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Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
Terrence Nivans

Terrence Nivans
Humain modifié
More about you : Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE 2v0w
Codename : Soldier
Pouvoirs : Un virus lui permet d'envoyer des décharges électriques suite à une altération physique importante. Il possède également une force surhumaine bien qu'il soit déformé par l'infection.

Il est insensible aux influences et persuasions extérieures et/ou supérieures, du fait de la possession d'un ancien charme offert par sa mère. Ah les talismans magiques...

Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Tumblr_pgpa2iZyQo1udb3neo9_540
Emergence :
Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr113 / 53 / 5Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr11
Maitrise :
Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr113 / 53 / 5Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr11
Messages : 462
DCs : Amaury, Morgan, Ryan, Hailey, Moran, Eames, Nathan, Lena, Eden, Karsten & Adrian
Pseudo : Holmesienne

https://houseofm.forumactif.org/t3569-when-the-ashes-start-to-rise-o-terrence https://houseofm.forumactif.org/t3562-bury-me-and-burn-me-to-ash

Sam 8 Aoû - 16:59

Living for those we
lost along the way

Search for the answers I knew all along. I lost myself, we all fall down. All I have is one last chance. I won't turn my back on you. Take my hand, drag me down. If you fall then I will too. There's nothing left to lose, the fight never ends. I can't face the dark without you.

Les souvenirs embrumaient ton esprit encore quelque peu embrouillé par les aveux confessés. Les mots prononcés par l’être que tu ne croyais jamais revoir en vie, et encore moins ici. Les paroles échangées avec ardeur et colère dans ce bar au sein duquel tu l’avais trouvé quasi échoué. Les images de cette rencontre, encore trop fraîches, marquant bien trop tes pensées. Tu aurais préféré oublier ce qui avait été dit, la méchanceté ayant transparu de longues minutes durant la confrontation. Tu avais même souhaité ne jamais avoir mis les pieds dans cet endroit, non pas pour éviter de le revoir, mais parce que ce qui avait suivi avait été trop douloureux. Même avec la couche de haine qui avait encerclé l’organe au creux de ta cage thoracique, comme pour te protéger. Même avec cette protection enfiévré, la rancoeur avait tout de même transpercé la chair. Et la marque laissée en son sillage avait été des plus dévastatrices. Malgré le reste. Malgré la douceur avec laquelle il t’avait parlé ensuite, lorsqu’il t’avait effleuré du bout des doigts. Lorsqu’il t’avait intimé de rentrer à la maison lorsqu’il avait réalisé, que tu étais bien en vie, et que lui aussi. Cela avait été bien trop doux pour toi et presque étranger comme sensation. Trop contrasté avec l’échange ayant précédé. Mais tu l’avais tout de même chéri. Le gardant précieusement en un coin de ton esprit, tel un trésor inestimé et gardé jalousement secret. Et tu t’y étais accroché longuement, te laissant guider par celui que tu avais aimé. Celui que tu aimais toujours, quelque part, même si tu n’osais te l’avouer. T’avais passé la nuit chez lui, sur son canapé. Reed à tes côtés. Vous aviez longuement parlé, même si au début le silence avait régné. Tendu, comme jamais. Et finalement les mots avaient coulés, teintés d’une certaine amertume contenue depuis trop longtemps pour être saine. Pour lui, comme pour toi.

T’avais appris des trucs durant ce temps là, il s’était confié sur bien des aspects. Et toi aussi. Tu lui avais raconté ta seconde vie depuis l’incident, que tu restais caché. Que tu bossais en tant que pompier pour pas te faire caler. Tu avais hésité à lui parler de ta soeur, parce que personne n’était censé savoir qu’elle t’avait aidé. Personne, pas même les autres membres de ta famille. Même si tu savais que tu lui faisais confiance, et que tu devais bien finir par l’autoriser à en parler autour d’elle, à ceux en qui elle croyait. Son fiancé, pour commencer. Votre frère. Votre père. Mais surtout votre mère. Tu savais que ce n’était pas une position facile dans laquelle tu l’avais placée. Mais elle était la seule en qui tu pouvais avoir une totale foi durant ces temps les plus sombres et les plus risqués. Tu ne voulais pas que d’autres subissent ce que tu avais déjà vécu, ni que des répercussions ne surviennent à cause de ce que tu avais déjà imposé à ta soeur. Un soupir avait franchi la barrière de tes lèvres, tandis que ton regard se perdait dans le vague durant tes aveux. Et la soirée avait ainsi continué, alternant entre ses confessions et les tiennes. Tu avais découvert qu’il bossait pour Hydra, et même si cela aurait pu te choquer auparavant d’apprendre une telle nouvelle, à ce moment t’étais trop déphasé et tu avais tellement perdu tes convictions en ce que tu croyais du gouvernement, que tu avais simplement expiré du nez. Un peu fortement, avec un ricanement coincé derrière la gorge. A vrai dire, tu n’étais pas spécialement étonné qu’il rejoigne une autre organisation. Mais de savoir que c’était celle-ci… En y repensant, tu te disais que ce n’était peut-être pas une bonne idée, et tu aurais pu le faire savoir. Mais t’étais tout de même mal placé pour juger. Alors t’avais rien dit, juste ricané. Et t’avais gardé l’info dans un coin de ton esprit. Avec le reste des aveux que tu avais pu apprendre de lui.

T’étais reparti au réveil, t’avais pas pris la peine de rester. A quoi bon. Vous aviez vécu l’enfer, et l’aviez traversé de long en large et en travers. Vous vouliez oublier, passer à autre chose. Vous aviez tenté de le faire, sans succès. Et maintenant que vous vous étiez retrouvés, il était temps d’enfin mettre un terme à toutes ces élucubrations. D’un commun accord, et sans trop de réticences, vous aviez décidé de mener l’enquête malgré tout. Pour vous, pour avancer. Mais aussi pour ceux que vous aviez perdu en chemin, au lieu d'au combat, pour honorer leurs mémoires. Mais ce n’était pas en restant dans son appartement que tu allais obtenir quoique ce soit d’utile. T’avais récolté quelques infos depuis que t’étais revenu à la vie, mais rien de bien légitime. T’avais besoin de plus d’indices, de plus de preuves authentiques. Alors t’avais taillé, tracé ta route pour retourner chez toi. Avant de filer au boulot. T’avais passé plusieurs semaines sans le recontacter, mais tu savais qu’il s’occuperait de son côté. Même si tu sentais en toi cette poigne qui enserrait ton organe vital. Tu voulais le revoir, mais tu ne pouvais pas le rejoindre à chaque fois que tu en avais envie. Sans infos tangibles, ce n’était pas la peine de foncer pour retrouver ses bras, malgré le désir de le recontacter. T’essayais d’oublier cet espoir qui avait repris possession de cet espace sous tes côtes. Cet espoir que tu avais enterré en même temps que ton cercueil. Tu ne pouvais te laisser aller alors que seul comptait de retrouver le responsable de votre incident. Ou les responsables. Peu importait. Tu voulais juste lui, ou leur, faire payer. Et si toute la flotte était dans la confidence, tu craignais que de le, ou les, ramener en justice risquait de vous exposer plus que prévu et de ruiner plus encore vos vies déjà brisées. La discrétion était ainsi de mise et de rigueur, et tu l’appliquait vigoureusement. Ne te laissant approcher l’être apprécié que lorsqu’enfin, tu avais un minimum à présenter. A proposer à son attention.

C’était pour cette raison que tu te trouvais ici aujourd’hui. Devant ces locaux d’un bâtiment qui avait servi par le passé. Avant d’être déserté. Et repris d’assaut par l’organisation de ton cher être aimé camarade d’infortune. Les notes en tête et les quelques preuves pliées dans une poche intérieure, tu avançais tête baissée vers l’entrée. Les mains dans la poche de ton hoodie, la capuche sur tes cheveux, tu savais que t’allais être cramé. Personne pouvait entrer aussi facilement depuis ce qui s’était passé. T’attendais même pas que l’un des gardes te recale pour ouvrir ta bouche et balancer presque d’un air blasé. « Chui là pour Redfield. Pas la peine de prétendre de pas savoir qui c'est. Je dois le voir et j'sais qu'il bosse là. » Les gardes ricanaient sans se cacher, balayant leurs mains devant toi pour te faire bouger. « Tu te prends pour qui, tu bosses pas là, eh. Maintenant, tu dégages. C'est pas un moulin ici, connard. » « J’hallucine, té. C’est quoi ça. Casse-toi de là ! » Tu levais les yeux au ciel tandis qu’ils ricanaient de leurs répliques. Tu te faisais tej par les deux tocards en beauté. « Si vous pouvez le contacter, dites lui que Piers l’attend à la sortie. Bande de crevards. » Et avec un soupir, tu tournais les talons, non sans leur lâcher un majeur dressé en leur direction. Les éclats offusqués derrière toi te faisant légèrement ricaner alors que tu t’éloignais suffisamment pour ne plus les caler. Décidément, t’avais toujours du mal à en saquer certains. T’espérais juste qu’ils allaient pas continuer à te faire chier, sinon tu donnais pas cher de ta patience déjà bien limitée. Tu voulais juste voir Reed et en finir avec eux, pour enfin être tranquille. Avec lui. Heureusement t’avais pas eu besoin d’attendre trop longtemps avant que l’être désiré ne daigne enfin se montrer. Les contours familiers que tu avais souvent revu dans tes songes, pensant ne jamais les retrouver, s’imprégnaient à nouveau à tes yeux, devant toi. Ton regard s’adoucissant quelque peu à sa vue, t’approchant doucement. Les silhouettes des deux autres toujours dans ton champ de vision, faisant resurgir subitement l’agacement passé, l’expression étirant les traits de ton visage. Tu lui prenais le bras avec empressement, le tirant de là comme si tu le choppais pour le réprimander. Grommelant des mots à son intention, témoignant de ton irritation provoquée par les deux gardes à l’entrée. « Ptin, tu foutais quoi ? » Au lieu de le saluer et de lui dire qu’il t’avait manqué. Bravo Terrence, tu en as fait des progrès.


belle âme
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Reed Redfield

Reed Redfield
Mutant
More about you : angry old boy
Codename : Captain Nope, Silver Dagger, au choix
Pouvoirs : T'as une mutation qui vient de tes yeux il semble. Un pouvoir de séduction, petit sourire, t'es dans les filets. T'as une vision nocturne, un scan optique intégré à ton regard, vachement pratique pour tes missions
Emergence :
Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr113 / 53 / 5Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr11
Maitrise :
Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr112 / 52 / 5Living for those we lost along the way • REED&TERRENCE Fonddr11
Messages : 109
DCs : Peter & Clinton
Pseudo : d3nver

https://houseofm.forumactif.org/t3564-reed-this-room-is-cold https://houseofm.forumactif.org/t3563-fear-of-the-water-reed

Dim 6 Sep - 19:40

LIVING FOR THOSE WE LOST ALONG THE WAY – Tu regrettes amèrement d'avoir promis à Robin de ne plus laisser une goutte d'alcool pénétrer ton corps. Tu regrettes encore plus d'avoir une conscience et un ego qui te forcent à respecter ses paroles. Non pas que tu n'ai jamais trahi la parole de quelqu'un, oh ça a du t'arriver de nombreuses fois. Ne serait-ce qu'en fonction. T'as jamais été le meilleur pour respecter les ordres lorsqu'ils sont cons, qu'ils sont cons ou qu'ils mettent en danger les gens que tu aime. Quelle ironie pour toi la beuglante de l'armée qui prenait un malin plaisir à faire valoir tes ordres auprès des autres. T'es plutôt ironique comme homme, certains ont l'habitude, certains te connaissent tel quel, d'autres doivent le découvrir au fur et à mesure.

Parfois, dans ce boulot tu te sens inutile. Tu regardes ce avec qui tu travailles et t'as juste envie de leur dire de prendre une pause pour toujours parce qu'ils servent à rien, à rien autant que toi. Tu travailles pour une flotte qui n'est pas très active, les grosses têtes qui ont d'autres projets pour un QG qui explose. Rien n'a de sens dans ce métier, autant ne pas le faire? Ton esprit est tout le temps traversé par ces idées là. Que ton taf sert à rien. Peut-être que c'est à cause du précédent, surement. T'as pas envie de voir les mêmes choses arriver aux personnes ici. Même si t'en aurais clairement rien à foutre, tu les aime même pas. La majorité est bête, elle sait suivre un ordre sans poser de question. Avant t'avais celui pour poser des questions et qu'est-ce que t'appréciait qu'il le fasse. Encore une jolie contradiction mais t'aimes pas vivre selon les attentes des gens de toute façon.

Tu regardes Théo, le gamin dont t'as eu beaucoup de mal à te souvenir, peut-être parce qu'il est aussi intéressant que ta première branlette. Passionnant en somme. Bref, t'es aussi ennuyé qu'un nouvel an chez ta grand mère. Mais tu sais que tu ne peux pas fuir les responsabilités comme tu pouvais t'enfermer dans les toilettes plus petit. T'es payé pour être ici et faire quelque chose de ta journée. Certains jours sont meilleurs que d'autres, tu sais être capable de faire quelque chose de cette dernière mais aujourd'hui...

Ah moins que. Oh à moins que. Le fait d'être sobre est si différent de d'habitude que tu te souviens de quelque chose à laquelle tu n'avais pas pensé depuis quelques temps, les plans roulés en boule dans ton bureau. Pas besoin de t'exprimer auprès des autres, ils n'ont pas à te questionner, tu quittes les 'docks' comme t'aime à les appeler alors que pas du tout pour finalement t'enfermer dans ta pièce personnelle. Et bah voilà finalement les toilettes de chez grand mère.

Un regard parcourt la pièce, comme si tu cherchais du regard quelque chose, surveillant quelqu'un peut-être? Sans trop savoir qui ou quoi. Comme si quelqu'un était caché dans le placard. Tu secoues la tête et sort finalement du tiroir le peu de chose que tu as laissé ici, une autre quantité se trouve dans ton appartement, là où les yeux de n'importe qui ne se promènent pas. T'ouvres les papiers devant toi, coupure de journaux, du nom d'un gamin que tu connais de nom, autres papiers que tu as pris grand soin de lire. T'es pas inspecteur de police, t'as pas la patience pour ça. Mais tu sais que avec Terrence, le nom sonne encore faux dans ta bouche, vous arriverez à trouver réponse à vos questions.
Terrence. Quand t'y penses, avaler ta salive semble difficile. Parce que le personnage est en vie, des années à essayer de faire son deuil foutues en l'air. Parce qu'il n'a pas foutu son poing dans ton visage, enfin si, mais pas à répétition quand t'as dis tout ce que t'avais sur le coeur. Tu pourrais étaler le sujet de ton coeur maintenant mais déjà il y aurait trop de chose à dire et on tape à la porte. Presque ironique quand on pense au peu de temps que tu viens de passer dans la pièce, tu glisses rapidement les documents dans le tiroir, laisse seulement le compte rendu et grogne. "Entrez."

Tu reconnais Théo et hausse un sourcil, tu crois bien que c'est la première fois qu'il met le nez dans ton bureau. "Je-on vous demande à la porte." Tu fronces les sourcils. "La porte? Fais le entrer?" Le garçon rit nerveusement. "A la porte principale, quelqu'un qui se nomme Piers, il a dit qu'il voulait vous voir, il savait où on était et que vous étiez là." Le coeur rate un battement. Oh tu vas pas aimer la rouste que tu vas te prendre de plusieurs endroits différents à la fois. Tu hoches doucement la tête. "Merci Théo, j'arrive." Tu sais déjà que ça va jaser, quelqu'un externe connaît l'intérieur et se permet de venir jusqu'aux portes, t'as hâte de voir les poucaves de ton équipe. Un soupir s'échappe de tes lèvres tandis que tu pousses le siège derrière toi avant de rouvrir le tiroir, de prendre les papiers et de venir les glisser dans ton sac à dos. Un peu ridicule sur ton beau costume.

Pas besoin de s'excuser auprès des autres, tu n'as pas besoin qu'ils sachent ta vie, certains se doutent que tu vas à la rencontre de l'inconnu à la porte, les autres s'en foutent et c'est tant mieux pour toi. Un soupir en croisant les regards dans le couloir, tu salue à peine les deux à l'entrer avant que ton soldat te tombe dessus. Un grognement s'échappe de tes lèvres, tu lèves les yeux au ciel. "Peut-être que je travaille ici nan? J'étais juste à l'intérieur pour peindre le building." Tu retires ton bras de son étreinte parce que tu n'as pas envie qu'il te tienne si c'est simplement pour t'engueuler, pauvre toi. T'aimes son contact mais il n'a pas l'air volontaire pour te le donner sans t'engueuler.

Tu tournes tes yeux vers lui, frappe deux doigts contre son front. "Tu te rends compte de ce que tu fais à venir aux portes d'HYDRA simplement pour le pouvoir de mes beaux yeux?" Bon, t'exagères un peu parce que c'est toujours un plaisir d'exagérer mais t'as un peu peur pour sa santé mentale si ce qu'il fait lui semble tomber sous le sens. Un soupir s'échappe de tes lèvres. "Heureusement que tu n'as pas forcé pour rentrer, quel plaisir ça aurait été de récupérer des petits morceaux de toi." Bon, t'es peut-être un peu extrême mais t'as pas envie de mêler Terrence à tes choix de vie douteux. T'as bien vu que Terrence essaie de se reconstruire un tout petit peu, ou alors il essaie de faire quelque chose de sa vie, la tienne elle n'est pas encore tombée sous le sens alors pourquoi t'aimerai l'entraîner là-dedans? T'es sûr qu'il n'est même pas vraiment d'accord avec ce que tu fais.

"Pourquoi tu viens me chercher aux portes du travail d'abord? Tu m'emmènes boire un verre?" Bien que tu n'ai plus le droit de boire de toute manière. Tu te sens presque comme un gamin qu'on viendrait chercher à l'école, est-ce qu'il a avec lui un goûter pour que tu puisses en profiter? L'idée te ferait rire si tu n'avais pas l'impression que Terrence venait de mettre sa vie en danger stupidement. C'est à toi d'attraper son bras pour le stopper, le regarder dans les yeux. "Sérieusement, j'ai pas envie de te voir ici." Pas que tu n'ai pas envie de le voir, t'aimerai presque l'avoir à tes côtés tout le temps. T'as juste pas envie de le mêler à ça. Bien sûr, tu doutes que ta demande passe aussi simplement qu'une lettre à la poste. Tu l'as dis toi même, ce que t'as toujours aimé chez lui c'est la répartie à tes ordres. Enfin, bien que ça puisse être très casse couille et qu'il y a des claques qui se perdent sur le visage d'une jeune homme en face de toi mais enfin, tu le comptes de nouveau parmi les vêtements, tu ne vas pas le renvoyer six pieds sous terre.

Tu soupires doucement en lui lâchant le bras, reprenant la marche sans trop savoir où il désire t'emmener. "Et pourquoi t'es là d'ailleurs?" Bien que tu te doutes un tant soit peu de la raison, t'aimerai qu'il te la dise à voix haute, redresse le sac sur ton épaule..
 

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