✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
William Kaplan
Mutant
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GENOSHA: Billy n'est pas au courant de son véritable héritage, et encore moins de sa vraie nature, ni de l'étendue de ses capacités. Il n'a, à ses yeux, pas le moindre pouvoir particulier. Juste de la chance parfois. Mais ça ne l'empêche pas de croire sincèrement et honnêtement que les émergés ne sont pas l'ennemi commun.
Codename : W I C C A N
Pouvoirs : REALITY WARPING l'étendue complète des pouvoirs de Billy reste un mystère, même pour lui, il n'a aucune idée de leur limite si ce n'est de ce qui l'empêche, lui, de les utiliser. Ses pouvoirs lui permettent d'altérer la réalité comme bon lui semble, à condition qu'il soit capable d'entendre le sort qu'il est en train de jeter, et qu'il y croit fermement. Billy est un SORCIER comme sa véritable mère.
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Pseudo : MNDΛX
Dim 4 Oct - 18:07
lost between stations
« Té la quand??? » lui demande son petit-frère, Billy hausse les épaules mentalement, histoire de ne pas avoir l'air idiot en public. Il répond avec deux émojis identiques, deux haussements d'épaules. Toujours par deux. C'est un peu une manie, pour que l'émoji ne se sente pas tout seul et abandonné ? Probablement pas. Mais c'est ce qu'il dit à ses frères. Et ça semble être une raison suffisante, à leurs yeux. Ça fait un moment que Billy n'est pas rentré, un long moment. Et sa famille lui manque, c'est sûr. Billy n'est pas du genre à soudainement briser les liens avec les siens, il ne sait même pas s'il a déjà fait ça avec qui que ce soit d'autre de toute façon. Il est trop sentimental, trop attaché. Trop facilement attaché, peut-être. Quoiqu'il en soit, Billy s'en veut un peu d'avoir passé plus de temps éloigné qu'il n'aurait dû. Il n'avait pas vraiment prévu que ce soit le cas. Il ne s'attendait pas vraiment à ce que les choses entre lui et Teddy deviennent aussi sérieuses que ça. Il n'était pas non plus préparé à voir le monde changer autour de lui de la sorte.
Il se sent un peu bête. Il se dit qu'il va le leur dire, à ses petits-frères, à son père. Sa mère le sait depuis si longtemps, et depuis aussi longtemps elle ne leur a rien dit, comme elle avait promis de le faire. Et pour ça, Billy lui en est très reconnaissant. Mais le poids est toujours là, constamment. C'est quelque chose dont il ne peut pas et ne pourra jamais se débarrasser, parce qu'il continuera de rencontrer de nouvelles personnes malgré tout, qu'il continuera de devoir marcher prudemment et faire attention à ce qu'il dit, parce qu'il ne saura jamais à qui il peut vraiment faire confiance à propos de ce sujet bien précis. Il ne sait pas s'il doit le faire, s'il doit le leur dire, et ensuite tout en même temps leur dire à propos de Teddy et lui. il aurait dû lui demander de venir avec lui, qu'il ne se soit pas retrouvé tout seul à le leur dire, s'il le fait. Qu'il n'ait pas l'air d'un idiot en le leur disant sans avoir qui que ce soit à vraiment leur présenter.
Mais peut-être qu'il ne le fera pas de toute façon. Billy ne sait pas. Il hésite. Il se fait du mouron à s'imaginer toutes sortes de chose, de scénarios possibles et impossibles. Mais, tout ça, il le garde pour lui. Il ne le laisse pas empiéter sur sa bonne humeur et sur l'optimiste dont il fait montre aux autres.
« t'arrive bientot?? » lui demande son autre petit-frère. Billy soupire, répond qu'il n'est même pas encore dans le métro. Son petit-frère répond d'un simple « >:C » Billy souffle un rire étouffé et répond avec deux émojis, deux roulements des yeux. Il range son téléphone quand il entend la rame arriver dans sa direction, puis s'y invite sans perdre de temps, surtout parce qu'il a envie de s'asseoir, pas de rester debout à devoir s'accrocher à une barre sale. Par chance, il trouve une place immédiatement, puis par réflexe ressort son téléphone de sa poche après avoir posé son sac par-dessus ses jambes. Pas question de regarder dans le vide ou de croiser le regard des autres passagers. Personne n'a envie d'être là, autant ne pas rendre les choses encore plus désagréables.
Dès que les portes se referment, Billy s'enferme dans sa bulle. Il se répète à nouveau les mêmes choses, les mêmes différents scénarios qui pourraient avoir lieu s'il prenait la peine de toute avouer à son père et ses petits-frères. Il ne sait pas quoi faire d'autre en attendant d'arriver à destination, il ne sait pas quoi faire non plus de ses dix doigts, alors il laisse défiler son feed instagram sous ses yeux, sans vraiment y prêter la plus grande attention, essayant de s'occuper le plus longtemps possible, de faire passer les minutes plus rapidement, d'une façon ou d'une autre. Mais surtout pour éviter de se remplir la tête d'idées viles et déplacées, parce qu'il connait sa famille, il sait qu'ils ne sont pas comme ça. Que le pire qui pourrait arriver ne seraient que quelques questions gênantes et embarrassantes, il sait que ses parents ne sont pas du genre à—
Brusquement la rame s'arrête. C'est si soudain que Billy bascule en avant, manquant de tomber par terre, son sac en revanche, ne manque pas et tombe. Billy se redresse avec surprise et agacement, lève la tête, regarde autour de lui et serre son téléphone dans sa main. Ensuite, il se penche pour ramasser son sac tandis que les lumières se mettent à dépérir puis s'éteignent soudainement, plongeant la rame toute entière, et le reste du métro, dans le noir complet. Au départ, il se dit que ce n'est rien, que ce n'est qu'un cafouillage temporaire qui sera rapidement réglé. Il ne panique pas (tout de suite), mais quelque chose l'inquiète malgré tout. Ce genre de situation ne lui est jamais arrivé auparavant, les secondes passent et deviennent de plus en plus longues à chaque fois, les gens autour de lui commencent à s'inquiéter et lui, comme une éponge, finit par s'inquiéter aussi. Toujours le téléphone serré dans la main, il allume la lampe poche de celui-ci et éclaire l'environnement autour de lui, comme d'autres le font. Des murmures, des mots pleins de confusion, d'inquiétude et d'angoisse s'élèvent. Billy reste silencieux, les dents serrées et les sourcils froncés.
Billy réfléchit, cherche quoi faire. Mais il n'est pas vraiment en mesure de faire quoi que ce soit, lui. Plutôt que de céder à la panique, il commence à pianoter sur son téléphone, pour essayer de prévenir ses petits-frères, ses parents, qu'il ne sera sans doute pas là avant un bon moment. Mais c'est à ce moment qu'il se rend compte qu'il n'a plus de réseau, il grince des dents, frustré. Se marmonne à lui-même un petit « Putain, fait chier... » pour faire passer sa frustration et serre son sac contre lui, bien heureux à cet instant précis que son téléphone soit complètement chargé, histoire de ne pas se retrouver soudainement plongé dans le noir par une batterie fatiguée.
MNDΛX
Sin Guo
Démon
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Codename : L'avare
Pouvoirs : * Intangibilité : Sin peut traverser n’importe quelle matière à condition qu’il ne s’agit pas d’un piège pour Démon. A ce moment là, une douleur violente peut lui parvenir, le mettant immédiatement à terre.
* Suggestion : En tant que Démon, Sin peut influencer l’esprit d’un humain selon ses désirs. Etant un démon basique, il ne peut ni le contrôler ni l’envouter. Seulement influencé surtout si l’humain en question à des vices cachés.
* Possession passive : Encore une fois, étant un démon basique, Sin ne peut pas totalement contrôler le corps qu’il a choisit de posséder. Il ne peut que rentrer dans sa tête et voir ses pensées sans avoir le contrôle de son corps.
* Matérialisation : Sin possède une arme : Un Katana. Ce dernier se trouve en enfer mais il peut l’appeler dès qu’il en a besoin.
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Pseudo : Awen
Dim 29 Nov - 20:35
♚ LOST BETWEEN STATIONS ♚
Fate does not care about us
Le métro: Moyen de transport particulièrement bondé. Moyen précaire pour les habitants de Genosha pour se déplacer. Sin n’est pas particulièrement friand de ce genre de trafic. En vérité, il aime nullement ce convoyage pour plusieurs raisons énoncées. Une forte odeur se répand entre ces wagons à demi-attaché. L’ennui veille, si bien que la jeune recrue soupire à chaque seconde écoulée. Il regarde brièvement autour de lui. Il observe les passants s’occuper. La plupart ont le nez plongé dans leur téléphone et il soupire. Oui. Il soupire. Il aurait préféré mille fois retrouver sa voiture : Une belle Mustang rouge pour vagabonder. Pour draguer quelques demoiselles ou beaux jeunes hommes - qu’importe - rencontrés. Il aurait préféré mille fois sentir le plaisir de se pavaner. De sentir les regards envieux sur lui. Mais non. Sa voiture l’a lâché et il dû aller au garage pour quelques jours posés. Par ailleurs, il a pris la décision d’aller la voir, s’assurer qu’il la retrouvera au plus vite pour ne pas avoir à subir les railleries d’un certain rival - connard - lorsqu’il remettra les pieds à Hydra. Il sent comme un frisson désagréable le parcourir à cette pensée. Pensée qui se tourne vers un autre événement qu’il préférerait oublier. Bon sang. Il n’aime pas la sensation éprouvée ni le sentiment enivré, ravivé. Il a pour cela - bien trop de fierté. - Pff. Bordel. Voilà que la vie n’est que blague ces derniers temps. Il va peut-être falloir demander un remboursement.
Il serre la mâchoire pour ne pas avoir encore à les subir. Il fait preuve de plaisanterie murmurée, de sarcasme susurré pour rester digne, droit, pimpant dans ce corps qu’il a toujours apprécié - prit soin - pour s’aimer lui-même et ne pas le cacher. Il a sa fierté. Une fierté beaucoup trop grande, blessé, outragé par cet événement - oui - qui l’a cloué pendant plusieurs semaines écoulées. Soirée qui devait être parfaite mais qui les a tous sombré - lui et les quelques personnes présentes lors de cet événement qu’aucun autre ne serait capable de croire ni d’accepter. Il en porte encore ses marques. Ses blessures. Ses questions - aussi - bien que muettes, cachées, planquées par le manque évident de logique et de réalisme claqué. Personne ne les croirait. Ricanement qui traverse la barrière de ses chairs. Sourire léger alors qu’il a mis pourtant plusieurs mois à s’en remettre. Alors qu’il a mis plusieurs jours à se relever. Non. Volonté de ne pas y penser. Volonté de ne plus penser à cette marque aussi laissée. Marque qui l’a profondément brûlée, d’une voix murmurée, d’une lettre apposée, gravée sur son omoplate gauche qui sera à jamais touché, violenté par ce moment - oui - qu’il tente vainement d’oublier. Ses sourcils se plissent à cette pensée. Son sourire disparaît et son poing se serre à cette volonté - oui - d’enterrer ce qu’il ne supporte pas d’éprouver. Sifflement qui traverse la barrière de ses chairs pincées. Regard tourné sur le côté pour happer cette fois le regard d’une belle demoiselle à ses côtés. Clin d'œil formulé. Ricanement échappé. Oui. Sin aura toujours sa précieuse fierté et ce n’est pas lui qui montrera ses faiblesses, ses peurs, ses traumatismes dissimulés. Il ne s’en donne pas le droit et il ne le fera jamais.
Les secondes, les minutes s’écoulent. Péniblement. La jeune recrue soupire à plusieurs reprises. Il trouve le temps long. Il ne s’attend pas néanmoins à ce que trame s’arrête - soudainement - brusquement - le faisant chanceler sur le côté. Un grognement. Une injure traversée alors qu’il pousse l’usagé qui s’est retrouvé projeté sur lui contre son gré. Les lumières vacillent. Les lumières s’arrêtent et Sin lève les yeux au ciel car non. En ce moment, rien ne va et visiblement ce n’est pas prêt de changer. Il allume son téléphone comme tant d’autres à côté pour offrir une lumière - même infime - pour voir au moins où il met les pieds. Bordel. Oui. Rien ne va. Tout le frustre, l’énerve. Cet endroit l’insupporte et il ne perd pas le temps de claquer dans une voix sournoise, claquante empli de sarcasme formulé : - Terminus. Tout le monde descend.
Certains restent là - béas, choqués, peu enclins à savoir quoi faire ni quoi dire mais une chose est sûre, Sin n’a absolument pas envie de rester coincé ici pour l’éternité. Il ne prend même pas le temps de la réflexion pour s’approcher d’une ouverture pour aussitôt la forcer. Que quelqu’un l’aide ou pas, il ne s’en formalise pas et se contente de se retourner - sourire narquois - invitant quiconque à le rejoindre pour retrouver un endroit beaucoup plus civilisé et beaucoup plus sécurisé car cette trame - ce métro - il n’est pas prêt d’y remettre un jour les pieds : - Qui m’aime me suive. A moins que vous préférez rester comme des lapins en cage à attendre le Messi pour qu’il vienne vous chercher.
Ⓒslytbitch.
William Kaplan
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GENOSHA: Billy n'est pas au courant de son véritable héritage, et encore moins de sa vraie nature, ni de l'étendue de ses capacités. Il n'a, à ses yeux, pas le moindre pouvoir particulier. Juste de la chance parfois. Mais ça ne l'empêche pas de croire sincèrement et honnêtement que les émergés ne sont pas l'ennemi commun.
Codename : W I C C A N
Pouvoirs : REALITY WARPING l'étendue complète des pouvoirs de Billy reste un mystère, même pour lui, il n'a aucune idée de leur limite si ce n'est de ce qui l'empêche, lui, de les utiliser. Ses pouvoirs lui permettent d'altérer la réalité comme bon lui semble, à condition qu'il soit capable d'entendre le sort qu'il est en train de jeter, et qu'il y croit fermement. Billy est un SORCIER comme sa véritable mère.
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Pseudo : MNDΛX
Dim 20 Déc - 15:28
lost between stations
Billy serre la mâchoire, il reste presque recroquevillé contre lui-même tandis que la panique se fait de plus en plus présente autour de lui, des gens qui paniquent, d’autres qui s’inquiètent, se marmonnent à eux-mêmes, râlent ou soupirent. Il serre les dents, serre son téléphone dans sa main droite, son sac dans l’autre. Il fallait que ça arrive aujourd’hui. Que ça arrive quand il est là, lui aussi, assis à attendre la fin du trajet. Il fallait que le destin décide de venir lui pourrir sa journée à lui, un jour si précieux que celui-ci, qu’il attendait depuis un long moment déjà. La rame s’éclaire faiblement de tous les côtés, puis les autres wagons font de même, parce que tous les passagers ont un téléphone, ou quelque chose qui peut servir de lampe de poche de secours quand tout va mal. Tant mieux. Au moins, ils ne sont pas dans l’obscurité absolue. Au moins. Au moins, ils peuvent y voir quelque chose, laisser la peur primale du noir s’estomper et disparaître, ne pas revenir comme s’ils étaient tous retombés en enfance à cause de cette panique soudaine et inattendue, à cause de ce foutu métro qui s’est arrêté. Billy serre les dents.
Il essaie de regarder autour de lui, pour voir si tout va bien, si personne ne s’est blessé quand la rame s’est arrêtée. Non pas qu’il puisse faire quelque chose pour aider qui que ce soit, si c’était le cas. Mais pour au moins se dire que tout va bien autour de lui. Pour se dire, et se rassurer d’une certaine façon, qu’il a pensé aux autres dans un moment aussi brutal que celui-ci. Se dire qu’il n’est pas égoïste, et que si quelqu’un était blessé, il aurait sans doute été l’un des premiers à appeler à l’aide, pour que quelqu’un de qualifié puisse s’en charger. Mais aussi pour se dire que, au moins, il n’aura pas à s’inquiéter pour quelqu’un d’autre que lui-même. Un bref moment altruiste plein d’égoïsme.
Il n’a plus de réseau, il le sait, mais il ne peut pas s’empêcher de regarder encore et encore sur l’écran de son téléphone, voir les barres absentes et la plus petite d’entre elles s’afficher, puis disparaître aussitôt. Et malgré ça, même s’il sait que ça ne sert à rien, il ne peut pas s’empêcher d’essayer d’envoyer un message à Teddy. D’essayer simplement de lui dire, à lui, ce qu’il se passe. Pas parce qu’il espère une réponse, mais seulement parce qu’il a besoin de laisser s’échapper cette inquiétude de ses entrailles. Le nœud dans son estomac est trop serré. Alors il écrit, quelques mots, très rapidement. Rien d’extraordinaire, rien qui soit rempli de panique et de peur. Un simple le métro est bloqué... et il appuie sur envoyer.
Le message ne part pas, il reste là, bloqué. Comme ce foutu métro. Les sourcils froncés de Billy se froncent un peu plus et il rappuie, encore, et encore. Deux trois fois. Avec un peu plus de force, comme si c’était censé faire quelque chose. Mais ça ne fait évidemment rien. Alors il laisse tomber. Mais au moins, il l’a écrit. Il l’a écrit. Et le nœud dans son estomac est déjà un peu moins étroit. Il se sent un peu moins écrasé. Peut-être que Teddy finira par le recevoir, ce message. Et c’est ce peut-être qui le fait se sentir un peu mieux.
Billy lève la tête quand le bruit des portes que l’on force à s’ouvrir lui parvient aux oreilles, il regarde ce qui se passe avec un brin d’inquiétude et de confusion, tout ça ne lui paraît pas être une bonne idée. Parce que le métro pourrait se remettre en route à tout moment, et ce type pourrait finir par se faire mal, et peut-être même pire. Et son attitude imprudente et insouciante n’est pas pour rassurer Billy, qui n’est sans doute pas le seul concerné par la sécurité de l’autre homme, mais qui se sent malgré tout comme si c’était le cas. Sa propre perspective des choses chamboulée par les évènements récents. Pendant un bref moment il se dit qu’il ne fait ça que pour exprimer sa frustration d’être bloqué dans la rame de métro, et qu’il ne va pas vraiment sortir, mais c’est quand il le voit descendre qu’il se rend compte que c’est tout sauf un geste vain.
Billy se redresse, surpris, inquiet. Puis se rassoit, parce qu’il n’est pas vraiment du genre à donner des leçons à un parfait inconnu, encore moins quand il est beaucoup plus âgé que lui. Et reste là. Hésitant. Dans la rame les gens continuent de s’inquiéter, de marmonner et murmurer. Peut-être que certains pèsent le pour et le contre de faire comme l’inconnu. Sortir ou attendre. La sécurité lente et silencieuse, ou bien…
« Roh... » Billy grogne à voix basse et se lève finalement, soudainement. Il prend la suite de l’inconnu, son estomac de nouveau noué. Attendez ! annonce-t-il en le rattrapant, C’est dangereux de sortir comme ça… Et si le métro se remet à rouler pendant qu’vous êtes là comme ça ? » bégaie-t-il presque, timidement.
MNDΛX
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