Terre des Ages d'Apocalypse

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It's a mad, mad world

feat groupe 1

Mon cœur tambourine à toute vitesse dans ma poitrine et je me force à respirer correctement, à grandes goulées d'air pour ne pas étouffer. Même les yeux fermés, j'ai la sensation que les murs se rapprochent, que nous sommes tous piégés dans ce couloir comme des insectes dans un bocal, prêts à être secoués violemment par un enfant capricieux. J'entends les gens se demander où ils sont, se retrouvés et j'en ai rien à foutre, d'une part parce que je ne connais personne et d'autre, parce que je fais une très légère crise de panique. Mon corps tremble et je reste crispé sans parvenir à me reprendre, au bout d'un moment, on devient un peu défaitiste. Mais c'est sans compter sur une personne, comment ai-je pu l'oublier alors que ce n'est pas la première fois que l'on se soutient ? Maggie est là et, en me rendant compte de sa présence, je prends sur moi et relève la tête pour croiser son regard.

Bordel, t'es toujours là quand il faut, toi.

Et c'est loin d'être un reproche, croyez-moi. Même si je tremble toujours, ça commence à se calmer un peu et je me demande si Maggie n'est pas une sorte d'ange. Nan, je rigole, mais y a un fond de vrai. Un mec me tend une chemise et je le remercie d'un hochement de tête tout en l'enfilant, en d'autres circonstances, j'aurais fait une blague sur mon corps de rêve mais là, on sait pas sur quoi on va tomber. La crise passée, je me relève, juste à temps pour voir certaines personnes se tordre de douleur. C'est vraiment le bordel ici et instinctivement, je m'écarte des murs et des gens qui hurlent, restent au centre du couloir au cas où. Ca ne semble durer qu'une minute mais c'est après que ça devient la merde. Le couloir commence à remuer, des bras en sortent pour nous tripoter en toute logique et je lâche un juron. Remercions Maggie, j'ai à présent la tête bien plus froide. Suivant les directives de Ryan (un ton si impérieux, tu peux répondre que "Oui, chef !"), je cours en direction des fenêtres et me hisse au dehors en veillant à ne pas tomber. Dans un élan de bonté qui ne me ressemble pas, je me poste, prêt à réceptionner les autres qui partiraient par les fenêtres. J'espère qu'on passera tous par le même chemin parce que la pire idée du monde serait de se séparer dans ce château de fou.

☾ anesidora

Résumé:

It's a mad mad world

Le palais impérial - Groupe 1

Toujours accroupis près de Seth, elle se rend facilement compte que le jeune homme est en pleine panique. De peur de lui causer plus de tort, elle n’ose pas le toucher et espère sincèrement que le simple son de sa voix puisse l’aider rien qu’un peu. Lorsque effectivement, il relève la tête, l’espoir s’empare brièvement de la photographe et un léger sourire se dessine sur ses lèvres. - Apparemment oui. Je veille sur toi.,dit-elle en serrant brièvement son avant-bras. Ça paraissait bête, mais au fond d’elle Maggie se disait que s’il était là, elle survivrait une fois de plus à ce qui leur arrivait, comme toujours. La brune se recula pour lui laisser plus d’espace et surtout le temps de sa rhabillé. Il semblait allait un peu mieux, la crise était sur le point de passer. - Ca devrait aller mieux maintenant je pense., répondit-elle à son amie. Le plus gros problème maintenant, c’était de savoir où ils avaient tous atterri. Ce couloir semblait étouffant et oppressant et la brune se demanda aussitôt s’ils étaient les seuls. Y’en avait-ils d’autre comme eux qui s’étaient perdu.. ici ? Maggie pensa bien évidemment à Alkis. Mais aussi à son frère Ezra et Gabriel. La benjamine était perdue dans ses pensées jusqu’à ce que Laura l’interpelle. Elle se tourna vers son amie juste à temps pour la voir se crisper. Elle ignorait ce qui lui arrivait mais elle réagit immédiatement.

Elle tombe à genoux en même temps que Laura et son coeur cogne à tout rompre dans sa poitrine. Qu’est-ce qui lui arrive ? -Laura ! Laura, qu’est-ce qui se passe ? Son amie semblait souffrir le martyre et être sur le point d’imploser de l’intérieur mais aucun son ne franchit ses lèvres pourtant ouvertes. Paniquant de plus en plus Maggie attrape son amie par les épaules pour tenter de la calmer. - Laura… Maggie ressentie une vive douleur au niveau de ses bras et se reculer d’un bond par instinct. D’énormes lacérations barraient la peau pâle de ses bras et déjà des filets de sang s’échappaient de ses plaies. Laura était en train de perdre le contrôle et la jeune femme n’avait aucune idée de comment l’aider à reprendre ses esprits. Malgré l’état de son ami et cette situation des plus bizarres, ce qui glaça Maggie fut le regard des autres sur elle. Y’avait-il des membres de la garde parmi eux ? Du shield ou des opposés aux émergés ? En posant son regard autour d’elles, Maggie prit conscience que d’autres semblaient subir le même sort que sa meilleure amie. Qu’est-ce qui se passait ?

En s’éloignant de son amie toujours à terre, la brune se trouvait près d’un mur quand une main sembla sortir du tableau. Elle poussa un cri de surprise tout en se débattant pour l’empêcher de l’attraper. Elle agita ses mains couvertes de son propre sang devant elle dans la panique jusqu’à ce que Laura arrive pour l’aider en essayant de filer des coups de griffes à ces tableaux vivants. Il fallait partir, elle avait raison, mais elle était déjà entrain de s’enfuir dans le couloir alors que d’autres tentaient de fuir par les fenêtres. - Oui, Laura, attends !, hurla vainement Maggie, son amie était déjà partie au pas de course. Ne réfléchissant pas une seconde de plus malgré la décision de certains de passer par les fenêtres, Maggie s’élança derrière sa meilleure amie le long du couloir pour tenter de la rattraper. Elle n’était plus qu’à quelques mètres d’elle quand une sensation d’eau au niveau de ses pieds la déséquilibra au point qu’elle tombe au sol. - Laura, attends-moi !, insista Maggie tout en essayant de se relever.

Maggie: #6D397A

Pouet:

Le palais impérial

Groupe 1

Tu pensais pourtant avoir vaincu cette peur, tu avais fait en sorte de la vaincre… Du moins, c’est ce que tu croyais. Les autres, tu ne t'en préoccupes pas vraiment, tu ne remarques pas Jake, ni même la petite amie de Carol. Le seul dont tu remarques la présence, c’est celle de Jin qui vient voir si tout allait bien tu réponds de manière peu convainquant « Je vais bien. » Le repoussant de ton bras. Tu as juste besoin d’air, un peu d’air et d’un espace plus grand ou tu ne te sentirais pas oppresser comme maintenant. Alors, c’est sans vraiment réfléchir que tu ouvres brusquement de la fenêtre pour faire rentrer de l’air. Ainsi cela te permettrait de reprendre tes esprits. Car même si tu ne le montre pas, intérieurement tu es en panique, à cette impression d’étouffer. Tu respires profondément, remplis tes poumons, ferme les yeux. Tu te calmes de cette manière, doucement, mais sûrement.

Puis soudain tu entends les cris de Jin, vois une des personnes venir l’aider, ouvrir les fenêtres. Tout ce passe-vite, tu vois certains partirent par les fenêtres. Tu vois d’autres êtres pris par le même mal que Jin, dont Daisy et Jake. Une jeune fille attire ton attention pendant quelques secondes, tu la vois avec des sortes de griffe, ce qui t’interpelle quelque peu. Tu t’arrêtes quelques secondes, surprise, par ce que tu avais vue, pourtant ça ne devrait pas tu en a vue plein de personnes avec des pouvoirs. Toi-même, tu en as. Mais pour l’instant, l’heure n’est pas vraiment à rester là planter en plein milieu de ce couloir.

Alors, tu reprends ton action d’aller aider Daisy à se relever. Tu ne comptes pas la laisser là, Carol, t’en voudrais si jamais tu ne l’aidais pas. Tu aides donc la petite amie, de Danvers à se relever lui demandant si tout allait bien. « Ca va ? » Lui laissant à peine le temps de te répondre et enchaînant « Faut qu’on bouge. » Tu interpelles Jake par la même occasion. « Jake ? Ca va ? » Tu regardes derrière toi, vois ceux qui partes par la fenêtre. Tu voudrais bien les rejoindre, et même prêtes à embarquer la brune avec toi. Mais alors que tu ne t’y attends pas, tu sens comme une main qui essaye de t’agripper le bras. Tu tournes la tête et vois qu’elle sort de la tapisserie. Tu es surprise, voir même effrayer sur le coups , juste l’espace d’un instant et encore une fois sans que tu ne puisses rien contrôler. Alors que tu mets ton bras se mets devant toi, un éclaire surgit et viens frapper au hasard, tes yeux deviennent blanc l’espace d’un instant. Tu n’as pas vraiment le temps de rester là cette main essaye toujours de vouloir t’agripper. Tu longes donc le mur du couloir, entrainant avec toi au passage Daisy. « Faut bouger. » Tu veux sortir de cet endroit, et même si tu aurais préféré sortir par la fenêtre, mais tu as connu pire… Du moins, tu espères.

Shacka House Of (M)

résumé:

Le membre 'Ororo Munroe' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé Mystère' : 6

L'éclair d'Ororo touche Richard et Jake. Prenez ça dans vos faces les nazes. Groupe 1 : Le palais impérial - Page 2 3603413558

#burn #aloevera

I saw a blue man

Groupe 1

Madness is somewhere inbetween chaos and having a dream.

Elle aurait beaucoup aimé partager une bière avec Jake, Skye. Parler en souvenir du bon vieux temps, échanger sur le quotidien de leurs vies respectives, entre la résistance et le SHIELD. Sauf que bon. Leurs vies actuelles étaient assez merdiques en fait, et partager leurs actions pour leurs camps opposés, même si ça semblait sympathique, c'était pas tout à fait approprié. Encore moins alors que l'homme gris-bleu des tapisseries faisait frisonner Skye, qui se retrouva à le pointer du doigt, un peu stupidement : « Ok, avant qu'on parte. Est-ce que je suis la seule à trouver ce mec flippant, et à avoir l'impression qu'il nous regarde. Mais genre, qu'il nous regarde vraiment ? » Elle se tourna vers Jake en premier, en haussant les sourcils. Puis vers les autres, un peu en désespoir de cause. Parce qu'elle redoutait la réponse, la geekette. Elle avait bien trop peur qu'on lui dise qu'en effet, ce tableau était pas net. Et si on lui disait que tout ça était dans sa tête, alors elle était pas bien certaine de mieux accepter la chose.

Par chance, ou par malchance, selon les points de vues, la réponse se présenta d'elle-même. Ou pas vraiment en fait, parce que sur le coup elle se sentit encore plus folle, Skye. « Qu’attendez-vous mes fidèles ? » Fallait bien avouer que c'était pas tous les jours qu'une voix s'insinuait dans sa tête. Sursautant violemment, Daisy fit le tour d'elle-même alors qu'elle demandait, d'une voix un peu paniquée : « Vous avez entendu ça ? » Pas le temps de préciser plus. Un mal de crâne, une migraine hors du commun lui força à mettre pied à terre. Elle se retrouva à genoux, la tête entre ses mains, des gémissements douloureux s'échappant de sa gorge nouée. Elle essayait de se retenir de hurler, la brune, alors que sa tête semblait prête à exploser en petits morceaux. Elle perdait pied, elle n'avait plus conscience de ce qui l'entourait. Le sang affluant, s'écoulant de son nez, collant désagréablement sur ses lèvres. Elle n'aurait su dire combien de temps elle demeura dans cette position. A genou, se tordant sur le sol alors que sa tête était littéralement fouillée de fond en comble. Mais soudainement, le supplice s'acheva, et Skye se retrouva les deux mains sur le sol, le corps tremblant, la respiration hachurée. Se forçant à expirer et inspirer à grands coups, encore incapable de prononcer un mot. « Imposteurs. » La sentence venait de tomber, elle le savait. Mais elle n'arrivait pas à réagir, trop sonnée par ses mémoires souillées.

Tout alla ensuite bien trop vite pour qu'elle n'ait vraiment conscience de ce qu'il se passait. Une voix résonnant à ses oreilles qui étaient encore bourdonnantes suite au supplice imposée. Elle papillonna des yeux jusqu'à reconnaître le visage d'Ororo, et hocha subtilement la tête, dire un mot lui demandant encore bien trop d'efforts. Elle s'appuya sur son épaule offerte, et la suivit sans vraiment réfléchir, traînant des pieds plus que marchant véritablement. La surprise se peignit sur son visage quand leur avancée fut bloquée par un bras qui sortait d'une tapisserie, et Skye hoqueta. Mais elle n'eut pas à aider son amie du moment alors qu'un éclair parcourut le corps d'Ororo. Ses yeux s'écarquillèrent quand l'éclair toucha Jake, et elle retrouva alors l'usage de sa parole pour hurler, inquiète pour son ami : « JAKE ! » Daisy se mit à tendre la main, dans l'espoir que Jake s'en saisisse alors qu'Ororo longeait les murs, la tenant toujours contre elle. Skye la suivait, ébranlée, le regard désolé tourné vers son ami, sa paume toujours ouverte dirigée vers lui.

(c) DΛNDELION

Résume, résumons, résumez bruh:

Le palais impérial

RP commun

« Alors, pour la dernière fois je vis la Terre : un globe stable d’un bleu rayonnant, voguant dans l’immensité de l’éther. Et moi, fragile poussière douée d’une âme, je voltigeais silencieusement dans le vide en partant de ce bleu lointain pour m’élancer dans l’inconnu. » – William Hope Hodgson

Tout en laissant son oreille trainée du côté des inconnues qui avaient atterri ici avec lui, Aaron s'était tourné vers les tapisseries. Elles étaient tellement impressionnantes qu'il était difficile de les ignorer. Mais surtout, un malaise commença à étreindre le faussaire. Il avait cette horrible sensation d'être observé, épié, et c'est en croisant le regard d'un homme imposant sur la tapisserie la plus impressionnante que cette sensation s’accrut. Impossible... et pourtant. Aaron sent une peur l'envahir, lui qui est loin d'être du genre impressionnable et qui ressent d'ailleurs rarement quelques sentiments que ce soit. Puis alors qu'il cherche à se soustraire à ce regard glaçant, une voix s'élève en prononçant une sentence qui affole tout le monde. « Imposteurs. » Pour un peu, ça ressemblait presque à ce que fait Hydra lorsqu'un étranger s'introduit entre ses murs. Sauf que là, c'est lui qui va se faire traquer, avec les autres alentours s'il en déduit leur précipitation à trouver une sortie. Mais contrairement à des gardes de chair et d'os, voilà que les tapisseries se troublent, faisant sortir peu à peu bras et jambes du pan de mur. Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Par réflexe et précaution, Aaron s'écarta de la tapisserie, avant d'avoir l'impression de marcher dans l'eau. Pourtant, lorsqu'il regarde ses pieds, rien. Il ne manquerait plus qu'il soit pris d'hallucination sensorielle ! Finalement, il décida de suivre les autres, dont un qui prit les devants en tentant de rassembler tout le monde dehors, sur le toit, en passant la fenêtre. Sans se faire prier, Aaron suivit le groupe. Une fois en supposé sécurité sur le toit, il entend cependant ce qui ressemblait à un éclair. En alerte mais loup solitaire jusqu'au bout des ongles, Aaron se laissa à peine distraire. Il n'était de toute façon pas sûr de ce qu'il entendait ou voyait et le sort des autres lui importait peu. Et puis il était trop occupé à observer les environs pour trouver un chemin, car ils n'allaient pas pouvoir rester sur ce bout de toit indéfiniment. Attendant encore un peu avant de décider s'il attendait les autres ou s'il commençait à se frayer un chemin sur les tuiles, Aaron s'aperçut que le groupe était finalement séparé. Tous n'étaient pas sur le toit, certains avaient fui dans le couloir, ce qui ne lui semblait pas être une bonne idée. Parce que des tapisseries chelous, ce n'était pas ce qui manquait dans cet espèce de château sorti d'un autre siècle, voire d'un autre monde ? Mais hors de question de leur courir après. Il n'allait pas risquer sa peau pour eux.

Résumé:

(c) DΛNDELION

It's a mad mad world

Mission 3

Dans sa tête, il se dit qu’ils vont se la jouer discret et que, comme ça, ils trouveront bien une manière ou une autre de rejoindre leur chez eux. Il n’a aucune idée d’où ils sont mais ils n’ont surement pas quitté la terre non plus (LOL). Clairement, ils ne sont plus à Genosha mais pourquoi pas l’orient ? Plus rien n’est impossible avec les émergés et leurs pouvoirs. Le truc c’est que vu le nombre qu’ils sont, ca risque d’être mission impossible de ne pas se faire voir. Ceci dit, si il avait su que les murs avaient des yeux, Jake aurait clairement changé de plan d‘action.

Il ne remarque pas la soudaine animation des tapisseries et c’est Daisy qui attire son attention sur ce point. Le grand blond tourne alors le regard vers les murs pour la première fois depuis qu’ils ont attirés ici et il a la surprise de se rendre compte que… oui, le gars bleu les regarde vraiment. « Qu’est ce qu… » C’est alors qu’il entend une voix sortie de nulle part et elle n’a pas franchement le ton engageant. « Qu’attendez-vous mes fidèles ? » Whaaaaat, il sait trop pas de quoi il parle et Jake se retourne vers les autres pour les interroger du regard. « Vous avez entendu ça ? » Il se demande un peu pourquoi Daisy pose la question, après tout, fallait être malentendant pour ne pas entendre ce qui venait d’être dit. Enfin, ca, c’est selon lui, parce que Jake n’a pas compris que tout ca s’est passé dans sa tête. Il va pour répondre à la jeune femme mais est soudainement pris d’un mal de crâne. Enfin, mal de crâne, c’est peut dire. Il a plutôt l’impression que sa tête va exploser et le pire, c’est que je n’exagère même pas en disant ça.

Il prend sa tête entre ses mains comme si ca allait pouvoir l’aider et bientôt il se retrouve à devoir s’appuyer contre le mur pour tenir debout. Sa tête vrille alors qu’il a la sensation qu’on s’insinue dedans à coup de marteau piqueur. Bientôt, ses jambes ne le portent plus et il finit par terre. Il grogne de douleur et retient un cri ou plutôt des cris. Il veut que ça s’arrête mais il ne peut rien y faire et ça lui semble durer une éternité. Son nez se met à saigner, sa vision se fait trouble, ses oreilles sifflent. Et finalement tout s’arrête, le laissant là, haletant. « Imposteurs. » Il n’y comprend rien.

Il lui faut quelques bonnes secondes pour reprendre conscience de tout ce qui l’entoure et le fait de voir des bras sortir des murs l’aide carrément pour le coup. Ce n’est clairement pas le moment pour trainer ici, ça il le comprend bien. « Jake ? Ca va ? » Il se relève en prenant appui sur le mur qui n’est pas possédé par les fétichistes des bras et il répond à Ororo d’une voix un peu faible. « Ca va aller. » D’un revers de manche il essuie le sang de sous son nez et, déjà, il s’apprête à suivre les autres sur les toits, ce qui lui parait être le chemin le plus sûr malgré tout.

Bon, y’a des fois, y’a pas à chier, on n’a pas de chance. Surtout quand Béné décide de faire exploser des éclairs un peu gratuitement. Et, pas de bol, c’est sur lui que ca tombe. Jake ne le voit pas venir, et comment aurait-il pu d’ailleurs ? L’éclair le frappe de plein fouet, le paralysant là, sur place tandis que le courant électrique se fraie un chemin en lui, tout ca pour rejoindre le sol et le laisser là. Séché. Ca valait bien la peine de se relever si c’est pour tomber à nouveau deux secondes après. Sauf que voilà, c’est ce qu’il lui arrive. Il a du mal à respirer, les sons lui viennent comme de loin. Pourtant il croit entendre la voix de Daisy. « JAKE ! » Il n’est même pas sûr que ce soit elle étant trop occupé à chercher sa respiration. Tout son corps le brûle et la douleur le paralyse presque si bien qu’il ne peut rien faire quand une main l’agrippe, le happant vers le mur.

Made by Neon Demon

Résumé:

Terre des Ages d'Apocalypse

Le palais impérial

Ceux qui longent le mur

MALUS IMMEDIAT

Vous longez les murs pour partir d’ici au plus vite. Les bras s’allongent de plus en plus jusqu’à venir vous griffer, vous attrapant presque. Le mur des tapisseries laisse même apercevoir les corps de ceux qui cherchent à vous atteindre. Les visages sont presque perceptibles. Ils semblent hurler quelque chose et pourtant, les seuls sons que l’on entend ici viennent de vous.
Vous arrivez à sortir de là, écorchés certes, mais libres tout de même. Tout du moins pour l’instant, parce que vous n’êtes pas au bout de vos surprises. Tout le palais est maintenant au courant que des intrus trainent dans les couloirs et ils savent exactement où vous vous trouvez. Il ne faut pas longtemps aux soldats d’Apocalypse pour vous retrouver si bien que vous n’avez pas fait plus de 10 mètres qu’ils sont déjà là. Le plus troublant est que vous en reconnaissez quelques uns, du tout de moins il vous semble car certains sont les sosies d’Elijah Fraser, de Nicholas Frances, de Clinton Barton, de Morgan Nightmare (j’sais pas l’écrire ouesh), de Stanislav Aaronlalala (putain ces noms quoiiiii, vous m’aidez pas !) et finalement de Raven Darkatchoum (j’vous hais, voilà). Ils sont vêtus d'une armure bleutée, richement décorée, et ont des cimeterres à leurs ceintures. Ils vous frappent, vous malmènent, vous contiennent et finalement, vous êtes leurs prisonniers.

Ceux qui se font avaler par le mur

Les mains arrivent à attraper Richard et Jake, qui étaient surement trop mal en point pour réussir à s’échapper de toutes façons. Ceux-là sont happés en direction du mur, peu importe l’opposition qu’ils peuvent exercer, les mains les agrippent fermement, allant jusqu’à laisser des marques sur leurs peaux et puis le mur les avale, tout simplement. Ils arrivent dans un monde fait de blanc, aveuglant, où le froid, extrême, les transit immédiatement. Chacune de leurs respirations laissent s’échapper un petit nuage de fumée. Le temps semble relatif dans cet entre deux mondes et ils ne savent pas exactement combien de temps ils passent ici, des minutes, des heures, des jours, ils ne savent même plus. Des ombres dansent autour d’eux, des cris résonnent partout si bien qu’on ne sait pas d’où ils proviennent initialement. Ils peuvent avancer tant qu’ils veulent, rien ne change si ce n’est ce froid qui ne fait que grandir, si ce ne sont ces cris qui se font de plus en plus fort, assourdissants. Ca a de quoi rendre fou.
Soudainement, après ils ne savent combien de temps, devant eux, un être difforme apparait. Les corps de Richard et de Jake semblent comme figés, ils ne les contrôlent plus, et ils ne peuvent rien faire quand le monstre s’avance vers eux. Il tourne autour d’eux et marmonne des mots incompréhensibles dans une langue bizarre. Finalement, le monstre lève les mains vers eux pour les poser sur leurs fronts.

Pour les deux premiers groupes

Vous vous trouvez maintenant dans une salle richement décorée. Au fond de celle-ci, se trouve une estrade sur laquelle est posée, sur un piédestal, un trône. L’homme bleu qui y est assis est d’une carrure impressionnante. Son regard est entièrement blanc et ses traits sont marqués par quelque chose de fondamentalement mauvais. Ses vêtements sont faits de blanc et de fil d’or. Quelques pierres précieuses viennent y apposer une touche finale luxueuse. A côté d’eux, un être difforme se tient là, encadré de Richard et Jake, dont les mains sont enchainées. Ils grelottent encore du froid du monde immaculé dont ils viennent mais semblent bien alertes sur la situation, plutôt merdique, dans laquelle ils se trouvent. De l’encens brûle au quatre coins de la pièce et pourtant, tout ça sent affreusement mauvais, littéralement.
Le petit groupe qui avait réussi à échapper aux tappiseries est amené là et on les force à s’agenouiller devant l’homme bleu. Les gardes se penchent respectueusement devant lui et l’un prend la parole : « Ô grand Apocalypse, nous avons fait prisonniers les intrus. » Le silence se fait épais alors que l’homme en bleu vous toise tous du regard un à un. Finalement, il parle et sa voix est aussi grave, caverneuse et pénétrante que celle que certains d’entre vous ont déjà entendue précédemment. « Qu’est ce que vous faites dans ce monde ? » Il se lève et s’approche de vous. Il est encore plus grand que ce que vous le pensiez. « Et quel est ce groupe si hétéroclite ? Une bande de mutants… » Son regard se pose sur Maggie. « Une sorte d’humaine… » Puis il dévie vers Daisy. « Et même une inhumaine. » Sa main vient encadrer le visage d'Ororo pour la forcer à le regarder. Il semble l’inspecter alors que son propre visage prend des airs interrogateurs, si c’est même possible d’ailleurs. « Qui vous a permis de venir ici ? » Rien en lui ne laisse à penser qu’il sera indulgent avec vous. Au contraire, il semble dur et froid, sans scrupule et mauvais. Vous craignez qu’en restant ici, on finisse par vous pendre haut et court, voire pire… Partir, courir, s’échapper, est une option tentante car vous n’avez aucune vraie réponse à lui donner.

Ceux qui sont sur les toits

Vous vous retrouvez sur ces toits faits de bois et de pierres calcaires. Le soleil vous frappe de sa chaleur et, au loin, vous pouvez voir des dunes à perte de vue. L’air est chaud et à une odeur terreuse. Au pied du palais, une ville fourmille. Elle a des allures antique et médiéval à la fois.
Les toits du palais semblent inhomogène et pour poursuivre votre route il faudra grimper, descendre, grimper et puis descendre encore, et cela une multitude de fois. Il n’y a que quelques fenêtres qui vous permettent de revenir dans le château depuis le toit et elles vous semblent toutes très loin. Une autre manière de faire serait de s’accrocher en bordure de toit pour entrer par une fenêtre normale, qui donne sur un mur bien vertical. Autant dire que c’est quelque chose de dangereux car vous êtes à plusieurs dizaines de mètres du sol et toute chute vous serez fatale. Vous faites quelques pas et vous rendez compte que se déplacer ici risque d’être compliqué. La pente du toit est telle que vous ne faites que glisser sans avoir grand-chose auquel se raccrocher. Pendant votre parcours, vous serez plusieurs à déraper et à vous tordre cheville et poignet en tombant et en vous rattrapant. Pour vous aussi, ca sent pas bon, littéralement, mais genre ca sent vraiment mauvais.

TOUR 3

Pour les prisonniers d'Apocalypse

Vous décidez de:

3.1 : Tenter de fuir.

3.2 : Tenter de convaincre Apocalypse de vous aider.

Ceux qui sont sur les toits

3.1 : Avancer sur les toits et rentrer dans le palais par une fenêtre donnant sur le toit.

3.2 : Avancer sur les toits et rentrer rapidement dans le palais par une fenêtre normale.

À dans trois semaines pour le quatrième tour !

house of memories

Tout s'était passé beaucoup trop vite. Un homme était venu m'aider et m'avait conseillé de virer mes patins. Il avait eu raison parce que pour bouger, ce n'était vraiment pas des plus pratiques. Que chacun se préoccupe des autres, ça me rassurait dans l'idée que finalement, je n'étais peut-être pas si perdu que ça. J'avais pris le temps de me baisser pour défaire les attaches de mes chausses, les posant à mes côtés tandis que je me retrouvais en chaussette. En fait, c'est à cet instant que les gens agirent et réagirent de façon étrange. Certains se comportaient comme si tout le monde devait entendre quelque chose puis s'écroulaient au sol. Des cris s'élevèrent ici et là, certains se tenaient la tête alors que d'autres se mettaient à saigner du nez comme mon bienfaiteur.

Et là, nouveau rebondissement. Un truc me frappe de plein fouet, me brûle et me parcourt de part en part, me faisant trembler et grogner de douleur. Tout ça parce que je voulais aider le type, à mon tour. D'ailleurs, je pensais même le connaître. Enfin, en tout cas l'avoir déjà vu mais où ? Je ne saurais dire vraiment ce que le courant électrique éveillait en moi. C'était un tel mélange de sensation désagréable que je n'aurais pas su comment le décrire. Le tout était que j'avais la sensation d'étouffer et que ma poitrine ne se soulevait plus ou trop peu, que mon cœur ratait des battements et que tous mes sens s'évanouirent. Je crois qu'à un moment, j'essayais de me redresser sans pour autant y parvenir et puis des trucs me choppèrent. Je ne pouvais pas lutter, vidé par la précédente attaque et je me laissais avaler par les choses. Quand j'ouvris les yeux, tout autour de moi était blanc. Un blanc immaculé qui défonçait les yeux. Qu'est-ce c'était que ce bordel ? Le froid s'incrustait sous mes vêtements pourtant épais. Doucement, je me mettais à genoux pour prendre lentement appuie sur mes jambes et m'approchais de mon compagnon d'infortune en lui mettant la main sur l'épaule, prêt à l'aider à se redresser s'il avait besoin. "Est-ce que ça va ?" demandais-je d'une voix rauque.

Un instant, j'essayais de m'avancer vers le vide pour essayer de voir s'il y avait des limites à cette cage. Malheureusement, il semblait que non et en plus que plus je me déplaçais, plus je me les gelais. Il valait mieux que je retourne auprès de mon compagnon. Je me déplaçais dans un petit périmètre pour me réchauffer en râlant pour moi-même, priant pour qu'on me laisse rentrer chez moi, dormir et ne plus jamais me réveiller si c'était pour vivre ce genre d'aventure, jusqu'à ce que mon corps s'immobilise et que ma volonté seule ne suffise plus à le faire obéir. "Putain de.. !" fis-je alors qu'une bête s'approchait de nous. Sa présence, me fit frissonner d'effroi. J'avais l'impression de devenir fou. "T'approche pas de moi !" hurlais-je alors que la chose tendait sa paluche pour la coller sur mon front et je serrai les dents en attendant le châtiment.

Et alors ? Je me retrouvais là, menotté, frigorifié, sur les nerfs. Mes yeux bleus observent la pièce, détaillent chaque recoins alors que je sers les dents pour ne pas hurler de rage. On pouvait pas juste nous foutre la paix ? Nous laisser partir ? Putain de sa.. ! Face à nous, il y a d'autres infortunés, ceux qui n'avaient pas pu fuir comme les autres. Au moins ça prouvait que certains d'entres nous pouvaient encore se mouvoir et c'était tant mieux pour eux. Peut-être qu'ils parviendraient a communiquer avec... Avec qui ? Qui pourrait nous aider ? A part compter sur nous-même, je ne voyais pas de solutions. Alors comment ? J'observais chacun de ceux bloqués avec moi et plus encore le jeune qui devait se confronter au regard du seigneur des lieux.

Mes yeux cherchent ceux de mon partenaire de malchance pour essayer de lui faire comprendre qu'on devait attirer l'attention pour permettre aux autres de s'en aller. Peut-être était-ce une soudaine bouffée de courage ou alors beaucoup de désespoir mais je venais accoster le maître. "Hey ?" grondais-je doucement, d'une voix mal assurée ou était-ce parce que je n'étais pas remis de l'attaque éclair que je m'étais pris dans la pomme. "Seigneur ? Maître ? Votre majesté ?..." poursuivais-je avant de m'arrêter et de serrer les dents un moment pour reprendre mon souffle. Je tentais de contrôler mes tremblements et je relevais le visage vers le géant à l'air cruel. "Nous ne sommes pas là de notre plein gré... Laissez-nous partir. Vous ne voulez pas de nous ici et nous ne voulons pas être là..." concluais-je en baissant ensuite les yeux pour ne pas donner l'impression de défier l'autorité en place. Bordel, qu'est-ce que je foutais ? Je risquais la vie des autres à ouvrir ma grande gueule... Eh merde !

Resumeh:

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Groupe 1

Madness is somewhere inbetween chaos and having a dream.

C'était un véritable cauchemar. Emportée par Ororo qui la soutenait du mieux qu'elle pouvait, Skye n'avait eu aucune chance de rattraper Jake à temps. Elle était désolée pour lui, mais tellement sonnée qu'elle ne réalisait pas encore ce qu'il se passait. C'était à peine si elle se rendait compte de cette eau invisible dans laquelle elle traînait, ne pouvant toutefois retenir une remarque tout juste marmonnée : « Attention à l'eau avec tes éclairs. » Elle ne calait même pas que cette eau semblait tout droit sortie de sa tête, comme un peu toute cette histoire. Et de toute façon, elle n'aurait pas eu le temps. Pas alors que des bras sortirent à nouveau des murs que les deux femmes longeaient, arrachant un sursaut à Skye qui tenta de pousser Ororo, cherchant à s'écarter des tapisseries. « ATTENTION ! » Mais c'était un peu peine perdue, alors qu'ils sortaient de tous côtés, ces corps inhumains, ces visages qui se manifestaient sous ses yeux ahuris, vision d'horreur inexplicable. Leurs bouches s'ouvraient, se tendaient, semblaient hurler quelque chose à Skye qui avançait, mais qui chutait tandis que les bras l'agrippaient, la griffant, lui tordant ses propres membres. Ces choses tentaient de la saisir par tous les bouts, et Skye manquait de lâcher prise, malgré la présence d'Ororo qui vacillait des mêmes attaques qu'elle.

Sans trop savoir comment, un miracle fut, alors qu'ils réussirent tous, plus ou moins, à échapper aux squelettes des murs. Skye était dans un état pitoyable, écorchée de partout, tremblante de tout son corps. Elle voulait continuer à avancer, mais tout le monde se stoppa des quatre fers, arrachant une grimace à Daisy qui failli tomber par terre. « C'est pas le moment de s'arrêt... » Elle failli s'étrangler de ses mots alors que devant elle s'affichaient des soldats aux habits prestigieux, mais surtout aux visages familiers. Essouflée, presque au bout de sa vie, la brune se retrouva à interpeller bêtement son collègue du SHIELD : « Clint ? » Puis elle reconnu le frère de celui qu'elle ne voulait pas abandonner quelques secondes plus tôt : « Elijah ? » Bon, elle n'avait jamais été très proche de lui, mais elle savait quand même reconnaître la famille de son ex et ami. Même si le visage un peu trop sérieux d'Elijah et de ses compères lui faisait froid dans le dos. Puis bon, réciter les prénoms des soldats ne lui furent pas très utile, alors qu'ils se précipitèrent sur eux, les frappant sans vergogne. Faisant même regretter à Daisy de pas maîtriser son émergence. Pour le coup, ça aurait été vraiment pratique de faire s'écrouler quelque chose sur la gueule des gens pas sympas quand même. « Mais qu'est-ce que.. ! » Elle pouvait toujours tenter de parler, la geek. Jetée sur le côté par les soldats, ne pouvant plus faire front avec Ororo, elle était rendue à terre, obligée de supporter les coups jusqu'à ce que les soldats s'arrêtent et les emmènent avec eux, les forçant à les suivre sans plus de manières.

Finalement, Daisy, un peu comme tous ses autres camarades, finit par plier le genou, par obligation évidemment, alors qu'elle découvrait une pièce bien plus agréable que les couloirs du palais. Elle grimaça sur le moment, regardant les soldats se pencher vers le gros monsieur gris-bleu, puis remarqua Jake et un autre homme aux allures ténébreuses, l'air totalement frigorifiés. Elle leur fit les gros yeux, et voulu murmurer quelque chose à l'attention de Jake, probablement un truc du genre "ça va ?" même si c'était évident que non, mais fut prise de cours par l'homme imposant qui pris la parole. Sa voix sembla familière, et elle avala sa salive de travers, reconnaissant celui qui avait fouillé sa tête, littéralement quelques minutes plus tôt. Et lorsque le brun commença à lui répondre en jouant des bonnes grâces, Skye ne put se retenir. Se joignant à lui, malgré le dégoût et la crainte que le dénommé Apocalypse lui inspirait, elle tenta elle-même une approche doucereuse. « Ô grand Apocalypse, » commença t-elle en imitant les lourdinges qui l'avaient tabassé, « tout ceci est une affreuse erreur. » No shit Sherlock. « En aucun cas nous ne voulions faire intrusion dans votre palais, grand Seigneur. » Pliant l'échine, rajoutant une couche. « Il s'agit d'une mauvaise manoeuvre, nous ne voulions point vous déranger. Vous pouvez vérifier mes dires, nous disons vrai. » fit-elle en penchant la tête en avant. Il avait déjà fouillé son esprit une fois, il pouvait recommencer, si ça pouvait lui faire ouvrir les yeux sur leurs situations à tous. « Nous avons du franchir un portail par erreur, mais peut-être pouvez-nous aider à réparer nos torts. Et à rejoindre notre monde. » Elle en doutait, il avait pas l'air bien commode le garçon. A moins qu'ils leur donnaient quelque chose en échange pour le convraincre, mais quoi ?

(c) DΛNDELION

Résume, résumons, résumez bruh:

Terre des Ages d'Apocalypse

Groupe 1

Ce qui venait de se passer m'avais juste cloué sur place. Genre vraiment. La douleur avait été tellement soudaine, intense, immédiate que mon corps continuait de trembler. J'étais désorienté et bordel, heureusement que ce gars m'avait aidé pour me sortir de là car sinon... J'en mènerais pas large en fait. Je commençais à penser à Gavin, à Clay, à Val, Kurt, à tout mes proches en fait et j'avais qu'une seule envie, qu'un seul désir : de les revoir sain et sauf. Je me promettais même de dire à Clay ce que je ressentais pour lui, c'est pour dire.

Bref. En tout cas, je dû faire un effort colossale pour me redresser. Dans un hochement de menton, je remerciais néanmoins mon sauveur et je lâchais un :
- Ouai, ok pas de problème.

Un peu pâteux et vaseux tandis que ce dernier me demandait maintenant mon aide pour ouvrir l'une des fenêtres là. Déglutissant légèrement, je secouais la tête pour remettre mes idées en place. La douleur était passé mais putain, elle m'avait quand même sacrément retourné quoi. J'avais limite envie de gerber et ouais, c'était pas la forme du siècle.

Je me reprenais cependant et me donnais une claque intérieure pour prêter main forte au brun. La situation devenait catastrophique, ingérable et bordel, voilà que de l'eau montait pour nous engloutir. Laissant un :
- Putain.

M'échapper, j'accélérais le mouvement et jetais un œil en arrière. Certains avaient réussi à se hisser à l'extérieur mais ça me faisais mal au cœur de laisser les autres derrière. Mon cœur battait tellement fort contre ma poitrine et bordel, bordel, mais qu'es-ce qui se passait à la fin. Es-ce qu'on allait crever? Ici, comme ça, dans cet endroit farfelu sans avoir la possibilité de trouver une sortie?

Non. On allait forcément trouver un moyen. Hein? Puis, merde, j'étais un agent du S.I.E.L.D. J'étais plus fort, plus résistant que ça et bordel. Depuis quand exactement je me laissais gagner par la panique?

Serrant la mâchoire, me voilà à l'extérieur mais on ne peut pas dire que c'était mieux. Pour le coup. Le soleil donnait l'impression de brûler la peau. Au loin, on pouvait voir des dunes se profiler et merde, c'était tellement compliqué de marcher sur ces toits. Ça grimpait, descendait, grimpait sans s'arrêter. C'était carrément pas stable en fait et on avait pas intérêt d'avoir le vertige sinon, c'était la porte ouverte aux chutes en tout genre.
- On fais quoi maintenant? demandais-je soudain, les dents serrés, manquant pour la troisième fois consécutif de trébucher.

Parce que niveau choix, c'était limité. Il n'y avait que quelques fenêtres qui nous permettait de revenir au château mais pour les atteindre, ça allait être genre ultra compliqué. C'était raide et putain. Voilà que je venais à nouveau de me tordre la cheville.

J'essayais alors de réfléchir. J'essayais de canaliser mon cerveau pour prendre la bonne décision possible. Pour moi, la meilleure solution était d'atteindre une fenêtre normale mais en même temps... c'était risqué. Trop risqué peut-être. Je m’aventurais donc de rentrer dans le palais, par une fenêtre donnant sur le toit.
- On devrais peut-être passer par là? Non?

Maintenant, à voir si mes compagnons allait me suivre ou non. Et surtout, à voir si j'avais pris la bonne décision. Parce que bon. On ne peut pas dire que ces derniers temps, j'avais une chance phénoménale.

(c) ANAPHORE

Résumé :

Spoiler:

IT'S A MAD MAD WORLD

All around me are familiar faces worn out places, worn out faces. Bright and early for their daily races, going nowhere, going nowhere. Their tears are filling up their glasses. No expression, no expression, hide my head, I want to drown my sorrow. No tomorrow, no tomorrow.

Groupe 1 : Le palais impérial

Après avoir aidé les derniers à remonter, il se redresse en soufflant, la respiration hachurée. Le soleil tape sur sa peau, tandis qu'il s'éponge le front avec le revers de sa main en un geste rapide. Les gens s'assemblent pour la plupart, et le jeune homme que Ryan a aidé auparavant demande ce qu'ils doivent faire à présent. A part fuir, le brun n'a aucune idée de la suite. On devrait continuer jusqu'à ce qu'on trouve un autre toit, ou un moyen de descendre... Il propose sans trop réfléchir, préférant déjà s'avancer sur les pierres et le bois qui ornent le dessus de la bâtisse. S'élançant alors, Ryan devance quelques personnes pour regarder en contrebas, lâchant une grimace. Il n'a pas très envie de tomber d'ici, vu la hauteur, et sans compter les individus qui s'énorgueillent en contrebas. De plus à l'horizon, rien de bon ne semble se profiler également. Il n'a pas très envie de se retrouver coincer sur les toits, et espère retrouver les autres qui sont restés à l'intérieur. Avec un peu de chance, ils pourront descendre et trouver de l'aide. De là où il est, il hésite à crier pour qu'on l'entende en bas, mais il se ravise, incertain. Avec ses conneries, ils risquent de se faire chopper. Grognant pour lui-même, le brun avance sur les toits pas très droits, grimpant ou descendant selon les aspérités des pierres. Putain! Il rale en trébuchant, se rattrapant de justesse avant de franchir le bord. C'était moins une. Il se redresse en soupirant, époussetant ses habits, jetant un coup d’œil alentours. Un peu plus loin, il peut voir des fenêtres donnant directement sur le palais, tout en restant sur un terrain à peu près sûr. D'autres fenêtres semblent mener à l'intérieur, mais s'agripper au bord pour les franchir ne lui semble pas une très bonne idée. Surtout vu la hauteur, et le fait qu'il préfère éviter à tout prix de retourner là-dedans.

Cela dit, rester dehors n'est pas non plus une bonne idée. Une mauvaise odeur se répand alentours, et lui chatouille les narines. Ryan grimace en passant sa main sur son visage, plissant les yeux pour trouver son origine. Bwaaah... Rien ne semble indiquer d'où cela provient et ça l'embête bien. Le brun préfère éviter de rester trop longtemps exposé, et si retourner à l'intérieur est la seule solution, alors il fera avec. Et tant pis pour le reste. Il sait très bien que quoiqu'ils fassent, ils seront dans la merde jusqu'au cou. Il en a vu des films d'actions ou fantastiques, virant sur la SF. Il sait pertinemment comment ça va se finir. Mais jouer un rôle dans cette aventure le fait vivre, étrangement. Lui donne un semblant de fierté. L'adrénaline pulse en ses veines et il souhaite que cela ne s'arrête jamais. Enfin, si, il veut rentrer chez lui, mais continuer à se sentir aussi puissant, pour une fois. Ça lui fait quelque chose, qu'il n'ose s'expliquer, comme s'il connait déjà le feeling, mais qu'il lui semble étranger en même temps. Comme si tout ceci se trouve bien trop loin pour lui, que le souvenir est trop flou pour qu'il s'en rappelle. La voix du jeune qu'il a aidé juste avant résonne à ses oreilles tandis qu'il avance à nouveau, prenant un appui quelque peu stable sur ce toit qui aurait bien besoin d'un meilleur architecte. On peut essayer oui. C'est déjà plus sûr que de passer par les autres fenêtres... Il soupire doucement, avant de s'accroupir à nouveau, laissant passer ceux qui veulent rentrer par le toit, avant de s'y engouffrer aussi, au travers de la fenêtre. Il jette un dernier regard derrière lui, ravalant sa salive difficilement. Le seul bruit qu'il entend en entrant, est l'écho de ses pas sur la surface. A nouveau, il se retrouve à l'intérieur du palais, et tout ça ne lui dit rien qui vaille, mais il fonce quand même. Buté comme il est.

résumeh:

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It's a mad, mad world

feat groupe 1

L'air au dehors me frappe tant il est chaud et la luminosité me fait plisser les yeux. Mon palpitant est encore tout fou après l'attaque des mains mais mon instinct me hurle que c'est loin d'être fini. Si on risque sa vie à Génosha alors dans un monde inconnu, c'est la mort assurée. Dommage, je commençais à peine à cicatriser des derniers évènements. En attendant, j'examine les toits, heureux que l'école de la vie ait eu un gros cursus "survie" et m'ait obligé à être agile. Oui, je ne pense pas me tromper en disant que j'ai toujours été d'une nature un peu acrobatique. Pas genre Yamakazi mais je me débrouille (embauchez-moi pour faire Aladdin, j'ai besoin de fric !). Du moins, même les souvenirs qui m'assaillent et m'aveuglent ces derniers temps me soufflent que je pourrai réussir à faire un bout de chemin sans me tuer.

Ce qui n'est pas forcément le cas des autres, je m'en rend compte assez tôt. Fronçant le nez devant l'odeur infect qui sort de je-ne-sais-où, je tend la main à la personne la plus proche ayant besoin d'aide, idée totalement stupide puisqu'elle risque de m'entraîner dans sa chute. Etre perdu dans un monde bizarre doit me faire mollir, je deviendrais presque....altruiste ? Argh, quelle horreur, je veux vivre vieux, riche et égoiste. Merde à la fin. Avancer sur ses toits s'avère plus complexe que prévu et mon absence de chaussures n'arrange rien, mes pieds s'égratignent et saignent à chaque pas, j'étouffe des jurons en tâchant de garder l'équilibre. Sinon l'issue de la chute n'était pas mortelle, je me foutrais bien un peu de la gueule des autres qui trébuchent et se rétament. Mais non, un éclat de rire, même nerveux, serait mal venu.

Qui c'est qu'a pété ?

C'est con, totalement dépourvu d'intérêt et puéril en cet instant mais la force diabolique en moi qui me pousse à faire de l'humour en toute circonstance a encore frapper. J'aurais bien aimée qu'elle se taise pour une fois. Mais, après tout, mieux vaut essayer de dédramatiser tout ce merdier. Tout en restant vigilant, évidemment. Comme pour me punir de mes gamineries, une pierre glisse et je me taule avec, me rattrapant de justesse et lâchant un mot que la décence m'interdit de répéter ici. Je préfère plutôt songer à trouver une issue, parce que les toits sont galères et qu'il fait grave chaud. Les autres semblent avoir la même idée que moi et je suis l'asiatique du groupe (désolé si je choque mais je connais pas ton nom alors on va faire au plus simple) à travers l'une des fenêtres de toit. De toute façon, ce serait totalement idiot de passer par une normale. Derrière moi, il y a encore l'autre Rambo miniature qui commence à me plaire, il prend des initiatives. S'il peut continuer de sauver nos fesses avec ses idées, ça me va, il peut être le chef.

☾ anesidora

Résumé:

It's a mad mad world

Le palais impérial - Groupe 1

Maggie essayait toujours de rattraper son amie mais Laura était partie trop rapidement. En chutant, elle l’avait presque perdue de vue et finalement une fois relevé elle vit d’autres personnes accourir dans sa direction et elle reconnut les traits de Daisy. Contente de voir une tête connue, elle aurait voulu s’approcher d’elle mais c’est un groupe de personnes qui attira d’abord son attention. Six pour être exacte, tous vêtus d’une sorte de tenu bleu métallique s’approchèrent, l’air plutôt mauvais. Maggie en aperçut un et se figea. Pourquoi le frère d’Amélia était-il là ? Et pourquoi venait-il d’un pas menacer vers eux ? Elle fit un pas en arrière avant qu’on ne l’attrape et finalement ne chercha même pas à se débattre. Le regard vide, la photographe suit le groupe docilement jusqu’à ce qu’on les amène tous dans une salle. Son regard se pose sur… l”homme ? La créature bleutée plus vraisemblablement qui se trouve au centre de la pièce, assise sur un trône. La salle est luxueuse et richement décorée de toute part comme pourrait l’être un château, ou un truc du genre.. De plus en plus, la jeune femme se sent perplexe, mal, et apeurée. Où étaient-ils tous tomber ? Forcée de s’agenouiller, Maggie s’écroule au sol. Elle ressent une pointe de colère lorsqu’elle relève les yeux vers cette chose bleue qui commence à parler. La brune est fatiguée de tout ce qui lui arrive. Aura-t-elle donc pas le droit à une vie calme ?

- Quoi ?

C’était sorti tout seul. Sous la surprise ça lui avait échappé. Des mutants, une sorte d’humaine et inhumain... Mais de quoi il parlait ? Maggie avait envie de poser des tas de questions, mais le fait qu’ils soient prisonniers, à genoux face à cette immensité bleuâtre lui laissait entendre que c’était plutôt mauvais signe. Les questions qu’il pose au petit groupe laissent la photographe complètement perdue. Qu’est-ce que c’était que ce bordel encore? Vivaient-ils tous une hallucination ? Encore une ? C’était impossible, tous ne sortaient pas de l’Alpha House, ça ne pouvait pas être ça. C’était la réalité. Ca ne pouvait pas être autre chose, sinon pourquoi y aurait-il tous ces gens de Genosha ? Cette île était bien maudite et la brune émit un fin rire ironique en y pensant. Elle aurait mieux fait de rester loin de cet endroit. Elle n’aurait jamais dû revenir. Lasse et désespérée, elle s'affaisse sur elle-même, laissant tout le loisir aux autres de plaider leurs causes même si elle n’a quasiment plus d’espoir. Pour elle, tout va encore s'effondrer et elle n’a plus la force d’y faire face.

Maggie: #6D397A

Pouet:

It's a mad mad world

Mission III - Groupe 1

Laura longeait les murs à tout hasard encore déboussolée par l’attaque interne qu’elle venait de subir. Elle entendait la voix de Maggie qui l’appelait, mais elle ne voulait pas s’arrêter. Elle voulait partir, quitter ces couloirs froids et inhospitaliers au plus vite. Les effets commençaient peu à peu à diminuer et elle retrouvait tranquillement ses esprits. Son corps n’avait du tout apprécié d’être possédé de la sorte. C’était vraiment une sensation désagréable que celle de ne plus avoir le contrôle de soi et d’être aux prises avec des maux atroces. Elle avait honte d’avoir perdu le contrôle et d’avoir montré ses griffes à tous. Avec un peu de chance, personne n’avait fait attention à elle avec tout ce qui s’était passé au même moment. Elle savait que les choses s’étaient passablement gâtées, même si c’était très flou. Elle s’arrêta quelque secondes, le temps de reprendre son souffle et d’analyser les lieux. Elle rétracta ses griffes non sans avoir remarqué que du sang se trouvait au bout de ses lames. Une expression horrifiée se dessina sur son visage alors qu’elle pensait au pire. Avait-elle blessé quelqu’un par inadvertance? Avait-elle blessé sa meilleure amie alors qu’elle n’avait plus conscience de ce qu’elle faisait? Son cœur se serra à cette pensée. C’était l’une de ses plus grandes peurs de blesser des gens qu’elle aimait à cause de sa mutation qu’elle maitrisait relativement bien. Elle se retourna pour attendre la jeune Andrews et confirmer ses soupçons, mais c’est à ce moment qu’elle sentit qu’on la griffait et qu’on tentait de l’empoigner. Elle n’avait donc pas rêvé et les tapisseries essayaient vraiment de leur faire du mal. Elles étaient réellement vivantes! Elle tenta d’esquiver les bras qui s’allongeaient dangereusement en l’écorchant avec force. Elle tenta d’appeler Maggie qui ne devait pas être loin, mais chaque fois qu’elle ouvrait la bouche, c’était une nouvelle griffure sanglante qui apparaissait. Au bout d’un petit combat de quelques minutes, Laura réussi finalement à se défaire de ses tentacules. Elle émit un son de rage en s’éloignant des parois, la respiration haletante et la peau à vif.

Maggie et d’autres personnes arrivèrent et ils se trouvaient dans le même état qu’elle. Les tapisseries avaient attaqué en grand. La brune se dirigea instinctivement vers son amie. "Ça va? Moi je reste pas là." Elle se retourna pour continuer sa quête de sortie dans le dédale de couloirs, mais ils furent rejoints par des gardes à l’allure fière et rustre. Elle recula machinalement en les fixant du regard. Elle reconnut sans mal une figure importante d’Hydra. "Morgan?" Mais son allure était loin d’être celle de l’homme qui l’avait aidé à partir du Pegasus. Ce dernier s’avança d’ailleurs vers elle et l’attrapa par le bras. "Mais lâche-moi!" Elle tentait de se débattre, mais elle ne faisait clairement pas le poids et il la traina fortement par le bras jusqu’à une salle à la décoration abondante. Il la lâche sans ménagement et elle rejoint les autres en se caressant le bras qui avait pris une teinte violette à l’endroit où le garde avait enroulé sa grosse main. Elle remarqua alors le géant bleu de la photo et il n’avait pas l’air commode. Il était très imposant et il ne semblait pas vouloir rigoler. Elle se mit à genoux sans se débattre, n’en voyant pas l’utilité. Ils étaient prisonniers de ce dénommé Apocalypse. Des personnes de leur groupe tentèrent de l’amadouer et de le convaincre qu’ils n’avaient aucune mauvaise intention. Laura resta silencieuse, même si elle implorait l’homme bleu d’être clément avec eux du regard. Elle n’avait jamais été une bonne oratrice ou une bonne vendeuse, ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer. Elle avisa une porte dans le coin et l’idée de tenter de fuir était tentante, mais elle savait que c’était déjà perdu d’avance. Elle n’avait aucune chance. En espérant qu’ils réussiraient à convaincre le grand Schtroumpf.

Made by Neon Demon

Résumay:

Le palais impérial

RP commun

« Alors, pour la dernière fois je vis la Terre : un globe stable d’un bleu rayonnant, voguant dans l’immensité de l’éther. Et moi, fragile poussière douée d’une âme, je voltigeais silencieusement dans le vide en partant de ce bleu lointain pour m’élancer dans l’inconnu. » – William Hope Hodgson

Une fois sur le toit, Aaron se désintéresse de ceux qui montent après lui. En fait, il ne s'intéresse pas beaucoup plus à ceux qui étaient là avant. Non, le faussaire s'intéresse davantage au paysage qui se dresse dix mètres plus bas, et à ce que l'horizon peut laisser comme indice sur l'endroit où ils se trouvent. Et clairement, soit il est complètement bourré et drogué, soit il est devenu complètement dingue, soit il y a un sacré problème de taille. Et malheureusement, comme les choses ne peuvent pas être simples, c'est forcément la dernière option. Ça aurait été trop facile qu'en cuvant et que le temps passant, il se réveille de ce coma éthylique dans lequel il faisait de drôle de rêves. Mais la question principale demeurait : où avaient-ils atterri ? Parce que visiblement, ils avaient même carrément changé de pays et ça, Aaron l'aurait remarqué s'il avait pris l'avion. Manque de bol, il était chez lui au moment où cette sensation de vertige s'était faite. Alors quoi ? Il était tombé dans un trou spatio-temporel ? Et quand bien même ce serait le cas, pourquoi lui alors qu'il ne demandait rien, pénard chez lui ? Ça n'avait vraiment aucun sens ! Mais tout avait l'air si réel... Bien trop d'ailleurs, si bien que le blond préférait agir comme si ça l'était vraiment que comme s'il avait viré fou en moins de deux secondes. Dans le doute... Faisant attention à ne pas tomber de ce toit particulièrement pentu et rêche, il calcula s'il était possible d'aller le plus loin possible en empruntant ce chemin dangereux. Il décida que oui. Après tout, il avait connu pire que ça. Bien pire. Ce n'était quand même pas un toit à la con qui allait lui dicter sa loi. Doucement mais sûrement, et avec toute l'agilité et la force qu'il avait acquis durant sa vie, Aaron avança sur ce toit, s'écorchant par endroit, mais ne lâchant rien et endurant jusqu'à atteindre une fenêtre sur le toit. Il était hors de question de redescendre par une fenêtre normal ou il était sûr et certain que d'autres dingues les attendaient. Et puis c'était cool de voir qu'il n'était pas le seul à penser de la sorte. Si jamais ça sentirait le coup fourré une fois dans la pièce, il pourrait toujours se défiler et remonter pour trouver une autre issue pendant que les autres se débattraient avec les emmerdes du bas. Néanmoins, il ne pouvait s'empêcher de se demander où tout cela allait les conduire, et surtout, est-ce que son jumeau était là, quelque part, ou avait-il pu échapper à cette dangereuse et troublante mascarade ?

Résumé:

(c) DΛNDELION

Le palais impérial

Groupe 1

Tu avais été surprise et un éclair était apparue, tombant sur Jake et une autre personne. Tu aurais aimé aller voir s’il allait bien, t’excuser pour ce que tu venais provoquer, mais tu n’avais nullement le temps. Cette main venait vers toi et cette fille, venant vous griffer la peau, laissant entre voir ces silhouettes, comme si c’était elle qui voulait nous attraper.
On arrivait à s’extirper de cette main, arrivant dans un couloir. Mais il ne fallait pas traîner dans cet endroit, on n’avait nullement le temps de regarder derrière nous. Et bien que j‘aurais aimer on n’avait plus le temps pour partir, on en avait eu aucun. Ces visages si familier et si rassurant qui me tirait une “Eli, Raven?” au début sans avoir vu Stan et quand je le vis, le sourire qui était apparu s’effaça aussi vite qu’il était apparu “Stan!”. Ils commencèrent à nous frapper, non sans qu’on riposte, mais en vain, il était bien trop nombreux et nous firent prisonnière.

On se retrouvait donc dans un grand salel richement décorer, avec cet homme qui était représenter sur cette tapisserie. On s’adresse à lui comme avec beaucoup de folklore, mais au moins maintenant vous saviez son nom. Il se lève se dirige vers vous, vient prendre ton visage entre ses mains. Tu ne peux que le regarder dans les yeux, entendre une première personne de ton groupe commencer à parler disant que vous n’êtes pas là de votre plein gré, ce qui n’est pas faux. Puis Daisy vient appuyer ces propos à son tour essayant de le convaincre que vous n’étiez pas là pour l’affronter. Ce qui est encore exact et à ton tour, tu viens appuyer leur parole disant à celui qui tient ta tête entre tes mains “Ce qu’ils vous disent n’est que pure vérité. On ne sait pas comment on est arrivé ici et on ne veut que partir de cet endroit. Après on ne vous ennuiera plus et ça sera comme-ci nous n’étions jamais venu dans ces lieux.”

Shacka House Of (M)

résumé:

Terre des Ages d'Apocalypse

Le palais impérial

Le futur manger des cocodiles

Vous tentez de lui expliquer ce qu’il vient de vous arriver même si vous n’y entendez rien. C’est certainement un bon plan en soi mais le fait est qu’il peut réussir tout comme échouer. Apocalypse vous regarde depuis son piédestal, illisible. Vous ne savez pas vraiment si vos mots l’ont attendri, le rendent indifférent, l’agacent ou tout autre chose. Le silence se fait épais et lourd. Ca vous rend mal à l’aise, anxieux, alors que votre châtiment peut tomber d’un moment à l’autre. Les gardes d’Apocalypse sont immobiles si bien que rien ne bouge dans cette immense pièce. Vous entendez de l’eau s’écouler sans pour autant savoir d’où elle peut venir. C’est peut-être le cadet de vos soucis, surtout que la voix d’Apocalypse vient rompre le silence en mille éclats. Il se tourne vers un garde et clame. « Va chercher la sorcière rouge. Qu’elle s’assure qu’aucune brèche ne permette à d’autres de pénétrer dans notre monde. » Le garde hoche de la tête et part aussitôt. Ca commence mal pour vous, parce que si cette sorcière rouge s’arrange pour fermer les ponts entre votre monde et celui-ci, ca veut dire que vous serez prisonnier de ce lieu à jamais. « Quant à ceux-là. » Apocalypse vous regarde maintenant, et cette fois vous en êtes sûr, c’est cuit pour vous. Vos petits discours vous ont assurément évité de subir sous gourou mais ca ne sera pas suffisant pour vous tirer complétement d’affaire. « Qu’on les donne en offrande aux dieux. » Qu’il en soit ainsi, les gardes vous relèvent sans grand ménagement et ils vous poussent tous vers la sortie.
Vous êtes encadrés par cinq gardes qui vous font arpenter les couloirs du palais pour aller vous ne savez où. Vous devinez que devenir un sacrifice n’a rien de très joyeux mais vous pouvez tout de même continuer à les suivre sans opposer de résistance… ou alors vous pouvez leur faire face et fuir.

Les cheminots

Vous décidez de jouer la carte de la sécurité en poussant cette escapade sur les toits jusqu’à une fenêtre facilement accessible. Plusieurs fois, vous manquez pourtant de tomber mais arrivez finalement à bon port. Ce fut long et laborieux et vous êtes ravis de retrouver un plancher bien horizontal. Vous voilà à nouveau dans un couloir, sans tapisserie cette fois-ci. Il est désert et y êtes en relative sécurité. Bizarrement, même si vous êtes dans les hauteurs du palais, vous entendez le bruit de l’eau qui s’écoule. Mais ce n’est pas tout. Après quelques secondes, vous entendez des voix au loin. Elles viennent d’un couloir voisin et vous les reconnaissait rapidement. Si vous allez voir en catimini, vous verrez vos compagnons d’infortune, encadrés par quelques gardes à l’armure bleutée. Vous pourriez très bien leur venir en aide, ou alors partir, tout simplement. Franchement, on ne vous en voudrez pas. Derrière vous, à l’opposé du couloir, il y a un petit escalier qui descend vous ne savez où. Vous pouvez aussi attendre que le petit groupe passe pour les suivre.

TOUR 4

Le futur manger des cocodiles

Vous décidez de:

4.1 : Suivre les gardes et tenter de les convaincre de vous aider.

4.2 : Tenter de fuir.

Dans ce cas, lancer un dé mystère

4.3 : Vous battre contre les gardes.

Dans ce cas, lancer un dé mystère

Les cheminots

4.1 : Aider les autres à se libérer des gardes.

Dans ce cas, lancer un dé mystère

4.2 : Prendre le petit escalier.

4.3 : Suivre les autres en restant cachés.

À dans trois semaines pour le cinquième tour !

house of memories

IT'S A MAD MAD WORLD

All around me are familiar faces worn out places, worn out faces. Bright and early for their daily races, going nowhere, going nowhere. Their tears are filling up their glasses. No expression, no expression, hide my head, I want to drown my sorrow. No tomorrow, no tomorrow.

Groupe 1 : Le palais impérial

Le plancher craque sous son poids, alors qu'il s'infiltre dans la pièce par la fenêtre du toit. Ses pas claquant contre la texture, tandis qu'il plie ses genoux, pour amortir sa chute. Se redressant, il se remet tout juste des répercussions du contact contre ses pieds. Jetant un regard en arrière, il vérifie bien que tout le monde soit rentré sain et sauf, avant de souffler silencieusement. Clignant des paupières, le brun porte son attention sur son environnement. Il scrute le couloir, notant bien l'absence de tapisseries étranges. Cela le rassure, et il pousse un léger soupir de contentement, tout en se passant la langue sur ses lèvres, les humidifiant. Ça a l'air safe, ici. Posant ses poings sur ses hanches, il plisse les paupières, constatant à l'instant qu'un silence les entourait. Aucun écho, aucun cri. L'absence totale de bruit. Un sentiment de sécurité lui empoigne les entrailles alors qu'il se maintient le plus droit possible, restant tout de même en alerte. Ryan se tourne enfin vers ses camarades, les regardant intensément, lèvres entrouvertes, avant de s'enquérir de leur état. Ça va, vous ? Hochant doucement la tête après leurs réponses, le brun baisse la tête en fermant les yeux, la respiration quelque peu fébrile. Maintenant qu'ils sont plus ou moins en sécurité, il faut qu'ils trouvent la sortie. Et accessoirement, les autres qui se sont retrouvés avec eux depuis le début, et qui avaient choisi de partir dans l'autre sens. Passant sa main sur sa nuque, le brun relève le visage, rouvrant les paupières, son regard se portant sur le bout du couloir. Il fronce les sourcils en entendant un bruit d'eau. L'écho d'une cascade, d'une rivière. Une fontaine se trouve peut-être dans le coin, et avec cette chaleur, ils finiront par avoir besoin de se rafraîchir. La pulpe de ses doigts frôle ses cheveux courts sur sa nuque, et il soupire en laissant sa main retomber. Pendre mollement contre son flanc, frôlant sa cuisse.

Le regard perdu sur l'horizon, il se tend subitement lorsqu'un bruit se met à résonner. Une mélodie caressant ses tympans. Des échos d'éclats de voix. Il se fige sur place, un court instant. Serrant les poings, pinçant les lèvres, fronçant les sourcils. Ryan se tourne, posant son index sur ses lèvres, intimant à ses camarades de ne pas faire de bruit. Je vais aller voir. Il s'élance, genoux légèrement pliés, rasant le mur, tentant de faire le moins de bruit possible. Sa paume s'érafle sur le mur, et le brun se plaque contre la texture, une fois arrivé au bout. Il penche légèrement la tête, pour jeter un coup d’œil alentour. Les autres sont présents, en mauvais états pour certains, le reste plus vifs. Plissant les paupières, il laisse son regard se porter sur les autres silhouettes. Des contours bleutés, une armure colorée entourant ces formes qui se tiennent droites aux côtés des prisonniers. Ryan grince des dents, se plaquant à nouveau contre le mur. Il ne peut rien faire d'ici, mais voir les autres en si mauvaise posture n'augure rien de bon. Il rage silencieusement, sentant un mouvement à ses côtés. Portant son regard à sa gauche, il peut voir le jeune homme qu'il a aidé juste auparavant. Il a l'air de s'inquiéter lui aussi, alors le brun lui explique rapidement la situation. Les autres sont là, mais il y a des genres de gardes. Tournant la tête, Ryan reporte son attention sur l'autre couloir, dans lequel sont amassés ces camarades. Il grimace, et se redresse, commençant à revenir vers le plus jeune. Jusqu'à ce qu'il remarque qu'il essaye de le dépasser pour s'engouffrer dans le couloir. Dans un réflexe, alors qu'il écarquille les yeux, le brun élance son bras. Sa main agrippe fermement la pliure du coude de l'asiatique tandis qu'il le tire en arrière. Les traits tirés, abasourdi, Ryan le pousse derrière lui, son bras le maintenant en place contre le mur. Telle une barrière, une protection, alors qu'il porte son regard sur son visage. Ça va pas ?! Il siffle, ahuri. Fais pas cette connerie, bordel ! Glissant ses iris sur le couloir, il peut toujours voir ces silhouettes s'approcher. Déglutissant difficilement, il se décale quelque peu sur la gauche, toujours contre le mur. Reste tranquille, et surtout, ne fais pas de bruit. Le brun hoche la tête pour marquer ses propos, ses iris ancrés dans ceux du plus jeune. On va attendre qu'ils passent pour voir ce qu'ils font et les prendre à revers. D'accord ? Sa langue passe à nouveau sur ses lèvres tremblantes, avant de claquer contre son palais. Son souffle s'écrase sur le visage du plus jeune, et l'adrénaline coule en ses veines, son sang cognant à ses tempes. Désignant le fond du couloir d'un signe de la tête, il intime au plus jeune de se reculer quelque peu, afin qu'ils ne soient pas visibles depuis leur cachette précaire. Ryan reste donc plaqué contre le mur, attendant que les contours des silhouettes apparaissent dans son champ de vision. Il veut sauver ces étrangers, mais il ne peut rien faire sans en apprendre d'avantage. Alors il compte bien trouver ce qui se trame ici et faire la lumière sur les parts d'ombres. Quitte à rester dans la pénombre le temps que tout s'éclaire.

résumade:

Terre des Ages d'Apocalypse

Groupe 1

Bon. Au moins, on était à l'abri et en sécurité maintenant. Enfin, façon de parler hein. On ne savait toujours pas où on était, ce qui se passait et bref. C'était le bordel quoi. J'essayais de ne pas trop penser. J'essayais de rester concentré et de ne surtout pas laisser mon cerveau partir en vrille. Parce que sinon... je savais qu'il allait encore partir dans tout les sens et bref. C'était clairement pas le moment pour ça. Déjà que j'avais été sonné par ce foutu mal de tête, intense et brutal qui m'avait juste cloué sur place.

Alors je focalisais mon esprit sur autre chose. Je pensais à Gavin, à Val, à Kurt, à ma nouvelle famille et surtout à Clay avec qui je devais boire un café en ce moment même. Je repensais à ses taquineries, à son sourire qui me chauffait le cœur. Aux traits de son visage, ses cheveux en bataille, sa façon d'être et de penser. Et bref. Je me faisais la promesse de lui dire ce que je ressentais, si on s'en sortais vivant de cet endroit. Mon cœur se serra et bordel. Bordel. Ouai, là, j'aurai aimé qu'il soit présent à mes côtés même si je préférais largement imaginé qu'il soit en sécurité au final.

Bwah. D'ailleurs, faite qu'il le soit. Faite qu'il soit à Genosha et pas dans ce genre d'endroit flippant à souhait à se demander si on allait vivre ou non. Faite qu'il m'attende à ce café. Même si bon... Si c'était le cas, il allait surement s'inquiéter de mon absence. Ou voir ça comme un message que je ne voulais plus le voir.... Et ouai. Putain. Pourquoi je pensais à ça maintenant moi? Secouant la tête pour tempérer ce foutu cerveau qui malgré ma promesse, refaisait des siennes, je regardais autour de moi.

Le visage crispé, les lèvres pincées, j'observais ce nouveau couloir qui était potentiellement calme. Il n'y avait aucune tapisserie. Personne ne nous y attendais de pied ferme mais bordel, on pouvait toujours entendre au loin un bruit d'eau qui s'écoule. Et ces voix maintenant...Ces voix qui me semblaient étrangement familière.
- Hey, vous entendez?

Fronçant les sourcils, je tendais l'oreille. Mon cœur battait avec force contre ma poitrine et voilà que mon esprit fusait encore de tout côté. Le gars qui m'avait aidé un peu plus tôt confirma mes craintes et bordel, mon cerveau échauffé ne fit qu'un tour dans son sac. Les autres... ils étaient là-bas quoi, prisonnier de ces gardes sans perspective de s'échapper. Le mieux aurait été d'élaborer un plan, de réfléchir à la situation et de la tourner dans tout les sens avant de tenter quoi que ce soit de stupide mais moi. Bah moi j'étais un Parson et j'étais assez con pour démarrer au quart de tour dans ces moments là.

On pouvait pas les laisser. Non. C'était impossible. On pouvais pas se barrer comme ça sans... je sais pas moi. Sans tenter un truc pour les sortir de là quoi. C'est pourquoi, sans réfléchir plus longtemps aux conséquences de mes actes, j'accélérais le pas. Je m'apprêtais à m’engouffrer dans le couloir et... et on verra ensuite quoi mais je sentis bien vite un bras m'agripper par le coude pour me retenir. Tandis que je fus propulser en arrière et coller contre un mur, je lâchais un :
- Mais ça va pas?! Qu'es-ce qui te prend? Lâche moi bordel !

Avant de sentir mon corps trembler de colère. Ou de peur, je ne sais pas trop en fait. Non parce que je voulais les aider moi. Je ne pouvais pas rester là les bras croisé et voilà que ce type me retenait, en m'engueulant presque alors que je ne le connaissais même pas. Mais dans un sens... Il avait pas tord quoi. En y réfléchissant plus posément, on ne savait pas vraiment à quoi s'attendre et bordel. Je me mordais les lèvres, soumis maintenant à deux avis différent. Je devais faire quoi maintenant? Lui faire confiance? Rester derrière lui et attendre sagement avant de foncer dans le tas? Ouai... c'était surement la meilleure chose à faire. Je le savais. Même si bref, je préférais agir vite pour le coup au lieu de rester planter là, sans savoir si son plan allait marcher. Mais bon. Il fallait que je me calme, que j'arrête d'écouter mes pulsions et c'est pourquoi, tout en essayant de me calmer parce que bon, j'avais un peu les nerfs en plote là, je hochais simplement la tête en me tenant tranquille derrière lui:
- Ouai... d'accord. J'espère que ça marchera parce qu'on peut pas les laisser derrière.

(c) ANAPHORE

Résumé :

Spoiler:

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It's a mad, mad world

feat groupe 1

Une fois à l'intérieur, je commence à me demander ce que nous pourrions faire. Les couloirs de cet endroit flippant sont plus frais qu'à l'extérieur mais j'ai tout sauf envie de m'éterniser entre ces murs, ça non. Le bruit d'une eau qui coule me fait froncer les sourcils, ça me rappelle un peu que je sortais du bain au moment des faits. Si on ajoute à cela la sensation tout à l'heure comme si on pataugeait, je commence à sérieusement me demander si nous ne sommes pas sous acide. Mais je connais la sensation et tout ça ne ressemble pas à l'un des trips que je pourrais avoir.

Alors que notre chef improvisé est en train de s'assurer que tout le monde va bien, je remarque un petit escalier qui me semble des plus intéressants. Une légende veut qu'en cas de danger, les gens foncent le plus haut possible. Or, s'il y a bien une chose que les films d'horreur nous ont appris, c'est qu'une fois tous les escaliers montés, on se retrouve tout en haut et bien couillons. Donc il serait plus que judicieux d'emprunter ce passage pou voir où ça mène. Tout vaut mieux que de rester dans le coin si vous voulez mon avis (et même si vous ne le voulez pas, je vous le donne quand même).

Brusquement, notre mâle Alpha se tend comme un suricate et commence à guetter un bruit que je finis par repérer aussi : des voix et des pas. Ni une, ni deux, je me plaque contre le mur en priant pour qu'aucun bras démoniaque ne tente de m'arracher les poils du torse (que je n'ai pas), observant du coin de l’œil les nouveaux arrivants. Voilà donc où était le reste de notre groupe : capturés. Un juron s'échappe de mes lèvres quand je reconnais Maggie parmi les visages des prisonniers. Et merde...Elle a l'air totalement abattue, c'est moche.

Plusieurs gus semblent chaud pour aller libérer les otages et je reste en retrait, pensif. Parce que je le sens pas ce plan et que c'est un coup à tous se faire chopper. Mais en même temps, je ne peux pas laisser Maggie comme ça, c'est l'une de mes seules vraies amies dans cette ville de merde et qu'on se serre les coudes entre nous....Dilemne horrible entre le peu de consciente qui m'a poussé ces derniers temps et mon instinct de survie.

Sauf que je préfère encore chercher une autre option pendant que certains tentent le coup direct, comme ça, ça fait un plan B et on sera pas tous récupérés en même temps. Désolé Maggie, c'est pas de l'abandon et je te jure que je reviendrai pour toi quand j'aurai trouvé la sortie. T'es bien la première et la seule personne à qui je pourrais faire ce genre de promesse mais voilà, je vais revenir te chercher et on se barrera ensemble de ce monde de merde. Et tu pourras emmener ta copine si tu veux. En fait, si je réussis, on pourra tous se barrer même si les autres, je m'en fous un peu. Sauf le petit chef, il me plait bien. Bref...

Sans attendre, je me glisse vers le petit escalier en priant pour que ça fonctionne et que tout ce cauchemar s'arrête enfin

☾ anesidora

Résumé:

Le palais impérial

Groupe 1

Les choses ne se passaient pas aussi bien que tu l’aurais espéré…Enfin, tu n’espérais pas grand-chose, car tu avais ce pressentiment que d’essayer de le convaincre de vous aider n’allait rien vraiment réussir. Et tu avais parfaitement raison. Car malgré tout ce que vous aviez pu dire, ce grand homme bleu, cela n’avait aucunement attiré une quelconque empathie de sa part. Mais une chose tes chiffons, il parle d’une certaine sorcière ainsi que d’une brèche. Peut-être que si vous la trouviez. Cela n’est nullement bon, car si elle trouve cette fameuse brèche et qu’elle la fermes vous ne pourriez plus retourner dans votre monde. Alors tu as un rictus et tu commences à réfléchir à comment vous sortir de là. Disant à Daisy « Si elle sait fermer cette brèche, elle peut nous ramener. Faut la trouver »

Mais tu n’as vraiment le temps, le maître des lieux avait pris sa décision sur votre sort et il n’était pas des plus joyeux. Vous alliez servir d’offrande. Tu n’en avais aucune envie après tout, tu avais encore pas mal de chose à vivre. Ou tout simplement, tu n’avais juste pas envie de mourir dans cet endroit et surtout si c’est le double de ton compagnon qui t’y emmenais. Mais, il n’est pas question non plus de foncer dans le tas, surtout ici dans cette pièce avec le grand manitou qui était présent. Alors, tu fais signe à Daisy de laisser faire, essayant de lui faire comprendre d’attendre avant d’agir si elle comptait le faire. Tu regardes Jake, Richard, ainsi que Daisy et Maggie.

Tu laisse les gardes, tu les laisses te guider, vous faire sortir de cette pièce et quand le moment te semble approprié, tu lances ton coude en arrière pour frapper le garde au ventre dans un premier temps, pour ensuite les remonter au visage. Alors que tu dis aux autres « On, se s’en va. Faut trouver cette sorcière rouge. » Les convaincre serait peine perdu et puis vous aviez déjà essayer cette technique avec le grand malabar bleu sans succès. Alors, il était nullement question pour toi de négocier avec ses gardes autant leur mettre une racler et trouver celle qui était capable de comble la brèche, car si elle pouvait faire une chose pareille, elle pouvait sûrement vous renvoyez chez vous.

Shacka House Of (M)

résumé:

Le membre 'Ororo Munroe' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé Mystère' : 4

I saw a blue man

Groupe 1

Madness is somewhere inbetween chaos and having a dream.

Game over. Elle l'avait su dès qu'elle avait fait l'erreur de plier l'échine, Skye. Ce "ô grand Apocalypse" n'allait certainement pas leur tendre la main pour les aider à se sortir de là. Mais au moins, c'était bien tenté. De toute façon, qu'est-ce qu'il y avait à attendre d'un mec qui se prenait pour Dieu ? Daisy se mordilla la lèvre, alors que l'homme bleu-gris sommait des ordres à ses subalternes. Ororo s'adressant à elle à la suite, lui faisant hausser les sourcils. Qui que ce soit cette sorcière rouge, il semblerait en effet qu'elle soit la responsable de leur arrivée dans ce monde. Ou au moins, qu'elle sache quoi faire pour les aider à se sortir de là. Le problème étant quand même que si la madame inconnue travaillait pour le seigneur tout bleu, cela allait être coton pour la convaincre de les aider. Encore fallait-il échapper aux sacrifices pour ça.

Skye hochait la tête, donc, comprenant qu'Ororo avait un plan en tête. Suivant son amie -pouvait-elle l'appeler comme ça en fait ?- alors que tout le monde se faisait entraîner par un Garde pour l'heure du goûter. Elle détourna un instant le regard, la hackeuse, s'inquiétant de l'état de Jake et de l'homme qui avait eu l'idée d'implorer Apocalypse en premier lieu. Les deux garçons étaient les plus mal en point, et Daisy se demandait combien de temps ils allaient pouvoir tenir. Jusqu'à ce que, tout d'un coup, la Tornade qu'était Ororo mette son plan à exécution. Un enchaînement d'action dont la geek n'avait pas connaissance, mais qu'elle suivait à la lettre. Sans réfléchir, parce qu'il n'était plus l'heure de parlementer, Daisy se mit à courir vers la sortie.Suivant l'action entamée par Ororo pour se sortir de là. « Venez par ici ! » fit-elle en prenant l'avance et en s'adressant aux autres. Dommage qu'ils n'avaient pas d'idées précises pour rechercher la sorcière rouge. Les plans, ça existait pas dans ce monde de pacotille ? Ou un gps ? Non ? « Essayons de retrouver l'autre garde pour qu'il nous mène à la sorcière ! » Yay, une course poursuite dans un manoir. Skye aurait pu adorer se la jouer Tomb Rider si elle ne craignait de rester bloquer dans un univers totalement pété du ciboulot. Joie et bonheur.

(c) DΛNDELION

Résume, résumons, résumez bruh: