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Sienne | The Last Kiss Goodbye ✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦ |
| | Jeu 21 Nov - 21:15 | | Sienne P. Hollingswort Mutant ◊ 32 ◊ Civilian Identity Card Nom : Hollingswort Prénom(s) : Sienne Philippa Alias : Le Baiser de la Mort Âge : 32 ans Lieu de naissance : New York City Orientation sexuelle : Bisexuelle Situation : Célibataire Métier : Photographe Émergence : 0 Maîtrise : 0 FT Felicity Jones Que pensez-vous des émergés ? Hein quoi ?
kidd POWER Tu parles d'un pouvoir... Si pour certain il s'agit d'un cadeau, moi je me serais clairement passé de ce qu'on a voulu m'offrir.
Je ne suis pas réellement sûre qu'on puisse le qualifier de "pouvoir". Je dirais plutôt qu'il s'agit d'un poison. Autant pour moi, que pour les autres qui pourraient y goûter. Le Baiser de la Mort, je pense que je ne peux pas être plus explicite.
Le contact de mes lèvres est mortel. Un simple baiser de ma part - peu importe l'endroit - et vous pouvez commencer à sentir tout votre corps trembler. Puis surgissent les vertiges. Et enfin, vous êtes pris de violentes et douloureuses convulsions jusqu'à ce que le cœur finisse par lâcher.
Je n'en ai aucun contrôle. Jusque-là, personne n'a encore échappé à cette inévitable sentence.
Alors dites vous bien que ce n'est pas forcément très facile tous les jours de constamment devoir faire attention à ce que l'on fait. Une imprudence, et me voilà en train de causer la mort. Très joyeux hein ? MAKE A WISH Une vie normale ? Est-ce que c'est bien trop demandé ? J'aurais souhaité ne pas avoir eut à vivre tout ça. Ne pas être différente des autres. Ne pas avoir cette impression que tout pourrait basculer d'un instant à l'autre.
ÉMERGENCE Il m'arrive parfois d'avoir cette impression de vivre quelque chose qui s'est déjà produit. Je ne sais pas comment décrire cette sensation, c'est très spécial. Ça me prend comme ça, sans prévenir, comme si je me retrouvais prisonnière quelque part au fond de moi même. Et puis j'vois ces moments là, très rapidement. Comme un flash.
Mais c'est peut-être seulement le fruit de mon imagination ?
behind the screen ◊ Pseudo : Suoicilmaerd ◊ Age : 26,9 ◊ Pays : France ◊ Inventé, Scénario, Marvel : Inventé ◊ Je souhaite être parrainé.e : non ◊ J'ai découvert le forum grâce : Je sais plus vraiment. Ça date ! ◊ Multicompte : non / pas encore ? ◊ Un dernier mot : Let's ROCKS ! HOUSE OF M(emories) |
| | | Jeu 21 Nov - 21:16 | | "Close your eyes and I'll kiss you, Tomorrow I'll miss you." before genosha Chaque années, on peut notifier un nombre incalculable de naissances. Chaque jours, de nouvelles familles se fondent, créant tout autour d'elles une vague de bonheur, peut être éphémère pour certaines, mais totalement intense. Au milieu de tout ça, il a fallut que je tombe sur une exception, une généalogie ou la notion de gaieté n'existe pas, où le simple fait d'évoquer la joie n'est qu'un rêve lointain. A l'accouchement, ma mère est décédée, puisant dans ses dernières forces pour donner vie à cette petite chose que je fus, l'enfant qu'elle avait attendu avec impatience et béatitude pendant neuf mois, longs et interminables. Alors que je poussais mes premiers cris, mes premiers pleurs, elle me prenait dans ses bras, me souriant avant de rendre son souffle final. « Sienne », ce fut son dernier mot. Quant à mon père, lui, il n'a pas su assumer son rôle, tenant sa fille pour responsable de la perte de l'être qu'il aimait le plus au monde. Il n'était pas décidé à porter tout seul ce fardeau, faire face à ses responsabilités de jeune parent. Alors bien sûr, il avait été hors de question pour lui de prendre part à mon éducation, il avait bien vite renoncé à avoir ma garde, et depuis je n'ai plus jamais entendu parler de lui. Voilà pourquoi j'ai passé toute mon enfance dans un orphelinat, puis un foyer d'accueil à New York, et que par manque de chance je n'en suis jamais sorti avant le début de mon adolescence.
Pour moi, cette période est le véritable commencement de ma vie. Lorsque pour la première fois je pouvais mettre les pieds dehors, me sentir libre et accueillie dans un réel foyer. Je m'en rappelle encore, de ce jour où l'on m'a annoncé que quelqu'un demandait ma garde, que j'allais pouvoir rejoindre un environnement familial, que j'allais enfin pouvoir me sentir chez moi quelque part. C'est un couple de parents, dans la trentaine, qui m'ont offert cette chance. Visiblement, mon histoire les avait touché, aussi pauvre pouvait-elle être. Et leur générosité les avait poussé à me donner ce nouveau départ. Ainsi donc, j'agrandissait une petite troupe, par adoption. Et non seulement je pouvais considérer avoir des parents, mais aussi un frère, d'un an plus âgé que moi. Pour eux, la famille est l'une des valeurs les plus importantes dans la vie de quelqu'un, c'est d'ailleurs pour cela qu'ils n'auraient pas pu ne rien faire à mon sujet. Ils avaient beaucoup de principes, qu'ils se sont efforcés de m'enseigner, toujours en restant droits et justes. Je devenais peu à peu une jeune fille normale, à l'écart des problèmes. Je vivais le paisible torrent de la vie sans rien demander à personne, et comme beaucoup d'autres gens, je faisais parti du décor, je n'étais qu'un pion de plus sur l'échiquier de la planète Terre. La simplicité me convenais, je ne me plaignais pas de mon quotidien monotone et répétitif. A l'école, je n'étais pas une élève brillante, mais j'avais des résultats très convenables, je n'avais rien à envier à personne. En parallèle, je nouais une relation très complice avec mon frère adoptif, nous étions devenu très proche, en très peu de temps. Nos centre d'intérêts communs ont beaucoup joué dans notre lien, qui se renforçait de jours en jours. Par moment il m'arrivais de retrouver des connaissances pour des sorties, mais ce n'est pas ce que je faisais le plus clair de mon temps libre. Accroc aux bouquins depuis que j'ai l'âge de lire toute seule, je ne faisais que ça lorsque je le pouvais - si je n'étais pas en train de faire les quatre cent coups avec le frangin. Bref... il n'y a pas grand chose à dire, il s'agissait là de la vie banale d'une adolescente comme les autres.
Bref. Je n'étais qu'une pièce sur l'échiquier du Monde parmi tant d'autres, vivant une vie normale et banale. Du moins c'est ce que je croyais avant qu'un événement majeur vienne bouleverser tout mon univers. Pour l'adolescente de seize ans que j'étais, ce fut une épreuve légèrement... traumatisante. Le commencement d'une très longue descente aux enfers. Je m'en rappelle encore, ce moment restera à jamais gravé dans ma mémoire. Main dans la main, je me trouvais avec mon petit ami de l'époque, il me raccompagnait après une soirée plutôt romantique. J'avais espéré cet instant depuis de longs mois, quand il oserait faire le premier pas et m'embrasser pour la première fois. Avant de me laisser partir, c'est devant la porte de chez moi qu'il avait laissé parler ses sentiments, dans ce qui aurait du être quelque chose de magique. Au lieu de ça, j'avais simplement pu voir son visage se décomposer, pâlir à vue d’œil, avant de le voir être prit de convulsions, suffoquant et agonisant. Officiellement, les rapports disaient qu'il ne s'agissait que d'un accident, d'une crise cardiaque subite. De mon côté, j'étais persuadée qu'il y avait quelque chose qui clochait.
Ce qui arriva marqua une période très difficile pour moi, pendant laquelle je m'étais beaucoup renfermée sur moi-même. Je m'étais pratiquement coupée du monde qui m'entourait, n'adressant que très peu la parole aux gens, pas même à ma propre famille. Je revivais sans cesse la scène, cherchant à comprendre ce qui avait bien pu se passer. Après de longs mois enfermée dans ma chambre, ce qui m'aura finalement aidé à avancer, ce fut la volonté de réussir dans mes études ainsi que le refus de décevoir ma mère adoptive qui avait tant sacrifié pour moi. Toutefois, il m'a été impossible de retrouver une vie normale après tout ça. Peut-être bien que je suis allée jusqu'à réaliser mon rêve, devenir photographe... mais je l'ai fait seule, avec comme seul et unique soutien celui de ma famille, qui ne m'ont jamais laissé tombé malgré les années qui passaient.
Puis un jour, j'ai finit par comprendre que j'étais différente des autres personnes. Que j'étais l'unique responsable du calvaire dans lequel j'avais été embarquée. Et c'est d'une manière quelque peu mouvementée que je m'en suis rendue compte. On le sait tous, certains quartiers de New York ne sont pas très fréquentables. Mais parfois, il faut savoir se mettre en danger pour son boulot - je travaillais pour le Times à cette époque - j'avais été envoyée pour fouiner un peu sur une scène de meurtre, prendre des clichés valables pour la Une du lendemain. Manque de bol, c'est le chemin d'une bande d'hispanos pochetronnés que j'ai croisé avant d'arriver sur mon lieu de travail. Forcément, la nuit tombante, il s'étaient senti sans aucunes limites. Coincée dans une ruelle, je n'avais pas eut d'autres choix que de me plier aux exigences du caïd et de ses sbires. A quatre contre une, très loin de moi avait été l'idée de résister et de leur tenir tête. J'ai encore le souvenir de cette sensation, de ce bras qui me plaque contre cet épais mur de briques, m'écrasant, me coupant partiellement la respiration. Je peux encore voir le sourire de cet homme se dessiner sur son visage tandis que de sa main libre il me pointait un pistolet neuf millimètres sur la tempe. « Laisse toi faire, et tout se passera bien » m'avait-il murmuré avant de coller ses lèvres aux miennes. Ce qui me ramena subitement de nombreuses années en arrière. Même phénomène, il s'écroula, mort. Et en ce qui concerne les trois autres, ils se sont tout simplement enfuit devant la violence de la scène.
Depuis lors, ce fut comme une révélation pour moi. Je devais pouvoir mettre à profit ce que j'étais capable de faire. J'avais tant gagné en assurance. C'est là que j'avais commencé à mener, en quelque sorte, une double vie. Durant mes temps perdus, il m'arrivait de traîner de plus en plus dans des endroits plutôt mal famés, dans le but de supprimer quelques connards. Parfois, c'était jouer le jeu de la petite fille bête et innocente, parfois celui de la femme qui sait ce dont elle a envie quand il s'agissait de s'attaquer à des plus gros poissons. Il ne me suffisait que d'un baiser...
Pour moi, j'étais devenue comme une sorte de justicière. Alors qu'au fond de moi même, j'en étais consciente, que j'étais devenue une criminelle, une meurtrière. after genosha Si je vous disais que ma vie avant tout ce bordel était pleine de rebondissements en tout genre, animée par un bon nombre de péripéties, je vous mentirais. Et sincèrement, je préférerais vous mentir plutôt que de vous raconter un truc chiant et sans intérêt. Au départ, je n'avais pas été désirée. Je suis le résultat de la connerie de deux adolescents, bravant les interdits, s'étant persuadés que les probabilités d'avoir un enfant dès la première fois étaient peu élevées. Ils ont donc fait leurs histoires, et paf ça fait des chocapics ! A dix-sept ans, et bien partie pour faire de longues études - Harvard lui avait été destinée par ses propres parents - ma mère ne pouvait pas se permettre de garder l'enfant qu'elle portait. D'un commun accord, avec mon père et sa famille, tout le monde avait envisagé l'avortement. Une date avait été fixée, tout avait été mit en place pour l'interruption de la grossesse. Mais le jour J, tout avait basculé, mes parents s'étaient résignés à aller jusqu'au bout de la manœuvre, ils n'avaient pas eu la force nécessaire pour le faire. Ils s'étaient rendu compte que c'était inconcevable pour eux de "tuer" leur futur bébé, auquel ils s'y étaient déjà attachés. Et c'est bien sûr contre l'avis de leurs familles respectives qu'ils avaient prit et accepté la décision de devenir de jeunes parents. De toute manière, ils n'ont jamais été seuls, leur entourage a finit par s'adapter et envisager la chose, ils ont donc bénéficier de tout le soutien nécessaire dans cette longue et interminable épreuve.
Neuf mois, c'est le temps qu'il aura fallut pour que je pointe le bout de mon nez. Ni trop tôt, ni trop tard, j'avais déjà acquis le sens de la ponctualité, arrivant pile poil à la date prévue. J'avais peut être aussi le sens de l'humour... je suis née un premier avril. L'accouchement s'était plutôt bien passé, malgré les quelques heures de batailles qu'il aura fallut pour me sortir de mon petit nid douillet. Oh ça oui, je pense que je devais y être bien au chaud dans les eaux maternelles, bercée au rythme des valses et des chevauchées. Alors je m'étais acharnée pour pouvoir y rester, en vain bien sûr. Je n'ai rien pu faire contre cette incroyable force qui m'expulsait vers l'extérieur. Mes premiers cri avaient illuminés le visage de mes parents, à ce moment là, rien ne pouvait les rendre plus heureux. Ils savaient que les embûches allaient être nombreuses, qu'ils allaient devoir faire énormément de sacrifices, mais peu leur importait, ils étaient prêt à tout pour leur petite fille. Cependant, il y avait tout de même un détail pour lequel ils n’avaient pas été préparés, simplement parce qu'ils n'avaient jamais trouver de véritable accord commun à ça. Le prénom. Les idées avaient défilé, mais jamais une seule fois ils ont été sur la même longueur d'onde. Du coup, ils se sont retrouvés bien cons, avec leur fille dans les bras, sans être encore décidés à comment ils allaient l'appeler. Finalement, le compromis aura été de me nommer avec les deux prénoms qui leur tenaient à cœur, ajouté à ceux là, le prénom de ma grand-mère maternelle. Sienne Philippa Hollingswort donc, ça ne sonnait pas trop mal.
J'ai grandit au sein d'une famille qui se voulait être assez soudée. Du côté de ma mère, mes grands-parents avaient de quoi nous aider financièrement, ce qui lui a permis de continuer ses études - à mi temps toutefois - tout en s'occupant de moi. Elle avait renoncé à son avenir professionnel dans l'immédiat, abandonnant ses rêves pour Harvard. Quant à mon père, lui, il a tout simplement laissé tomber ses études pour se lancer dans la carrière d'artiste qu'il avait toujours voulu. Un pari risqué, mais qui a commencé à payer. Alors certes, il n'avait pas un super salaire, mais c'était suffisant pour pouvoir subvenir aux besoins de la mère et de son enfant. Tous les deux ont finit par construire leur petite vie, affrontant leur quotidien sans jamais se plaindre, bien que je n'ai pas rendu les débuts si faciles que ça. En général, j'avais été une enfant plutôt sage, quoi qu'un peu trop hyperactive. Il m'a toujours fallut quelque chose à faire, j'étais intenable, une véritable tornade. Mais en dehors de ça, je n'ai pas énormément de trucs à dire. J'ai été élevée en parfaite petite fille américaine, dans les traditions du pays : Famille et patrie avant tout.
A l'école, j'étais sans doute destinée à suivre les traces de ma mère, j'étais plutôt brillante. Alors que celle-ci commençait à devenir une avocat reconnue, je lui faisais honneur en enchaînant les bonnes notes durant ma scolarité. De toute manière, c'était tout ce qu'elle me demandait, elle n'a jamais été très chiante avec moi, du moment que je ne foirais pas ma vie en faisant des conneries. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était de me créer un avenir, me donner tous les bagages nécessaires pour être autonome dans quelques années, lorsque je devrais quitter le cocon familial. Peut être aussi parce qu'elle n'allait plus pouvoir s'occuper de moi aussi souvent qu'elle avait pu le faire par le passé, puisqu'elle attendait un nouvel enfant. Je ne me rappelle plus trop de la façon dont j'ai prit la chose, à quatorze ans de différence avec mon futur petit frère ou ma future petite sœur, j'appréhendais un petit peu. J'étais mitigée entre de l'excitation et de la jalousie. Au final, à la naissance de mon petit frère, j'ai du prendre mes responsabilités assez vite. Né avec une forme d'autisme assez grave, il allait devoir nécessiter de soin tout au long de sa vie. J'ai donc beaucoup aidé mes parents, en m'occupant de lui pour les soulager et les aider dans leur quotidien assez chargé.
Pendant quelques années, ma vie est devenue une routine assez pesante : les études, m'occuper de mon petit frère, de rares sorties avec des amis, recommencer ma journée. C'est durant cette période que mes ambitions ont commencé à prendre un virage à trois cent soixante degrés. Promise à une carrière brillante dans de nombreux domaines frôlant la haute société - j'entends par là ces trucs chiants dans la médecine, le juridique ou les affaires - je commençais à lâcher les projets que ma mère avait pour moi en me réfugiant dans l'art. Si jusque là je m’efforçais de rester dans le sillage qu'on m'avait tracé, c'était par devoir et peur de décevoir. Mais ayant toujours été plus proche de mon père... son influence a finit par jouer. La créativité, un don inné chez lui. Je m'abandonnais donc à un monde pour lequel j'avais toujours été fascinée, mais pour lequel je n'avais jamais osé partir à la rencontre.
C'était peut-être là le début de la fin d'une époque. Un changement radical dans la tournure des événements qui ont suivi ma vie après ça. Un couple qui se déchire, car n'étant pas d'accord sur comment il fallait gérer mon avenir. Un petit garçon laissé à l'abandon entre ces querelles incessantes, dont je m'occupais toute seule tant bien que mal dans ces moments là. Pour ma part, je ne me posais pas plus de question, je faisais ma vie en continuant tout droit. Je ne me souciais pas de ce qui pouvait arriver, préférant saisir les opportunités qui allaient s'offrir à moi et que cela plaise ou non. Je suis devenue très vite indépendante, me détachant petit à petit du nid de famille pour me concentrer sur mon objectif premier : kiffer ma vie.
J'ai toujours été admirative de la façon dont j'ai réussi à imposer mes choix à mes parents, qui ont finit par céder, en me laissant décider moi-même de comment j'allais gérer mon futur. Pouvant désormais se concentrer sur la maladie de mon frère, ils me libéraient d'un poids qui aurait pu me tirer vers le fonds. Si mes études m'avaient permise d'avoir accès à quelque chose de correct dès le départ, ma soif de challenge était venue à la charge et j'avais plutôt voulu attaquer dans un domaine qui me correspondait le mieux : La photographie.
Et c'est autour de ça que s'oriente ma vie depuis lors. HOUSE OF M(emories) |
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Humain More about you :
Codename : Flash
Pouvoirs : Keith possède un arc magique. Il apparait quand il en a besoin (et peut même parfois disparaitre à sa guise)
Messages : 1353
DCs : Artémia - Malik - Kwan - Tao - Jay - Taïs - Junno - Alaric - Simon - Kelsey - Russel - Lauren - Yong-Sun
Pseudo : Awen
| Jeu 21 Nov - 21:23 | | Ouh une nouvelle Bienvenue parmi nous et courage pour ta fiche |
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Humain More about you : Codename : The Hill
Pouvoirs : Elle est badass c'tout
Messages : 1049
DCs : Casey, Laura, Paige, Grace, Laserian, Harper et Cindy
Pseudo : Fidji
| Jeu 21 Nov - 21:59 | | Rebienvenue non? Plein de courage pour ta fiche |
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Humain modifié More about you :
• a fusionné avec la déesse Morrigan • était une justicière avant Genosha • est à présent la vice-présidente de Wheeler Group. • vit en colocation avec Taïs et Alexia • très engagée, Lucy tend à s'élever contre les injustices quand elle le peut • commence à se souvenir de sa vie avant Genosha • ressent de plus en plus la présence de Morrigan dans son esprit. Codename : Crow / Morrigan
Pouvoirs : Grâce à sa fusion involontaire avec la déesse Morrigan, Lucy se retrouve dotée des capacités de cette dernière :
Vision partagée avec les corbeaux ► Elle peut voir ce qu'ils voient au moment où ils le voient.
Communication avec les corbeaux ► Elle comprend ce qu'ils disent et peut leur parler à son tour.
Maîtrise du combat ► Morrigan étant la déesse de la guerre, il est donc logique que cette dernière maîtrise tout ce qui concerne l'art de se battre.
Double personnalité ► En de rares occasions, Morrigan peut prendre le contrôle du corps de Lucy, modifiant ainsi son apparence. Messages : 468
DCs : Gabriel & Marc & Sean & Lorna & Ben & Jess J. & Scylla & Kurt
Pseudo : Slythbitch.
| Jeu 21 Nov - 22:08 | | Rebienvenue parmi nous Felicity, again, quel choix N'hésite pas si jamais tu as des questions Tu peux joindre le staff par MP ou rejoindre le discord si l'envie t'en prends (pas d'obligation là-dessus ) Oh et n'oublie pas de réserver ton avatar Il ne me reste plus qu'à te souhaiter bon courage pour la suite de ta fiche |
| | | Jeu 21 Nov - 22:44 | | Bienvenue par ici avec ce personnage qui s'annonce fort intéressant ** ! |
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Sorcier More about you : Codename : Ivy
Pouvoirs : Le poison. Si belle mais si néfaste, Erin est une sorcière qui excelle dans la confection des poisons si bien qu'elle est immunisé contre ceux-ci et que son corps tout entier est capable de devenir vénéneux au possible. Son père ayant effectué des expériences pour le compte d'hydra sur elle, leur contrôle est devenu sa spécialité même si elle garde tous les pouvoir d'un sorcier de base.
Messages : 86
DCs : Raven, Spencer, Andy, Jessica D. & Alena
Pseudo : Lili
| Jeu 21 Nov - 22:58 | | Rebienvenue parmi nous |
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Humain modifié More about you : "This is how it has to be."
Codename : Power Man
Pouvoirs : ⋆ Force Surhumaine : Ce sont, en moyenne, 25 tonnes que l’homme peut soulever sans difficultés, ce sont des plaques d’acier et des pans de murs entiers que son poing peut traverser. Malgré tout, les limites ne sont pas des plus précises. Les situations les plus stressantes ont pu témoigner de poussées extrêmes de la part du surhomme.
⋆ Vitesse améliorée : Sa musculature poussée prodigue une puissance intense à ses jambes. La course entamée, ce sont des dizaines de kilomètres qui sont traversées par heure écoulée.
⋆ Endurance surhumaine : La fatigue n’est pas vraiment éprouvée malgré les efforts démontrés. Malgré sa masse corpulente, l’épuisement est donc restreint, au-delà des limites de l’ordinaire.
⋆ Peau invulnérable : Peau impénétrable. Les balles ricochent tandis que les lames les plus aiguisées se brisent sur sa peau. Si son invulnérabilité n’est pas sans limites, il reste un homme à la résistance extraordinaire : des chutes de plusieurs mètres ne peuvent briser ses os, pas plus que les chocs électriques et changements de températures extrêmes ne peuvent l’atteindre.
⋆ Facteur guérisseur : s’il est loin d’atteindre le niveau de Wolverine, ses capacités cumulées permettent à l’homme de se remettre de ses blessures les plus graves en un temps accéléré. Messages : 350
DCs : Vous voyez le jeu des 7 familles ? Bah je les joue toutes.
Pseudo : Renescence
| Ven 22 Nov - 9:39 | | (Christiiiiie ) Re-bienvenue par ici Plus besoin de te présenter la maison du coup, tu la connais bien depuis le temps ça fait plaisir de retrouver un nouvel ancien parmi nous en tout cas, j'espère que tu t'amuseras toujours autant chez nous |
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Mutant More about you : Bbbbb
Codename : Le Romain
Pouvoirs : Immortalité
Messages : 89
DCs : je sais plus compter
Pseudo : Shacka/Fullgeek
| Ven 22 Nov - 11:16 | | Rouuuu, Rebienvenue à toi. Aller repose tes valise ici, ca fait plaisir de te revoir parmis nous. Et bon choix de metier Sloan approuve |
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Humain modifié More about you : "This is how it has to be."
Codename : Power Man
Pouvoirs : ⋆ Force Surhumaine : Ce sont, en moyenne, 25 tonnes que l’homme peut soulever sans difficultés, ce sont des plaques d’acier et des pans de murs entiers que son poing peut traverser. Malgré tout, les limites ne sont pas des plus précises. Les situations les plus stressantes ont pu témoigner de poussées extrêmes de la part du surhomme.
⋆ Vitesse améliorée : Sa musculature poussée prodigue une puissance intense à ses jambes. La course entamée, ce sont des dizaines de kilomètres qui sont traversées par heure écoulée.
⋆ Endurance surhumaine : La fatigue n’est pas vraiment éprouvée malgré les efforts démontrés. Malgré sa masse corpulente, l’épuisement est donc restreint, au-delà des limites de l’ordinaire.
⋆ Peau invulnérable : Peau impénétrable. Les balles ricochent tandis que les lames les plus aiguisées se brisent sur sa peau. Si son invulnérabilité n’est pas sans limites, il reste un homme à la résistance extraordinaire : des chutes de plusieurs mètres ne peuvent briser ses os, pas plus que les chocs électriques et changements de températures extrêmes ne peuvent l’atteindre.
⋆ Facteur guérisseur : s’il est loin d’atteindre le niveau de Wolverine, ses capacités cumulées permettent à l’homme de se remettre de ses blessures les plus graves en un temps accéléré. Messages : 350
DCs : Vous voyez le jeu des 7 familles ? Bah je les joue toutes.
Pseudo : Renescence
| Ven 22 Nov - 15:18 | | - Sienne P. Hollingswort a écrit:
Damn. J'ai tellement bugué que ça faisait bien 5 mins que j'essayais de me connecter avec Christie M. Carpenter et que je comprenais pas pourquoi ça marchait pas xD
Par contre, tu me rappelles ton personnage du temps où j'étais là ? :p
Merciiiii Oops, pardon, je t'ai emmêlé les pinceaux Oula, à l'époque j'en jouais déjà pas mal Y a Daisy et Nikki, qui ont pas changé, sinon tu peux potentiellement me remettre quand j'étais sous Luke T. Charles ou Santana Carpenter et Erica Shaw (que j'ramène aussi d'ailleurs) Et si tu te souviens pas, c'est pas bien grave, j'ai la masse de persos anyway |
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Force de l'Univers More about you : « Oh, in case we have met before and I have forgotten the occasion, my name is Death. I meet so many people, of course, that it is quite impossible to remember all their names. »
Codename : Death.
Messages : 205
Pseudo : -
| Ven 22 Nov - 19:28 | | CONGRATS You should pass Félicitations pour avoir passé la fatidique étape de la validation et bienvenue officiellement à toi sur Genosha!Ton personnage est à présent recouvert d'une jolie couleur et aussi affublé d'un rang qui le suivra telle une ombre! Ainsi considéré comme un membre à part entière de l'Île, il est alors nécessaire de s'attarder sur quelques formalités pour que tout se passe au mieux pour ton personnage. Pour commencer, il sera utile de passer dans le sujet des recensements, afin de lister les pouvoirs attribués à ton personnage, ainsi que de nous informer de son métier et son lieu de résidence. Ensuite, pense à poster la fiche de liens de ton personnage afin de te dégoter des voisins, collègues, de rencontrer pépé dans la rue d'à côté, mais aussi peut-être de rencontrer l'amour de ta vie ou ton ennemi.e juré.e. En cas de doutes, tu peux demander à avoir un parrain ou une marraine pour te guider lors de tes premiers pas sur Genosha. Si tu cherches un contexte particulier de RP, n'hésite pas à aller faire un tour dans les recherches de partenaires. Tu peux également créer des scénarii ou pré-liens si l'envie te titille, pour pimenter l'histoire de ton personnage. Et en dernier lieu, tu peux venir flooder avec nous dans la partie prévue à cet effet et n'hésites surtout pas à nous rejoindre sur la CB pour t'enjailler avec les autres prisonniers de l'illusion! On te souhaite de t'amuser à fond et on a hâte de te voir évoluer sur House of M! Bon jeu à toi HOUSE OF M(emories) |
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