✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
Mok Harris
Humain
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Codename : U.C
Emergence :
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Messages : 213
DCs : Keith - Malik - Jay - Junno - Kwan - Tao - Yong-Sun - Kelsey - Lauren - Artémia - Taïs - Simon - Russel - Alaric - Sin - Daeho
Pseudo : Awen
Mar 28 Jan - 10:29
TURN THE LIGHTS OUT
Grand homme marche dans la nuit. Il arpente les rues. Son regard est rivé au loin et il frissonne par moment sous le touché malhabile d’une brise qui traverse sournoisement ses vêtements. Par ailleurs, en cette soirée frisquette, il arbore quelques changements. Vestimentaires et gestuels. Rien d’alarmant cela dit mais qui indique un dysfonctionnement passager de son cerveau, soumis à ce trouble dissociatif dont il a tant l’habitude depuis le temps mais dont il n’a encore aucun contrôle. Oui. En cette nuit particulière, grand homme a quitté son sweat gris pour une veste beaucoup plus légère. Pour un style beaucoup plus rebelle, en cuir, alors qu’il affectionne particulièrement un look plus confortable, cosy, en étroite opposition avec ce qu’il porte actuellement. Une cigarette se consume également entre ses doigts gelés. Cigarette, dont il a affirmé avec véhémence hier que fumer lui donnait la nausée. Qu’il ne toucherait jamais à cet objet empoisonné. Mais grand homme a déjà oublié. Il a oublié pendant quelques instants qu’il ne fumait pas. Il a oublié la douceur et la chaleur de porter des vêtements plus ample, plus en adéquation avec son vrai caractère joviale et posée. Il a oublié également qu’il ne voulait pas faire de teinture mais ce soir, ses cheveux pourtant affiche une couleur rosée, ce qui a bien surpris et amusés Sean et Hailey avant de s’en aller.
Oui. Grand homme ne s’en rend pas compte. Il continue de marcher. Il porte le mégot à ses lèvres serrées et l’écrase dans un cendrier une fois arrivé. Car grand homme n’est pas ici par hasard. Il est même excité à l’idée d’y participer. En cette soirée, aucun signe évident ne se montre sur son visage fermé, soumis à ce fichu trouble qui le rend externe à son propre corps mais à l’intérieur, son coeur rayonne. Il rayonne oui, car malgré son appartenance à un gang, il s’est toujours intéressé de près à ce que pouvait lui apporter des conférences. Surtout en informatique. Lui qui excelle dans ce domaine en particulier. Lui qui peut enfin jouer de sa passion au sein de ce gang. Ce nouveau gang qui est bien meilleur que l’ancien. Quand Simon était encore au commande et qu’il était obligé de faire ce qu’il lui demandait.
Simon. Grand homme frissonne rien que d’y penser. Ce dernier ne lui manque point, oui. Et il met un point d’honneur à l’oublier définitivement. Il se fond dans la foule amassée. Beaucoup de personne se trouve présent et grand homme s’installe, regarde brièvement autour de lui par curiosité. Tout âge et tout horizon. Ce colloque promet. Il est excité oui et il attend patiemment que la soirée commence, inclinant le menton de temps à autres pour saluer les quelques gens qui passent devant lui pour se placer. “Un deux. Un deux. C’est bon… Hum, hum. Mesdames, messieurs, nous allons pouvoir commencer.”
Après plusieurs minutes de brouhaha, le silence tombe. Le micro est tapoté. Le présentateur de la soirée demande le calme et la foule rassemblée prête l’oreille sans rechigner. Grand homme se place plus confortablement sur son siège qui grince sous son fessier. A l’intérieur de lui, il sourit même si ses lèvres, en ce jour particulier, ne répondent pas à ses envies. A cet appel. Elles restent comme scellées. Incroyablement fermées alors que Grand homme tant à les animer en vain puisque c’est comme si, il ne peut pas les contrôler. C’est comme ça. Cela passera. Cela passe toujours puis cela revient. Grand homme vit donc cet instant d’un point de vue extérieure à son propre corps. Un premier maître se place devant le micro et il le suit du regard. Il attend la suite des événements, le lancement du débat qui ne viendra jamais puisque soudainement, plus rien. Lumière et son, sont coupés. Grand homme se redresse et arque un sourcil. Au fond, il a bien envie de lancer un “Oh??” mais il se contente de rester muet. Silencieux malgré les premiers cris de surprise poussée. “Qu’est-ce qui se passe?”, “Mais que quelqu’un allume la lumière, on n’y voit plus rien.”, “T’es bête toi, à mon avis il s’agit d’une coupure d’électricité crétin !”, “on est enfermé? Laissez-moi sortir !”
Les remarques vont bon train. A l’intérieur de lui, Grand homme panique un peu mais son trouble lui, l’incite à rester calme. Stoïque. Le poussant juste à rassurer le jeune garçon à ses côtés qui se rongent les ongles avec une extrême nervosité. - T’inquiète pas, ça va surement revenir. Il faut juste être patient.
Ou pas. Car la porte s’ouvre brutalement et une autre voix est lancée. « Coupure de courant générale. ». Par ailleurs, sa lampe de poche les aveugle et Grand homme dû plisser les yeux pour s’en protéger. Sa main vient à se mettre en visière sur son visage figé. Finalement. Son trouble l’empêche de paniquer et c’est la première fois qu’il le remercie aussi fougueusement, poussant juste un soupir devant la fatalité installée. Pas de lumière. Pas de réseau. Pas de moyen de sortir puisque les portes sont reliées. L’idéal à son apogée. A côté, l’effroi s’installe. Le malaise aussi. Certains pleurent, sanglotent et il se lève avec difficulté pour murmurer l’arrière de ses propres pensées : - Il doit forcément avoir une solution non? Et le concierge? Il n’a pas les clefs?
Ⓒslythbitch.
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Ven 7 Fév - 21:24
Turn the light outUn brouhaha incessant était installé autour de lui, faisant soupirer le Russe déjà installé à une place. A sa droite, comme à sa gauche, les passionnés échangeaient déjà sur le sujet de cette conférence débutant d’ici peu, en attendant qu’un homme vienne leur intimé le silence par le biais de l’un de ces micros déjà installés. Anton reconnaissait bien là les installations d’un colloque minutieusement organisé. Une installation comme il avait déjà dû en pirater dans sa jeunesse, d’abord pour faire de simples blagues puis pour faire ses preuves. Une façon de se démarquer des autres jeunes de sa nation, prétextant pouvant s’infiltrer dans la plus high tech des entreprises. Il avait fini par le faire durant un temps, mais Anton avait appris à s’attaquer à une porte de son niveau. D’abord commencer par de petits méfaits semblables à des blagues pour enfin jouer les gros durs au sein du gouvernement belliqueux de la Russie pour être reconnu à sa juste valeur. Mais aussi pour ne pas se retrouver comme un abruti devant une erreur tellement monumental que beaucoup l’auraient remarqué.
Mais aujourd’hui, Anton n’était plus en Russie. Il n’était pas là pour s’infiltrer dans un quelconque système numérique, mais pour assister à une conférence abordant l’un de ses sujets phares. Il n’était pas non plus là pour s’attirer des ennuis, ou bien tomber sur quelqu’un ayant attiré l’attention de la Garde Rouge. Il avait délaissé son détonnant uniforme pour une tenue bien plus passe-partout, se fondant dans l’obscurité de la nuit et se protégeant d’un épais manteau en cuir. On aurait pu le croire de la mafia à le voir ainsi, mais aussi étonnant que cela puisse l’être, il n’était un honnête citoyen de Genosha venu dans ce campus universitaire pour parfaire ses connaissances.
Assis dans son coin, au milieu de tous, le Russe se désintéressait des conversations des personnes présentes, emmuré dans son silence caractéristique. Il avait le regard plongé sur l’écran de son téléphone, prenant quelques notes lui traversant l’esprit avant de couper l’appareil pour le ranger au fin fond de sa poche. Le respect inculquait de le faire et si Anton pouvait être tatillon sur le respect de certaines règles, il n’était pas non plus là pour se faire remarquer. L’ours qu’il était savait se fondre dans la masse, plongeant dans l’obscurité contrôlé de la salle lorsque le présentateur prit place sur l’estrade.
Une fois les palabres habituels, afin de vérifier que tout était prêt, furent faites, Anton se concentra sur ce premier interlocuteur prenant place. L’intérêt de ses conférences était non seulement dans le sujet débattu, mais aussi dans la façon de le débattre. L’échange humain était composé de multitude d’information et, si le Russe ne les analysait jamais, il savait déceler certaines façons de faire. Entre autre lorsqu’il convenait de défendre son idée.
Mais le noir soudain interrompit l’observation attentive du Russe. D’abord surpris, il était resté immobile sur son siège, avant de finalement chercher à percer l’obscurité totale de la pièce. Attendant quelques secondes pour voir si ses yeux s’adapteraient, il put commencer à voire certaines formes se dessiner grâce à l’écran des téléphones que certains n’avaient pas coupés. Plus de son ni lumière, une surprise pour un événement semblant si bien préparé. Et pourtant, Anton ne fut pas de ceux qui commencèrent d’instinct à paniquer. Il restait bien sagement assis pensant immédiatement à une possible coupure. Cela devrait être rapidement réglé jusqu’à ce que tout soit remis à sa place. Seulement un contre temps.
« Coupure de courant générale. »
Ces quelques mots firent soupirer Anton. Alors non, ce ne serait pas qu’un simple contre temps. En fonction de la taille de cette coupure, ils étaient bon pour être enfermé quelques heures. Et si cette perspective, ne l’enchantant pas, ne l’effrayait pas, des cris de panique de d’autres lui firent comprendre que ces quelques heures seront bien longues. Les gens ne pouvaient-ils pas faire preuve de patience ?
La question d’une personne, non loin de lui, le fit se tourner vers la source du murmure. Enfin une personne quelque peu intelligente avec des idées étant les bienvenues. Le Russe ne se souvenait pas d’avoir croisé un quelconque concierge, mais ils étaient sur un campus universitaire, il devait forcément y avoir quelqu’un.
— Encore faudrait-il trouver ce concierge. Sans compter qu’il est stupide que le gars aux commandes n’ait pas des clés de secours. On a toujours l’option d’essayer d’enfoncer les portes pour calmer ces hystéries.
Anton pouvait avoir de la patience pour pas mal de chose, mais pas pour les personnes ne sachant pas se contrôler. Ce n’était qu’une pièce fermé, rien de grave. Ce n’était pas comme si Godzilla ou une quelconque autre créature de film allait débarquer pour tout détruire.
— La coupure est générale, des internes au campus doivent essayer de trouver quelqu’un dehors.
Anton proposerait bien d’attendre bien tranquillement, mais il savait que cette idée ne serait pas accueillie avec la plus grande des ferveurs par les personnes présentes. Il n’avait pas sorti son téléphone, ayant entendu d’autre dire qu’il n’y avait pas de réseau. Pas besoin d’essayer de surcharger des lignes inaccessibles dans ce cas.
— Ils doivent bien avoir des ordinateurs portables dans le coin, avec un minimum de batterie pour tenter de se connecter à un réseau existant.
Il réfléchissait à voix haute, partageant ainsi cette idée. Si les téléphones ne captaient pas, peut-être était-ils de capter un réseau internet de proximité, quitte à en pirater un, d’un téléphone hors de ces murs et recevant un signal. Car en soit, c’était certainement les murs qui bloquaient les ondes. :copyright:️ 2981 12289 0
Mok Harris
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Pseudo : Awen
Jeu 14 Mai - 9:50
TURN THE LIGHTS OUT
Finalement, rien ne se passe comme prévu. Adieu la conférence et la perspective d’apprendre toujours plus comme Mok l’avait espéré. Grand homme reste stoïque. Malgré les sentiments éprouvés, son visage reste figé et il donne inconsciemment l’allure de quelqu’un qui demeure blasé, fermé, cadenassé dans un corps - son corps - particulièrement crispé. Il en a l’habitude. Il en éprouve aucune peur désormais. Il subit, simplement et ses yeux se plissent sous la seule lumière qui jaillit dans cette nouvelle obscurité. Il tâche tout de même de rassurer le jeune garçon à ses côtés. Il aurait aimé lui sourire, lui tapoter l’épaule et lui dire que ce n’est rien. Que tout va bien se passer. Que ce n’est qu’une panne. Une coupure de courant générale et que la situation finira par se régler mais sa voix est différente de celle escomptée. Elle paraît grave, intransigeante, froide. Elle paraît insensible et il entend autour de lui d’autres personnes paniquer. Il entend quelques sanglots étouffés. Il entend également quelques personnes crier, pris d’angoisse à l’idée de rester enfermer sans possibilité de fuir.
Grand homme comprend. Oui. Il comprend mais son trouble le préserve lui, d’une quelconque panique. Quelque part, il comprend également les sœurs de Jodie, en particulier Harper, de se méfier de lui dans de telle condition. Il ne semble pas lui-même. Il n’est pas lui-même. Son esprit et son corps sont détaché. Il le sait. Il le sent mais il ne peut rien faire pour le changer. C’est comme ça. C’est sa vie. C’est son poids alors qu’il vit avec depuis maintenant tellement d’année. Avec difficulté, il se lève de son siège et cherche à tâtons le chemin pour se frayer un passage escompté. Un soupir s’échappe de la barrière de ses chairs et sa voix glisse doucement dans l’obscurité. Sa première pensée va vers le concierge, unique personne qui pourrait avoir les clefs. Oui. Aucune panique dans sa voix et aucun sentiment visible. Auditif. Pour une fois, Grand homme en est soulagé. Son trouble l’aide à préserver son calme et une autre voix lui répond. Une autre voix tout à côté qui le fait tourner la tête aux mots énoncés. - Hum.
Il a raison. Grand homme sait qu’il a raison et la perspective d’attendre ne l’enchante pas plus en vérité. Contrairement à l’homme, l’hystérie générale ne le gêne pas. Il comprend les sanglots. Il comprends les émotions, les sentiments, la claustrophobie et la peur claquée même s’il ne la partage pas pour plusieurs raisons. Même s’il reste fermé dans ce corps - son corps - qui tend à être en étroite opposition avec ses véritables pensées. La situation tourne dans sa tête enfermée. Pas de réseau. Pas de possibilité d’atteindre un interne extérieure à la salle cadenassé. Ses sourcils se froncent toujours plus sur son front déjà plissé et il réfléchit. Grand homme analyse la situation oui, levant le regard à la perspective d’un ordinateur qu’il pourrait craquer, s'immiscer comme il sait si bien le faire dans ce gang. Son gang qu’il tend à aimer et soutenir depuis les changements de chefs imposés. - Je m’en occupe. Je sais comment infiltrer un ordinateur. Je peux me débrouiller pour tenter quelque chose qui pourrait nous aider.
Tant qu’ils trouvent un ordinateur adéquate pour pouvoir le faire. Chose difficile alors que l’obscurité ne leur donne aucune lumière escomptée. Marquant une pause, un silence, Grand homme prend une inspiration et ses grandes mains s’enfouissent dans la poche impeccable de sa veste. Il ne voit pas vraiment la personne à ses côtés mais il distingue tout de même sa silhouette. Les dés sont lancés et Grand homme poursuit, avec cette même voix rauque ampli de neutralité inconsciente et tiré : - Je propose qu’on forme des équipes. Deux pour s'organiser. Une pour trouver le matériel en question et une pour attendre ici, au cas où il y aurait une personne de l’autre côté qui pourrait nous entendre et prévenir quelqu'un pour nous ouvrir. Quand dites-vous? Vous me suivez?
Ⓒslythbitch.
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Mar 19 Mai - 8:54
Turn the light outÊtre plongé dans le noir n’était pas ce qui plaisait réellement le plus à Anton. Comme beaucoup dans la pièce, il avait été surpris par cette coupure, mais contrairement à la majorité, il était resté plutôt calme face à celle-ci. À quoi bon paniquer alors que celle-ci était indépendante de leur volonté ? Au contraire, il avait plutôt envie de démontrer son désarroi face à ceux qui cédait à cette panique. N’avaient-ils pas de sang-froid ? Qu’ils restent donc chez leurs mères la prochaine fois. Si une simple coupure les faisait réagir ainsi, le Russe ne souhaitait même pas imaginer leur réaction lors de la tempête s’étant abattue sur l’île. Et s’il pouvait rester à ne rien dire, il n’en fit rien, finissant par proposer des solutions dans un soupir. Quitte à être bloqué là, autant chercher à faire quelque chose.
Les idées, il les laissait sortir à haute voix. Si cela lui permettait de mieux réfléchir que de les entendre concrètement, elle pouvait aussi rassurer ses voisins effrayés, voir leur rappeler qu’ils avaient eux aussi un cerveau pouvant être utile. D’ailleurs, l’homme l’ayant fait lui-même réagir semblait l’écouter alors que Anton l’entendit réagir. Ses yeux commençant à s’habituer à l’obscurité, il pouvait désormais distinguer la silhouette de celui qui avait déjà tenté de rassurer l’un de ses voisins. Le Russe n’eut pas à attendre bien longtemps avant que cette fameuse personne ne se propose pour mettre cette idée à exécution. Sans grande surprise, il n’était pas le seul à avoir une certaine connaissance du domaine informatique. Telle était la thématique de ce colloque et s’il devait y avoir quelques curieux sans grande connaissance, la majorité devait pouvoir mettre la main à la patte pour aider. Mais le membre de la Garde Rouge ne cherchait pas forcément à rallier tout ce public sous une même solution, chacun pouvant se débrouiller seul.
Il avait hoché la tête, plus par réflexe alors que le mouvement devait être à peine perceptible dans cette pénombre. À plusieurs, ils seraient certainement plus efficaces et savoir que cet homme savait s’y prendre pour pirater une installation, c’était un bon point. Maintenant, il allait falloir évoluer dans cette pièce avec pour seule lumière, celle rejetée par les écrans des téléphones de ceux cherchant inlassablement du réseau. Anton pouvait sortir son propre smartphone comme lampe torche, mais il préférait en économiser la batterie. Il lui serait peut-être plus utile par la suite s’il fallait le transformer en outil de piratage ou autre. Et puis la noirceur de la pièce n’était en aucun cas problématique pour lui. Il avait appris à évoluer qu’importe son environnement.
— Nous sommes deux dans ce cas à savoir le faire. Nous devrions réussir à faire quelque chose.
Voir même user de la batterie d’un ordinateur comme générateur le temps d’ouvrir les portes. L’action pourrait décharger l’appareil en un rien de temps, mais les quelques secondes que cela offrirait pourrait permettre une brèche. Brèche qui offrirait la possibilité d’interpeller quelqu’un ou bien de capter quelque chose. Cette idée, le Russe la gardait à l’esprit pour l’heure. Elle était peut-être irréalisable et il devait avant tout trouver une machine entièrement pleine. La moindre quantité d’énergie pouvait être utile.
Une nouvelle fois, Anton avait acquiescé par réflexe. Il était hors de question qu’il reste sur ce siège à ne rien faire d’autre que d’écouter les hystéries évoquant une possible attaque terroriste. Bien que cela pouvait être amusant d’observer les théories plus stupides les unes que les autres sur le pourquoi du comment ils se sont retrouvés ainsi, le Russe n’en avait ni la patience, ni l’envie.
— Je viens avec vous. Laissons les autres attendre pendant que nous explorons la salle.
De toute façon, il n’allait pas y avoir grand-chose à explorer. Les coulisses peut-être, le local de gestion d’où tout ce colloque pouvait être organisé aussi. Anton avait rejoint l’homme pour mieux aller en quête de matériel par la suite. Déjà il observait ce qu’il pouvait voir pour mettre en place un semblant de plan.
— Anton Ivanov. Nous devrions commencer par l’estrade et les coulisses. Les intervenants peuvent avoir leur matériel d’installer.
Le Russe s’était finalement présenté. S’ils devaient travailler ensemble pour les minutes – heures – à venir, il serait utile à chacun de savoir à qui ils avaient à faire. :copyright:️ 2981 12289 0
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TURN THE LIGHTS OUT [Pv Mok et Anton]
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