Son pouvoir réside en son génie. On le déclare souvent comme le plus grand génie vivant sur Terre. Il apprend à une vitesse phénoménal et crée toute sorte de technologie de plusieurs années en avance sur son temps.

◊ Pseudo : Ivy, ROGERS., ça n'a pas changé depuis la dernière fois. ◊ Age : 24. ◊ Pays : ici ◊ Inventé, Scénario, Marvel : Marvel & PV. ◊ Je souhaite être parrainé.e : non ◊ J'ai découvert le forum grâce : dites-nous comment vous nous avez découvert ◊ Multicompte : Vi ! A chaque fois je me dis que ce sera le dernier mais... :v ◊ Un dernier mot : Tony est un de mes personnage favori ever. J'espère être à la hauteur.  

Que vous soyez des amis proches ou non, jamais Tony ne vous parlera de son enfance. Pourtant, c'est bien là la source de tous ses ennuis.

Il faudrait commencer par le secret de sa naissance. Certains diront qu'il est le fruit de l'amour entre Howard et Maria Stark, d'autres, plus intimes, diraient que Maria était quasi stérile et n'a jamais réussi à avoir d'enfant, qu'ils ont adoptés officieusement le bébé d'une ancienne agent du SHIELD et qu'ils sont partis pendant des mois avant de revenir, pour que personne ne remarque si oui ou non Tony était leur enfant biologique. Le problème ne vient pourtant pas encore de là pour Tony. Pour lui, le problème est ailleurs et viendra plus tard. Il est même fort probable qu'il ne se soit jamais soucié un seul instant de ses parents biologiques. Son père était Howard Stark, pour son plus grand malheur et sa mère était Maria Stark, pour son plus grand bonheur.

Il n'a jamais manqué de rien, de matériel en tout cas. Il est né dans une famille riche et réputée, qu'importe qu'il soit né des Stark ou d'autres personnes, au final c'est auprès des Stark qu'il est vraiment né. Il n'a jamais eu à connaître la faim, le froid, la peur d'un lendemain. D'apparence il ne manquait rien, toujours bien habillé, parfois même trop bien habillé pour un bébé, un bambin, puis un enfant qui ne mettrait ces vêtements qu'une à deux fois avant de grandir.

Pourtant, Tony a toujours manqué d'une chose ; un père. Il a manqué d'affection paternel, de reconnaissance, de présence. Dès lorsqu'il fut assez grand pour aller à l'école. C'était comme s'il n'était jamais assez bien. Sa mère compensait mais dans la société dans laquelle il vivait, on ne montrait pas beaucoup ses sentiments, ce n'était pas une chose normale pour des personnes de la haute société. Alors c'était en secret.

Quel âge avait-il, selon vous, lorsqu'il a goûté à la première fois à de l'alcool ? 15 ans avec les amis pour tester et s'amuser ? 16 ans peut-être ? 18 ans pour fêter les anniversaires ? Il avait 12 ans. 12 ans quand son père lui mettait un verre de bourbon dans les mains et le forçait à boire.

Anthony n'était jamais assez bien pour Howard Stark. Il comprenait bien vite qu'il vivait dans l'ombre d'un homme mort depuis des décennies ; Captain America. Son père en parlait souvent. Trop souvent. Il se répétait, il radotait. Anthony en était bien vite au point où il en savait plus sur Captain America que sur son propre père.

Depuis l'âge de six ans, Anthony a une fascination pour la robotique. Pour la technologie. Pas pour les armes que fabriquaient son père mais plus pour la robotique et tout ce qui pouvait être inventé encore. Il entendait souvent les proches de son père dire qu'il n'y avait plus grand chose à inventer à leur époque et Anthony trouvait qu'au contraire, ils n'étaient qu'au début de quelque chose. Il construisit son propre robot à six ans. Evidemment, rien de bien extraordinaire, rien qui ne fonctionnait. C'était plus une maquette avec des bouts de ferrailles trouvés dans le bureau de son père, qu'il avait réussi à prendre. Que le robot ne fonctionne pas n'importait pas sur l'instant, qu'il ne sache pas ce qu'il fallait pour qu'il fonctionne non plus. Non, c'était qu'à partir de petits bouts de ferrailles, il avait réussi à construire un autre bout de ferraille mais qui ressemblait à quelque chose. Certains avaient les lego et lui se passionnait avec ça.

Il finira en pension, dans une école pour génies. Il ne rentrait que pour les vacances. Être privé de son domicile était difficile autant que libérateur, à cette école il pouvait laisser exprimer sa créativité, il pouvait apprendre. L'école demandait beaucoup d'efforts, mais venait le moment où pour Tony, ce n'était pas assez ; il s'ennuyait. Ses robots passaient de bouts de ferrailles à des robots fonctionnels lorsqu'il était à cette école. Lorsqu'il crée son premier robot, son père n'aura pas eu un mot gentil à son égard, juste un murmure, un "tu peux mieux faire". Qui sonnait comme un "merci de m'avoir fait perdre mon temps pour ça".

Devant ce manque de reconnaissance paternel, Tony grandira avec ces insécurités. Rien n'était jamais assez bien. Il devait faire mieux, arrivant au point où même s'il dépassait de loin tous les autres élèves de son école, ce n'était toujours pas assez. Au point où qu'importe les classes qu'il pouvait sauter, ce n'était pas assez. Ce n'était jamais assez.

Malgré ses réussites scolaires, son père le traitait de feignant. Toujours ce "tu peux mieux faire", "arrête de te reposer sur tes acquis". Il aurait pu finir à un moment par tourner le nez à son père et il avait fini par le faire mais au début de l'adolescence encore, il était dans cette phase où il voulait à tout prix plaire à son père et satisfaire ses attentes, jusqu'à se rendre compte que ses attentes étaient trop haute pour que n'importe qui dans l'univers puisse les dépasser. Parce que si intelligent pouvait-il être : il n'était pas Captain America. Tony n'était pas un petit gars qui démarrait de rien comme Steve Rogers, Tony n'était pas un produit scientifique. Il était juste Tony, celui qui avait toujours tout eu en claquant des doigts.

Il commençait à se rebeller à mesure qu'il avançait dans l'adolescence. L'alcool n'aidait pas, son père l'ayant forcé à boire depuis ses 12 années, il allait de soi qu'il ne pouvait pas encaisser comme n'importe quel être humain l'aurait fait. N'importe quel adulte, l'aurait fait. Il commençait à boire. A sécher les cours. A se montrer ouvertement arrogant, provocateur. Hautain. Celui qui buvait devenait imbuvable. Il commençait à réduire son entourage.

Il fréquentait les soirées à un âge où il devrait encore être entrain d'apprendre ses leçons et passer ses examens. Il disait haut et fort qu'il n'avait de toute façon plus besoin d'apprendre, que même ivre mort il pouvait passer ses examens. Ce qu'il faisait mais la gueule de bois.

Il prit son indépendance relativement jeune. Profiter de l'argent des parents, s'enfoncer dans l'alcool, dans les soirées allant parfois jusqu'à toucher à la drogue. Il connaissait des femmes, des hommes. L'adolescence fut synonyme d'explosion, d'excès. D'un gamin devenu assez grand pour comprendre qu'il n'aurait jamais la satisfaction paternel et qui voulait s'en foutre. Qui croyait se convaincre qu'il s'en foutait. Il s'éloignait surtout de sa mère.

Il avait une marraine, fort heureusement présente. Margaret Carter. Il n'avait pas beaucoup d'occasions de la voir mais il l'aimait beaucoup, quand bien même elle lui rappelait le Captain America tant chéri par son père. Peggy savait comment lui parler. Elle savait trouver les mots. Cela ne durait qu'un temps mais elle savait le guider là où sa propre mère n'y parvenait pas.

Il avait parfois des périodes de sevrage où il s'enfermait quelque part ou retournait chez ses parents pour les vacances. Se mettre une mine devant le paternel était proscrit mais ce n'était pas pour son père qu'il tenait face à son alcoolisme, c'était pour sa mère. Il revenait chez eux pour les périodes de fêtes, surtout.

1991. Novembre.

Il était arrivé tôt chez ses parents cette fois là. Ses parents avaient un bal de prévu, des occupations dont il se passait bien et dont sa réputation faisait qu'il ferait mieux d'éviter ces endroits un petit moment.

Ses parents ne rentreront jamais.

Il ne saurait pas dire ce qui l'a blessé le plus. Savoir que jamais son père ne lui aura donné la moindre approbation. Savoir qu'il n'aura jamais pu confronter réellement son père, car malgré le conflit ouvert depuis l'adolescence, jamais Tony n'avait osé dire tout ce qu'il pensait à son père. L'amour de sa mère, son soutien. Son amie la plus fidèle qu'il avait tant déçu ces dernières années.

S'il croyait avoir touché le fond avant avec ses quelque soirées et sa picole chez lui, ce fût la mort de ses parents le pire déclencheur. Il se retrouvait seul. Avec tellement d'argent en héritage en plus de la Stark Entreprise qu'il ne savait pas quoi en faire. Il tombait dans l'alcool comme on tombe dans un trou sans fond. A ne plus savoir où il se réveillait, quel jour on était, qui était dans son lit. Difficile de le faire émerger pendant des mois, à croire qu'il ne vivait plus que de soirées. Il maigrissait à vu d'oeil, finissait parfois - souvent - ses nuits dans la rue à mendier. Pas par manque d'argent mais par manque de repères. S'il maigrissait, c'est que sa dépression en était à ce qu'il soit pour lui plus simple de penser à boire qu'à manger.

Il a fini par s'en sortir, par petit pas. Il ne saurait plus expliquer comment il a pu faire exactement. L'alcool, il y était déjà accro avant mais arrivait à avoir une certaine maîtrise, sachant trouver les moments mais la mort de ses parents avait fait qu'il avait perdu toute forme de maîtrise.

Il avait toujours son intellect. Il essayait toujours de créer des choses. Petit à petit l'alcool a été remplacé par le café. Si déclencheur il y a eu, il ne saurait plus expliquer lequel exactement. L'aide de Peggy, peut-être. De Jarvis. De ces rares personnes restant dans son entourage qui ont eu le courage de lui remonter le slip.

Il a repris l'affaire familiale. Il était temps qu'il s'affirme et grandisse. Il avait déjà plus ou moins travaillé là-bas mais c'était à lui désormais. Il faisait confiance à l'entourage de son père, se disant que si ceux-ci étaient dans son estime c'était qu'ils étaient fiables, vu la paranoïa de son père.

Cela a fonctionné. Plus ou moins. Parfois il buvait quelque verres et c'était la porte ouverte à tous les excès. Cocaïne, notamment. Ca, cela devait rester secret mais dans toutes les soirées où il allait, il y en avait, comment aurait-il pu l'éviter ? La seule chose qu'il parvenait à éviter était la prison, parce qu'il savait qu'aux Etats-Unis d'Amérique, pays de liberté, quand on était riche comme il l'était, on allait jamais en prison.

Il avait toujours ses rêves de gamin. Il tentait de s'y raccrocher comme il pouvait. Construire. Créer. C'était peut-être cela aussi qui l'avait sauvé, être plus utile sobre qu'ivre. Pouvoir créer des robots puis creuser un peu plus avec des logiciels. Reprendre ses maquettes d'enfants rêveur. Il avait grandi trop vite, trop tôt, il n'avait pas su ni pu profiter de son enfance comme il aurait du le faire. C'était la seule chose qu'Howard Stark aurait du exiger de son fils, avoir une vie normale. Avoir une enfance normale.

L'alcool sera toujours un sujet tabou. Il estimera avoir arrêté par sa propre volonté mais les choses n'ont jamais été aussi simple. Il y a toujours eu la tentation. Ce "juste un verre" qui lui traînait en tête. Il s'enfermait de plus en plus dans son laboratoire, il évitait les soirées, se détournait des amis de beuveries qu'il s'était fait pour se concentrer sur son travail. Mais ce furent surtout des armes qu'il faisait, surtout de la paperasse pour la Stark Enterprises. Il faisait confiance à l'entourage paternel pour continuer leur affaires pendant qu'il signait et faisait le paon, le beau-parleur devant n'importe qui étant assez élevé dans la société pour vouloir ses armes.

A trop faire confiance, on lui marchait dessus sans qu'il ne s'en rende compte. Il n'avait pas assez surveiller ses arrières. Cela commençait par une attaque dans un pays alors qu'il était en voyage. Des morceaux de shrapnel dans sa peau, nombreux retirés mais pas tous. Devoir survivre en milieu hostile pour la première fois de sa vie, lui qui avait toujours eu. Devoir connaître la peur de l'incertitude d'un lendemain, du froid, de la faim. De se dire que personne ne viendra le chercher. Créer une armure à partir de rien, s'enfuir. Débarquer en plein milieu du désert à moitié mort par les éclats de bombes entrés dans sa peau et par la chaleur du désert Afghan.

Il sera retrouvé et sauvé, à moitié. Mais il mit un moment à comprendre la supercherie au sein de son entreprise. Il construisait une véritable armure, pour se protéger. Armure qui tentait d'être commercialisée dans son dos.

Après avoir démasqué les individus, il se décidait à refaire un vide au sein de l'entreprise. Revoir chaque cv. Sa paranoïa déjà présente, s'agrandissait. Elle ne faisait qu'accroître dans son entourage. Il virait ceux qu'il soupçonnait, n'acceptait dans son entreprise ceux dont il était sûr. Il lisait véritablement chaque papier avant de signer, aussi. Pour continuer son changement, il changeait le nom de Stark Enterprise pour Stark Industries.

Une chose ne l'avait jamais trahi. En dehors de Rhodes, qui s'était hissé au rang de meilleur ami bien rapidement. Non, c'était la technologie qui ne l'avait jamais trahi. A nouveau il s'enfermait dans son laboratoire, il reprenait ses constructions mais il parvenait à leur fin cette fois, il aboutissait ses projets. Construction de robots, programmation. Allant jusqu'à créer une Intelligence Artificielle pour le guider, qui d'abord lui obéissait puis se mettait peu à peu à lui répondre à mesure qu'il la perfectionnait.

Peut-être était-ce le déclic final que cette attaque. Tony n'en ressortait pas indemne, ayant vu la mort de près et la risquant à chaque instant à cause d'un fragment de bombe resté dans sa poitrine, trop proche de son coeur pour être extraite et pouvant cause bien trop de dommages si elle ressortait. C'était comme s'il se fabriquait un nouveau coeur. Lumineux, bleu, mais qui l'aidait à survive. Il se donnait cinq années, plus ou moins. Il se donnait quelque années de vie avant que le morceau n'atteigne son coeur. Il ne faisait jamais que gagner du temps.

A inventer tout cela en si peu de temps, son égo en prenait un coup, au déplaisir de son entourage. Un tempérament plus moi-je qu'avant, plus prononcé. Tout aussi détestable toute fois. Les médias disaient que ça faisait parti du personnage.

Nouveau coup de massue : on sortait Captain America de l'eau et l'homme se faisait décongeler. Il était encore vivant. Un cauchemar qui semblait prendre vie. Il essayait de ne pas avoir d'a priori, mais son père l'avait décrit tel un dieu au point que le voir était forcément décevant. Il l'avait rencontré, le vieux soldat. Il n'était pas très futé, pas très intelligent. Pas complètement stupide non plus mais il savait qu'il n'aurait pas résolu une équation si rapidement que lui l'aurait fait, que ce n'était pas Captain America qui aurait construit le moindre robot ni crée la moindre intelligence artificielle. En fait, Rogers n'était qu'un homme parmi d'autres. Le rencontrer était forcément décevant, compte tenu de la barre vraiment très haute qu'avait placé son père. Il avait voulu se faire son propre avis tout en gardant ça à l'esprit et ça avait été décevant.

Il n'avait pas voulu faire parti des avengers. Il aimait être seul, faire les choses comme il l'avait décidé. Ses employés avaient réussis à le convaincre, Happy, son chauffeur et Potts, sa secrétaire. Mais il avait quand même joué le jeu, allant jusqu'à offrir un de ses manoir pour servir aux Avengers.

Il aidait les avengers, il aidait les citoyens à travers le monde. Chaque leçon était à prendre, ayant découvert là une véritable vocation bien plus palpitante que n'importe quelle soirée dont il ne se souviendrait pas des trois quart le lendemain de toute façon. Il aimait ce danger qu'il découvrait, il aimait cette tension, cette lutte. Il aimait être utile, voir qu'il comptait et importait tout en se disant que ce n'était pas assez, qu'il aurait pu faire mieux.

Il se donnait une image devant les autres, l'excentrique milliardaire, l'excentrique scientifique. Celui qu'on voit et qui amuse autant qu'il agace. Des remarques sarcastiques, de l'humour noir. Marque de fabrique, la provocation aussi. Des cocktails parfait pour empêcher les gens d'approcher trop près.

Il restait incroyablement seul et ça lui convenait. Rencontrer des gens quand il l'avait décidé et non quand on le décidait pour lui, vivre sa vie tel qu'il l'a décidé.

Ouvrir les yeux, se dire qu'aujourd'hui est un nouveau jour et qu'il a encore la chance d'être en vie. Voler entre Los Angeles et New York commençait à atteindre ses limites pour le scientifique. L'idée de Genosha lui semblait pertinente, il la croyait pertinente, assez pour s'y installer et installer la Stark Industries. Le décor était beau, reposant, on ne pouvait pas rêver mieux qu'un tel décor, c'était inspirant de se lever de son siège et regarder dehors ce qu'il s'y trouvait. Il avait parfois besoin de changements de décor, il avait parfois besoin de respirer l'air frais mais pas celui qu'il connaissait déjà. La découverte même à son âge était importante et c'était aussi ce qui permettait son esprit de rester éveillé. Il avait besoin d'inspiration et il faisait vite le tour.

Tout déménager ou presque, disons surtout que pour lui, Genosha avait cet aspect nouveau et changeant qu'il recherchait pour son inspiration et pour ses moments de calme tant recherchés. Un aspect sécuritaire aussi, confiant envers le SHIELD, autant qu'Anthony Stark peut avoir confiance en quelqu'un ou quelque chose tout du moins. Disons surtout qu'il y avait absolument tout à Genosha et qu'il pouvait encore découvrir des recoins de l'île là où New York n'avait plus aucun secret pour lui, pas plus que Los Angeles.

Il profitait du calme, quand il n'était pas là à écouter de la musique à fond dans son laboratoire à profiter de la solitude pour faire tout ce qu'il souhaitait faire. Il aimait ces instants là, même s'il était souvent pris d'insomnies le fatigant la journée et l'irritant et que le café en venait parfois à ne pas être suffisant, même s'il avait du finir par interdire quiconque d'approcher quand il dormait pour le laisser dormir quand il s'affalait sur son bureau. Combien de fois à se cacher dans une armure pour pouvoir piquer un somme sans être aperçu.

Le café est sa nouvelle drogue, une survie impossible sans ses litres de café par jour. Cela lui empêche de faire face à certains démons, ça lui permet de rester éveiller, trop de cauchemars lui prenant chaque nuit et l'angoissant. Il n'en parle à personne, ni à Happy, ni à Potts, ni à Rhodes. Rester éveille lui empêche de sombrer dans certains rêves qu'il aimerait oublier à tout prix. Parfois il n'y échappe pas malheureusement.

Il se sent toujours profondément mal sans en déterminer la cause. Toujours ce mal-être le poussant à se dépasser sans savoir jusqu'où aller. Il se contente de vendre des armes, de s'enfermer dans son laboratoire. Les conflits reviennent en dehors de la Stark Industries et il préfère ne rien écouter.

Il n'est pas un politicien et n'aspire pas à l'être un jour. Il laisse ça aux autres et se fait son propre avis sur la question. Il aide qui il faut. Il construit parfois quelque armes. Pour le commun des mortels lorsqu'on dit "armes" on pense forcément à quelque chose qui blesse une personne, lui pense plutôt à un type d'arme qui ne blesse ni ne tue mais restreint. Quelque chose à lancer dans la foule et qui forcerait tout le monde à s'arrêter, il creuse, il imagine. Mais il ne veut pas non plus abîmer la foule qui aurait ses raisons de protester alors il reste dans son coin. Il s'enferme.

Lui qui aimait pavoiser, aime de moins en moins sortir de son laboratoire, il rentre souvent chez lui dans la nuit lorsqu'il n'y a personne dans les rues, quand il est seulement décidé à rentrer chez lui, ayant tout le nécessaire dans son laboratoire.

Il est mitigé. Vouloir aider la population sans vouloir se mettre les politiques à dos et aider les politiques sans se mettre la population à dos. Il ne veut que le bien pour tous, il n'aspire qu'à la paix pour tous.

Ton personnage est à présent recouvert d'une jolie couleur et aussi affublé d'un rang qui le suivra telle une ombre! Ainsi considéré comme un membre à part entière de l'Île, il est alors nécessaire de s'attarder sur quelques formalités pour que tout se passe au mieux pour ton personnage. Pour commencer, il sera utile de passer dans le sujet des recensements, afin de lister les pouvoirs attribués à ton personnage, ainsi que de nous informer de son métier et son lieu de résidence. Ensuite, pense à poster la fiche de liens de ton personnage afin de te dégoter des voisins, collègues, de rencontrer pépé dans la rue d'à côté, mais aussi peut-être de rencontrer l'amour de ta vie ou ton ennemi.e juré.e.

En cas de doutes, tu peux demander à avoir un parrain ou une marraine pour te guider lors de tes premiers pas sur Genosha. Si tu cherches un contexte particulier de RP, n'hésite pas à aller faire un tour dans les recherches de partenaires. Tu peux également créer des scénarii ou pré-liens si l'envie te titille, pour pimenter l'histoire de ton personnage. Et en dernier lieu, tu peux venir flooder avec nous dans la partie prévue à cet effet et n'hésites surtout pas à nous rejoindre sur la CB pour t'enjailler avec les autres prisonniers de l'illusion!