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Alexia H.Wheeler- to be my self ✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦ |
| | Jeu 4 Mai - 19:24 | | Alexia Hestia Wheelercitation25Elle n’en a jamais euPropriétaire du FullGeek StudioCivileLesbienne & CélibataireMutantPouvoirs - Alexia est ce qu’on appelle une empathique, elle est capable de ressentir toutes les émotions de chaque personne qui l’entoure. Cela est très difficile pour elle de supporter ce pouvoir, elle n’arrive pas à le contrôler parfaitement et parfois se laisse submerger par toutes ses émotions étrangères qui l’envahis. Cela lui donne l’impression de ne plus être soi-même.SouhaitAlexia ne souhaite qu’une chose, pouvoir ressentir ses propres émotions et celle des autres sans avoir son pouvoir. Cela était bien trop intense pour elle et ne veut que des sensations que tout être humain normal ressentir. Bref, elle veut juste être une personne normale Emergence Elle a de vagues souvenirs de sa vie avant Genosha. Elle espère juste que ce ne sont que rêve et rien de plus, car elle se souvient principalement de la période où ses parents l’ont enfermé dans un asile.Avez-vous entendu parler de ces rumeurs sur l'émergence de certains pouvoirs ? Si oui, qu'en pensez-vous ? Vous trouvez ça excitant ? Malsain ? Improbable ? Quelques rumeurs par-ci par-là. Mais les rumeurs, c’est un peu comme les crocodiles qui vivent dans les égouts de News yorks. Elles sont là, mais il n’y a personne pour les prouver. Je ne dis pas que j’en ai rien à faire, non, je serai intrigué. Mais est-ce que les personnes qui auraient ses pouvoirs les mériteraient ? Avez-vous déjà été témoin d'une rafle de la garde rouge ? Pensez-vous réellement qu'ils recherchent des personnes à pouvoirs ou ce ne sont que des bruits de couloir ? Le contrôle de la population serait-il un mal nécessaire ? Je ne sais pas trop. L’être humain a toujours eu peur de ce qu’il ne connaissait pas et ce qu’il ne peut pas contrôle. Alors je dois avouer que je ne sais pas vraiment ou me situer sur cette question. Après tout si une personne mal attentionnée à des pouvoirs qu’est qu’il pourrait en faire et dans un autre sens une personne avec toute la bonne volonté du monde peut faire des choses extraordinaires, comme faire de mauvaises choses en pensant que c’est pour le bien de tous. Je ne sais donc pas si c’est bien ou mal de faire ce genre de contrôle. Dans une autre vie, qui auriez-vous aimé être ? Pour quelles raisons ? Peut-être une actrice, une de ses personnes vues dans le monde entier, jouant un tant de personne exprimant toute sorte d’émotion et faire palpiter les cœurs des tant de personnes à la fois. Les faires rire, les faire, pleurer, les rendre en colère. Peut-être que j’aurais aimé être une personne capable de provoquer autant de sentiment chez une autre pseudo Shacka
sexe/age ouuuuu
pays Belgique
DC oh que oui
personnage marvel, scénario ou inventé inventé
niveau d'émergence 2
niveau de maitrise 0
Désirez-vous un parrain/marraine Non
vous nous avez connu... heu.... pas une amie qui n'est pas ici
un dernier aveu ici house of memories |
| | | Jeu 4 Mai - 19:25 | | Before Genoshawe all have to start somewhere Je me rappelle de ce jour, de ce moment ou pour la première fois, je ressentis des choses que ne m’appartenait pas. J’étais en cours, écoutant ce prof d’histoire nous raconter les péripéties de la guerre de Sécession. Il était là nous mimant l’histoire par quelques petites scènes essayant tant bien que mal d’attirer notre attention. Dans un coin, on pouvait voir un élève baillé, dans un autre coin, une fille préoccupe avec ses ongles faisant la moue devant celle-ci, un peu plus loin quelqu’un faisant passer un mot. Cela me faisait sourire, car on avait une impression que tout le monde n’attendait qu’une chose que cette maudite sonnerie retentisse pour qu’on puisse se sentir libre à nouveau et parler dans les couloirs pendant qu’on allait à notre prochain cours qui nous semblerait tout aussi ennuyeux.
Mais cette journée était différente, j’avais cette étrange impression d’impatience, cette sensation d’ennuis, un sentiment de colère tapie au fond de moi. Pourtant, la journée avait plutôt bien commencé, mes parents nous avaient sortir leur habituel laïus, Taïs et moi, nous avions comme à notre habitude haussée des yeux. J’avais répondu quand il nous disait de faire attention aux autres « Ou le grand méchant loup nous mangera. ». Puis nous étions parties, rejoindre les amis de ma sœur en route pour les cours.
Et tout allait bien, tout était normal, jusqu’au moment ou tout me semblait si contradictoire. Je fus prise par une rage folle sans savoir expliquer pourquoi, je marchais dans les couloirs et soudainement fut heureuse sans raison sentant le rouge monté aux joues. J’avançais dans les couloirs, arrivais devant mon casier pour prendre mes cours quand je me retournais vers une fille qui passait, commençant à l’insulter sans raison, me laissant emporter par un sentiment de jalousie et rage envers elle. Tout ceci se termina chez le principal, après quelques griffures et tirages de cheveux. Mais mon souci continua, j’avais ressenti l’incompréhension de cette fille, la déception du principal et sentais venir la colère qui accompagnait mes parents.
Revenue chez nous, la peur de Taïs était présente en moi, je n’avais nullement besoin de la regarder. Mon père m’appelait d’une voix grave et je n’osais pas avancer vers lui. Il y avait bien trop de colère, beaucoup trop, bien trop de déception et de peur en moins. Tout se mélangeait devenant une chose indistincte. Mais, plus je restais là, plus je sentais la colère de mon père s’intensifier, et d’un cri rageur l’entendis m’ordonner d’approcher me faisant ainsi sursauter. Mon père ordonna à ma sœur de monter, mon regard se portait sur elle qui montait les escaliers et la punition fut donnée à coup de ceinture.
Ce fut à partir de ce jour ou tout commença à changer, ou j’avais cette impression petit à petit de me perdre dans les flots de tous ces sentiments. Je ne savais plus qui j’étais, je me renfermais sur moi-même, m’isolant le plus possible. J’allais jusqu’à sécher les cours, pour me trouver un endroit où je pouvais être seule et quand j’étais en présence de tout ce monde, essayais de trouver une pièce à l’abri des regards, essayant de me persuader que ce n’était pas moi, essayant de chasser tout ce que je pouvais ressentir, l’échec, la honte, la douleur, la peine, la tristesse, la joie, l’euphorie, la colère et la haine.
Je ne laissais plus ma famille et ma sœur m’approcher. Pour moi même si elle était qu’à quelques mètres de moi cela me semblait déjà bien trop près. Même si elle était quelque part la personne qui me faisait tenir, comme un point de repère de ma propre existence. Et quand elle claqua la porte pour ne jamais revenir, ce fut la descente aux enfers. Ne voulant plus aller en cours, mes parents subissant mon humeur contrastée, ne leur laissant plus d’autre choix que de m’enfermer dans le pire des endroits possibles pour moi, avec tous ses gens se baladant en blouse blanche, ces personnes dont on dit qu’ils étaient fous. Mais peut-être qu’enfin de comptes, je l’étais moi aussi. Ou bien étais-je cette personne dans ce coin se parlant à soi même comme s’il tenait une conversation avec une autre personne, ayant peur, puis passant soudainement à la colère. Ou alors j’étais celle qui était ravie, mais qui au fond d’elle savait qu’il y avait quelques choses qui n’allaient pas, ressentant cette tristesse de ne pas savoir comment elle pouvait sortir de ce tourbillon malsain. Cet endroit allait être ma prison, mon enfer, ma punition comme auraient dit mes parents, ce châtiment divin, après tout, je n’avais qu’à être comme les autres. Je n’avais qu’à ressentir seulement mes propres émotions et seulement les miennes.
8 ans plus tard
Cela faisait combien de temps, combien d’années étais-je là dans mon coin, me prenant la tête dans mes mains, criant à pleins poumons ma détresse, ma rage, ma haine contre le monde, mes craintes, ma peine et mon euphorie, suppliant que tout cela cesse qu’on me délivre de ce tourbillon infini qui ne cessait de m’assiéger. Je n’en pouvais plus, ne savais plus qui j’étais. Je m’étais perdu durant toutes ces années, me tapant la tête contre les murs, murmurant des suites de phrases sans queue ni tête « Non, non, non . Il est pas content…. Oh non… il n’est pas content. » Le monde qui m’entourait n’existait plus, elle était faite que d’impression, de sensation pesante. Je n’étais plus rien, je pouvais plus sentir mes propres sentiments…d’ailleurs est-ce que j’en avais encore. Comment pouvais avoir mes propres sensations alors que celle des autres me submergeait me noyant dans les ténèbres. Je me levais, fit des aller et retour du milieu de la chambre jusqu’au mur continuant à murmurer un discours incompréhensible « Il sait… bien sûr qu’il sait…. Il est fâché… Très fâcher… »
Je continuais mes cent pas, continuait à murmurer, sentis une de nouvelle sensation. Horreur, culpabilité, triste, impuissance, trop près, beaucoup trop près de moi. Je me figeais sur place, regardais la détentrice de tous ces sentiments. Ils avaient les traits de Taïs, le regard triste, peiné, qui s’avançait vers moi. Je reculais avec violence contre le mur lui ordonnant de ne pas approcher « NON !! T’approches pas ! T’approches pas ! » me laissant glisser lentement contre le mur pour me retrouver assise sur le sol, la voix briser par toute cette tristesse que je ressentais de ma sœur, pleurant en harmonie avec cette vision d’horreur qu’elle avait de moi. « Pitié… Non, non, soit pas triste non, je t’en pris… ». Je ramenais mes jambes contre ma poitrine, frappant ma tête contre ce mur qui était comme un refuge désormais pour moi. Il était cet endroit où je pouvais me cacher, l’endroit où on me laissait seule. Je fis comme si j’étais désormais seule continuant de cogner ma tête contre le mur répétant sans cesse « Tu lui fais peur. Tu lui fais peur »
Au loin, le psychiatre se retournait vers Taïs, lui parlant d’une voix qui se voulait compatissante. Mais cela était faux, il ne l’était pas, il n’avait pas pitié, n'était même pas triste pour Taïs, il s’en fichait bien « Comme vous voyez, l’état de votre sœur s’est agraver. Elle ne laisse personne approcher et en devient même violente. On a, tout essayer, Mademoiselle Wheeler, mais j’ai peur qu’il n’y ait plus rien à faire. Parfois, il y a de léger moments de lucidité, mais ne vous faites trop d’espoir.» Je pouvais le sentir, cela ne lui faisait rien, il était bien trop concentré sur sa petite personne sur ce sentiment de colère. Il est parti prenant avec lui tout ce ressentiment qu’il avait. Laissant la tristesse et la peine de ma sœur avec moi.
Elle essayait de m’approcher et quand elle fut trop près, je lui pris le visage dans mes mains avec force, prononçant avec force« Arrête… Arrête…. » Puis ma voix se brisait en un seul coup, les larmes coulèrent « Toute cette peine ! Je peux la ressentir… La colère…. La tristesse…Je t’en pris Taïs arrête ça… Je veux plus ressentir…J'en peux plus…Fais que ça cesse…» Je suppliais ma sœur de faire cesser tout ceci, de me donner cette paix que je méritais et que le dieu de nos parents me refusait. Je posais mon front sur le sien, pris une voix suppliante, implorante de me délivrer de cette torture. « Je t’en supplie…» Je continuais ma supplication, alors que je pouvais sentir un sentiment d’effroi en Taïs au fur et à mesure que je lui exprimais mon vœu « Delivre moi… »
Quelque mois plus tard
Un bruit dans l’appartement d’à côté se fit entendre, tard la nuit, des cris résonnèrent et encore une fois des sentiments qui ne m’appartenaient pas m’envahir, me réveillant en sursaut dans mon lit. Je sortais de mon lit, me remis à faire les cent pas comme quand j’étais là-bas, marmonnant quelques mots, tapant sur ma tête comme pour faire sortir ce mal-être qui s’installait en moi « ce n’est pas moi. Ce n’est pas moi.» Je continuais à marcher, me souvenant de cette amulette que Taïs m’avait donné et qui était sur la table de nuit, je me précipitais vers elle, allait me caler dans un coin de la chambre continuant à me dire à moi-même « Ce n’est pas moi… Ce n’est pas moi. » Je fermais les yeux, essayant de me concentrer, me focalisant sur cette peur qui m’était propre, celle qui n’appartenait qu'à moi et personne d’autre. J’essayais de toutes mes forces, reproduisant sans le vouloir les manies que j’avais dans cet hôpital, tapant ma tête contre le mur. Mais rien n’y faisait, je n’arrivais pas à faire reculer cette rage qui prenait possession de moi petit à petit. J’avais beau serrer cette amulette, essayé de me convaincre que ce n’était pas mes sentiments, rien n’y faisait, cela était bien trop fort. « Taïs… Taïs »
Je continuais à l’appeler, continuant de me cogner la tête contre ce mur, espérant qu’elle entend mes appels. Puis elle arriva, venant près de moi, je pouvais ressentir son inquiétude. Elle empêcha ma tête de rencontre à nouveau le mur de la chambre, me parla d’une voix douce, se voulant rassurant alors qu’elle que je pouvais sentir sa crainte. Elle me demandait de me concentrer sur elle, de l’écouter. Elle voulait que je respire, une fois, deux fois, trois fois et une dernière fois, que je ferme les yeux, que j'imagine des racines s’enfoncer dans le sol.
Je me laissais guider par les instructions de ma sœur, laissant ses racines plonger plus profondément à chaque expiration. Je captais l’énergie à chaque inspiration, encouragé par ma sœur. Et continuais ainsi jusqu’à ce que ses racines englobent la terre, puissant de cette force qu’elle devait me procurer cette sérénité promise « Je suis moi. »
Le lendemain, nous étions en train de prendre le petit déjeuner, mon aînée le préparant, moi regardant d’un air absent par la fenêtre. Taïs faisait tout pour m’aider, trouver une solution pour que je puisse vivre avec ce châtiment. Elle essayait de me faire voir la vie d’une autre manière, mais comment pouvais-je vivre d’une autre façon. Je pouvais ressentir le cœur des hommes, sentir leur noirceur cacher à tout instant, savais qu’elle pouvait m’entraîner dans les ténèbres à chaque moment. Je ne pouvais m’empêcher de me demander que jusqu’à quand je pourrais tenir. Jusqu’à quand Taïs repousserait cette malédiction qui était en moi. Elle était devenue la lumière, celle qui me faisait avancer dans les ténèbres, mais en fin de compte, un jour ou l’autre, les ténèbres masqueront doucement son étincellement et moi, je serai plongée dans l’obscurité. house of memories |
| | | Jeu 4 Mai - 19:26 | | After GenoshaLife goes on C’était une idée d’un ami, il nous avait convaincus que cela marcherait nous racontant que son frère aîné avait réussi son coup lui. Alors il n’y avait aucune raison pour qu’on ne puisse pas y arriver. Et c’est vrai, bon nombre de personnes de notre âge le faisaient chacun avait sa fausse carte d’identité, puis ce soir-là, j’avais besoin de décompresser après une énième dispute avec mes parents. J’avais même menacé ma mère de faire comme Taïs, de prendre mes affaires pour ne jamais revenir. Ce n’était, bien sûr, pas l’envie que me manquait bien au contraire. Nos parents étaient insupportables avec leur moral tout droit sortir du Moyen Âge. Moi avec un esprit plus moderne aimant trainer sur les réseaux sociaux, aimant les nouvelles technologies, ou encore trainer sur des forums pour jouer à ce qu’on appelle du rôle play ou encore à mes jeux vidéo, la communication ne passait donc pas si bien entre nous. Certains diraient que cela était le choc des générations, mais pour moi, c’était plutôt une question d’une mentalité étriquée.
Alors ce soir, j’avais fait le mur, profitant du moment où mes parents s’étaient endormis pour m’échapper de la maison par la fenêtre de ma chambre. Je montais dans la voiture de mon ami et on partis en ville. Nous vivions la vie d’adolescent celle où on expérimente des choses ou on pense que rien ne peut nous arrêter et que le monde entier est à nous. On se sentait adulte rien que dans le fait de fumer une clope ou encore faisant tourner un join entre nous. Puis on se décidait à s’arrêter dans un bar, prenant place à un endroit où on se retrouvait serrer. Mais cela ne nous dérangeait nullement, tout ce qu’on voulait, c’était de boire des bières et tester ces fameuses cartes d’identité. Sur la mienne, il était écrit que je m’appelais Chery Kruger. Alors j’allais au bar, fis signe au barman lui demandait des bières et lui me demandait ma carte. Je la lui donnais, « Chery Kruger… Pas de bière pour toi. » Outré, scandaliser, je m’insurgeais contre le barman, lui disant que j’avais bien 22 ans où je n’étais nullement une adolescente voulant se faire passer pour plus vieille qu’elle ne l'était. Mais quel ne fut pas surprise quand une femme venait à ma rescousse disant au barman que j’étais avec elle. Cette femme était belle, avait quelque chose qui m’attirait, et là, je me souviens que j’étais une véritable adolescente, avec timidité, ce rouge aux joues cette nervosité et se demandant pourquoi elle faisait cela. Je m’étais d’ailleurs toujours poser cette question pourquoi elle avait posé ses yeux sur moi. Après tout, j’étais bien plus jeune qu’elle sans expérience, me cherchant encore.
Pourtant, Santana ne semblait pas se préoccuper de tout ceci, elle se fichait bien de notre différence d’âge. Elle me fit découvrir ce qu’était l’amour, cette impatience de retrouver l’autre, cette peur de faire ce qu’il ne fallait pas ou alors d’être beaucoup trop immature pour elle. Elle a été cet amour qui nous rend distraites, nous faisant regarder dehors au lieu d’écouter le prof nous raconter ce qu’était une fonction en Javascript, celui qui nous fait sourire pour un rien. Mais il était avant tout celui de la première, premières fois que je ressentais de tels sentiments pour une personne, la première avec qui je passais mes nuits, la première femme que j'ai connu. Elle a été cet amour qu’on pense qu’il était éternel que rien ne pourrait détruire. Même s’il y avait des disputes, car en fin de compte, je revenais toujours auprès d’elle. Elle me faisait rire, prenait patiente face à ma jeunesse, me faisait sentir à ma place.
Quand je parlais d’elle à Taïs, la joie était sur mon visage, le rendant rayonnant et me donnant cet aspect frivole qu’ont toutes les jeunes filles tombant amoureuses pour la première fois. Cela la faisait bien sourire, elle me charriait même sur cette relation que je menais avec Santana.
Cette relation dura pendant 2 ans. 2 ans qui pour moi avaient été les meilleurs moment de ma vie, qui m’avait procuré tant de bonheur, faire vivre tant de choses. Mais toutes bonnes choses ont une fin. Cette relation qui me procurait tant de bien-être qui pour moi ne pouvait jamais se finir s’arrêtait brutalement. Santa avait reçu un ordre de mission qui l’éloignait de moi pour une longue durée et notre couple prit fin avec son départ, me laissant un vide qui pour moi ne pourrait jamais être comblé.
Ce fut la période la plus difficile, me laissant dans une tristesse qui me semblait être une lente agonie. Je perdais le goût de la vie, n’avais plus aucune motivation ne voulant simplement me laisse porter par cette mélancolie. Je restais dans ma chambre, ne voulant plus voir mes amis, passant mon temps sous la couette. Le vide qu’elle avait laissé, m’était insupportable, me faisait pleurer pendant de longues heures sans que je ne puisse m’arrêter. Un rien me faisait éclater en sanglots. J’avais cette impression d’étouffer dans cette ville où je pouvais nous revoir main dans la main, riant aux éclats ou encore partageant un café. Je me languissais de sa présence. Et un jour, ne supportant plus cet endroit, je pris le large, rassemblant mes affaires dans un sac, abandonnant tout ce qui faisait ma vie sur Genosha. Après tout, plus rien ne me retenait vraiment, la personne que j’aimais n’était plus à mes côtés, alors à quoi bon rester dans un lieu qui me la rappelait à chaque instant. Alors je suivis les traces de ma sœur, partant de cette île.
Quelques semaines plus tard
J’étais partie loin de Genosha, loin de ma tristesse cherchant un nouveau souffle. J’avais rejoint dans un premier temps ma sœur, profitant de son soutien, de cet endroit où elle avait élu domicile. Elle m’avait montré les splendeurs du pays de l’Inde, m’avait parlé de la philosophie qu’elle apprenait ici et de sa vie. Cela me faisait beaucoup de bien, apaisait un peu ma peine et me changeait les idées. Elle me donnait cette envie de connaître le monde, connaître les diverses cultures que la terre accueillait et leur faire découvrir autre. Je voulais montrer la philosophie de vie de chaque peuple que je rencontrai. J’avais acheté une caméra, et commençais à filmer tout ce que je voyais, commençait à parler devant l’objectif sans complexe.
J’avais créé cette chaîne de vidéo devenant malgré moi ce que désormais, on appelle youtubeuse. Je partageais avec des gens que je ne connaissais pas ma vie, ainsi que mes sentiments, un lien se formait d’une manière étrange, certaines personnes se montrant blessantes d'autres me posant un tas de questions. Certains me demandaient comment j’en étais venue à voyager ainsi dans le monde entier, d’autres me remerciaient pour cette évasion que je leur offrais.
Mais le plus important n’était nullement cette chaîne et cet échange avec ces personnes qui se trouvaient derrière leur écran, le plus enrichissant était de pouvoir partager le repas de gens que je rencontrais, la diversité que le monde regorgeait. Parfois, je tombais sur des personnes des plus désagréables, mais quand on rencontra des gens qui n’hésitèrent pas à vous offrir logis et un repas cela était un moment merveilleux. Je m’étonnais toujours de la générosité des personnes qui avait si peu de moyens, de cette communion qui se formait entre nous dans un partage des plus sincères, sans me lasser de voir chaque recoin de la terre. J’avais admiré la vallée Jiuzhaigou, j’avais chevauché les dromadaires à travers le désert, roulé en compagnie du springbok. J’avais vu les lions de la savane, observer les tigres du bengal. J’avais admiré les splendeurs des chutes victoria, le badab-e surt. J’avais trouvé la sérénité dans les paysages des fossés du dragon jaune, j'avais été impressionnée par les stupas de Bagan ou encore les ruines de Petra. J’avais été jusqu’en Colombie voir sa fameuse rivière aux cinq couleurs. J’avais posé mes pieds dans le monde entier, trouvé cette paix qui avait disparu avec Santana, avait retrouvé l’admiration pour ce monde qui était le nôtre. Le sourire que j’avais perdu était revenu, la douleur que j’avais ressentie avait maintenant disparu, comme si j'avais accepté cette séparation qui avait été si douloureuse à mes yeux. Je me retrouvais en paix, apaisé et trouvais qu’il était temps pour moi de retourner sur mes terres natales. Il était temps pour moi de reprendre mal place, retourner là où j’avais fait mes premiers pas. Mais sans hésitation, un jour, je retournerai voir le monde pour encore une fois m’émerveiller de toutes ses splendeurs.
Le bruit des clients, des verres qui trinquent, des rires, de cette cacophonie que créait le mélange de toutes ses conversations. J’avais retrouvé d’anciens amis dans ce bar ou un jour, je fis sa rencontre. Un ami avait d’ailleurs eu peur, m’avait demandé si tout irait bien, si cela ne serait pas douloureux de venir dans ce lieu et que si c’était le cas, on trouverait un autre endroit. Mais il n’y avait plus de peine, ni de douleur à l’évocation de Santana et de notre passé. Bien au contraire, j’en garde maintenant de doux souvenirs, qui me faisaient sourire et j’espérais qu’un jour, je puisse retrouver les mêmes joies avec une autre personne. D’ailleurs, je la revis ce soir-là, nous avons discuté tranquillement, le cœur léger, j’étais même surprise de pouvoir lui parler si sereinement, comme si nous étions de vieilles amies de longue date. Elle n’avait pas changé, à chacune de ses paroles, je la retrouvais, mais moi, j’étais surement devenue différente.
FullGeek Studio
Quoi qu’il en soit, maintenant que j’étais de retour dans ce monde qui tournait bien trop vite, je devais trouver ce que j’allais y faire, trouver cette place. Cet endroit où je pourrais exister et être moi-même sans condition. Je n’avais nullement envie de reprendre des études. J’avais cette envie de me lancer, faire quelques choses part moi-même être fière de ce que j’avais accompli et en même temps pouvoir aimer ce que je faisais.
Je me retrouvais donc dans cet immense endroit rempli d’écho, parlant avec Taïs d’une voix enjouée. J’étais tout excitée par ce nouveau départ, impatience de pouvoir plonger dans cette nouvelle aventure. Je faisais le tour du propriétaire à ma sœur, lui expliquant tout ce qui était prévu, ce que chaque coin contiendra. Lui parlant des projets que j’avais en tête pour développer le magasin. J’avais envie de faire de ce lieu la référence dans le domaine, qu’il soit un lieu incontournable de Genosha pour tous les mordus de l’univers de la geek attitude. Je lui expliquais que l’entrée serait transformée en Tardis, lui avait parlé d’une statue de comics dans un coin. Je l’embarquais dans ma vision du magasin, avec son côté librairie café pour permettre aux gens de venir lire tout en sirotant un coca ou un café qui leur serait servi. Je peignais tout ce projet qui semblait si fou, mais si motivant, le sourire aux lèvres.
J’avais le sentiment d’avoir trouvé ma voie, de pouvoir enfin faire ce que je désirais sans aucune contrainte. Maintenant j’étais impatiente de voir ce projet devenir réel, pouvoir, jouir de cette idée qui avait germé dans ma tête. Cela prit plusieurs mois, pris beaucoup d’heures et quelques nuits. Mais enfin le jour arriva, ce jour où vous pouvez dire, « c’est mon bébé » et que rien ni personne ne peut vous retirer cette fierté d’avoir accompli tout ceci. . house of memories |
| | | | | | Jeu 4 Mai - 19:29 | | Re bienvenue ! |
| | | Jeu 4 Mai - 19:31 | | REBIENVENUE Tu sais déjà tout ce que je pense de bien de ta fiche et de ton personnage et de nos futurs liens et... BREF |
| | | Jeu 4 Mai - 19:33 | | Rebienvenuuuuue ma belle ! |
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Sorcier More about you : Codename : Alkemya
Pouvoirs : SORCELLERIE : lancement de sorts et de rituels - création de portails envers des lieux donnés, qui se connectent spirituellement à Aidan lors d'appel à l'aide. (uiui c'possible).
PIERRE PHILOSOPHALE : immortalité - dons de guérison - changement argent en or. Messages : 403
DCs : Skye & Aelys & Kaine & Avery & Nikki & Gwen & Klaus & Matthew & Heather & Isaac & Luke & Haiden & Erica & Norrin & Charles & Asami
Pseudo : Renescence
| Jeu 4 Mai - 19:37 | | Bonjour chérie Ah pardon c'est vrai que c'est de l'histoire ancienne maintenant Re-bienvenue parmi nous, ta fiche tu sais aussi ce que j'en pense Éclate toi bien avec ce nouveau perso |
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Mutant More about you :
Codename : X-23
Pouvoirs : Armes naturelles: Deux griffes tranchantes en adamentium à chaque main ainsi que une à chaque pied.
Auto-génération: Son rythme de guérison et de cicatrisation est très rapide.
Immunisée contre les maladies, les drogues et autres toxines.
Vieillissement ralenti
Sens développés
Messages : 1196
DCs : Maria, Casey, Paige, Grace, Laserian, Harper et Cindy
Pseudo : Fidji
| Jeu 4 Mai - 19:43 | | Rebienvenuuuue! Moi tu sais pas ce que j'en pense -sort- Je lirai tout ça plus tard, mais je suis certaine qu'elle est super! Amuses-toi bien avec elle |
| | | | | | Jeu 4 Mai - 19:56 | | Re-bienvenue à toi à toi ma jolie. |
| | | Jeu 4 Mai - 20:14 | | Merci mes chouuuuu |
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Mutant More about you : Codename : Memoria
Pouvoirs : En plus d'une mémoire eidétique, April s'est découvert à l'adolescence un pouvoir lui donnant une mémoire décuplée. Il lui est impossible d'oublier quoi que ce soit.
Messages : 532
DCs : Ann . Harry . Gemma . Samira . Noah . Abigail . Nebula . Jodie . Minho
Pseudo : lothlorien
| Jeu 4 Mai - 20:23 | | *observe Charlie surveiller Alexia et Santana* Voici donc la fameuse Alexia! Personnage super intéressant Re-bienvenue! |
| | | Jeu 4 Mai - 20:45 | | Moh t'inquiète c'est finis maintenant je te la laisse charlie |
| | | Ven 5 Mai - 10:51 | | Rebienvenue !
L'empathie, c'est toujours la merde comme pouvoir, dieu ;; La pauvre ;;
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Mutant More about you :
Gabriel possède tous les souvenirs de son ancienne vie, à son plus grand désarroi • S'il est avocat sur Genosha, il est sans cesse tiraillé entre son passé et son présent • Même s'il tente de faire amende honorable, ce n'est pas si facile car les mauvaises habitudes ont la vie dure. • Il tente de rester à l'écart du conflit entre pro & anti-émergé pour ne pas faire se faire remarquer.
Codename : Lighter
Pouvoirs : Pyrokinésie ► Gabriel a la faculté de créer du feu, par la pensée. Il doit cependant garder un contrôle constant sur sa "création" s'il ne veut perdre le contrôle.
Et parce que l'inverse serait sacrément ironique, il est insensible au feu et à la chaleur.
Messages : 1388
DCs : Marc, Sean, Lorna, Lucy, Jess, Scylla, Kurt & Ben
Pseudo : Slythbitch.
| Ven 5 Mai - 10:58 | | Re-bienvenue Ta fiche est trop triste, bordel |
| | | Ven 5 Mai - 11:17 | | J'avoue mais ça s'arranger sur la fin |
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Modo More about you : « Entropy. The things that fall apart. The center that cannot hold. [...] It is a universal constant, and from it flows all the fundamental chaos and disorder that you find so appealing. »
Codename : Entropy.
Messages : 315
Pseudo : -
| Sam 6 Mai - 9:03 | | FÉLICITATIONSyou are one of us nowTu as officiellement perdu tes souvenirs et tu es maintenant un habitant de l’île paradisiaque de Genosha!
Bene cette fiche, tu sais ce que j'en pense C'est tellement triste ce qui arrive à la pauvre Alexia Cest le jour et la nuit entre les soeurs Wheeler Heureusement que tout va pour le mieux pour elle maintenant Hâte de la voir en jeu et amuse-toi bien avec la jolie Alexia
Maintenant que tu es validé, que tu as ton groupe et ta couleur, il est maintenant le temps de t’amuser avec nous! Mais avant tout pense à passer dans ce sujet pour recenser ton pouvoir et/ou ton métier et/ou ta ville de résidence. Ensuite, va poster ta fiche de liens et de rps pour qu’on puisse venir t’harceler! Essaie de faire un petit résumé de ton personnage dans la partie prévue à cet effet pour faciliter l'échange d'idées. Si tu es un peu perdu n'hésite pas à faire un tour dans la partie I need a hero. Si tu souhaites t'inscrire au loto du RP, tu n'as qu'à t'inscrire! Un partenaire et un sujet te seront donnés! Tu peux aussi créer un scénario. Surtout, n’hésites pas à passer sur la CB, dans les jeux et le flood pour du fun fou!
J’espère de tout mon cœur que tu te plairas sur House of M! Il ne me reste qu’à te dire : BON JEU!
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| | | | | Alexia H.Wheeler- to be my self ✦ There's no crying wolves now 'Cause the truth has settled in ✦ |
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