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Not "just friend", you were right [Maddie]
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Sam 17 Juin - 12:02


❝ Not "just friend", you were right ❞
Madelyn & Mercy

”Mercy” a écrit:
Il faut que je te parler genre urgemment. J’invoque une réunion au sommet exceptionnelle et très putain de urgente ! On se retrouve chez toi, j’veux pas avoir des oreilles indiscrètes.

J’appuyais sur la touche d’envoi en serrant les dents. Mes mains tremblaient imperceptiblement. Bon, c’était fait. Je l’avais fait. Il n’y avait plus de marche arrière à envisager. Je devais lui parler. je devais parler à ma Maddie. parce qu'il y avait tant de choses qui s’étaient passé ces derniers temps. Tout s’était enchaîné à une vitesse folle et j’avais besoin d’elle. J’avais besoin de lui partager ça. Elle était ce qu’il se rapprochait le plus d’une meilleure amie, à mes yeux. Bah, je ne voulais pas employer ce terme parce que je le trouvais infiniment cliché. Enfin maintenant que j’avais un truc aussi cliché qu’un petit ami, je supposais que j’étais en mesure de dire “meilleure amie”. J’en savais trop rien et de toute manière ma tête était trop occupée savoir comment gérer ce surplus de nouveauté pour vraiment comprendre ce genre de nuances subtiles. Je pris une grande inspiration. Je n’étais pas sereine, vraiment. Je me demandais comment Maddie allait réagir. En fait j’avais peur qu’elle m’engueule pour ne pas lui en avoir parlé avant. Certes, je ne sortais officiellement-officieusement avec Amadeus que depuis… ben depuis hier en fait. Mais il y avait eu la scène du parc la semaine dernière. Puis l’échange de sms par milliers ET la rendez-vous d’hier qui avait fait une conclusion à cette affaire. Je me mordis la lèvre inférieure. J’aurais dû lui dire bien avant. Mais il fallait qu’après le parc ça avait été la tempête sentimentale,  la guerre des hormones, le maelström des sentiments. Un joyeux foutoir enrobé dans une bonne couche de bordel en tout genre. Puis à la base, nous étions censé avoir mis ola entre nous. Nous nous étions promis de ne PAS sortir ensemble, parce qu’il était majeur, parce que j’étais mineure… à cause de merde comme ça. Preuve avait été que ça avait été HYPER efficace. No shit Sherlock !

Je manquais quand je reçu la réponse. Je souris en la lisant. Bon maintenant, j’osais espéré que ma rouquine préférée allait bien le prendre. Ou ne pas me faire la leçon de moral sur le fait que ce n’était pas bien de sortir avec un majeur à mon âge. Mais je doutais fortement. Il fallait dire que depuis que je connaissais Amadeus et que je prenais des cours particuliers avec lui, il n’avait eu de cesse de faire des petites allusions taquines sur notre relation “d’amitié”. Mais le fond, nous restions un couple qui n’était pas forcément vu du bon oeil. A cause de ce fameux line majeur/mineur, etc. Je savais que cela aurait pu poser des soucis à Amadeus et j’avais tout, sauf envie que ma moitié à des soucis à cause de la pauvre imbécile que je pouvais être. Je me mordillais la lèvre sans m’arrêter. Je sursautai quand je reçu un snap d’Amadeus. Je souris tendrement en voyant sa bouille et le petit coeur qu’il formait avec son pouce et son index, un truc typiquement coréen, qu’il m’avait dit. Je lui répondis par la pareille avec un mot d’amour. OKAY. LA, j'étais remontée à bloc, mais dans le sens positif de la chose. Je sortais de chez moi pour aller chez mon amie. Je pris le temps d’avertir la population présente surplace de ma sortie chez les Walcott. J’avais pris mes habituels écouteurs écouter la musique pendant le trajet. J’avais fini par craquer et téléphoner à Amadeus cependant. Il m’avait confié être en train de réviser, je m’excusais timidement, mais j’avais trop besoin d’entendre sa voix au téléphone. Je lui avouais que je comptais parler de notre relation à ma meilleure amie, mais que c’était un personne de confiance. La discussion dura pendant tout le trajet finalement. Au moment de raccrocher m’excusais encore une fois de l’avoir dérangé, nous avions trop parlé, pour changer. Je descendais du bus et terminais le trajet à pieds. Rapidement chez Maddie, je toquais énergiquement à la porte. DEBOUT LA-DEDANS, MERCY EST DANS LA PLACE ! Ok, c’était peut-être too much., mais j’avais besoin d’exprimer ma joie actuelle. ET PUTAIN JE DÉBORDAIS DE JOIE ! La faute aux hormones que vouliez vous ! La première personne qui m’ouvrit la porte fut ma petite rouquine MADDIE SALUUUUT ! Je mis mes mains devant ma bouche en me rendant compte que je criais. Désolée. Comment tu vas ? Ilfautquejeteparlevraiment.



© Pando
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Lun 3 Juil - 21:51

 
❝Not "just friends, you were right❞
  Maddie et Mercy
Dès qu’elle s’était réveillée, Maddie s’était emparée de son carnet de dessin dans lequel elle mettait en image ses idées de vêtement ou ses idées de personnages. Cela faisait bien une heure qu’elle travaillait sur un croquis lorsque son portable sonna avec trois petits sons stridents qui signalaient l’arrivée d’un nouveau message texte. Elle bondit de son lit pour aller chercher son téléphone qu’elle croyait être dans son sac, mais il n’y était pas. Elle ne souvenait pas du tout ce qu’elle avait bien pu faire avec lui la veille. La rouquine n’était pas l’une de ses adolescentes constamment scotché à son cellulaire et qui l’avait toujours à portée de main. Elle avait des comptes sur les réseaux sociaux comme Facebook ou snapchat, mais elle s’en servait rarement puisqu’elle n’y comprenait jamais rien. Mercy ou ses frères et sa sœur avaient beau lui expliquer à chaque fois, elle oubliait presque aussitôt. Ça ne l’intéressait tout simplement pas. Si ce n’était pas que c’était utile d’avoir un téléphone toujours sur soi pour les urgences ou les sms rapides, elle n’en aurait pas. Elle fouilla sous ses bouquins étalés sur sa table de travail, sous son oreiller et ses peluches, sous son lit, dans sa table de chevet mais il était introuvable et la sonnerie continuait de résonner. Finalement, elle se souvint qu’elle l’avait mis dans les poches de son jeans pour une raison quelconque et qu’elle l’avait dû le laisser là en mettant son pyjama. Elle fouilla dans son panier à linge sale en jetant tous les vêtements inutiles au hasard dans la pièce lorsqu’elle tomba sur le pantalon en question. Bingo! Elle ouvrit sa messagerie et pinça les lèvres en découvrant le message de celle qu’elle considérait comme sa meilleure amie, même si elle ne lui avait jamais dit. Je t’attends à la Madcave! a.k.a la maison des Walcott. Madelyn était particulièrement intriguée. De un, parce que Mercy était déjà réveillée et de deux, parce que ça semblait important. Elle ramassa le fouillis causé quelques minutes plus tôt et s’habilla avec un short en jeans rouge bourgogne et un t-shirt à l’effigie des reliques de la mort. Elle monta ses cheveux roux en un chignon haut qu’elle attacha avec un foulard jaune (Gryffondor powa!) et descendit au rez-de-chaussée pour attendre sa copine.

"Bonjour ma chérie! Ton smoothie est prêt!" Sa mère lui fourra un gobelet contenant une paille dans les mains. C’était la nouvelle lubie de sa mère. Exit les céréales ou les toasts au beurre d’arachides au petit-déjeuner, maintenant place aux smoothies fruités et ô combien bon pour la santé. "Y’a Mercy qui s’en vient. " Ni une ni deux, sa mère retourna à ses fruits et son mélanger et cela fit pouffer la jeune fille qui sirota sa boisson tranquillement. Les coups cognés à la porte et les cris surexcités provenant de l’extérieur ne donnèrent aucun doute sur l’auteure de tout ce boucan. Elle avait entendu sa mère jurer, probablement surprise par le vacarme causé par la petite brune. Maddie avait éclaté de rire et s’était empressée d’aller ouvrir. "T’es folle! T’as fait peur à ma mère!" dit-elle pour toutes salutations. Elle laissa la place à son excitée d’amie pour qu’elle puisse entrer dans la maison. Elle semblait bien aller, même trop. C’était suspicieux. "Oké, allons dans ma chambre." Sans s’en apercevoir, elle avait murmuré. "MAN, on va dans ma chambre!" Dit-elle alors qu’elle se trouvait à moitié des escaliers. Sa mère apparue au bas, un grosse tâche violacée tâchant son gilet. "Mercy chérie! Comment vas-tu? Tiens, je t’ai fait un smoothie. " Elle lui tendit un grand verre au liquide rouge semblable à celui de Maddie. "Je dois aller faire quelques courses. Soyez sages. " Elle se dirigea ensuite vers la buanderie. "D’accord! À plus tard!" La rousse fit signe à Mercy de monter d’un coup de tête et elle la suivit en courant. Elle ferma sa porte et se tourna vers son amie. "Le sol c’est de la laaaaaaaaaave!" Elle courra vers son lit en sautillant sur des vêtements qui trainaient au sol en faisant bien attention de ne pas toucher le plancher et de renverser son verre partout. Elle sauta sur son lit et s’assit en tailleur. Elle prit une gorgée de son jus et ouvrit grands les yeux, toute ouïe. "Aller! Raconte!".


 
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Jeu 6 Juil - 9:55


❝ Not "just friend", you were right ❞
Madelyn & Mercy

J’étais excitée, beaucoup trop. J’avais conscience que je parlais beaucoup trop aigüe et que putain, j’avais autant d’énergie qu’après avoir bu un litre de café. Alors que je n’en avais pas bu une goutte de la matinée, ce qui était assez étrange pour moi avouons-le… de ne pas boire du café. Ma bonne humeur, quand on savait que je l’étais mise en couple il y avait peur avec Amadeus… ça se comprennait. J’étais sur mon petit nuage d’adolescente amoureuse, putain, j’étais devenu un cliché de merde. Je n’arrivais pas y croire. Moi, Mercy Leroy, j’étais devenu un cliché de série télévisée à la noix de coco. Putain, en fait, ça faisait du bien. Je commençais à presque avoir une vie normale, ouais, presque, non parce que si on enlevait le fait que ma mère était folle, que j’habitais l’amie de mon père et mon père, que cette amie jouait plus le rôle de ma mère que ma propre mère… ouais si on zappait ça j’avais une vie normale. A côté de tout ce merdier, sortir avec un étudiant majeur n’était presque pas plus choquant que ça.

J’avais cogné à la porte comme une folle furieuse, criant ma bonne humeur excessive comme jamais je ne l’avais fait dans toute ma courte vie. Quand Maddie me dit que j’avais fait peur à sa mère, je ne pus m’empêcher de m'excuser comme une imbécile. mais j’avais vraiment très besoin de lui parler de tout ce qui pouvait m’arriver dans ma vie. Trop de choses s'enchaînaient et j’avais besoin de mon amie, probablement une des rares et sûrement la meilleure. Quand elle me murmura d’aller dans sa chambre j'acquiesçai d’un signe de tête rapide, uiuiuiui, sa chambre et les confessions. Je suivis ma rouquine préférée alors que je commençais à monter les escaliers avec elle. Quand j’entendis la voix de la mère de Maddie, je me retournais et pris le temps de descendre les escaliers. Bonjour Madame Walcott, je vais bien, et vous ? Oh et désolée de vous avoir fait peur. Elle avait un smoothie rouge dans les mains, j’eus les yeux pétillants en attrapant la boisson avec un grand sourire digne d’une gamine. Woooa, trop bien, merci Madame. J’en pris une grande gorgée, miam trop bon. Ca j’étais sûre qu’Amadeus aurait adoré ce smoothie. Il fallait que je pense à lui envoyer un snap de cette délicieuse boisson, juste pour être sûre de le faire un peu rager alors qu’il était en train de réviser. Je fis un petit signe de ma main à la mère de Maddie quand elle annonça son départ de monter les escaliers quatre à quatre pour rejoindre cette dernière et la doubler. Après tout je connaissais le chemin par coeur pour aller dans la chambre de mon amie. A force de venir je savais parfaitement me repérer chez les Walcott, même les yeux fermés. Et les Walcott devaient un peu avoir marre d’avoir une squatteuse chez eux, quand j’y pensais.

Arrivées dans la chambre de Maddie, je ne pus retenir un rire quand elle cria que le sol était de la lave. Je criais comme une gamine avant de grimper sur une chaise…. un peu comme si j’avais vu une souris. Je regardais Maddie s’installer sur son lit. Bon ok, je devais être ridicule à être debout sur une chaise. Je finis par descendre de mon perchoir. Je fis attention de marcher exclusivement sur les affaires de la rouquine pour ne pas toucher la lave…. le plancher quoi ! Je m’asseyais juste en face d’elle, moi aussi tailleur. Que je raconte, punaiz, il y avait tellement de choses. J’ai un TAS de trucs à te dire. Genre vraiment ! Je pris une gorgée du smoothie maison, bordel, trop bon ce truc ! Tu te souviens de Marc ? Mon père ? Ben, il se trouve que je vis avec lui maintenant, ma mère a été internée. Mon déjà, ça, c’était fait. Puis il vit avec amie, elle s'appelle Mai. Elle est genre trop cool. Tu vas l’adorer ! Puis en plus elle est trop cute. J’avais pris une moue souriante en parlant de Mai. Je devais avouer que malgré notre rencontre particulière, je m’étais vite pris d’affection pour l’amie de mon père. Elle était vraiment géniale et une relation de confiance s’était installée entre nous. Ouais j’adorais Mai, et c'était une vraie figure maternelle ELLE. Et en parlant… d’ami. Hum. Je pris une grande inspiration. C’était le moment, le moment de faire ZE big annonce, celle pour laquelle j’étais venu à la base. Mes doigts fins se resserrent autour du verre. Ouais, ma bonne humeur laissait place au stress et à l’angoisse. Peut-être qu’elle allait désapprouvé et tout balancer de mon secret. Non, pas de sa part, elle nous avait toujours sauvagement shippé, Amadeus et moi. Je repris une grande inspiration, je n’allais pas parler très vite, j’allais le dire comme il fallait…. parce que merde j’aimais Amadeus et c'était normal que la personne la plus importante de ma vie soit au courant de cette relation ! Il se peut que tu avais raison à propos d’Amadeus et moi.... Je me raclais la gorge avant de rajouter. Il se peut… qu’on se soit assez significativement rapprochés dernièrement. Et… qu’on soit plus qu’amis. je pris une gorgée de mon smoothie avant de terminer par. Ok, je sors avec lui. MAIS, on garde ça secret. Il est majeur et moi mineure… j’veux pas qu’il est des ennuis à cause de moi. Je sortis mon portable et je pris un snap de mon smoothie, que j’envoyais directement à mon petit ami. Tu es la seule au courant Maddie. T’es la seule en qui j’ai vraiment confiance. Je sursautais quand je reçus une notification. J’ouvris pour voir un snap de réponse d’Amadeus. Je souris comme une débile en le voyant porter une paire de lunette ronde et boire un énorme verre de café à la paille. Je pris un screen avant montrer à Maddie. T’as vu comme il est mignon ? Il est tellement génial. Putain, je suis … amoureuse. Je tapais des pieds fébrilement sur le lit avant pousser un cri qui ressemblait plus au son d’une petit chiot qui voulait jouer. Je me sentais ridicule, mais au moins j’avais tout avoué à ma meilleure amie. Elle savait tout sur tout. Maintenant, j’espérais qu’elle n’allait pas… mal réagir. J’avais besoin de savoir que ma rouquine préférée me soutenait. J’en avais vraiment besoin, mon monde était complètement dingue et elle faisait partie de mes points de repère. Si je la perdais, j’allais finir par me perdre en chemin, j’en étais sûre, Maddie était la petite lumière qui éclairait mon chemin.


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Ven 8 Sep - 16:10

 
❝Not "just friends, you were right❞
  Maddie et Mercy
Quand Mercy était dans la place, on le savait immédiatement. Surtout ce matin-là alors qu’elle était encore plus excitée que d’habitude. Ce qui mettait irrémédiablement de bonne humeur Maddie. On ne s’ennuyait jamais avec la brune aux yeux perçants. Elle était amusante, n’avait pas froid aux yeux, avait des expressions trop rigolotes, était volontaire pour toutes les idées les plus farfelues et avait la riposte facile. La rouquine ne comptait plus les fois où son amie l’avait défendu des moqueries des autres élèves. Non pas que leurs conneries dérangeaient la rousse, du moins la plupart du temps, mais c’était toujours bien de savoir qu’elle n’était pas seule. Mercy était probablement sa seule véritable amie. C’était la seule qu’elle invitait à la maison et à qui elle se confiait. Les deux adolescentes formaient un beau petit duo de « freaks » qui leur plaisait bien. Mercy n’avait jamais voulu être populaire et se faire aimer par tout le monde, ce qui avait immédiatement plu à Madelyn qui n’avait jamais eu ce type d’inspiration dans la vie, même si sa mère souhaitait fortement qu’elle rejoigne les pompoms girls. Elles étaient bien entre elles. Elles avaient leurs délires qui n’étaient pas pour tout le monde. Comme celui du « Floor is lava ». Même si le jeu avait déjà fait son temps, les deux filles avaient continué d’y jouer et elles le criaient dès que possible : Même dans les corridors et la cours de récré de St-Magnus sous les regards réprobateurs des autres élèves. Une fois, Maddie l’avait dit en plein cours de mathématiques et Mercy s’étaient empressée de monter sur son pupitre. Elles avaient reçu une heure de colle, mais ça en avait valu la peine. C’était ça, Mercy, toujours partante pour tout. La jeune Walcott avait trouvé sa bonne étoile.

C’était donc un réel plaisir de la voir retentir chez elle de si bon matin. Surtout qu’elle semblait avoir quelque chose à lui dire. Elle avait toujours un surplus d’énergie quand venait de le temps de lui annoncer un truc. Elles avaient salué sa mère et étaient monté rapidement à l’étage dans la chambre de la rouquine. Le sol étant plein de lave, Maddie s’était précipité sur son lit en faisant bien attention de ne pas toucher au sol en sautant d’un vêtement à l’autre sur la pointe des pieds. Elle avait éclaté de rire en apercevant sa copine debout sur une chaise. Elle vint la rejoindre sur son lit défait. Elles étaient prêtes à discuter. Les oreilles de la rousse étaient grandes ouvertes. Elle était très curieuse de savoir ce qu’on amie avait à lui dire. "Dis-moi touuuuuuuut!" Dit-elle avec empressement et excitation. Elle avait ouvert grands les yeux et sa bouche s’était fendue d’un large sourire en écoutant la nouvelle de Mercy. "Han! Trop cool! J’aimerais trop la voir cette Mai! Et ton père aussi!" Maddie était sincèrement heureuse que Mercy ait décidé de prendre contact avec son père, même si ce n’était pas évident.  Encore plus si ça s’était bien passé et qu’elle avait déménagé avec lui. Enfin, elle aurait peut-être un semblant de vie normale. La petite Walcott n’avait rien contre la mère de son amie, elle avait toujours été gentille avec elle, mais Mercy lui avait raconté un tas d’histoire pas très jolies et elle était souvent laissée elle-même. Elle ne mangeait pas toujours et son environnement n’était pas toujours commode. C’était pour cela que Madelyn l’invitait toujours à diner et même à dormir chez les Walcott. Elle savait que cela faisait plaisir à sa mère et ainsi Mercy pouvait se nourrir convenablement et bien dormir.

Ce n’était pas la seule révélation du matin. Mercy avait d’autres trucs à lui dire et pas des moindres. Son visage souriant s’était transformé en nervosité. Maddie avait froncé les sourcils, le verre serré entre les mains de la brune ne lui échappa pas. Ça semblait sérieux. Elle avança son cou comme pour mieux entendre les confidences imminentes. "Raisooon? " Ses cils papillonnaient et un sourire taquin s’était affiché sur ses lèvres. "YES! JE LE SAVAIS! SAVAIIIIIIS! GNAHAAAN" Elle s’était levée d’un bond et sautillait sur le matelas en faisant une danse de la victoire. Elle avait renversé un peu de son smoothie sur les couvertures, mais elle s’en fichait. Elle avait vu! Avant même qu’eux le voit! Cela faisait des jours qu’elle taquinait Mercy avec Amadeus et qu’elle faisait des sous-entendus chaque fois que le sujet venait sur le tapis ou que la brune devait se rendre à ses cours particuliers. Cette dernière avait toujours fait l’autruche et dit qu’il n’y avait rien, mais Maddie avait senti le truc! "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! C’est trop bien!" Elle retomba à genoux sur le lit prête à écouter la suite. "Je veux TOUT savoir, mais genre TOUT. " Mercy semblait préoccupée par le fait qu’elle soit mineure et lui majeur. C’était vrai qu’ils pourraient avoir des ennuis. Kayleen lui avait déjà raconté qu’un garçon majeur avait été poursuivi et avait été en prison parce qu’il sortait avec une mineure alors que les parents étaient au courant, mais la loi s’en était mêlée. Bref. "T’inquiète! Je dis rien promis, juré, craché! " Dit-elle en photobombant avec sa main en signe de « peace » le snap de son amie. De toute façon, elle n’avait personne à qui le dire et Maddie parlait beaucoup, mais elle était capable de garder un secret. Encore plus ceux de sa meilleure amie. Elle lui montra une photo de lui avec des lunettes rondes. "Très mignon! Il a l’air gentil!" Maddie avait déjà croisé Amadeus, sans lui avoir beaucoup parlé, elle savait qu’il n’était pas un crotté et qu’il respecterait Mercy. "Je suis contente pour toi! Ton premier copain, c’est trop bien!"



 
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