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NO ONE IS LEFT BEHIND THE BONFIRE OF DESTINY [Pv Simon, Leigh et Haiden]
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Dim 15 Mar - 16:27



NO ONE IS LEFT BEHIND THE BONFIRE OF DESTINY
” Je découvre un cadavre cher, Et sur les célestes rivages Je bâtis de grands sarcophages.” Baudelaire - Alchimie de la douleur.



“La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;”

Changement présent. Changement à venir. Commencement d’une quête et d’une guerre nouvelle. Oui. Douce libération. Doux avenir, futur, dessein dessiné, murmuré. D’une élite nouvellement détachée, arrachée à cette organisation que Simon n’a jamais vraiment guère apprécié.

Au milieu d’une foule amassée, dans ce marché couvert où règne encore la paix, la joie, la solidarité, le serpent glisse, veille, guette tel un prédateur face à ses proies. Tel un garde en quête de perler l’élément souhaité, recherché. En quête, chacun, de les analyser. Ses yeux vaquent. Ses pas le mènent avec légèreté. Il n'est pas ici pour la solidarité. Une solidarité dont il s'en fiche éperdument. Une solidarité dont il estime hypocrite, inutile à bien des aspects. Il n'est pas ici pour aider de bons et honnêtes citoyens. Un sourire indéchiffrable esquisse la barrière de ses chairs et il analyse, oui, chaque passant qui se trouve à proximité. Plaisir malsain dans sa nouvelle fonction fraîchement acquise et souhaité. Plaisir malsain d'un garde qui pourrait bien montrer son vrai visage derrière un air angélique et bien calculé.
- Riez. Tenez vous la main, cela ne va pas durer. Cela a déjà commencé.

"Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue."

Oui. Des paroles bienveillantes échangés. Des embrassades. Des éclats de voix, de joie dont le serpent écoute, regarde d'un œil amusé. Pas de costume enfilé, indiquant son poste, son appartenance tant détesté, redouté. Uniquement un jean, un sweat gris tout indiquant au contraire sa jeunesse démontrée. Les minutes, les heures défilent et Simon continue sa ronde, ses analyses en toute discrétion indiquée. Rien d'alarmant ne se passe et le serpent commence presque à s'ennuyer. Un soupir est échappé et ses yeux vaquent, accrochent le contour d'une jeune femme à proximité. Fine silhouette dessiné. Beauté délicate derrière un sourire affiché. Le serpent hausse un sourcil et vient à apprécier sa délicatesse, son innocence indiqué, laissant ses désirs les plus malsain l'envahir de ses douces caresses. Caresses dont il ne tient jamais à s'échapper. A détruire. A éradiquer dans son âme perfide. Avide de toute dangerosité. Poète macabre. Intelligence démontré dans chacun de ses gestes. Gestes mesurés derrière un masque. Ce masque d'un ange né. Ce désir, l'enivre, le cherche, le fait vibrer à bien des manières. Des images de lui se forment, dans son esprit ravagé. De cette femme. De cette âme innocente qu'il rêve d'accueillir, d'amadouer pour mieux la briser. Un rictus affiché, une volonté  de l'emmener oui dans ses filets. Filets où il serait le pêcheur et elle, le poisson. Proie facile qu'il peut aisément séduire pour mieux la détruire. La détruire sous ses caresses malhabiles. Sous sa voix d'ange, glissante, mielleuse, satanique et envoûteuse. Volonté aussi d'un professeur avide de démontrer à son élève, son amante attitré, la beauté de chaque piège posé. Oui. Volonté de frôler la mort, le sang, les larmes aux côtés de sa belle Andy, à la seule vision de cette femme qui tend simplement ses papiers. Car qui peut le museler à présent? Qui peut l'en empêcher alors que l'organisation toute entière est en train de changer? De tourner à ses avantages cachés? Sa main vient à repousser ses cheveux platine en arrière et il s'avance, s'approche de cette proie désignée, sans savoir qu'une alarme va probablement la sauver. Ou non. L'aspect juste est changé, englobant chaque âme dans ce marché désormais piégé.

"Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?"

Oui. Le danger rôde. C'est un fait. Une vérité. Une réalité. Un désastre est en train de se dérouler. Simon le découvre rapidement aux premiers cris poussés. Aux premières exclamations échangées. Surpris, le serpent s'immobilise et voit le drame se dérouler.  D'un feu latent prêt à les emprisonner. D'une braise déclenchée, invitant toute personne présente à paniquer. Ses sourcils se froncent et sa langue vient à humidifier ses lèvres pincées. Le spectacle est chaotique. Délicieusement confus, bouleversé. La fumée s'agrandit et un mouvement de panique le pousserait presque à se sentir étriqué. Un grognement traverse la barrière de ses chairs à la vision grotesque des stands bousculés et les battements de son cœur s'accélèrent à une voix tonné, d'une personne suscitant plus la peur au moutons emprisonnés qui s'entassent bêtement au lieu de ne pas céder à la terreur imposée :  
"AU FEU ! VITE ! OÙ SINON, ON VA TOUS CRAMÉ"

- Pathétique. L'idiotie dans toute sa splendeur. C'est toi qu'on devrait brûler en premier.

Agacement naissant derrière ses muscles crispés. Image plaisante et envoûtante de l'homme. De cet homme invisible se tortillant avec délice dans les flammes créé. Volonté à présent de s'en échapper vivant, coûte que coûte, quittant son masque, sa barrière, pour n'en sortir que sa perfidie. Son égoïsme présent. D'une âme autant fascinée que désabusé par la panique formée. Par les sirènes retentit, de pompiers prêt pourtant à les sauver. Les gens s'entassent, se poussent, s'agglutinent et le serpent sort son venin pour se frayer un passage minime entre ces personnes où la solidarité a déjà disparu, ne laissant que la terreur les aveugler.
- “Ailleurs, bien loin d'ici. Trop tard.  Jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais.”
Ⓒslythbitch
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Haiden Hauwanga

Haiden Hauwanga
Intelligence Artificielle
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NO ONE IS LEFT BEHIND THE BONFIRE OF DESTINY [Pv Simon, Leigh et Haiden] ORIGINAL2

Sur Genosha, Haiden souffre d'une maladie dégénérative incurable. Son espérance de vie est limitée, elle n'en a plus que pour quelques années dans le cas le plus optimisé.
Sa maladie se manifeste notamment par des tremblements incessants, et petit à petit, plus elle s'aggravera, moins elle pourra contrôler son corps. A l'heure actuelle, Haiden limite les dégâts grâce à un médicament coûteux, qu'elle ne pourra éternellement payer.
Codename : H.A.I.D.E.N.
Pouvoirs : Contrôle de la virtualité
Forme holographique
Réminiscence électrique

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DCs : Trouze mille personnalités, c'est bon marre de les lister.
Pseudo : Renescence

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Sam 2 Mai - 15:07



NO ONE IS LEFT BEHIND THE BONFIRE OF DESTINY
SIMON & LEIGH ft. HAIDEN

La main qui caresse ton front en un mouvement fatigué, tu te demandes encore pourquoi tu es là. La place publique de Genosha est remplie d’un monde fou, de personnes aux sourires faux comme aux exclamations bien trop enthousiastes, que tu ne reconnais pas. Tu es un peu éreintée par ces bousculades forcées, par ces rires aux éclats qui crèvent tes oreilles comme par ces tonalités de tristesse qui résonnent jusqu’à l’autre bout de la bâtisse, tandis que tu avances entre tous ces corps ambulants. Tu ne sais pas trop pourquoi tu as pensé que ce serait une bonne idée, que de savourer cette journée caritative, un peu particulière au vu du changement de climat de l’île. Tu t’es dit, naïvement, que ce serait le bon plan, que tu pourrais toi-même sourire et profiter de ce que la vie a à offrir. Sauf que tu te sens plus étouffée qu’autre chose, par ces gens à la bonté autant fausse que trop sincère, par ces personnes qui prétendent se soucier du monde, à donner de l’argent à toutes les causes possibles, histoire d’avoir une ardoise un peu plus clean lorsqu’il sera question de les confronter à leur conscience. Et toi t’es là, Haiden, à traîner la patte, sans tes proches, sans tes collègues, sans tes élèves, parce que tu es juste un peu morose et que tu ne savais pas quoi faire de plus pour te tirer de tes sombres songes. Sans compter ta mauvaise foi, parce qu’avouons-le clairement, tu aimerais bien que ces parfaits inconnus donnent à ta cause aussi, qu’ils te filent leur argent pour te permettre de te payer ton traitement. Mais c’est égoïste, tu le sais bien. Déjà de un, si on pouvait se soucier de chaque individu sur terre, ça se saurait, alors ne fais pas genre que c’est possible. Et de deux, c’est la vie, c’est aussi la mort, c’est la logique des choses, alors pourquoi insistes-tu tant à détester ce monde cruel, plutôt qu’à en profiter jusqu’à tes derniers instants ?

Te giflant intérieurement, tu te motives alors, à te comporter plus humainement. Parce que ça te manque, depuis quelques temps, parce que ça va bien deux minutes aussi, de te renfermer et de repousser tous ceux auxquels tu tiens injustement. Tu te fais la promesse, là, d’un coup, comme ça, d’arrêter d’être aussi énervée, si ce n’est pour tout le restant de ta vie, au moins pour la plupart du temps. Alors tu te colles un sourire sur le visage, peut-être bien aussi faux que celui affiché par tous les autres, mais qu’importe. Tu échanges, des signes de têtes, des paroles de politesse, tandis que tu te balances devant des stands différents, au gré de tes envies mais surtout en suivant tes pas sans aucun rythme précis. T’es pas franchement le genre à donner de l’argent, t’as bien besoin de tes économies, mais tu aides bien volontiers ceux qui demandent un coup de main. Finalement, sans vraiment t’en rendre compte, le temps passe assez vite, les heures s’écoulent naturellement, jusqu’à faire défiler ta matinée et entamer bien farouchement l’après-midi qui s’ensuit. Tu prends une pause, quittant l’équipe rejointe pour vagabonder à nouveau au sein de la foule égarée, forçant ton passage du coude sans vraiment t’en excuser. Au bout de ta promenade, tu ne sais si c’est ton sens de justicier des bacs-à-sable qui se déclenche, ou plutôt le fait d’être une femme accoutumée à ce genre de malaise ambiant, mais ton regard se pose sur un blondinet aux traits épurés, qui dévore du regard une femme à l’autre bout de l’allée. Sur le coup, tu n’y prêtes pas plus attention, mais à force de tourner autour inconsciemment, tu remarques son expression, son rictus à peine caché, qui tord quelque chose en toi. En fronçant les sourcils, tu te mets à l’observer, lui, mais elle aussi, à chercher un lien entre les deux qui puissent dépasser le statut de proie et de prédateur. « Mais qu’est-ce que… » Bon ça y est, t’en es convaincue, c’est clairement un stalker. Ou alors, le petit ami de cette demoiselle est vraiment creepy, et faudrait qu’il la rejoigne avant qu’elle se mette à douter de sa fiabilité, à celui-là.

Haiden, allez, disons-le, t’es remontée, ou peut-être que t’as envie que ta journée bouge à coup d’adrénaline, ta cape de justicier de pacotille te manquant peut-être parfois un peu trop. T’es une shootée, du moins tu pourrais presque le croire, ça doit être la faiblesse des Hauwanga, et tu te fais aussi sûrement des fausses idées. Tu pourrais te motiver à le confronter, encore que ta paranoïa pourrait te jouer des tours, mais finalement, ton vœu sera bientôt exaucé. Car la situation va prendre une tournure nouvelle quand des hurlements percent l’écho du marché couvert, te faisant redresser la tête : « AU FEUUU, IL FAUT SORTIR, VITE ! OU EST LA SORTIE ? AIDEZ-NOUS ! » Te voilà ballottée, de tous les côtés, projetée ici et là suite aux mouvements paniqués des résidents du coin. Tu manques de te prendre un coup de canne dans les dents, quand tu remarques que des silhouettes sont facilement mises à terre, la solidarité précédente ayant déjà laissée place à l’égoïsme purement humain. « CALMEZ-VOUS TOUS ! » Tu t’égosilles, comme si ça allait être utile, tes cris étant autant couvert par les sirènes extérieures que les exclamations effrayées des gens. Tu te frayes un chemin parmi eux, justement, ne te rendant pas compte que tu atteins le blond repéré un peu plus tôt justement, mais c’est à peine si tu retiens son comportement douteux de l’instant alors que tu te jettes à terre. A croire que tu prends enfin conscience de la vie, de son importance, ou du moins celle des autres, oubliant ton envie de rendre les coups à ton destin cruel pour venir en aide à ton prochain. Tu cherches en effet à redresser une personne allongée au sol, qui pourrait crever sous les coups de talon de ses voisins sans personne pour le remarquer. « Hey, vous allez bien ? Il faut vous sortir de là. Héé, attendez, j’essaye seulement de vous aider ! » Mais à peine debout que déjà elle repart, quittant tes mains pourtant fermes, pour une fois, pour rejoindre la masse de gens affolés en une bancale précipitation. Et à toi de te laisser sur le carreau, marchant par réflexe alors que la fumée couvre ta vision lointaine, grommelant par la suite : « Bordel, ils vont tous crever à se conduire ainsi. » Car tu peux les voir, pour les plus à proximité, se battre pour atteindre la sortie, la bloquant comme des idiots de par leurs attitudes funestes, les corps amassés empêchant d’accéder à l’extérieur en des mouvements plus aisés. Mais quel merdier que voilà, comment sont-ils censés faire avec et face à tout ça ?

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Leigh Montgomery

Leigh Montgomery
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Pseudo : Shacka/Fullgeek


Ven 15 Mai - 18:49


NO ONE IS LEFT BEHIND THE BONFIRE OF DESTINY
Citation de ton choix
Sourire enjôleur sur le visage, quelques paroles douces. Moment de faux-semblant qu’elle continue à jouer à la perfection, donnant cette illusion d’une femme vertueuse au regard des caméra et appareilles photo qui se trouve dans cet endroit. Quelques paroles de compassion, qui ne sont nullement pensées, quelques réprimandes à des gens se montrant égoïste pour soigner les apparences. Tout est là, se montrer sous son bonjour, tout est là pour faire croire à cette générosité qu’elle incarne depuis des années. Pourtant, elle exècre, toute cette attention donner, cette image qu’elle continuait à jouer. Elle échangeait quelques paroles par-ci par-là, se montrant compatissante à yeux de ses interlocuteurs, donnant cet argent qu’elle avait hérité en gage de bon fois, caressant la joie d’un enfant timide. Elle échangeait quelques paroles par-ci par-là, se montrant compatissante à yeux de ses interlocuteurs, donnant cet argent qu’elle avait hériter en gage de bon fois, caressant la joie d’un enfant timide. Elle lui posant quelques questions, n’ayant droit qu’un léger signe de tête, elle s’accroupit auprès de l’enfant, continuait à lui parler sur ce ton doux peu connu de son véritable entourage.

Elle joue son rôle à la perfection, ne laissant pas entrevoir cette noirceur en elle. Donnant son aide pour distribuer cette nourriture et divers objets à ces personnes dans le besoin, refusant ces interviews de quelques journalistes présent sur place afin de montrer que nul autre était important en cet événement. Son regard balayant la foule, regardant ces personnes présentes dans ce lieu, ses yeux se posant sur ce jeune homme blond, au regard qu’elle ne connaissait que trop bien, cherchant une proie tels un prédateur enquête de nourriture. Alors un sourire naît sur son visage, un regard changeant subtilement pendant quelques secondes. Détournant le regard de ce prédateur, alors qu’un assistant, l’interrompe dans ses songes. « Mlle Montgomery ? » Elle penche la tête pour écouter, soupir au nom qui est prononcer. « Dis-lui que je suis occupée et que je le rappellerai plus tard. » Un signe de tête et la voilà libérée d’une future conversation des plus ennuyeuse. Reprenant sa contemplation du monde qui s’était rassembler pour cet événement. Tu vois le sourires, faux, d’une jeune femme mettant tout de même le cœur à l’ouvrage, ne la blâmant nullement pour ce sourire peu sincère, car elle-même ne l’était pas. Mais dans ses gestes, elle remarque malgré toute cette envie d’aider les autres contrastant avec ses lèvres étirer. Bien étrange, demoiselle qu’elle trouve là, l’intriguant sur cette double facette qu’elle peut lire. Autant de personnes intéressante dans ce lieu qu’elle aurait envie d’observer, analyser, mais qui soudainement est interrompue.

Des cris surviennent, la panique prenant au corps les personnes qui se trouvaient dans ce lieu, commençant à bousculer leur congénère. Le regard froncé, Leigh vois les gens paniquer, entendant son assistant crier jusqu’à rompre ses cordes vocales de rester dans le calme. « Arrête de t’épuiser. Il ne t’écouteront pas. » Comme un troupeau de buffles, les gens cours vers ces sorties qui semble être leur salue, mais qui en réalité était plus un synonyme d’un mort certain au vu de la panique. Alors du regard, elle essaye de trouver un autre voie pour leur salut, demandant son assistant de faire pareil. Elle ne fait plus attention à ses bousculades et très vite, elle fut emporter malgré elle dans ce vent de paniquer. Un rictus sur son visage, se disant qu’elle détestait la foule à ce moment précis et ce manque de jugeote. Quelqu’un cours vers elle, sans qu’elle ne le voit , donnant un coup à sa tempe, l’assommant quelque peu la mondaine. Elle râle entre ses dents, secouant la tête, se disant qu’elle tuerais bien tout ceux qui sont dans ce merdier car a défaut de savoir calmer la foule, au moins ils cesseraient cette panique futile. « Faut trouver des fenêtres. »Voulant les casser afin de trouver un autre sortis car celle prévue devenait de plus en plus obstruer. Mais qui avait pu l’entendre dans tout ce bruit.



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