✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
Invité
Invité
Jeu 9 Juin - 22:42
Course poursuite
Kurt & Nicholas
▬
Entre éviter la garde rouge, le SHIELD et la police je n'arrêtais pas de courir, je ne cessais de fuir, voilà en quoi se résumé ma vie. Etre sur mes gardes, fuir, voler, ruser, chercher un moyen de comprendre pourquoi la garde rouge voulait tant m'enfermer ? J'étais complètement usé. Au début que je n'étais qu'un simple dealer, certes voler et faire du trafique de drogue n'avait rien de légal j'en été bien conscient, de temps à autre j'acceptais de me salir les mains pour HYDRA. Je n'ai jamais été attaché à HYDRA mais si j'acceptais de commettre un meurtre je pouvais être très bien payer, alors oui il m'arrivait de faire du sale boulot, puis je connaissais aussi Gabriella, d'ailleurs c'était grâce à elle que j'avais connus HYDRA. Si j'ai fini en prison ce n'est pas à cause d'un meurtre, d'ailleurs ça ne concernait en rien HYDRA, j'avais juste bien raté mon coup, disons qu'on m'avait attrapé la main dans la sac. Il arrive un moment ou l'on se fait toujours attraper, on cesse de fuir, on arrête de vivre comme un vagabond et j'avais fini en prison. Puis les migraines et les saignements de nez étaient arrivés, je ressentais l'humeur des prisonniers, des humeurs qui me rendait fou de rage et de colère, il y avait aussi de la tristesse et le tout me rendait complètement dingue à un point que je finissais par m'évanouir, parfois ça finissait en convulsion. A l'infirmerie de la prison j'ai fais exploser un verre par la pensée, puis plus le temps avait passé, plus je m'étais rendus compte que selon mes humeurs il arrivait quelque chose, le plus souvent ça concerné le feu, l'eau, l'air, la terre ou les humeurs, l'énergie, enfin l'esprit. Alors que j'étais en isolement en prison, c'était la que des agents de la garde rouge étaient venus me chercher, j'avais crus que c'était pour répondre à mes questions, je m'étais bien trompé. Comprenant que j'allais être de nouveau enfermé dans un lieu bien pire que la prison d'ou je venais de sortir. C'était une immense prison souterraine, quand j'avais vue les corps agonisants dans des cellules de suite mes pouvoirs étaient revenus que plus puissants et incontrôlables, j'avais réussi à m'échapper in-extremis et depuis j'errais sur Genosha.
Alors que je marchais dans le centre ville de Hammer Bay, j'avais du mal à me concentrer sur un point fixe, il faisait chaud, j'avais faim et soif, puis la fatigue n'arrangeait rien, je ne savais pas combien de temps j'allais encore tenir à rester sans cesse un vagabond. En général c'est au moment ou l'on fait le moins attention qu'il y a le plus de risque, mais j'avais beau tenté de me concentrer, rien à faire, j'étais mal, je voulais enfin dormir sur mes deux oreilles et alors que j'étais perdu dans mes pensées, j'aperçus un groupe de policier faire une ronde. Je devais faire de suite demi-tour seulement il était déjà trop tard, on m'avait remarqué, par mon manque de vigilance j'ai attiré les regards des policiers. Au début je marchais dans le sens inverse, lorsque je commença à entendre des pas rapides, des transmissions de radio, je compris que les policiers ne devaient pas être loin, cette fois-ci plus le choix il était temps de fuir. Tentant d'esquiver les passants je courrais à vive allure, je tournais dans une rue ou je pouvais y trouver beaucoup de monde. Me créant un passage dans la foule, espérant m'y perdre, j'aperçus un autre groupe de policier arriver en renfort.
Run, baby, run, baby, run. Run from the noise of the street and the loaded gun. Too late for solutions to solve in the setting sun, so run, baby, run, baby, run
Les écouteurs vissés dans les oreilles, Kurt avançait d’un bon pas, le cœur léger. Il faisait un temps magnifique depuis quelques jours. L’hiver était loin derrière, les giboulées du printemps enfin passées, et voici que s’annonçait l’été, la meilleure saison de l’année. Les jupes des filles commençaient à raccourcir alors que les décolletés, eux, s’agrandissaient proportionnellement. On mangeait des glaces, des milk-shakes, on buvait des sodas à la terrasse des cafés ou dans les parcs… Bref, on approchait de la saison que le jeune homme préférait, et cela lui mettait du baume au cœur. Ce jour-là, il avait décidé de faire quelques achats en ville. Il s’était toujours promis d’utiliser son premier salaire pour acheter un cadeau à Awen et Anna, en remerciement de tout ce qu’elles avaient fait pour lui. Il aurait pu mettre de côté pour envisager la location d’un appartement, mais ça, c’était encore bien trop abstrait pour lui – signer un bail, souscrire une assurance, acheter des meubles, faire installer le téléphone, internet, utiliser la machine à laver et se faire à manger… non, c’était encore bien trop tôt pour ça. Vivre chez maman avait quand même de bons côtés. Il n’était pas prêt à tirer un trait sur ces avantages. Donc, des cadeaux ! Seulement, voilà : Kurt était aussi expert en femmes qu’en point de croix. Autrement dit, il n’y connaissait absolument rien. Que pouvaient-elles bien désirer ? Il ne pouvait tout de même pas apporter des fleurs, ça ne suffirait pas. Il fallait quelque chose de plus important, de plus grand, de plus précieux. Un bijou ? Un vêtement ? Kurt s’imaginait mal faire du shopping dans les boutiques de prêt-à-porter féminin. Prochaine idée… Une boutique après l’autre, le jeune homme évaluait les chances qu’il avait d’y trouver un bon cadeau. Rien ne le satisfaisait jamais. Il voulait quelque chose qui les étonnerait, d’utile ou juste d’agréable, mais qu’elles n’auraient jamais eu l’idée de s’offrir elles-mêmes. Il esquivait les passants dans ces rues bondées, jetant un coup d’œil à chaque vitrine tandis que la musique inondait ses oreilles, sirotant de temps à autre son gobelet de Coca-Cola. La devanture d’une boutique de décoration attira tout à coup son attention et Kurt fit halte, observant les produits exposés : des horloges en forme de chat, du linge décoré de jeux de mots, des portes-brosse à dents en tire-bouchon, une râpe à fromage en forme de danseuse russe… C’était plutôt original. Il y avait sûrement là de quoi égayer le bureau d’Awen et Anna à la Garde Rouge. Kurt s’avança vers la porte quand un rhinocéros lancé au galop le heurta de plein fouet. Le couvercle de son gobelet sauta et le Coca-Cola se répandit sur ses vêtements et sur ceux du boulet de canon – un homme, à en juger par sa carrure et les habits qu’il portait. Les écouteurs tombèrent de ses oreilles et il perdit à moitié l’équilibre.
« Oh ! hé, faites attention ! »
Et voilà, il était trempé et collant de sucre, et l’autre n’était pas en meilleur état. Bonne pâte, le jeune homme n’en voulait pas à ce type ; au contraire, il essaya vaguement d’essuyer le Coca qui coulait sur son haut.
« Mince, vous en avez partout, maintenant ! Attendez, venez par ici. Ils auront de quoi nous essuyer là-dedans. »
Et sans même lui demander son avis, il poussa l’homme dans la boutique de linge, sans remarquer les agents de police qui passaient en courant dans la rue, avec l’air de chercher quelque chose. Affichant son plus beau sourire, celui qui lui valait un bonbon en plus lorsqu’il était encore à l’orphelinat, Kurt se dirigea vers le comptoir en poussant l’homme devant lui. Il avait la main couverte du liquide sirupeux qui lui collait aux doigts ; son t-shirt portait une tâche magnifique évoquant un trou noir. S’il fallait acheter un ou deux torchons, pas de problème ; il aimait bien celui qu’il avait vu en vitrine, avec la devise « Tronche de cake » brodée dessus. Se présentant à la jeune femme derrière la caisse, il afficha une moue contrite qui eut tout de suite l’effet escompté.
« Nous avons eu un petit accident, expliqua-t-il brièvement. Pourrait-on vous emprunter quelque chose pour se nettoyer, s’il vous plaît ? »
La jeune femme acquiesça avec un sourire amusé, et disparut quelques instants dans l’arrière-boutique. Ravi, Kurt se tourna vers le rhinocéros-boulet-de-canon et l’observa d’un œil intéressé.
« Désolé pour le Coca. Mais vous savez, pour faire votre jogging, il y a le parc. C’est plus pratique et il y a moins de monde à percuter. Enfin, j’espère que vous n’étiez pas pressé… »
Parce que l’homme ne portait pas vraiment une tenue faite pour courir, et Kurt avait beau être jeune et un peu naïf sur les bords, il n’était quand même pas stupide. Et si l’autre avait un rendez-vous important, c’était dommage de le gâcher à cause d’un Coca-Cola…
(c) AMIANTE
Invité
Invité
Lun 27 Juin - 14:41
Course poursuite
Kurt & Nicholas
▬
Me faufilant parmi les passant, je ne pouvais m'empêcher de jeter un regard en arrière pour voir ou était les policiers. A force de courir sans vraiment regarder ou j'allais, je fini par heurter une personne ce qui eu le don de me faire tomber sur les fesses. M*rde ce n'était vraiment pas le moment, en heurtant ce jeune homme sa boisson s'était déversé sur lui et je compris rapidement que c'était du coca-cola en voyant le liquide sucré et collant. Le jeune homme râla tout en tentant de retirer les tâches de sa chemise en vint. Me relevant je remarqua qu'à mon tour j'étais couvert de soda, ne sachant quoi faire j'eu à peine le temps de réagir que le jeune homme m'attrapa pour rentrer dans un magasin, en rien je ne m'y attendais, j'aurais crus qu'il m'en aurait voulut, mais non, bien au contraire il voulait aussi m'aider à retirer le sucre de ma chemise. Je détournais la tête cherchant les policiers du regard, j'avais bien peur que cette fois-ci ils arrivent vraiment à me capturer. Alors que j'avais été légèrement bousculé par le jeune homme en question pour rentrer dans le magasin de vêtement, je n'eu pas le temps de regarder davantage en arrière que je suivis automatiquement le jeune homme. Les policiers avaient sans doute du continuer leur course, bientôt ils se rendraient compte que je n'étais plus dans le centre ville, comme d'habitude ils lanceraient des vadrouilles et cette nuit j'aurais plutôt intérêt à bien me cacher pour sauver ma peau. Entrant dans la boutique, je ne m'attardais pas vraiment sur l'intérieur du magasin, je tentais plutôt de me faire petit. Finalement le jeune homme demanda afficha un magnifique sourire (sans un sourire bien efficace pour charmer les dames), puis demanda de l'aide à une vendeuse qui approuva de suite. J'arquais un sourcil devant la débrouillardise de ce jeune homme, c'est bien rare de croiser une personne de bonne humeur, d'habitude tout le monde tire la tronche et râle pour un rien. Finalement c'est moi qui afficha un sourire aux paroles du jeune homme, alors que celui-ci venait de reprendre la parole, allant même à s'excuser pour le coca-cola.
-C'est moi qui est désolé je n'ai pas regardé ou j'allais et non je ne faisais pas de jogging, pour ce qui était du fait que j'étais pressé, disons plutôt que j'ai vue personne et en rien je ne voulais lui parler .... Une personne assez collante, pire que le soda
La vendeuse revint avec de quoi retirer les tâches, à mon avis cela ne serait pas suffisant pour retirer tout le sucre, le coca-cola ça colle vraiment, d'ailleurs j'en avais même le torse collant sous mes vêtements ce qui était inconfortable. Pendant que je tentais de retirer la tâche de coca-cola je repris la parole.
-Enfin encore désolé, j'imagine que vous étiez occupé à faire mieux avant que je vous heurte, je vous dois un soda
Run, baby, run, baby, run. Run from the noise of the street and the loaded gun. Too late for solutions to solve in the setting sun, so run, baby, run, baby, run
La jeune femme avait apporté des serviettes de toilette flanquées de dinosaures bleus et vert. Kurt essuya le Coca qui maculait son t-shirt. Il était bon pour le passer à la machine à laver – par chance, il avait une mère attentionnée pour qui il était hors de question de voir son fils se promener sale. L’homme qui l’avait bousculé lui retourna ses excuses. À sa façon de parler, ainsi qu’à son allure générale, Kurt devinait qu’il ne s’agissait pas de quelqu’un d’aisé. Pourtant, il faisait montre d’une certaine politesse. Peut-être encouragée par la courtoisie de Kurt lui-même, sans doute, mais il avait le mérite de reconnaître ses torts. Le jeune homme le regarda en coin, intrigué. Il ne s’était pas attendu à trouver quelqu’un de « ce genre » dans une rue commerçante de Hammer Bay ; il les voyait plutôt dans les quartiers les moins favorisés, ou carrément à la rue. Poser la question directement aurait été malvenu, néanmoins. Kurt préféra passer sur le sujet, qui continuait néanmoins de l’intriguer.
« Ah ! oui, collante ! Je vois, dit-il avec un hochement de tête appréciateur. Votre ex, c’est ça ? »
L’homme allait sûrement lui sortir l’explication d’une pension impayée ou de quelque chose comme ça. Plausible, après tout, même si ça ne justifiait pas de renverser tous les passants pour se frayer un chemin, le plus vite possible. De nouveau, Kurt étudia son vis-à-vis des pieds à la tête. Il aurait eu besoin d’un bon bain. De manger à sa faim, aussi. Ça devait être plus sérieux qu’une pension alimentaire. Une dette, peut-être ? De jeu ou de stupéfiants ? Une fois de plus, il garda ses interrogations pour lui, conscient de l’indiscrétion qu’elles pouvaient revêtir. Mais si cet homme était en danger, ne devait-il pas lui venir en aide ? Après tout, il était désormais membre de la Garde Rouge, le corps d’élite du S.H.I.E.L.D. Protéger les gens de faits aussi prosaïques qu’une dette de jeu faisait-il partie de ses prérogatives… ?
« Enfin encore désolé, reprit l’autre. J’imagine que vous étiez occupé à faire mieux avant que je vous heurte, je vous dois un soda. – Oh, oui, j’étais en pleines investigations ! confirma Kurt, l’air grave. Je cherche un cadeau pour ma mère et ma sœur. Vous n’imaginez pas la difficulté que j’ai… Cela dit… je ne dirai pas non à un nouveau Coca. »
Les températures chutaient vite, sur Genosha, mais grimpait encore plus vite en été. Sitôt que le printemps pointait le bout de son nez, t-shirt et mini-jupes fleurissaient sur l’île. Kurt adorait cette période de l’année. Il faisait alors une chaleur à mourir en ville, mais c’était le temps idéal pour faire du shopping : tout le monde préférait la fraîcheur de la plage à la dureté du béton et du verre. Les rues se vidaient des badauds, les magasins désemplissaient, et l’on pouvait enfin accéder aux caisses sans avoir à patienter des heures durant. Quand le surplus de Coca fut épongé, et que la tache fut réduite à une marque sombre sur son t-shirt, Kurt redonna la serviette à la vendeuse, accompagnée d’un sourire désarmant de spontanéité. La jeune femme lui retourna ce sourire et offrit presque aussitôt de lui montrer quelques uns de ses trésors – elle avait beau être serviable, elle ne perdait toutefois pas le nord. Il y avait dans la boutique assez de gadgets inutiles pour menacer sérieusement la bourse de Kurt : des supports de tablette, des oiseaux mécaniques, des marques-pages en forme de cadavre, des protections de doigts pour la découpe des légumes, et même un jeu de mini-golf pour toilettes qui ne le laissa pas indifférent. Difficile de faire son choix. S’il n’en avait tenu qu’à lui, Kurt aurait probablement acheté toute la boutique.
« Qu’en pensez-vous ? demanda-t-il en se tournant vers l’inconnu. Ces torchons ? Oh, ce support de couteaux de cuisine ! Ah, non, ça : un poing automatique ! Je suis sûr qu’Anna va adorer celui-là ! »
Le regard de la vendeuse exprima son entière désapprobation, mais elle se garda bien de commenter. De toute façon, elle n’avait pas la moindre idée du caractère d’Anna et d’Awen. Les deux jeunes femmes étaient loin de préférer les talons aiguilles aux sports de combat. Un poing automatique était le cadeau idéal pour Anna. À moins que ce ne fut vraiment trop inutile… Après tout, elle préférerait peut-être un cadeau drôle et utile. Un indicateur de température de thé, à tremper dans sa tasse ? Ou un journal intime, pourquoi pas ? Indécis, Kurt considéra le tout avec une moue ennuyée. Quel genre de cadeaux les filles aimaient-elles ? Ou, plus exactement, quel genre de cadeaux les filles comme Awen et Anna aimaient-elles ?
« J’avoue que j’en ai aucune idée. Je devrais peut-être me contenter de fleurs, non ? Ou bien des chocolats ? Ou un parfum ? Un vêtement ? Qu’est-ce que vous offririez-vous, à votre mère et à votre sœur ? »
Avoir un homme plus âgé sous la main l’aiderait à trouver le cadeau idéal. En définitive, leur rencontre s’avérerait plutôt utile, en dépit du Coca Cola gaspillé.
(c) AMIANTE
Invité
Invité
Dim 21 Aoû - 14:34
Visiblement avec le jeune homme, nous nous étions réfugiés dans un magasin on l'on vendait des articles assez loufoques, enfin, au moins la vendeuse avait le mérite d'être gentil et serviable. Alors que j'essuyais mon t-shirt tâché de coca-cola, je me dis que dorénavant j'allais devoir me balader avec un t-shirt avec une magnifique tâche, enfin c'était mieux que sortir torse nue, bon il faisait chaud, mais je préférais garder des "choses" pour moi, ce que je pense prête à confusion ... Lorsque le jeune homme repris la parole j'eu un léger rire.
-Oh oui, d'ailleurs à ce stade la ce n'est plus de la colle mais de la glue
Je ne voulais pas rentrer dans les détails, je n'allais pas m'amuser à dire qu'en rien je n'étais poursuivi par une jeune femme ou une ex-copine en colère, mais plutôt par des agents fédéraux, ça finirait bien mal pour moi et si j'avais courus en pleine rue en bousculer des personnes, c'était justement pour éviter les ennuis. D'ailleurs je m'excusais à nouveau auprès du jeune homme, il avait sans doute mieux à faire ... Heureusement lorsque celui-ci repris la parole j'eu un sourire et j'hochais la tête. Je voyais bien que celui-ci me regardait de la tête au pieds, je n'avais pas l'allure d'un homme lambda qui mène une vie paisible heureusement j'arrivais parfaitement à cacher mes émotions, je pouvais afficher un visage neutre alors qu'au fonds de moi, j'étais mort de peur et plus qu'en colère ... Voir triste et à bout. Je me regardais à mon tour de haut en bas avec un léger sourire.
-Dur journée on va dire
Finalement celui-ci me dit qu'il était en ville pour chercher un cadeau pour sa mère et sa soeur, d'ailleurs les vendeuses devaient avoir l'ouïe fine, car celles-ci venaient de revenir comme des vautours. Je roulais des yeux devant ce comportement des plus lamentables avant que le jeune homme ne me montre des articles.
-Un torchon ? ça veut pas dire "maman nettoie mieux la cuisine"
Dis-je avec un léger rire. Quand à l'autre article je ne connaissais pas le caractère de sa soeur, je savais aussi que chaque personnes était différente, elle avait peut-être un côté garçon manqué J'eu une légère grimace devant le support à couteau ... Ouais c'est un peu sexiste tout ses articles. Puis celui-ci repris la parole et je réfléchi.
-Bien les fleurs fanent ... D'ailleurs je me demande pourquoi les femmes aiment tuer des fleurs même si le mot est assez fort, le chocolat tu auras le droit à "j'ai grossis à cause de toi"
Dis-je avec un léger rire. Bon après ce n'était pas comme ci j'étais un professionnel pour donner mon avis, car lorsque le jeune homme me demanda ce que j'aurais offert à ma mère, je n'eu aucune réaction ....
-Ma mère ... Des cigarettes, que des cigarettes et je n'ai pas de soeur enfin c'est une autre histoire, non pour votre mère ou votre soeur ça va dépendre du budget mais je pense qu'un parfum ou la dernière palette de maquillage à la mode pourrait plaire
Contenu sponsorisé
Course poursuite ft. Kurt Wagner-Darkhölme
✦ There's no crying wolves now 'Cause the truth has settled in ✦