Le bal de Magnus

Le bal de Magnus

Motion in the ocean

Les invités sont à présent arrivés et la fête peut commencer. Buffet; piste de danse; pont de bois bordant la plage et table joliment dressées se dessinent devant vos yeux ébahis. Tout est à votre disposition et la soirée de cette année est bien partie pour être une réussite totale ! La musique retentit portée par le vent marin; la magie est de la fête et cette fois ce n'est pas la peur d'assister à un événement mondain qui s’empare de vous mais plutôt la joie de se retrouver en bonne compagnie. Des petits groupes se forment; des discussions éclosent tel les pâquerettes en bonne saison; vivez l'instant présent, laissez le fil de vos conversations vous porter et profitez de cette soirée en compagnie des habitants de Genosha !

Déroulement du bal

Les sujets sont ouverts ! Vous avez trouvé le votre ? C'est bon ? Maintenant chers Hominions vous êtes les maîtres du jeu laissez libre cours à votre imagination, créez de nouveaux lien dans un espace éphémère créé juste pour vous et profitez de cette soirée !

300 à 500 mots de préférence par publication
s'agissant d'un RP libre vous pouvez répondre quand vous le souhaitez.
vous ne devez pas prendre l'avantage sur le PNJ qui viendra vous rendre visite de temps en temps; si c'est le cas
pas de double post
laissez le temps aux autres personnages de jouer
il est possible de faire des RPs "normaux", en créant un nouveau sujet. Dans ce cas-là, aucune limite de mots ou intervention du PNJ. Veuillez mettre [Bal] au début de votre titre.

Nous espérons que cette animation vous plaira et vous souhaitons de bien vous amuser Le bal de Magnus - Groupe 2 16650110

Le Bal de Magnus

Tu penses déjà à rentrer chez toi quand tu entends la voix de Jean Grey près de toi. Voir Pietro au loin ne suffit pas, il faut qu’un autre de tes démons te hante. Tu es dur avec Jean, tu le sais : elle fait son possible, elle gère tout du mieux qu’elle le peut, mais elle reste Jean. Maintenant que tu sais que tu n’as plus aucune chance, tu préférerais juste qu’elle t’oublie, qu’elle te laisse tranquille, histoire que tu puisses passer tranquillement à autre chose. L’avoir sans cesse avec toi, et après les longues discussions que vous avez eues à l’hôpital… Ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour toi. Du moins, c’est ce que tu penses.

Pourtant, tu ne veux pas la blesser, alors tu lui souris, d’autant plus qu’elle te fait un compliment.

— Toi aussi, tu es ravissante ce soir.

Bon, elle ne peut pas s’empêcher de remettre le sujet fâcheux sur le tapis, soulignant que tu n’étais pas totalement remis, et que tout le monde était là à se pavaner comme si de rien n’était… Sans que tu comprennes vraiment, cela t’irrita. Tu détournas le regard en soupirant bruyamment, avant de répondre le plus calmement possible.

— J’ai pas vraiment envie d’en parler en fait, je pensais que ce serait ton cas aussi. Que les gens s’amusent ! Faire l’autruche ne sauve personne mais c’est ce qu’il y a de plus facile, non ? La preuve !

Tu te désignes toi-même, toi et ton envie de ne plus parler de ce qu’il s’est passé à la fête foraine, ni après. Comme si nier l’existence de ce qui nous gêne allait suffire, comme si tout ce qui nous blesse allait disparaître, comme par magie.

Évidemment, c’est à ce moment-là que ton frère se pointa. Ravissant lui aussi, et tu aurais pu ajouter ‘comme la majorité des personnes présentes au bal’, mais non. C’est ton grand frère, et peu importe ce qu’il a dit ou fait, tu ne peux t’empêcher de le regarder avec des étoiles dans les yeux. Pas étonnant qu’elle le préfère à toi, hein.

AVENGEDINCHAINS

Le bal de Magnus

RP Groupe

Alex t’accueil avec un charmant sourire et te retournes le compliment.Ton sourire s’élargit légèrement. Tu vois bien qu’il n’a pas l’air dans son assiette et tu ne cherches qu'à l’aider. Mais peut-être ne veut-il pas de ton aide. Quand il soupire bruyamment tu te sens mal. Tu songes même à t’éloigner, à le laisser là. Après tout tu t’étais juré de sortir de la vie des Summers… et jusqu’à présent tu n’y arrivais pas. C’était même bien pire que ça. Ses mots te blessent un peu, mais tu n’y fais pas totalement attention. Tu as été sur son dos depuis que tu as pu sortir de ton lit. Il a besoin d’air, et certainement pas de toi. Malgré tout, légèrement gêné tu balbutes quelques mots incompréhensibles, gardant les yeux fixés vers le sol. Peut-être que toute personne normale préférait faire comme si rien ne s’était passé, et c’était apparemment son cas. Toi tu n’y arrivais tout simplement pas. Tu ne portais pas le même poids qu’eux. Tes mains étaient encore tâchées de leurs sangs. Et égoïstement tu ne pouvais pas t’empêcher d’en reparler. D’être sûre qu’il recommençait à avoir une vie normale, mais tu semblais l’étouffer plus que n’importe quoi. Tu l’aimais beaucoup, mais tu ne pouvais décemment pas continuer à l’envahir ainsi dans sa vie privée.

Une personne vous rejoint et tu ne mets pas longtemps à reconnaître l’identité de cette intrusion. Ton coeur s’emballe légèrement, tes mains deviennent moites. Tes yeux se relèvent et se posent sur lui, un sourire un peu niais sur le visage. Il porte un costume qui lui va à la perfection et ton coeur fait un autre bond dans ta poitrine. Tu rougis quand tu croises ses yeux bleus et l’envie de déposer un doux baiser sur ses lèvres te traverse l’esprit. Cependant tu restes sage et te contentes de lui adresser un petit : « Scott, tu es aussi beau que ton frère. » Profil bas. Quelle idée à la con et c’était principalement la tienne. C’était surtout car professionnellement c’était compliqué. Logan serait loin d’apprécier l’idée. Tu te servais de cette excuse mais la vérité c’était que tu n’avais pas la force de l’avouer à tes collègues. Tu ne voulais pas avouer que tu étais heureuse après tous ces événements. Toujours un peu mal à l’aise après ce qu’Alex venait de te dire, tu préfères laisser aux frères quelques moments d’intimité. « Je vais me chercher une coupe. » Tu t’excuses et t’éloignes d’eux, lâchant un soupir de soulagement. Dans ton mouvement tu ne remarques pas bien où tu vas, jetant des brefs coups d’oeil aux deux Summers et tu percutes quelqu’un. « Oh pardon, excusez-moi, c’est ma faute. » Voilà que tu recommençes tes gaffes...

Jean : #F19E34

Robe:

Groupe 2Le bal de MagnusDès qu’elle fut entrée, Elizabeth s’était immergée dans l’ambiance de la soirée. La jeune femme n’était pas une grande adepte des soirées, mais elle aimait avoir à se fondre dans la masse et elle se sentait rapidement à sa place. Alors tandis qu’elle rejoignait le lieu principal de ce bal, la miss laissait son regard se promener un peu partout pour repérer n’importe quel détail. Elle était venue seule et non accompagnée, mais ce n’était pas un problème pour elle. Il y avait peut-être une chance pour qu’elle croise des connaissances ou s’en face des nouvelles.

Sa première destination avait été d’emprunter le pont de bois pour rejoindre la table où se trouvait le buffet. Lizzi allait commencer sa soirée avec un verre avant de se trouver un groupe à rejoindre pour discuter et s’amuser. Elle n’allait certainement pas rester en retrait à attendre que quelqu’un vienne la voir et risquer de ne pas profiter. Non, la Hongroise était plutôt du genre à ne pas perdre une miette quitte à bouger toute la soirée pour discuter avec plusieurs personnes.

Maintenant équipée d’une coupe qu’elle avait récupérée sur le présentoir, la jeune femme avait rejoint les rangs de la soirée pour jeter un premier coup d’œil sur l’ensemble. Repérer déjà s’il y avait des groupes à peine formée où elle ne s’imposerait pas en allant les rejoindre. Car même si la timidité était loin d’être présente chez Elizabeth, elle n’était pas non plus quelqu’un qui allait être lourde en s’imposant auprès des autres. Elle préférait y aller en finesse.

Et au final, ce fut quelqu’un qui vint à elle. Alors qu’elle regardait dans une autre direction, elle ne vit qu’à la dernière minute la rousse la percuter et elle fut contente d’avoir le réflexe d’éloigner son verre pour n’arroser aucune des deux robes. Elle répondit d’un sourire à l’excuse, rassurant immédiatement la personne. « Ne vous en faites pas. J’étais en plein milieu et je ne vous avais pas vu non plus. » Toujours enjouée, elle fit un geste large pour les désigner. « Et puis il n’y a pas eu de dégâts alors il y a encore moins de problèmes. »© 2981 12289 0

le bal de magnus

groupe

“ There was passion and comfort and need and joy, there was a strength that knew no boundaries, a sense of kindred souls made one, and that whole being far, far greater than the sum of its parts. „

Mal à l’aise dans la foule, tu hésites longuement sur ce qui était le plus approprié de faire dans ces moments-là. Tu tournes maladroitement sur place, regardant autour de toi pour voir si tu ne pouvais pas rejoindre un visage familier qui te ferait oublier le fait que ta place n’était pas ici. Ou peut-être qu’elle l’était mais que l’accord passé avec la personne qui devrait être à tes côtés rend les choses plus difficiles. Tu n’avais pas pensé qu’elle pourrait l’être. Ton regard se pose sur Alex et Jean. Tu te demandes si tracer ta route vers le petit groupe aura le don de faire jaser les commères aux alentours. Faire profil bas, faire profil bas te cries ton esprit quand tu arrives à la fameuse conclusion que tu ne pouvais pas continuer à faire le pingouin tout seul. Tu passes un doigt entre ton col trop serré et ta gorge emprisonnée, tentant de faire passer un peu d’air et de décontraction. Après tout, Alex était ton frère et tu avais réellement besoin de lui parler. D’un pas décidé, tu les rejoins, non sans résister à l’envie d’admirer Jean dont la beauté te coupe le souffle instantanément. « Hey », tu leur dis sur un ton habituel. Les yeux de la rouquine croisent les tiens et tu te retiens de passer ton bras autour de sa taille d’un geste protecteur et de l’embrasser. A la place tu te contentes d’un poli « Tu es ravissante. » qui n’arrive pas à la cheville de ce que tu voudrais lui dire. Il traîne même un peu, tu te demandes si tu peux rajouter quelque chose de plus sans être complètement découvert. « Scott, tu es aussi beau que ton frère. » Gardant une distance qui te parait normal et professionnel avec Jean, tu te tournes vers Alex qui a en effet fier allure. « Merci. C’est vrai que tu es très élégant, Alex » Sa tenue est impeccable ; son expression sur le visage est la seule chose qui trahit son malaise. Tu te demandes comment tu pourrais l’aider, comment lui changer les idées… Finalement, Jean vous informe qu’elle s’éclipse : « Je vais me chercher une coupe. ». Tu lui jettes un coup d’œil des plus neutres qui pourtant espère lui parler d’un langage invisible. Finalement, tu te retrouves seul avec ton frère et en profite pour engager la conversation. « Qu’est-ce qui ne va pas ? » Il est dans votre nature à vous les Summers de garder vos émotions et vos soucis bien enfermés à l’abri des conseils des gens. Mais peut-être qu’entre frère tu aurais la possibilité d’avoir un peu plus que les autres. « Je sais que ce genre d’évènement n'est pas vraiment ta tasse de thé et devoir y assister ne te réjouis pas… » Puis tu repenses à cette nuit de la fête foraine, à l’effroi des couleurs blanches de l’hôpital et du diagnostic qui n’était apparu que plus tard… « …mais je suis content de quand même te voir ici ce soir. »

By Phantasmagoria

Le bal de Magnus - groupe 2

ft. Gwen

Alors que j'étais avec Gwen, je regardais les lieux d'un air critique. Je ne suis pas une personne jalouse, seulement quand on grandit dans une caravane et qu'ensuite on a connus à la guerre, on se demande comment on peut trouver des richesses aussi énormes ? C'est comme passer du coq à l'âne, certes la décoration était magnifique, il n'y avait rien à redire là-dessus, mais ça me faisait mal de savoir que pendant ce temps-là des enfants dormaient sous des tentes. Ici on pouvait sentir le luxe à plein nez, personnellement je n'étais pas très à l'aise, heureusement il y avait Gwen, ma petite soeur de coeur, envers qui je pouvais me confier. Je voulais aussi que l'on profite de la soirée, nous étions bien trop sous pression, il était temps de reprendre notre souffle et de nous changer les idées, même si oui, je ne suis guère habitué à ce genre de lieux. Je ne connaissais personne ici, certes je travail au SHIELD mais je n'ai pas encore eu le temps de rencontrer la garde rouge, je venais tout juste de sortir de convalescence, il fallait déjà que je sois à l'aise au SHIELD. Alors que j'étais toujours en compagnie de la magnifique blonde, j'évaluais déjà l'immense résidence comme tout agent ... Des vieux réflexes. Finalement je revins sur terre et repris la parole.

-Alors ça te plais ? Tu n'es pas trop perdu ? Parce que moi ... Je le suis

Dis-je avec un léger rire

©junne.

Le bal de Magnus

RP Groupe

Deux petites minutes toutes seules et tu commençais déjà les conneries. Et deux minutes, c’était généreux. Tu avais quitté tes collègues il y a moins de 10 secondes et tu provoquais déjà des catastrophes. Tu t’excuses car oui c’est ta faute. Totalement ta faute. Même si elle essaye de te faire croire qu’elle est aussi coupable. Non… mais non. « Non, non pardon c’est moi, je regardais pas où j’allais… » Tu es rassurée que le contenu de son verre n’est pas taché sa tenue et que tu n’avais pas de coupe à ce moment là dans ta main. Elle finit même par arriver à la même conclusion que toi en vous désignant toutes les deux : pas de dégât. Seulement t’as quand même envie de te justifier : « Non mais je regardais… » Tu tournes inconsciemment la tête vers Scott et Alex laissant en suspens ta phrase. Tes yeux se portent d’abord sur le blondinet, cherchant à savoir dans quelle humeur il se trouve. Tu l’as agacé. Tu le connais assez pour t’être rendue compte de ça. Et son frère avait l’air assez sérieux. Tu te demandes bien de quoi ils peuvent parler. Ton attention se pose entièrement sur le deuxième Summers de la soirée. Ton Summers. Tu souris et ta tête se penche légèrement tandis que tu commences à regarder chaque détail de sa personne, t’attardant sur son visage et l’allure que lui donne son smoking.

Tu réalises le silence qui vient de s’installer et ce que tu es en train de faire, juste en face d’une inconnue. Secouant brièvement la tête, comme pour te remettre les idées en place, tu reportes ton regard sur la jeune femme que tu as heurté. « Pardon. J’ai été distraite. » Tu regardes son verre et tu voudrais bien avoir le même. Seulement le bar semble assez loin et tu préfères enclencher la discussion avec elle plutôt que de traverser la foule, sentant tes joues s’enflammer après avoir regardé trop longtemps Scott. « Je vous félicite pour vos réflexes en tout cas ! Je m’appelle Jean et vous ? »

Jean : #F19E34

Robe:

Groupe 2Le bal de Magnus Lorsque la personne s’était excusée, Elizabeth l’avait immédiatement rassurer. Il n’y avait eut ni mort d’homme, ni quoi que ce soit d’autre. Aucune catastrophe à réparer, alors pas de quoi s’énerver. Et puis la jeune femme pouvait comprendre les étourderies, alors elle préférait y répondre avec des souris quand il n’y avait pas à faire monter le ton. Pourquoi gâcher l’ambiance ? Un nouveau sourire apparu sur son visage quand la rousse se justifia et elle surenchérit, plus par habitude que par volonté. « Aucune de nous deux ne regardait devant elle. J’étais tout aussi distraite que vous. » C’était avec un léger amusement qu’elle avait dit cela, car la hongroise aurait très bien pu se décaler d’un pas pour éviter la collision si elle n’avait pas été plongée dans ses pensées. Donc c’était aussi de sa faute, mais sa bonne humeur lui faisait voir que les bons côtés de la chose.

Quand le regard de la jeune femme dévia, Lizzi ne put s’empêcher de le suivre pour voir ce qui avait pu la distraire. Comme elle ne connaissait pas grand monde, elle ne repéra pas ce qu’elle voyait, mais la miss se dit qu’il y avait surement quelqu’un qui occupait les pensée de la rousse. Ne disant rien pour rompre le silence, Elizabeth préférait laisser l’inconnue qu’elle venait de rencontrer à ses pensées, sans l’en sortir. Elle pouvait comprendre qu’on ai besoin d’être dans ses pensées et la jeune femme n’allait pas la déranger.

« Cette soirée est faite pour nous distraire non ? » Toujours son habitude avoir le bon, Elizabeth avait usé d’un peu d’humour pour lui répondre. Elle valait vu que la personne semblait occupée à autre chose, mais l’européenne en avait profité pour embrasser du regard le monde devant elle. Face au compliment pour les réflexes, Lizzi eut un petit rire. « Ce n’est rien vous savez. Juste de l’instinct. » Comme beaucoup de monde, la jeune femme appréciait les compliments, mais elle n’avait pas vraiment l’habitude d’en recevoir. À ses yeux cela semblait normal et anodin. « Elizabeth, enchantée de vous rencontrer Jean. »

Alors qu’elle venait de se présenter, Lizzi remarque les mains vides de Jean. Faisant le lien avec l’endroit d’où elle venait, la jeune femme se demanda si sa rencontre avec la rousse n’était pas due à sa venue vers le buffet. « Vous veniez cherchez quelque chose à boire ? Je peux vous accompagner jusqu’au buffet si vous voulez. » © 2981 12289 0

Le Bal de Magnus

T’es vraiment qu’un gros con. Tu le sais alors que tu vois Jean s’éloigner avec une excuse un peu bidon, te laissant avec ton frère. T’as été un peu trop froid, un peu trop incisif, mais t’as juste pas pu t’en empêcher. T’as pas envie de parler de choses qui fâchent au milieu de gens qui font la fête, d’autant plus que tu as pris conscience d’être exactement le monstre que tu pourchasses. Tu n’acceptes pas cette facette de toi-même, et tu refuses de la voir aussi chez ceux que tu aimes. Mais voyons les choses du bon côté : ce n’est pas la seule chose que tu te caches à toi-même. À ce rythme là, c’est plus un placard qu’il te faudra, mais un putain de dressing.

Alors ouais, t’étais beau, au moins de l’extérieur. Tu dois avouer que tout le monde est sur son trente-et-un, et que c’était un régal pour les yeux. C’était toujours ça de pris, après tout. Quand on est un éternel déçu côté cœur comme toi, on apprend à se contenter des petites choses.

— Merci bro. T’es pas mal non plus.

Tu esquisses un petit sourire poli, juste pour répondre à son compliment, comme si c’était un accusé de réception. Tu sais pas si tu le penses ou pas, il y a trop de choses qui se bousculent là-haut pour que tu en sois certain. D’un côté, c’était pas plus mal, puisque ton frère baissa la voix et se pencha sur toi pour poser la question qui fâche. Qu’est-ce qui n’allait pas ? Merde, il aurait plus vite fait de demander ce qui allait.

— Je sais pas bien pourquoi je suis venu, je t’avouerai. Et puis, concernant ce qui va pas, tu veux commencer par quoi ? Parce que c’est pas les merdes qui manquent.

Tu soupires, puis tu inspires un grand coup.

— Tu l’aimes ?

Tu lances un regard vers Jean, une fraction de seconde, largement suffisante pour que ton frère comprenne de qui tu voulais parler. Ça te fait chier d’en parler aussi abruptement, mais t’as le sentiment qu’il ne va pas te lâcher de la soirée si tu lui donnes pas un os à ronger. Autant que ce soit le moins grave. Un genre de diversion, un vrai problème aussi, mais moins grave et quasiment réglé déjà. Il valait mieux ça que d’attaquer le centre de la pelote de merde filée et tressée que t’avais à la place du cœur.

— Parce que t’es pas le seul.

Tes yeux s’étaient plantés dans ceux de Scott, comme pour le transpercer. Il voulait savoir ce qui n’allait pas ? Voilà. Une bête histoire d’amour, du non-réciproque en mode “sortez les violons”.

— J’ai rien à dire, elle et toi faites ce que vous voulez. Mais venez pas m’agiter votre bonheur sous le nez alors que j’ai pas encore fait le deuil.

T’es amer, toujours aussi glacial, mais qu’on te comprenne aussi. T’allais pas sauter de joie, excité comme un cannibale amateur de fruits de mer devant un buffet d’hommes-grenouilles. Merde à la fin.

AVENGEDINCHAINS

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groupe

“ There was passion and comfort and need and joy, there was a strength that knew no boundaries, a sense of kindred souls made one, and that whole being far, far greater than the sum of its parts. „

Vous étiez frères et c’était comme un boulot supplémentaire de veiller l’un sur l’autre. Ce n’était pas franchement un truc à quoi tu avais pensé avant ; cela se faisait naturellement, les choses rentraient en ordre assez facilement. Mais cette fois-ci, Alex avait réussi à t’inquiéter. La seule vision de le voir allongé sur le sol, le corps abattu par un débris du chaos qui avait régné était assez pour te faire frissonner. Et si la vision ne te quittait pas, Alex lui n’avait pas non plus rompu avec ces regards qui ne te plaisaient en rien. Il n’était pas question de le laisser dans cette vague de noirceur et de bougonnade incessante qu’il trimbalait avec lui depuis… eh bien depuis un bon bout de temps. Maintenant, à y réfléchir, tu commençais vraiment à te poser la question : la fête foraine avait-elle été le début de cela ? « Je sais pas bien pourquoi je suis venu, je t’avouerai. Et puis, concernant ce qui va pas, tu veux commencer par quoi ? Parce que c’est pas les merdes qui manquent. » Le ton n’était pas cassant mais il n’y avait pas une once de gaieté qui s’en émanait non plus. « Alex… » tu commences avant d’être coupé à ton tour. « Tu l’aimes ? » La question te surprend et tu fais l’idiot pendant quelques secondes comme si tu ne comprenais pas d’où ça venait. Mais le regard d’Alex qui se tourne vers Jean est clair. Vous aviez dit discrets avec Jean, ne pas trop vous afficher, garder cela secret surtout pour vos collègues… Vous n’aviez pas dupé Alex; il te connaissait ans doute trop bien pour tomber dans le panneau. « Je… C’est-à-dire que… » Une nouvelle coupure. « Parce que t’es pas le seul. »

L’information circule rapidement jusqu’à ton cerveau mais le choc et la surprise est telle qu’il te faut quelques secondes pour réagir. « Quoi ?... Non attend… Tu… Toi ? » Tes yeux papillonnent, essayent de comprendre une information pourtant très clairement présentée à toi. Tu ne sais plus trop quoi penser… « Attend deux secondes… Laisse-moi digérer ça… » Les yeux d’Alex n’ont pas changé, sérieux et sans appel. Tu inspires, calmant ce bouillonnement et ce sentiment désagréable de jalousie qui commences à prendre le dessus. Alex reprend. « J’ai rien à dire, elle et toi faites ce que vous voulez. Mais venez pas m’agiter votre bonheur sous le nez alors que j’ai pas encore fait le deuil. » Cette fois le ton est claquant. Il termine sa phrase et tu restes d’abord sans voix. Tu voudrais t’excuser ─ tu ne sais même pas pour quoi ─, tu voudrais lui demander des explications, pourquoi pas lui répondre avec ce même ton qu’il emploie. Ca ne serait certes pas un geste très intelligent mais la jalousie et le contexte de l’aveu pourrait presque faire pencher la balance du côté « il le mérite ». Tu penches plutôt pour un croisement de bras sur la poitrine, des sourcils froncés et un ton agacé mais pas méchant. « Depuis combien de temps est-ce que tu…, tu commences avant de te rendre compte de l’absurdité de ta future question. Non, laisse tomber. » tu finis, sentant la tension et la malaisance s’installer entre vous deux d’une manière totalement inconnue avant cela.

Tu repenses à toutes ces journées à l’hôpital et au camping où tu avais pensé que la tête que tirais Alex était dû à son accident. Tu laisses échapper un rire de moquerie contre toi-même, hallucinant devant ton manque de lucidité. Puis avec un sourire dépité, tu laisses échapper : « Moi qui pensait que tu broyais du noir à cause de ce qui s’est passé à la Fête Foraine… Quel idiot… » Tu grinces des dents, un peu agacé par le fait qu’il ne t’ait rien dit avant. Toutes ces journées, pas un mot, pas une explication… Il gardait tout pour lui malgré que tu lui demandais sans cesse comment il allait, ce qui l’embêtait... Bon sang mais qui étais-tu pour lui hein ? Tu étais prêt à tout entendre, tout régler, à tout faire pour l’aider… « Je n’arrive pas à le croire… Le nombre de fois où tu aurais pu me sortir ça… Tu choisis bien ton moment… » Certes tu lui avais demandé comment il allait… comme tu l’avais fait toutes les fois où tu étais passé à l’hosto et toutes les autres fois depuis ces moment-là… Et voilà qu’il avait choisi ce soir parmi tous les soirs pour te lâcher une chose à la figure. Jetant un regard à Jean un peu plus loin, tu la vois en pleine discussion avec une personne qui t’es inconnue. Tu ne veux pas la déranger mais un question te brûle les lèvres. Passant ta main dans tes cheveux à l’arrière de ta tête, habitude nerveuse, tu ne peux que te sentir mal pour ton frère. « Je suis désolé Alex. », tu commences, ne t’excusant pas de tes sentiments envers Jean mais plus par compassion avec ce sentiment de douleur que devait ressentir ton frangin. « Loin notre intention d’ « agiter notre bonheur » sous le nez de quiconque… On espérait garder cette information secrète. »

By Phantasmagoria

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RP Groupe

La jeune femme semblait de très bonne humeur et c’était une bonne chose. Elle arrivait sans mal à te faire oublier les remarques d’Alex et surtout ce que les frères Summers pouvaient bien se raconter en ce moment. Elle te répond avec un brin d’humour sur le fait d’avoir été distraite et tu répliques en souriant : « Dans ce cas cette soirée est une réussite ! ». C’est ton tour de chercher à faire une plaisanterie. Après tout, quitte à rentrer dans quelqu’un autant en profiter et sympathiser un peu, non? Un petit rire franchit ses lèvres juste avant sa prochaine réplique. Suivant la répartie qu’elle a, tu enchaines vite. « Alors vous avez un super instinct. ». Tu l’as remarqué, elle a agi très vite. N'importe qui ce serait laisser surprendre et aurait tâché vos deux tenues… par ta faute. Heureusement ce n’est pas le cas. Elle se présente à son tour et un sourire s’affiche sur tes lèvres quand elle te donne son prénom.

Son regard se pose alors sur tes mains vides. Oui, toi tu n’as pas de verre. Tu allais lui proposer d’aller vers le bar mais elle s’en charge à ta place. L’invitation est simple et tu hoches la tête. « Avec plaisir, même si vous avez déjà de quoi boire. Vous pourrez vous rabattre sur les petits fours. De loin ils semblent appétissants. ». C’est côte à côte que vous vous dirigez vers le buffet où se dressent des dizaines - voir plus - de coupe de champagne. Divers plateaux sont également installés sur les tables revêtues de nappes blanches. Tu n’avais pas vraiment faim, mais en voyant cet étalage de bouffe, la gourmandise prend le dessus. Tu récupéreres une coupe et un toast que tu croques immédiatement. Pour le faire passer tu bois une gorgée de ton verre. « C’est la première fois que je met les pieds dans ce genre de soirée. C’est assez impressionnant. » Tu désignes rapidement l’alcool et la nourriture qui semble être hors de prix.

Tu adresses un nouveau sourire à la jeune femme répondant au prénom d’Elizabeth. Et c’est là qu’un détail te saute enfin aux yeux. Ses cheveux multicolores. Ta bouche s’ouvre et forme un petit ‘oh’. Tu étais tellement préoccupée par ce qui se déroulait plus loin que tu n’avais même pas remarqué ça. « Waou ! Je sais que je suis un peu longue à la détente mais j’adore vos cheveux. » Ta phrase, à présent dite à voix haute te semble vraiment malpolie. Tu détournes un peu le regard et prends une nouvelle gorgée de ton verre. « Désolé, je pense que pas mal de monde doit vous faire la réflexion. Ca doit être chiant à la longue... ». Vas-y Jean, continue à mettre les pieds dans le plat. « Vous êtes venue seule ? », tu glisses pour faire diversion.

Jean : #F19E34

Le Bal de Magnus

Et merde. Rien qu’à voir l’expression de ton frère, tu te doutes que tu vas avoir droit à des excuses et de la compassion dont tu ne sauras pas quoi faire. C’est con à dire, mais si d’un côté tu attends une réaction de sa part, d’un autre côté, tu sais pertinemment que peu importe laquelle il choisit, tu seras gêné. Toute cette situation est embarrassante au possible, pour toi, pour lui, pour Jean. Dire que c’est l’un de tes problèmes les plus facilement solubles… C’en serait drôle, si c’était pas aussi triste.

Scott a du mal à capter ce que tu dis à demi-mots, mais il n’est pas stupide, alors ça finit par percuter là-haut. Il commence par demander depuis quand, avant de se rétracter. Tu ne peux pas lui en vouloir de poser une question aussi stupide, tu l’excuses parce qu’il la retire. Paradoxalement, ça t’encourage plutôt à y répondre. Si un peu de détails permet une meilleure compréhension pour lui, et pour toi, une extériorisation, pourquoi passer à côté ?

— Quelques mois. J’vais m’en remettre, c’est juste que c’est le bordel partout et ça en plus… J’ai l’impression de trouver le repos nulle part.

Tu ne peux pas t’empêcher d’esquisser un sourire sans joie quand Scott avoue qu’il pensait que le souci, c’était la grande roue qui t’était tombée dessus. Le piège dans sa formulation, c’est que c’est un souci. Parmi tant d’autres. Pas forcément le moins important d’ailleurs, parce que le métal arraché et la tôle froissée, c’était pas la pire des choses qui se soit passée à cette fête foraine. Mais voilà, tu préfères garder ça pour toi, pour le moment. À jamais, si possible.

— T’es pas idiot, va. Enfin, pas pour ça.

Tu souffles, comme si ton aveu t’avait ôté un poids de la poitrine. Tu esquisses même un nouveau sourire, moins cynique que le premier. Le moment était mal choisi ? Ah bon ? Il aurait fallu prendre un rendez-vous ? L’idée te fait marrer mais tu gardes ça à l’intérieur, comme tout le reste. T’es pas le seul à vouloir faire des cachotteries, d’ailleurs, puisque Scott te dit que lui et Jean avait prévu de garder ça secret.

— Ok. Je dirai rien, mais bon, vous n’êtes pas bien discrets. Donc voilà, si j’ai besoin d’air, c’est pas entièrement de votre faute. Fin, si, mais non. Bref. C’est la merde, j’ai juste besoin de vacances je crois. Que le monde entier me foute enfin la paix.

Ça fait du bien de le dire, même si tu peux pas t’empêcher de te trouver particulièrement pitoyable. Pourquoi t’es venu ce soir ? Tu ferais peut-être mieux de rentrer t’achever devant une série débile avec de la bière et un pyjama sale. Au moins, tu feras chier personne, et personne te fera chier.

AVENGEDINCHAINS

Groupe 2Le bal de Magnus Malgré le fait que sa rencontre avec Jean était complètement anodine, Elizabeth était contente de l’avoir fait. La jeune femme avait l’air sympathique et elle s’était facilement mis à discuter avec, bien que le début avec été un peu mouvementé avec cette histoire de coupe de champagne. Mais voilà, la Hongroise avait eut la chance de son côté et rien n’avait encore entaché sa bonne humeur. Et oui, Jean avait raison. Cette soirée était une véritable réussite et, en aucun cas, l’agent n’avait regretté de s’y être rendu. Elle avait eut une petite hésitation au début, n’ayant jamais réellement participé à une soirée de ce genre, mais elle se sentait à l’aise et à sa place. Elizabeth n’avait besoin de rien d’autre pour s’amuser et c’était encore mieux maintenant qu’elle parlait avec quelqu’un.

Face au compliment suite à cette affaire d’instinct, Lizzi remercia la rousse d’un sourire, juste avant de se présenter. C’était beaucoup mieux de savoir à qui on parlait et ça lui avait permis d’enchaîner pour proposer d’aller lui chercher quelque chose à boire. Elle-même avait commencé par ça en arrivant et ça ne la gênait nullement de retourner vers le buffet. « Oh, ne me tentez pas, ces petits fours me font de l’œil depuis tout à l’heure. Je crois que je ne vais pas m’empêcher de craquer. » C’était tout elle. Elizabeth n’avait pas pu s’empêcher de blaguer sur la nourriture mise à leur disposition, avant de suivre Jean vers l’étalage. Loin d’être au régime ou d’être super regardante sur ce qu’elle mangeait, la jeune femme aimait juste bien mettre un peu d’humour dans tout ce qu’elle disait. Et puis elle ne travaillait pas, alors elle avait laissé son sérieux sur le pas de sa porte.

Choisissant ce qui lui semblait le plus délicieux pour commencer son petit grignotage, elle observa ce qui s’étendait sous ses yeux pendant la remarque de Jean. C’est vrai que c’était assez impressionnant. Là-dessus, leur hôte avait assez bien géré. « Il en est de même pour moi. J’ai plus l’habitude des soirées plus ou moins improvisées. Je n’ai jamais vraiment assisté à ce type-là. Mais c’est fabuleux. » Ce n’était pas vraiment la même chose que les fêtes de fin d’année des universités, ni des soirées que Lizzi pouvait se faire avec des amis sur l’île. C’était plutôt le type de soirée auquel on assiste une fois.

La remarque sur ses cheveux la fit un peu rire. Bien sûr qu’elle avait l’habitude qu’on lui dise cela, mais ça l’amusait de voir comment les gens réagissait. « Merci. Et ne vous en faites pas. Même si vous n’êtes pas la première, c’était plutôt amusant de voir comment les autres réagissent. J’adore aussi votre roux. » Elizabeth adorait sortir du lot et, tant que ça ne la gênait pas pour travailler, elle se faisait un réel plaisir de le faire. Ses cheveux n’y avaient pas échappé et, depuis le temps qu’elle se faisait cette couleur, elle n’était pas prête d’arrêter. « Et en effet, je suis venue seule. Libre comme l’air de faire ce que je veux, sans avoir de cavalier à mon bras. » La jeune femme n’avait pas vraiment cherché à trouver quelqu’un, se disant qu’elle ferait bien une rencontre ici et sa discussion avec Jean en était la preuve. « Et vous ? Vous avez un cavalier ? Que je ne vous retienne pas trop dans ce cas. » © 2981 12289 0

Le bal de Magnus

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Un verre d’alcool à la main : voilà ce qui rapprochait les gens. Et un super truc à se mettre sous la dent, ce n’est pas mal non plus. Imitant ta récente rencontre, tu n’hésites pas à dérober quelques petits fours qui trainent juste sous ton nez. Ils sont là pour te narguer, alors tu n’allais pas te gêner pour te servir. Tu étais tellement distraite par ce qui s’était passé plus tôt et surtout après lui être rentré dedans que tu venais seulement de te rendre compte que sa couleur de cheveux n’était pas du genre habituelle. Ce que tu ne manques pas de faire remarquer avec un tact loin du délicat. Tu y mets carrément les pieds dans le plat et tu aimerais disparaître dans un trou de souris une seconde fois. Heureusement pour toi, elle est loin de mal le prendre. Au contraire elle te fait même un compliment sur la tienne. Tu la remercies timidement avant de chercher à diriger la situation vers autre chose, espérant ne pas t’afficher une fois de plus.

La réponse d’Elizabeth te fait exploser de rire. Oui littéralement tu viens de pouffer de rire devant une inconnue, la bouche à moitié pleine. Tu te confonds une nouvelle fois en excuses pour ton manque de tenue. « Oh, pardon », tu dis une main devant ta bouche,l’autre toujours accrochée à ton verre d’alcool, « C’est juste tellement vrai ce que vous dites ! Libre comme l’air, faire ce que vous voulez. Pourquoi est-ce qu’on s’embête à trouver un cavalier ? » Tu poses la question en haussant les épaules. Elle semblait tellement à l’aise, même toute seule dans une réception aussi gigantesque. A cet instant tu as de l’admiration et du respect pour cette femme qui se contrefiche des stéréotypes et des a priori du genre “ Une femme doit venir au bal avec quelqu’un”. Elle te retourne la question, et tu dois avouer que tu te retrouves un peu conne.

L’envie de laisser tes yeux glisser jusqu’aux frères Summers est forte, trèès forte même. Mais tu t’en empêches. Tu te contentes de sourire en grand avant de lui répondre : « Non, non, pas d’inquiétude. Je suis venue seule aussi, mais je dois avouer que j’ai un peu triché. Je savais que des collègues seraient là. » Tu lui adresses une petite grimace. Celles qui veulent dire ‘Oops’ puis reprends : « Vous êtes bien plus courageuse que moi ! » Elle venait de te donner l'envie de jeter un coup d’oeil aux personnes qui vous entouraient, ce qui tu fais donc. Tu repères au loin Scott et Alex qui n’ont pas bougé. Tu t’attardes le moins possible sur eux et continu ton inspection. Tu finis par trouver une tête qui ne t’es pas inconnue. Il n’est pas seul et tu es en trop bonne compagnie pour t’avancer vers lui. Tu te contentes d’agiter la main dans la direction de Clinton quand il croise ton regard. Libre choix à lui de venir vous rejoindre, toi et Elizabath. « Je retrouve même d’anciens collègues. », tu précises à la jeune femme toujours à tes côtés. « Heureusement que vous êtes là. Sinon j’aurais l’impression d’être au bureau ! », tu plaisantes doucement.

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Alors que j'étais complètement perdu, je regardais autour de moi les lumières scintillantes de l'intérieur de la maison Magnus un sourire aux lèvres. Avec Gwen j'avais vraiment fait le bon choix de venir, je pouvais reconnaître des collègues, je pouvais aussi voir des membres de la garde rouge, enfin il y avait tellement de monde. Bon, il fallait bien commencer par quelque part ... Le buffet, de suite je fis part à Gwen ma petite soeur de coeur que j'allais me servir un verre, voir quelque chose à grignoter, j'en profitais pour savoir si elle voulait quelque chose, mais visiblement elle en avait décidé autrement. Lui souriant j'allais vers le buffet, prenant une coupe de champagne et dégustant celle-ci, avec le traitement sévère que j'avais eu du à mon accident, je n'avais plus eu le droit de toucher à l'alcool pendant bien longtemps, ce n'était pas un petit verre de champagne qui allait me faire de mal. Il y avait aussi un délicieux buffet, alors que je m'approchais de celui-ci je me servis quelque petits fours, grignotant tranquillement tout en regardant les autres invités autour de moi. Au bout de dix minutes je sorti de mes pensées et je reconnus une collègue, Jean Grey, j'eu un sourire, celle-ci était avec une autre jeune femme qui ne mettait pas inconnu, de suite j'allais vers la rousse.

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groupe

“ you can't kill an idea. „

Tu gardes un œil sur le visage de ton frère et sur ses réactions. Tu ne peux pas imaginer toutes les pensées qui doivent circuler dans sa tête à ce moment-là. Déjà la tienne essaye de mettre en ordre tout ce qu’elle vient d’apprendre. Il t’arrive de nouvelles questions. Questions que tu aimerais lui poser, d’autres que tu aimerais poser à l’intéressée habillée de sa robe bleue. Elle s’est un peu plus éloignée et tu la cherches un moment dans la foule. Tu la retrouves un peu plus loin avec une femme à la chevelure colorée que tu ne reconnais pas. Elles semblent discuter. Ton attention retombe sur ton frère. Tu remarques son sourire. Si tu ne le connaissais pas si bien, tu pourrais te faire avoir et croire qu’il annonce quelque chose de bien. Tu sais que rien dans la situation ne mérite un tel effort. La situation en elle-même est trop étrange pour qu’une réaction telle que la sienne arrive aussi tôt. Tu n’hésites cependant pas à demander subtilement à Alex de garder le secret de Jean et toi. Tu espérais qu’il ne te ferait pas trop marcher avant d’accepter de faire comme si de rien n’était. Cependant, il ne discute pas. « Ok. Je dirai rien, mais bon, vous n’êtes pas bien discrets. » « Merci Alex » Tu te redresses et passes une main dans tes cheveux. Alex vous aviez déjà grillés alors que tu avais à peine prononcé quelques mots à Jean. Si lui pouvait ressentir que quelque se passait entre vous deux, d’autres le pourraient aussi. « Donc voilà, si j’ai besoin d’air, c’est pas entièrement de votre faute. Fin, si, mais non. Bref. C’est la merde, j’ai juste besoin de vacances je crois. Que le monde entier me foute enfin la paix. » Tu souris à moitié, content de voir qu’Alex s’exprime sur son ressenti des évènements, sur ce don il a besoin, ce dont il a envie. Tu sais qu’il n’a pas envie d’être ici, ça se lit comme un titre de journal gossip. Mais tu sais qu’après qu’il venait de te faire, le voir s’isoler, faire marche arrière et disparaitre du parking te ferais d’autant plus culpabiliser. « Allez viens, allons trouver quelque chose d’intéressant à faire... Tu as fais tout ce chemin jusque-là, reste encore un peu. Si tu veux disparaître plus tard, je te couvrirais, tu lui sors d’un ton neutre, mais pour l’instant je pense qu’on devrait profiter un peu de cette bouffe qu’on ne pourra jamais se permettre et de ce champagne qui va rapidement nous monter à la tête ». Tu fais quelques pas vers le buffet, sous la tente blanche avant de te retourner pour voir si Alex acceptera de te suivre. « Essayons d’être normaux pour une soirée et de se sociabiliser un peu… Ca ne pourra pas faire de mal à la réputation de la Garde… » Tu attrapes une coupe de champagne qui arrive sur un plateau et le lui tend en invitation.

By Phantasmagoria

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