cachait pas de s’y rendre. Une bonne formation était certes une assiduité en cours, mais aussi savoir se détendre par la suite pour mieux assurer en examen.
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Mutant Codename : Bulletproof (THE GAY DESERVE A BULLETPROOF JACKET #NoMoreLexasDeath hem.)
Pouvoirs : - Arme naturelle : La peau se fond et les bras deviennent translucides. Le processus ne prend qu'une minute à peine pour voir les membres de la gamine, du creux du coude aux doigts les plus fins, pour devenir des lames acérées. Le changement est difficile, fait grimacer la gamine qui ressent une douleur sourde tout le temps que ses armes sont sorties. Mais avec le temps, les lames capables de couper n'importe quel matériel, ou presque, font partie de son corps aux capacités étranges et si convoitées.
- Dysfonctionnement des armes à projectiles : En réponse à son arme naturelle, celles superficielles, faites pour tirer et non transpercer, se meurent dans un silence étourdissant. Les armes à feux s'enraillent, les missiles refusent d'être tirés, les fusils se vident de leurs cartouches. En présence d'une jeune fille, soudainement, la violence du monde semble ne plus pouvoir frapper. Du moins seulement pour les armes à projectiles et seulement dans un rayon de 300 mètres, ce qui confère une capacité sommes toutes largement limitée. Et quand bien même les armes ennemies volent dans ses mains, Avery ne peut tout bonnement pas les utiliser. Messages : 356
DCs : Skye & Aelys & Kaine & Aidan & Nikki & Gwen & Klaus & Matthew & Heather & Isaac & Luke & Haiden & Erica & Norrin & Charles & Asami
Pseudo : Renescence
| Ven 31 Mai - 15:36 | | THERE IS ALWAYS SOMETHING TO LEARN Kobik ft. Avery Tes doigts glissent naturellement sur le clavier posé devant toi. Ton notebook supporte sans difficultés les notes que tu prends, mais aussi les navigations internet que tu entames discrètement. Tu en es à ton troisième cour de la journée, et bien que tu es généralement passionnée par tout ce que tu entreprends à l’académie du SHIELD, aujourd’hui est quelque peu différent pour toi. Tu as légèrement repoussé ton sommeil de la veille, et le prix commence à se payer alors que l’après-midi a bien débuté. Tu savais ne pas avoir de cours physique, alors tu t’es permis de participer à une soirée avec d’autres camarades de classe effrontés. Pour autant, sacrifier tes nuitées au profit de certains amusements ne te réussis pas. Certainement pas alors qu’un espion retraité du SHIELD est venu raconter ses déboires et autres stratégies mises en place pour le compte de l’organisation adulée. Tu soupires alors que le cours dérive un peu plus. Tu as beau t’accrocher pour écouter, tu as vraiment du mal à maintenir ton attention sur ce qu’il se raconte à quelques bancs plus loin que toi. Les anecdotes se multiplient et le sujet central concernant les stratégies approuvées et interdites par le SHIELD laisse place à bon récit digne des meilleurs feux de bois. Tu regrettes certainement de ne pas avoir amené d’aspirine ou de boisson énergisante avec toi. Quand bien même l’intervention et les échanges sont très sympas, tu n’arrives tout bonnement pas à t’impliquer proprement dans ce cours enseigné.
Tu t’accroches malgré tout et essaye encore. Plissant les yeux alors que tes oreilles captent des murmures de rire à peine compréhensibles pour toi. Il est mention de se retrouver « tout petit dans les tranchées ennemies » et tu as du mal à saisir la blague. Un chuchotement plaintif t’échappe alors en conséquence. « Pfiou, je comprends rieeen. » Au même instant, une silhouette se rapproche de toi et s’assied à tes côtés. Tu sursautes violemment, l’arrivée ayant été si discrète que tu aurais pu croire à une attaque surprise. Tes mains ont claqué sur le clavier, heureusement si subtilement que personne n’a rien remarqué. Tu rougis alors, embarrassée par ta réaction puérile, et te racle doucement la gorge. Faisant mine de reprendre tes notes alors que tu étais figée moins de deux secondes auparavant. La jeune femme à tes côtés, qui semble plus âgée que toi et dont le visage ne te revient pas, se penche alors vers toi. Susurrant une interrogation dans tes oreilles qui te fait mordre des lèvres. La pauvre, tu la retiens de la prévenir qu’elle n’a probablement pas choisi la bonne collègue si elle comptait copier tes notes. Pour preuve, ton word ouvert n’affiche qu’une centaine de mots récupérés sur un récit exprimé depuis déjà une bonne quarantaine de minutes. Malgré tout, tu évites de décourager la nouvelle arrivée. Tu n’as pas vraiment envie de passer pour une cancre de service alors que tu sors simplement d’une longue soirée. Tu sais très bien que tu as un peu trop tenté tes limites la veille, et on ne t’y reprendra plus, tu t’en fais la promesse.
Alors tu prétends afficher une contenance loin d’être éprouvée. Voulant faire bonne impression, sans vraiment trop savoir pourquoi cela te semble si important en l’instant. « Oh, pas grand-chose. Sauf si tu mourrais d’envie de savoir comment te faire toute petite face à des terroristes reconnus. » Tu tentes une petite plaisanterie alors que tu interprètes à ta manière la dernière anecdote énoncée par l’intervenant. Tu fronces encore les sourcils en tentant de comprendre celle-ci, mais il y a fort à parier que ta façon de suivre le cours de moitié ne t’a tout simplement pas aidé. Tu soupires alors, et tu te décides à confesser ton péché. « Bon en vrai… j’ai pas écouté grand-chose, désolée, je fais une piètre élève sur laquelle se reposer. » Oui, tu ne peux pas continuer d’être l’élève modèle alors que tu es tout sauf certaine des informations que tu partages. Toutefois, tu maintiens malgré tout ta tentative de faire bonne mesure face à la blonde. « Mais c’est exceptionnel, tu m’aurais demandé hier ce qu’il s’est passé pendant que l’agent May nous expliquait le déroulé d’une mission en terre étrangère, là j’aurais pu tout te dire dans les moindres détails ! » Tu mimes un petit garde à vous en murmurant un « J’le jure chef » et te retiens de pouffer derrière ton ordinateur. Il n’y a pas de quoi être fière, Burnham. Et pourtant, c’est plus fort que toi, il fallait que tu rigoles histoire de te détendre toi-même. D’ailleurs, en parlant de la journée précédente, tu fronces les sourcils et tu détailles la jeune femme à tes côtés. Non, vraiment, tu es sûre qu’elle n’était à aucun des cours que tu as pu assister avant. Tu es suspicieuse alors que tu demandes, un tantinet craintive de te faire passer pour plus terrible élève que tu ne l’es déjà : « Euh, ça va te sembler bizarre, mais je crois que c’est la première fois que je te vois ici non ? Tu es nouvelle ? » Ok, elle a l’air plus âgée que toi, mais de nos jours, ça veut plus rien dire, les statistiques, n’est-ce pas ? Tu te mordilles un peu plus les lèvres et achèves tes doutes : « Moi c’est Avery au fait. Et je ne cherche surtout pas à offenser… » Si jamais tu l’as juste jamais remarqué, t’as vraiment pas envie de passer pour la fille qui se moque totalement des autres. Après tout, si c’était le cas, tu ne serais sûrement pas du côté du SHIELD.
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| | | Lun 17 Juin - 8:48 | | La connaissance absolue n'existe pascar il y a toujours quelque chose à apprendreFeat Kobik & Avery Kobik avait cherché à être la plus discrète possible lors de son entrée dans l’amphithéâtre. Ses années à l’académie était encore assez bien ancrées dans son esprit pour lui rappeler la tête de certains intervenants face aux retardataires et si, à l’époque ça la faisait rire, et encore maintenant, elle refusait d’être la raison de cette interruption. La blonde était tellement focalisée sur cette discrétion, la même qu’elle appliquait en mission, qu’elle n’avait pas remarqué l’effet de surprise créé chez sa nouvelle voisine. Elle s’était simplement glissée là, à une place libre, sans aucune volonté de déranger qui que ce soit. Et pourtant, elle s’était tout de même penchée vers elle afin d’en savoir plus. La blonde avait vaguement les horaires des interventions en cours, mais cette connaissance ne lui apportait rien sur le déroulement du cours.
La jeune femme à ses côtés la rassurait. L’agent revenant en classe semblait ne rien avoir raté de bien important selon ses dires et, du peu qu’elle entendant de l’aguerris dispensant ses connaissances, il était bel et bien dans des anecdotes. Chose qu’elle adorait à l’époque alors que celui lui permettait de bien mieux se projeter dans ce qu’elle préparait. Elle eut un discret rire face à la plaisanterie.
« Rien de mieux qu’un cours sur la discrétion. Être petite peut beaucoup aider dans ce cas. »
Ce qui était son propre cas. Elle avait eu le droit à des remarques amusante sur sa petite taille lors de son adolescence, mais Kobik adorait démontrer l’utilité face aux grandes perches. Pouvoir se faufiler là où personne ne peut aller, esquiver aisément et en cas de planque, elle pouvait au moins entrer dans un placard.
L’aveu était fait, la jeune reconnaissait son tort que la blonde balayait d’un geste de la main. Aller à l’académie du Shield n’assurait pas de trouver que des élèves assidues. Elle-même ne l’avait pas été, entre les fois où elle ratait volontairement un cours pour apprendre autre chose ou les fois où elle avait l’esprit ailleurs. Et pourtant, elle s’était sortie de là sans difficulté, avait obtenu son diplôme et bossait aujourd’hui comme agent de terrain. Ce n’était pas facile tous les jours, elle en récoltait parfois des blessures – ou des bizarreries – mais elle aimait ce poste.
« Il faut savoir relâcher la pression parfois. Je suis prête à parier que la moitié de votre promo n’écoute pas grand-chose. »
Cours matinale, il suffisait d’une bonne fête la veille pour arriver à cette déduction. La réaction de l’étudiante amusait la jeune femme. Elle se voyait à sa place pouvant avoir les mêmes mimiques. En vérité, elle ne prêtait pas attention à qui écoutait ou non. Chacun était libre de fonctionner comme il le souhaitait, à la condition d’assumer par la suite.
« Ne te sens pas coupable de ne pas avoir écouté. Tout ne peut pas être très intéressant. Et non, plutôt une ancienne qu’une nouvelle. »
Le doute était désormais levé. Kobik était là en tant qu’auditrice libre profitant de son repos pour revenir dans ce lieu qu’elle avait déjà côtoyé.
« Kobik. Je suis déjà diplômée et agente au Shield, mais j’étais un peu nostalgique d’ici. Tu ne m’offenses pas du tout. »
Les présentations étaient désormais faites, ainsi que le doute levé.
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| Ven 2 Aoû - 9:40 | | THERE IS ALWAYS SOMETHING TO LEARN Kobik ft. Avery Ta réaction enfantine te dépasse, mais c’est plus fort que toi. Ton coude frôlant celui de la blonde à tes côtés, tu ne peux que te mordre les lèvres et aborder une mine paniquée. T’as l’air de quoi, toi, avec tes notes qui, si on y regarde de plus près, ne veulent pas dire grand-chose maintenant ? T’es loin de fournir un bon exemple pour la nouvelle promo du SHIELD. Tes doigts glissent sur le clavier, mais il s’agit plus d’un automatisme que d’une preuve d’assiduité bien longtemps esquivée. Une partie de toi attend que le SHIELD t’embauche officiellement, et pas seulement comme standardiste. Une autre cherche à te motiver, te rappelle les notions politiques acquises par tes parents. Opérer dans ce métier ne signifie pas qu’il faut simplement brandir des petits poings pour réussir. Pour autant, tu as l’impression de décevoir alors que tu n’es pas vraiment capable de répondre aux attentes de ta nouvelle voisine. Heureusement pour toi, celle-ci ne semble pas trop te prêter attention, ni ne cherche à recopier sur toi. Pfiou, bonne nouvelle, tu peux souffler Avery. N’empêche qu’elle répond à l’anecdote que tu as cherché à partager, toujours en quête de son sens d’ailleurs, et te voilà en train de froncer les sourcils. Tu regardes ta collègue imprévue, puis tu t’observes aussi, du mieux que tu le peux du moins, vu vos positions respectives. Tu abandonnes alors ton clavier et fait claquer ta langue sur ton palais, faisant la moue : « Mmm personnellement j’ai l’impression qu’être petit peut apporter aussi son lot d’intérêt de la part des autres. Mais j’imagine que ça dépend des situations. C’est sûr que dans les tranchées, comme notre intervenant en parle, ça doit être pratique. Encore que j’ai dû mal à comprendre à quoi il fait référence, parce qu’il n’a pas l’air de connaître notre problème de taille. » Tu désignes l’interlocuteur du cours, dont tu n’as même pas retenu le nom, du bout du doigt. Avec un apparent mètre 80, tu as vraiment du mal à saisir l’anecdote sur la petite taille. Existerait-il un sérum quelconque pour rétrécir et ne pas se faire voir de ses ennemis ? Hum, la question mériterait d’être exploitée. Mais tu hausses les épaules, manque presque de repartir dans tes pensées.
Jusqu’à ce que, du moins, tu daignes t’excuser et admettre tes torts, ce qui n’a pas l’air de déranger celle à tes côtés. Tu es plutôt rassurée par sa réaction, et tu peux désormais de détendre. Au moins, les choses sont claires, ce n’est pas le bon jour pour compter sur ta vivacité d’esprit. Ni sur la tienne, ni sur celle des autres, à en croire l’inconnue. Tu la regardes en riant discrètement, et tu finis par suivre les cibles de ses prunelles amusées. Effectivement, tu peux revoir tes amis effrontés se retenir de bailler avec force. Et bien d’autres de tes camarades partagent vos états, même si cela ne retient pas certains d’interroger l’intervenant du cours avec vigueur. « Maintenant que tu le dis, j’ai l’impression que notre classe rassemble des zombies. Je crois qu’on en a vraiment trop fait à la soirée d’hier. C’était sympa mais… urgh, pourquoi on fait ça le jeudi et pas avant un week-end histoire de se préserver, franchement ? » Oui, c’est certainement une des règles que tu comprendras le moins dans le monde étudiant. Un jour dans la semaine dédié aux soirées, mais ce n’est jamais la veille d’un samedi. Pourtant, ça pourrait en arranger plus d’un. Au moins tous ceux qui restent dans le coin, malgré l’éloignement des familles. Tu soupires, brièvement, avant de t’interroger également. « Votre promo ? » Votre, comme, ce n’est pas la sienne ? Tu aspires à pousser l’interrogatoire, mais ta voisine ne t’en laisse pas l’occasion. Rapidement, elle se présente à toi, et tu te retrouves à l’analyser à nouveau. Etonnée et réjouie par la surprenante vérité. « Oh, une ancienne hein ? Et bien dis donc, certains cours doivent vraiment te manquer pour que tu reviennes y assister ! » Tu rigoles légèrement, mais en même temps, te voilà intriguée. « Enchantée Kobik ! Excuses-moi par avance pour les questions, mais c’est la première fois que je vois un agent du SHIELD ici. Enfin, pas en chair et en os comme si j’en avais jamais croisé dans la vie… juste qu’hormis les professeurs, les agents restent en général de l’autre côté du bloc. Dans le feu de l’action. » Tu te mélanges les pinceaux au début, mais tu parviens finalement à donner de la signification à ta phrase. A croire que tu es soudainement intimidée par la présence de cette jeune femme qui t’annonce être diplômée et travailler pour le SHIELD. En gros, elle est littéralement ce que tu voudrais être dès que possible. En espérant ne pas te foirer aux examens. « Ok alors… t’es diplômée depuis longtemps ? Tu travailles dans quelle branche du SHIELD ? Ah, excuse-moi pour toutes ces questions, mais c’est juste que j’aimerais tellement être à ta place… » Enfin bon, Avery, tu ne sais pas ce qu’elle vit au quotidien, peut-être que tu idéalises tout. Dans tous les cas, maintenant, tu es bien réveillée. Ton attention est toute tournée vers la blonde que tu dévisages avec un rictus égayé au coin des lèvres. « Mademoiselle Kobik, je crois que c’est vous qui allez me faire un cours aujourd’hui. » Tu pouffes alors que tu chuchotes ces quelques mots, oubliant déjà le vrai professeur du jour. L’agent à tes côtés, tu n’as qu’une envie, celle de l’écouter.
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| | | Mer 7 Aoû - 9:36 | | La connaissance absolue n'existe pascar il y a toujours quelque chose à apprendreFeat Kobik & Avery Revenir après avoir fait ses classes avait aussi ce côté amusant que de rencontrer des étudiants des promotions suivantes. Il était difficile de savoir à l'avance ce que préparait la prochaine génération d'agents, alors que ces jeunes allaient devenir les collègues de la blonde par la suite. Certains s'orienteraient certainement vers l'informatique, d'autres la logistique, mais beaucoup souhaiteraient aller sur le terrain et cela intéressait Kobik que de savoir qui elle finirait par côtoyer d'ici quelque temps. Alors elle allait plaisir et utilité en étant présente dans cet amphithéâtre, sympathisant avec Avery avec qui le feeling semblait passer sans accroc.
Les propos qu'avait sortis la jeune femme étaient avant tout pour rebondir sur les dires de sa voisine, alors qu'elle était arrivée trop tard pour capter l’anecdote. Certainement une similaire à laquelle elle avait eut le droit lorsqu'elle faisait ses classes. Bien que parfois beaucoup lui sortait le contraire, elle voyait énormément d'avantage à ne pas franchir la barre du mètre soixante quand d'autre sont tout bonnement au-dessus de leur courbe de croissance, comme ce prof qui, si elle allait se mettre à côté de lui faisait une bonne tête de plus, sans que cela ne la gêne pour démontrer que l'on pouvait mettre tout le monde à terre. Les gens ne se méfiaient pas assez des petits.
« Je crois que c'est une tradition la soirée du jeudi soir. Pour ceux n'étant pas d'ici et souhaitant rentrer le week-end. Mais c'est stupide, les profs connaissant cette habitude et sont plus vigilant le vendredi par la suite. »
Kobik n'avait pas non plus fait beaucoup de soirée quand elle était à l'Académie. Pas que ça ne l'intéressait pas, bien au contraire, mais en voulant donner le meilleur d'elle-même, ses soirées étaient avant tout pour réussir son diplôme. De temps à autre, elle cédait à la tentation, mais l'alcool et elle ne faisant pas bon ménage à forte dose, elle n'était jamais gagnante le vendredi.
La jeune femme eut un sourire de malice quand Avery tiqua sur son exil de la promo. La blonde n'avait pas encore précisé qu'elle n'était plus étudiante, elle allait le faire, mais les indices étaient là. Le voile allait se lever ne laissant plus la brune dans le flou quant à l'identité de la jeune femme. Elle avait raison, les rares agents à revenir à l'Académie le faisait souvent pour mener une intervention. Rien de mieux qu'un expert du terrain pour transmettre ses connaissances. Mais mieux ne valait pas que ce soit Kobik qui le fasse. Avec ses façons de faire, le cours serait tout sauf conventionnel. Peut-être que cela plairait à certains.
« Ne t'excuse pas, c'est bien d'être curieuse. Au moins, si j'avais été un ennemi infiltré, je n'en aurais pas mené large. »
La blonde avait fait un clin d’œil d'amusement à sa comparse. Finalement, elle qui était revenue dans cet amphithéâtre pour se mettre un peu au goût du jour, et ensuite aller voir le corps professoral, elle s'était totalement désintéressée de tout ça. En rencontrant Avery, Kobik avait eut la chance de faire connaissance d'une personne fort sympathique et pour qui elle était prête à répondre aux diverses questions. Il leur fallait juste éviter de perturber le cours, chose facile en étant assez loin des premiers rangs.
Un véritable interrogatoire qu'elle allait passer. Kobik prenait le temps d'écouter les diverses questions de sa voisine avant d'y répondre. Elle aurait pu, le faire au fur et à mesure, mais elles risquaient de perdre le fil. À l'inverse, elle notait mentalement les questions et s’apprêtait à enchaîner les réponses pour éclaircir la vision de la miss.
« Ça va faire deux ans que j'ai quitté l'Académie et je suis actuellement affilée aux missions de terrains, à la Red Door. Et ce que les gens ont tendance à oublier, c'est que le diplôme ne certifie pas d'avoir la connaissance absolue. J'aime bien venir voir les changements de programme et je devais voir quelques enseignants aujourd'hui pour leur poser quelques questions. »
Officiellement, ces questions concernaient des individus lambda qu'elle aurait pu rencontrer en mission. Officieusement, cela la concernait elle-même, alors que certaines choses s'avéraient relativement étranges depuis sa dernière mission. Elle y avait eut chaud aux fesses, avec l'explosion du quartier général de Hydra, et cela avait comme déclenché quelque chose dans son esprit.
« C'est avec plaisir que je peux vous enseigner deux-trois choses Avery, qu'est-ce que tu veux savoir ? »
Le partage de connaissance était une notion noble pour elle. L'individu avait beau être unique, il n'était pas fait pour avancer seul et c'était avec des attitudes comme celles des deux femmes qu'il était possible d'avancer et de progresser.
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| Sam 21 Sep - 21:05 | | THERE IS ALWAYS SOMETHING TO LEARN Kobik ft. Avery Une grimace déforme subtilement ton visage alors que tu réalises que ta voisine a raison. En réalité, la tradition des soirées du jeudi prend tout son sens quand on prend en compte tous ceux qui retournent vers leurs familles le week-end. Pour une minorité d'entre vous, ce n'est pas forcément le bon plan, mais pour le reste, c'est fort arrangeant. Encore que, de ton côté, tu n'aimerais pas te pointer chez tes parents le vendredi, avec la gueule fatiguée qui afficherait tes déboires de l'université. Tu soupires doucement alors, en hochant doucement la tête. Après tout, de toute façon, participer à ce type de soirées ne constitue qu'une option falcutative. Tu veux bien y goûter une fois ou deux, mais tu es déjà bien décidée à arrêter les frais. Pas question que ta formation subisse tes coups d'éclats d'étudiante fêtarde. Ce n'est pas ton genre, et ce n'est certainement pas l'exemple que tu comptes donner. Tes parents ne t'ont pas élevée ainsi.
Tu reprends donc le fil du cours, mais celui-ci laissant place à des rires des étudiants face à l'intervenant, tu prêtes rapidement beaucoup plus attention à la jeune femme à tes côtés. Kobik fait preuve d'une vivacité d'esprit qui te plait, et tu accroches immédiatement avec elle, regrettant presque de ne l'avoir jamais croisé plus tôt sur les bancs de l'amphithéâtre. Ce détail s'explique toutefois rapidement, et c'est un sourire béat qui s'affiche sur tes lèvres quand tu réalises la chance d'avoir la blonde à tes côtés. Une agent confirmée, ce n'est pas tous les jours que tu as l'occasion de prendre le temps de papoter avec. C'est à peine si toi-même tu les croises au Standard du SHIELD. A part les gratte-papiers qui attendent après tes appels transférés, tu n'as pas le loisir de connaître ceux qui agissent sur le terrain à point d'heure de la journée. Tu fronces néanmoins les sourcils à la petite blague de Kobik, qui semble osciller entre amusement et sérieux rapidement. A ton tour de rétorquer, faussement offusquée : « Oh, tu rigoles ?! C'est moi qui n'en aurais pas mené large si tu avais été une ennemie. Tu imagines ma déception ? J'aurais bien été triste de ne pouvoir te parler comme ici ! » Tu rougis presque à la déclaration énoncée, ne te rendant pas compte qu'il t'est facile de te montrer affective avec les gens. Pourtant tu es sincère. Tu es certaine que tu aurais voulu faire connaissance avec la blonde, tant elle semble naturelle et sympathique. Il y a quelque chose chez elle qui te donne irrémédiablement envie d'en savoir plus, sans pour autant forcer le contact entre vous.
Mais tu dois bien avouer que tu as quand même l'impression de pousser. Tes questions se multipliant, tu crains de retrancher Kobik et qu'elle ne veuille plus forcément donner suite à tes demandes. Mais c'est tout simplement qu'elle se confie, et tu écarquilles les yeux, encore plus admirative. Tu tends les mains en avant, complètement tournée vers la blonde, et te retiens de t'accrocher à elle alors que tu assimiles sa position. « Noon, t'es à la Red Door ? Wow, tu sais que c'est probablement la section qui attire le plus les recrues ? » Bien sûr qu'elle doit le savoir, puisqu'elle a été sur les bancs de l'académie. Tu te reprends en secouant la tête, un petit rire aux lèvres. « Je t'avouerai que moi-même, j'hésite sur la branche vers laquelle me spécialiser. Notamment entre la Red Door et la section Sandbox. Il y a tellement de champs d'action pour le SHIELD et tant de... tant de menaces à éviter ou à contrer. C'est difficile de savoir vers quoi se tourner. » Tu as un peu hésité avant de t'avancer sur la société morcelée de Genosha. Tu vois bien que le danger perdure. Et si on te demandait maintenant de choisir ta section, tu ne saurais pas où signer. Il y a bien trop de catastrophes à gérer. Le monde est en feu, et les citoyens ont besoin d'être protégés. Mais qu'est-ce qui peut assurer le plus leur sécurité ? Tu profites de ta lancée et de l'approbation de Kobik pour poursuivre tes investigations. Rendue curieuse par cette agent si particulière, heureuse de pouvoir partager son propre mode opératoire. « Comment tu as su ? Que c'était ce que tu voulais faire, je veux dire. Qu'est-ce qui t'a amené à te ramener au SHIELD et à te dire "voilà, je veux être sur le terrain, je veux rejoindre la Red Door" ? Tu n'as jamais pensé à une autre carrière ? » Ta question semble bête au premier abord, mais elle est complètement sérieuse. Après tout, l'organisation est la première à partager les statistiques sur les élèves abandonnant leur formation en cours de route. Les doutes les assaillent, la réalisation que le danger est partout et peut frapper leurs proches leur saute aux yeux, et soudain, ils ne veulent plus entendre parler du SHIELD. Alors comment être sûre, dans de telles conditions, de faire le bon choix, au détriment des autres et plus particulièrement de ses proches ?
« Et tu as raison tu sais. Les professeurs ne nous le disent pas forcément, mais l'obtention du diplôme ne signifie pas que notre enseignement est complet. On devrait prendre exemple sur toi. » Tu te détournes un bref instant pour observer la pièce et les gens présents. L'intervenant mime quelque chose de ses mains, narrant certainement une de ses missions réussies. Tu finis par désigner la scène d'un hochement de tête, reportant ton intérêt sur la blonde. « On t'a jamais proposé d'intervenir dans les cours ? Je suis certaine que tu aurais un succès fou. » Tu souris, plus convaincue que jamais. Douchant ton enthousiasme, tu justifies quand même sur un ton plus sérieux : « Et puis, je suis sûre qu'on apprécierait tous le point de vue d'un agent récemment promu. Avoir un retour actualisé, plus véritable sur ce qu'il se passe en ce moment entre le SHIELD et Genosha...Ouais, ça, ce serait utile. Un vrai bon cours. Et je serais au premier rang pour t'écouter ! » Tu termines alors, penchant la tête sur le côté. Oui, par bien des égards, la formation du SHIELD peut encore s'améliorer. Et à discuter avec Kobik, tu prends conscience qu'il y a encore bien des clés à maîtriser dans le domaine de la sécurité.
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| | | Mar 8 Oct - 11:29 | | La connaissance absolue n'existe pascar il y a toujours quelque chose à apprendreFeat Kobik & Avery C’était un plaisir pour Kobik d’échanger ainsi avec Avery. C’était ce qu’elle recherchait en fin de compte, à retourner de temps à autre sur les bancs de l’école, de pouvoir rencontrer les futurs agents. Rien n’était jamais sûr, bien sûr, certains abandonnant avant la finalité de la formation, mais elle pouvait se faire un aperçu de ses futurs collègues, sans compter que ça permettait aussi aux autres de se faire une connaissance. Un échange inter-promo que la blonde s’amusait à faire, regrettant même de n’avoir vu personne avoir cette initiative quand elle était elle-même étudiante. Pourtant ça avait du bon à ses yeux, de pouvoir échanger de façon informelle avec ceux sur le terrain, avoir le droit à des petits ragots, nettement plus intéressant que ce que devait sortir actuellement l’enseignant, bien qu’elle ne dénigrait en aucun cas son travail.
Kobik ne s’embêtait pas des formalités étant parfois de mise dans cet échange. Elle parlait à la jeune femme, comme si elle était une collègue de promotion, et non une agent parlant à une future recrue. La blonde ne voulait pas créer de barrière pouvant occasionner un gêne. Elle préférait le naturel et ne s’offusquait en aucun cas de certaines questions ou réactions. C’étaient les meilleurs instants pour découvrir son interlocuteur.
Le rugissement de Avery surpris quelque peu la tête blonde du Shield. Avait-elle dit quelque chose qui aurait provoqué ça ? Seulement elle ne voulait pas le faire remarquer à l’étudiante, préférant sourire à la remarque.
« C’est vrai que si nous avions été ennemis, cela aurait été plus compliqués, mais aussi instructif. Je ne pense pas qu’on doit couper court à Hydra ou à un quelconque adversaire sans connaître les fondements profonds de ses agissements. Après tout, on voit le Shield comme le bouclier, mais, et si c’était nous les méchants ? Tout n’est qu’une question de point de vue en fin de compte. »
Mais ce n’était pas non plus pour autant que la jeune femme irait serrer la main à Hydra et boire le thé avec eux. Encore moins après que ces derniers aient manqué de la faire exploser avec leur ancien quartier général, d’où elle avait réussi à sortir de justesse. Seulement, elle ne s’arrêtait pas à la seule idée que c’étaient eux les « méchants » et elle la « gentille ». Certaines personnes rejoignaient une organisation à cause d’un vécu les poussant à penser que c’est le mieux pour eux. Kobik était certaine que, si l’envie lui prenait de le demander à l’amphitêatre en interrompant officiellement le cours, de nombreuses mains se lèveraient à la question « avez-vous rejoint le Shield afin d’agir pour le bien de la population ? » Et pourtant, elle-même remettait en doute cette notion de bien pour Genosha. Après tout, le Shield n’avait-elle pas cette division de Garde Rouge qui avait commis pas mal de rafle sous prétexte de ? Parfois, il n’y avait qu’un pas pour franchir la frontière entre le bien et le mal et l’agent était certaine qu’elle oscillant dessus.
Ne restant pas dans cette question pouvant porter à un débat philosophique pendant des heures – ses préférés – la tête blonde répondu avec plaisir sur ses fonctions. Nullement l'envie de se vanter ou de promouvoir une fonction qu’un autre, elle avait simplement fait étalage de son appartenance à la Red Door, là où elle avait immédiatement trouvé sa place. L’admiration pouvait se lire chez Avery et sa réaction fit sourire Kobik. Elle était si naturelle, que s'en était plaisant. D’autres se seraient contenues, auraient joué l’indifférence, mais pas l’étudiante en face d’elle qui semblait réagir sans se poser de question.
« Oui j’ai cru entendre ça. Comme quoi, il y a toujours un service qui plaît plus qu’un autre. Et puis il ne faut pas se mentir. Aller sur le terrain en fait rêver plus d’un. »
Sans pour autant être le plus simple. La jeune femme se souvenait de ses débuts et de sa façon à galérer soit face aux préjugés, soit face à la réalité de ce qu’on attendait d’elle. Et là voilà, sans avoir baissé les bras, représentant aujourd’hui ce service.
Kobik buvait les paroles d’Avery, écoutant ses doutes. C’était normal pour elle de ne pas savoir encore. Comme elle le disait, le choix était large et on ne pouvait jamais connaître à l’avance un service tant que celui-ci n’avait pas été expérimenté. Bien heureusement, il était toujours possible de demander une mutation, mais ce n’était pas toujours simple pour les nouveaux. La blonde trouvait l’étudiante réfléchie face à ses choix. Elle ne se précipitant pas et c’était, à ses yeux, ce qui faisait la valeur d’un agent. Toujours réfléchir pour peser le choix d’une décision était un plus lorsque le terrain offrait la possibilité de se jeter sans penser à l’après.
« À vrai dire, je ne sais pas. Je pense que j’admirais déjà le Shield petite alors comme j’avais des facilités, j’ai voulu tenter. Et puis le terrain était une évidence pour tout le monde. J’ai un léger souci d’hyperactivité, alors pour le bien-être des collègues, mieux vaut pas me mettre derrière un bureau dix heures par jour. »
Plutôt un gros problème qu’un petit, mais Kobik s’en amusait. Elle n’avait jamais su tenir en place et cela avait été dur pour elle de rester sur les bancs de l’académie à longueur de journée. Pendant un instant, elle s’était imaginée à un bureau lors de son choix d’orientation, puis elle avait envisagé les façons pour elle de se dépenser sans bouger et cela aurait très certainement fini en jeu puéril tel que lancés de crayons ou autre. Alors le choix avait été fait, il fallait l’envoyer sur le terrain pour le bien-être de tout le monde. Et puis c’était là qu’elle avait les meilleurs résultats, de par son esprit plus analytique et toujours en mouvement. À quoi bon la brider quand une voie était toute tracée pour elle ?
Quant à un autre métier, elle ne l’avait jamais réellement imaginé. Peut-être petite, comme tous les enfants, mais une fois dans son orientation, elle n’avait pas réellement douté. Mais à y réfléchir, elle aurait toujours trouvé sa voie quelque part.
« J’aurais peut-être eut ma place chez les pompiers, ou dans un tout autre métier qui demande d’intervenir à tout moment et de bouger. Je ne peux pas rester inactive. C’est une chose qu’on doit toujours prendre en compte dans un choix comme celui-ci. Qu’elles sont nos forces et faiblesses selon les situations afin de ne pas se retrouver là où on ne devrait pas être. »
Une façon de penser qu’elle aimait partager. C’était une lourde décision que de choisir son chemin professionnel et c’était bien d’y réfléchir. Les questions de la miss étaient bien pensées et la blonde espérait pouvoir l’aider dans ses choix. Elle l’appréciait bien et la jeune femme espérait qu’elle finirait par trouver.
« Si je dois intervenir, c’est à vos risques et périls, fais attention. »
C’était avec amusement qu’elle avait dit cela, mais il y avait une part de vrai. Kobik avait tendance à partir dans tous les sens et il lui serait facile de perdre son auditoire, sans compter que sa façon de penser était bien différente de celle d’une majorité de personne.
« Mais ce serait un honneur de te faire cours si tu es au premier rang. Malheureusement, on ne me l’a encore jamais proposé. Pourquoi pas par la suite, je suis ouverte à cette idée, mais il faudra s’accrocher. Je faisais le malheur de mes camarades lors de travaux groupés. »
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Pouvoirs : - Arme naturelle : La peau se fond et les bras deviennent translucides. Le processus ne prend qu'une minute à peine pour voir les membres de la gamine, du creux du coude aux doigts les plus fins, pour devenir des lames acérées. Le changement est difficile, fait grimacer la gamine qui ressent une douleur sourde tout le temps que ses armes sont sorties. Mais avec le temps, les lames capables de couper n'importe quel matériel, ou presque, font partie de son corps aux capacités étranges et si convoitées.
- Dysfonctionnement des armes à projectiles : En réponse à son arme naturelle, celles superficielles, faites pour tirer et non transpercer, se meurent dans un silence étourdissant. Les armes à feux s'enraillent, les missiles refusent d'être tirés, les fusils se vident de leurs cartouches. En présence d'une jeune fille, soudainement, la violence du monde semble ne plus pouvoir frapper. Du moins seulement pour les armes à projectiles et seulement dans un rayon de 300 mètres, ce qui confère une capacité sommes toutes largement limitée. Et quand bien même les armes ennemies volent dans ses mains, Avery ne peut tout bonnement pas les utiliser. Messages : 356
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Pseudo : Renescence
| Mar 3 Déc - 20:44 | | THERE IS ALWAYS SOMETHING TO LEARN Kobik ft. Avery La discussion se profile naturellement avec la blonde, à tel point que tu pourrais t’étonner d’une telle facilité. Vos caractères semblent toutefois partagés, la dénommée Kobik conversant avec une aisance sans grandes difficultés. De ton côté tu réagis sans te cacher, allant parfois jusqu’à t’exclamer un peu fortement. Heureusement pour toi, le reste de l’amphithéâtre ne t’entend pas, il ne manquerait plus que ça ! L’intervenant ne doit pas être si terrible, puisque tout le monde boit les paroles de l’agent. Mais pour ta part, tu es complètement dévouée à la jeune femme qui permet de recontextualiser la dualité qui règne sur Genosha, les doutes aussi, qui devraient questionner plus d’un étudiant de ta promotion. Tu fronces les sourcils toutefois quand Kobik émet la question d’inverser les rôles, te retrouvant à méditer quelques longues secondes avant de lui donner de la répartie. Dans ta tête, tout est cadré. La protection de l’humanité dépend du renommé Bouclier. Tu n’as pas vraiment de scepticisme à ce sujet, en dépit de cette sous-division du SHIELD, la Garde Rouge usant fort mal des pouvoirs qui lui sont conférés. Mais au sein même de ta promotion, tu as pu remarquer la différence des points de vus. Ceux qui y adhèrent forment souvent un groupe à part, tandis que les autres prêchent une parole plus mesurée vis-à-vis de la société. Il n’empêche toutefois qu’à la manière d’exposer la chose, la blonde parvient à t’imposer un débat philosophie en ton propre intérieur. Et si c’était vous les méchants ? « J’imagine qu’on est tous le méchant de quelqu’un dans l’histoire. » Tu entames, hésitante. Comme tout à chacun, tu as quelques préjugés sur Hydra. Mais tu es assez responsable, Avery, pour savoir que tout être affilié à une organisation n’est pas forcément mauvais. Toutefois… « Il y a aussi la question de choix qui se pose. Quand on décide d’imposer son idéologie par la violence, je pense qu’on doit bien se rendre compte à un moment que la méthode utilisée dépasse le simple entendement. » Tu te mords les lèvres. Jamais tu n’aurais pensé à en venir à un tel sujet. Et pourtant, quelque part, ça te revigore. Ça te vivifie, bien plus que d’entendre les prouesses de l’agent à la posture imposante. Hydra hein ? N’est-on jamais préparé à affronter l’organisation rivale par excellence ? Tu ne crois pas.
Tu te rends compte que votre débat pourrait partir loin, mais tu ne sais pas si Kobik souhaite s’engager sur ce chemin. D’autant plus que ta dernière réflexion pourrait s’allier sans difficultés à la Garde Rouge et ses rafles reprochées. A la place donc, tu suis la blonde sur une autre voie, repartant sur un thème bien plus léger. Du moins pour elle, car pour toi, il te pèse toujours autant sur les épaules. Tu soupires doucement en écoutant la jeune femme, appréciant sa patience mais aussi sa sagesse déjà affichée à un assez jeune âge. En quelque sorte, tu admires la demoiselle pour être aussi calme et posée, exposant ses décisions sans même ciller. Tu souris alors, d’un sourire sincère, regardant Kobik d’un œil pétillant et bienveillant. « Hyperactivité ? Tu m’as l’air bien calme en l’instant pourtant. » Tu la taquines doucement, te retenant de justesse de tendre ton poing pour frapper son épaule en souriant. Mais Avery, tu ne connais la blonde depuis quelques minutes à peine, alors autant ne pas outrepasser les limites sans plus la découvrir. Alors tu reprends sur un ton plus sérieux, abaissant ta main avant que ça n’en devienne gênant : « Ouais, je peux comprendre le sentiment. Mes parents sont plutôt du genre à être derrière un bureau. » Encore que, tout est relatif. La vie n’est pas aisée pour un avocat et une détective. « Bon, pas tout le temps, mais assez souvent. Et tu vois, j’ai le sentiment qu’ils aimeraient en un sens me préserver de la violence de la vie et de me garder à leurs côtés sauf que… Je n’y tiens pas. Je veux faire bouger les choses à Genosha. » Tu hausses les épaules, jettes un coup d’œil par-dessus celles-ci. « C’est ça qui m’a convaincu de m’engager ici. Je ne suis juste pas sûre de savoir ce qui desservira le mieux la ville, à l’heure actuelle. » A l’inverse de Kobik, tu n’as pas vraiment admiré ou idéalisé le SHIELD plus jeune. Tu tiens juste à protéger l’île. En dépit du savoir de ton interlocutrice, tu crains de ne pas être plus avancée. Avant d’hausser les sourcils, une idée germant dans ta tête illustrée par un sournois rictus. « Dis-moi… Tu ne sais pas s’il est possible de… comment dire… d’entamer un stage dans les différents services du SHIELD ? » Bon, forcément, à un moment, vous finirez par opérer des missions, histoire de vous mettre en situation. Mais pas forcément avant une ou deux années, si ce n’est plus, définies sur les bancs de l’académie. « Je veux dire, le mieux, c’est d’être sur le terrain pour vraiment être certain de quoi faire. Et ici, à part quelques exercices brefs et cadrés, on n’est pas encore plongé dans le vif du sujet. Tu penses qu’il est possible de se montrer précoce et d’intégrer directement une section, disons pour un stage d’une certaine durée ? » Faudrait-il convaincre le Directeur en personne de prendre les devants ? Ou bien est-il friand de ce genre d’initiatives. Là est la question. Mais le savoir à accumuler, à force, tu en as marre de le gratter par simple simulation.
Tu te rassois doucement sur ton siège, collant ton dos au dossier afin de te tranquilliser. Ce n’est pas le moment de t’exciter, voyons ! Quoi que, à la dernière mention de la blonde, te voilà déjà enthousiasmée. C’est une chose de l’imaginer pompier, mais encore plus de la voir te saluer depuis l’estrade tandis que tu assistes à son cours depuis le premier rang. Bien que tu en as émis le souhait, tu n’avais pas encore l’image en tête, encore moins avec les précisions rapportées. C’est désormais chose faite, et tu manques de glousser à la vision singulière. « Doit-on s’attendre à ce que ce soit explosif ? Attention, je dois te prévenir, il faudrait peut-être que tu mettes en place des décharges à signer avant de te lancer dans tes cours. On ne sait jamais ce qu’il peut se passer. » Tu rigoles doucement, plaisantant gentiment sur l’idée qui devient rapidement tentatrice. Tu reprends toutefois, bien plus pondérée : « Blague à part, tu as déjà tenté de contacter un professionnel pour te proposer en intervenant ? Peut-être que c’est ce qu’ils attendent. Si tu veux, je peux appuyer ta candidature ! » En disant ça, tu tends le bras en avant, comme pour serrer sa main. « Deal, Mademoiselle la Professeure ? » Tu montres tes dents de plus belle, profondément conviviale et contentée par votre échange. Vraiment, tu ne t’en rends pas compte, mais il y a un sentiment de bien-être à ainsi partager cet instant.
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| | | Lun 20 Jan - 13:43 | | La connaissance absolue n'existe pascar il y a toujours quelque chose à apprendreFeat Kobik & Avery Le bien, le mal, des notions parfois subjectives mais toujours usées à tout-va par tout le monde. Kobik était fascinée par ce qui se dissimulait derrière cette appartenance toute blanche ou toute noire alors qu’elle-même n’hésitait pas à voir l’intégralité du spectre de la couleur lorsque l’on abordait la méchanceté ou la bienveillance. Le plus gentil des êtres pouvait se montrer mauvais à cause d’une incompréhension alors que le plus infâme des humains pouvait en réalité cacher un cœur en or. La jeune femme détestait les débats stériles où tout devait être catégorisé dans une branche alors qu’il y avait tellement de possibilités. Elle écoutait en souriant le raisonnement de Avery alors qu’elle avait sous-entendu que le Shield pouvait aussi être le méchant selon les points de vue. Il y avait de quoi débattre pendant des heures à ce sujet, mais la blonde préférait garder cela pour une autre fois. La dichotomie du bien et du mal n’était finalement qu’une question de point de vue mené par l’éducation de chacun alors que jamais personne ne pouvait prouver par A+B de la nature fondamentalement mauvaise ou bienveillante de l’être humain. Un débat qui continuerait à perdurer dans le temps et que la jeune femme trouvait des plus intéressants.
— Tu as raison, la prise de conscience est importante, mais l’esprit humain est tellement complexe, qu’il devient impossible de comprendre comment cette prise de conscience à lieu et les conséquences que cela entraîne.
Un sujet fascinant que de chercher à comprendre l’incompréhensible. Et encore, elle n’évoquait que l’esprit humain, alors que des événements plus ou moins récent montrait une évolution de la société humaine avec ces personnes recherchées par l’état afin de les emprisonner pour leur différence et leur positionnement politique. Kobik avait toujours tût ses opinions quant à ce sujet, mais elle n’en restait pas moins attentive à ce qu’elle voyait et entendait. Mais là encore le sujet pouvait s’avérer complexe et ce cours dans lequel elle s’était ramenée ne durerait jamais assez longtemps pour en parler.
Kobik sourit avec malice quand Avery releva son hyperactivité. Bien vu, que de relever son calme apparent. D’autres aussi avait été étonné, seulement l’agent avait appris bien tôt que c’était parfois bien plus subtile qu’un kangourou faisant des bons partout.
— En apparence, je le suis. Mais là-dedans, ça ne cesse jamais de tourner. J’ai sidéré plus d’une fois mes parents ou mes enseignants en cherchant toujours plus loin, sans compter le nombre interminable de fois où je ne tenais pas en place. Un cours de deux heures pouvait être un véritable supplice si je ne pouvais pas faire autre chose en même temps.
En expliquant, Kobik avait désigné sa tête. C’était après son adoption par les Salamander que ce trait avait été découvert chez la blonde. À l’orphelinat, on la prenait pour un ange turbulent qui avait sans cesse besoin de se faire remarquer, mais la famille l’ayant accepté avait cherché plus loin. Elle avait vu de nombreux spécialiste jusqu’à ce que ce verdict tombe et tout était devenue plus simple pour l’enfant qu’elle était. Comprendre et se savoir comprise changeait la donne et des compromis avaient pu être mis en place au fil des années pour aider Kobik sans lui laisser le champ libre à tout ce qu’elle souhaitait.
La jeune femme comprenait ce que Avery lui expliquait de par ses parents préférant qu’elle choisisse quelque chose de moins dangereux. Elle était fascinée par les motivations de l’étudiante qui était bien plus poussée que certains caquetant haut et fort qu’ils avaient toujours eut l’idéologie du Shield dans le sang, qu’ils étaient nés pour ça. Des coqs en devenir voulant impressionner la gente féminine — ou masculine — en laissant croire qu’ils étaient plein de bravoure, de courage et sans une once de peur. Ou du moins, jusqu’à ce qu’on laisse traîner une araignée en plastique si surréaliste, qu’ils grimpaient au plafond avec un cri à en percer les tympans.
— Cela montre l’amour de tes parents, qu’ils veuillent ainsi te protéger. Mais accroche-toi à tes convictions, ils sont louables et ce sont eux qui vont te permettre d’atteindre ton but tout en restant celle que tu veux être.
Un clin d’œil accompagnant ces propos alors qu’elle ne faisait que dire ce qu’elle pensait. Beaucoup pouvait dire qu’il fallait oublier ses opinions pour atteindre son objectif, faire absolument ce qui était demandé de faire, mais avoir des personnes pouvant dire non ne faisait jamais de mal. Bien au contraire, il fallait croire en ses convictions pour réussir, c’était ce qu’avait toujours pensé la blonde.
— Quant aux stages, à vrai dire je n’en ai aucune idée. Tu devrais demander à ton référent, il saura mieux te répondre. Mais en tout cas, je pense que si tu as de bonnes motivations, ils pourraient accepter. Tu as l’air volontaire, l’Académie aurait tort de ne pas en profiter pour te permettre de te faire de l’expérience.
Il est vrai que Kobik ne s’était jamais réellement intéressée à ces histoires de stage. Surprenant pour sa part, alors qu’elle aurait pu en profiter pour quitter les bancs de l’école plus tôt, mais elle avait déjà été quelque peu précoce. Et puis une fois dans un domaine qui l’intéressait, elle avait su faire preuve d’une patience remarquable et l’ayant permis de ne pas sauter les étapes.
La blonde sentit un léger rougissement face aux compliments de Avery évoquant la possibilité à l’agent de prendre la place de l’enseignant le temps d’un cours. C'était intéressant, elle ne le niait pas, mais ça aussi elle n’y avait jamais pensé et elle était flattée de voir que la brune à ses côtés serait des plus intéressées. Kobik avait dû retenir un rire quand elle avait envisagé un cours explosif, n’étant pas si loin de la vérité.
— Explosif peut-être pas, je ne tiens pas à faire croire que Hydra nous attaque, mais un cours qui sort des clous, totalement. C’est barbant de devoir rester assis à écouter des heures alors qu’il y a tant à faire pour illustrer et mettre en pratique la théorie. Mais je retiens l’idée de la décharge, au moins je serais couverte si je dépasse les 10% de pertes autorisées.
Son rire était silencieux, car aussi folle qu’elle pouvait être, jamais elle ne mettrait la vie d’un étudiant en danger. Ou alors celui-ci l’aurait mérité, mettant sur les nerfs ce petit bout de femme qui avait su faire un pied de nez à Hydra. En tout cas, elle serra la main de Avery, faisant cette promesse scellée dans leurs paumes.
— Deal, et quant à moi, j’appuierais ta candidature si je vois un dossier de stage passer. Je sais très bien faire les yeux du chat potté pour soudoyer mes supérieurs.
Ou juste insister avec de bons arguments, mais imaginer ce chat aux yeux si mignons était le plus amusant à faire. Et puis ça justifierait une occasion de revoir cette étudiante que l’agent appréciait alors qu’elle venait tout juste de la rencontrer. Le début d’une histoire ? Elle n’en avait aucune idée, mais il y avait de quoi bien s’amuser avec ces deux caractères s’entendant bien.
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- Dysfonctionnement des armes à projectiles : En réponse à son arme naturelle, celles superficielles, faites pour tirer et non transpercer, se meurent dans un silence étourdissant. Les armes à feux s'enraillent, les missiles refusent d'être tirés, les fusils se vident de leurs cartouches. En présence d'une jeune fille, soudainement, la violence du monde semble ne plus pouvoir frapper. Du moins seulement pour les armes à projectiles et seulement dans un rayon de 300 mètres, ce qui confère une capacité sommes toutes largement limitée. Et quand bien même les armes ennemies volent dans ses mains, Avery ne peut tout bonnement pas les utiliser. Messages : 356
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| Jeu 9 Avr - 15:23 | | THERE IS ALWAYS SOMETHING TO LEARN Kobik ft. Avery Le naturel avec lequel se poursuit cette conversation est complètement déconcertant. La jeune femme, que tu ne connais ni d’Eve ni d’Adam, semble parfaitement en phase avec toi, échangeant sur des sujets tantôt légers tantôt sérieux. Peut-être que tu te fais une idée, Avery, mais tu apprécies vraiment la discussion, bien plus que le cours en lui-même. Au moins, la leçon n’est pas enseignée que dans un sens, et on peut encore sentir l’expérience parler quand Kobik mentionne le SHIELD, tout comme la complexité de l’esprit humain. Car elle n’a pas tort, et tu le sais. Dans le fond, tu as bien conscience que le mal ne sévit pas naturellement chez un être humain. Tu es persuadée qu’il y a toujours des motivations qui poussent les personnes à emprunter des voies plus ou moins douteuses. Tu ne doutes pas, justement, que le SHIELD soit lui-même perçu de manière bien contradictoire selon les résidents de l’île. Après tout, tout est une question de point de vue, et qu’importe vos positions à ce sujet, chacun est libre de penser comme il le souhaite. Néanmoins, la philosophie existentielle de la vie ne fait pas partie du sujet du cours, et bien que la discussion pourrait encore durer des heures sans que cela ne te dérange le moins du monde, le temps n’est pas de votre côté. Et puis, tu ne voudrais pas forcer une agent du SHIELD confirmée à rester là simplement à partager son opinion sur les voies empruntées par l’espèce humaine. Tu souris donc, concluant simplement : « Tu as raison. Et puis, la psychologie est si ardue à comprendre, je pense que cela nous dépasse largement. Comme plein d’autres choses qui ont lieu sur Genosha. En tout cas, j’ai mes limites là-dessus. » Ou plutôt, tu te demandes s’il y a vraiment une ligne droite quand tu entends parler de tout ce qui se passe sur l’île. Il y a bien trop d’étrangetés remarquées, qui dépassent amplement ton cercle de connaissances. Même si tu escomptes bien apprendre toujours plus pour mieux prendre en compte ton environnement.
Tu te concentres plutôt sur les quelques informations que laisse filtrer la blonde sur elle-même et sa famille. Ce n’est pas grand-chose, mais tu apprécies qu’elle se confie un peu, bien que tu imagines qu’il ne s’agisse pas là d’un secret éventé. T’es simplement contente de faire sa connaissance et d’être mise au fait de certains détails, comme celle de son hyperactivité, quelque peu cachée. C’est assez bizarre, cette sensation d’être comprise par l’autre alors même que vous ne parlez que depuis peu, aussi bien de banalités que d’affaires d’autorités. Il y a peut-être quelque chose de plus qui garnit aussi bien la conversation, que ce soit son jeune âge ou son adorable spontanéité. Oui, il y a décidément quelque chose d’agréable à l’écouter et à lui retourner ses paroles, mais ton cerveau n’est pas suffisamment frappé par ce fait pour déjà penser qu’elle te plait. Au contraire, t’es bien loin de penser que tu pourrais craquer légèrement pour cette jeune femme qui vient de débarquer dans ton cours le plus innocemment au monde. « Je ne sais pas ce que ça fait, mais je peux imaginer que les cours ont pu être assez tortueux pour toi, s’il n’y avait pas de quoi t’aider vis-à-vis de ton hyperactivité. » Tu as une petite moue amusée toutefois, quand tu ajoutes juste après : « Mais t’as l’air de t’en être bien sortie, t’as su trouver ta voie, je crois bien. » Et faut bien avouer que le costume du SHIELD lui sied à merveille. Sur le terrain, du moins, elle doit être d’une efficacité sans pareille. Tu n’en doutes aucunement, et tu serais plutôt curieuse d’en être témoin. Mais hélas, ce n’est pas encore demain la veille que tu seras déployée sur le champ de bataille, pas sans raison valable. Ce qui en rassure d’autres à la maison. « Oh, ça, je n’en ai jamais douté. Ce sont les êtres les plus chers à mon cœur, et je ferai tout pour les protéger en retour. » Quand bien même le sang ne vous relie pas, quand bien même vous avez déjà eu droit à votre lot d’épreuves. Les Burnham représentent tout à tes yeux, et tu leur seras à jamais reconnaissante de tout ce qu’ils ont fait pour toi. Tu espères bien, un jour, pouvoir leur montrer à quel point ils comptent pour toi.
Mais pour l’heure, tu tentes plutôt ta chance avec tes convictions défendues avec ardeur, qui font leur effet sur la Salamander. T’es plutôt contentée d’avoir son avis là-dessus, de ne pas te ramasser le sermon assez traditionnel de ceux qui ne croient pas en ta capacité à être un agent de valeur à l’organisation. Il faut dire que ton physique n’en impose pas beaucoup, et il y a souvent les gros durs de service qui sont là pour décourager ton implication vis-à-vis de l’organisation et la société de manière générale. Mais entre tes proches qui croient en toi, et les gens comme Kobik qui leur donnent tort rien que par leur présence, tu as de quoi croire à tes idéaux, et t’y accrocher plus encore. Alors c’est avec plaisir que tu serres sa main, peut-être que tu es même un peu trop enjouée à la presser d’ailleurs, et que tu lâches un rire qui fait tourner quelques têtes à son écoute. Tu fais la moue et t’excuses auprès des autres étudiants, mais reprends rapidement : « Deal mon capitaine. Tant que je ne fais pas partie des pertes autorisées, sache que je te suis d’office dans tes cours qui bougent. Tu gagnes une Burnham dans tes rangs, pour le meilleur et pour le pire ! » Et peut-être plus pour le pire, d'ailleurs. Tu souris, une rougeur légère piquant tes joues, et tu te perds avec sincérité dans le regard de ton interlocutrice. Ton rictus redouble à l’image de ses yeux de chat potté, mais avant que tu puisses faire une réflexion à ce sujet, l’annonce de la fin du cours et des étudiants qui font claquer leurs sièges en partant te fait sursauter. « Oh, je crois que c’est notre signal. Sauvée par le gong, j’allais te demander une démonstration de tes yeux doux pour te noter ! » Tu te relèves à ton tour, laissant la blonde ramasser ses affaires avant de claquer à nouveau sa paume contre la sienne, cette fois-ci de manière moins formelle. « Bon, et bien… ce fut un plaisir, Agent Kobik. Merci pour tes encouragements, surtout. A la prochaine… j’espère. » Oui, tu espères, Avery, et tu bafouilles un peu quand tu le réalises. Tu glisserais bien une carte de visite avec ton emploi du temps, mais tu risques de partir un peu loin, et même toi tu ne saurais pas bien ce que ça veut dire. A la place, tu rigoles maladroitement, manquant de t’éclater la face contre le sol en cherchant la direction de ton prochain cours au passage. Dommage, ça aurait été tentant de faire l’école buissonnière avec l’agent, mais le devoir t’appelle, au sein de l’académie seulement.
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