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We can smile, if we’re together [Ama&Mercy] - NSFW
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Mar 11 Juil - 16:10
We can smile, if we’re togetherRalentir ? A cet instant, dans cette situation très précise, cela me semblait complètement insensé, impensable. Non, je ne pouvais pas physiquement arrêter. Je n’avais pas envie que cette folie hormonale m’arrête non plus. Mon esprit était complètement embrumé par cette affluence de sensations complètement nouvelles mais je savais qu’Amadeus s’était imposé à moi comme une évidence. Mes réflexes étaient naturels avec lui, je n’avais pas à me forcer à être une personne que je n’étais pas. J’étais simplement une adolescente amoureuse, je souriais comme si tout était normal alors que rien ne l’était dans mon monde dysfonctionnel. Je savais qu’Amadeus était celui avec qui j’avais envie de sauter le pas, rien à foutre qu’il soit majeur, rien à foutre que mes parents puissent désapprouver, rien à foutre que ça ne convienne pas à la société étriquée, rien à foutre de tout. La seule personne qui m’importait à cet instant, c’était mon coréen et tout ce qu’il avait pu faire pour moi. Ces choses que personne d’autre n’avait faites. Les choses aurait pu sembler rapides, trop rapides. Encore une fois je m’en foutais, je connaissais Amadeus depuis un petit moment, je m’étais attachée à lui, à sa personnalité. Je m’étais rendu compte que j’avais ressenti tout ça bien avant que les choses commencent à dégénérer entre nous. Je devais avouer que Maddie avait toujours été dans le vrai, mon prof particulier était plus qu’un ami. Mais j’avais refusé de voir les choses en face, parce que ma situation avec ma mère avait toujours été chaotique et envahissante. La donne avait été changé depuis l’arrivée de Marc dans ma vie. Je m’autorisais tout ce que je n’avais pas jamais pu avoir. Ma relation avec Amadeus arrivait en première de la liste. Alors non allez bien niquer vos races, je faisais ce que je voulais avec mon corps et celui de mon petit copain… même si pour le coup, je n’étais pas franchement assurée et que je faisais plus les choses d’instincts. Il fallait dire que j’étais vierge et les choses du sexe… t’as compris j’étais une noob, comme aurait dit mon petit copain.

Il m’avait attentivement regardé en train de retirer mes vêtements, je ne pouvais pas le nier, c’était électrisant, c’était sexy. J’avouais que c’était particulièrement excitant de retirer mes vêtements devant lui. Je continuais, je voulais lui montrer ce dont j’avais envie. Je voulais qu’il comprenne que je ne voulais pas ralentir la cadence. Je voulais qu’il sache qu’à cet instant, je le désirais lui et lui seul. Et surtout, je voulais être à lui et rien qu’à lui. Je finis par m’approcher de lui pour lui montrer clairement mes désirs. J’avais plaqué mes lèvres contres les siennes, glissé mon corps contre le sien, mes mains s’étaient largement aventurées sur corps. Ma peau était assoiffée et seule celle de mon petit ami semblait étancher cette envie monstrueuse. Audacieuse, mes mains se glissèrent dans jean pour découvrir les fesses à travers le tissu de son boxer. Ma bouche ne se fit pas prier pour s’ouvrir et laisser sa langue lubrique caresser la mienne. Putain, je n’avais pas de mot pour dire à quel point j’aimais ça. C’était addictif. Une vraie drogue dure, plus il m’en donnait, plus j’en voulais. J’étais devenu complètement addict à ses baisers profonds, ses caresses et à la sensation chaude de son corps contre le mien. Je ne manquais pas de sourire quand encore une fois ses mains se posèrent sur mon postérieur. Eh beh, il n'hésitait plus du tout à partir à la découverte de mon corps…. et il semblait particulièrement l’apprécier - ce qui m rassurait, je devais bien l'avouer - vu l’attention qu’il mettait à me caresser l’arrière-train. Les bras d’Amadeus me soulevèrent, mes jambes se nouèrent sur ses hanches, cette fois je n’avais pas crier de surprise, à force je commençais à y être habituée. Mon dos rencontra le mur de l'entrepôt avec une sauvagerie qui était jusque là m’était inconnue. Mais putain, j’aimais ça. Ma bouche était toujours contre la sienne et encore heureux, parce que si ma bouche n’avait pas été occupée, j’aurai probablement été en train de m’exprimer très franchement. Je soupirais quand je sentis un de ses mains s’infiltrer jusqu’à mon short pour commencer à le déboutonner. Oh ! Putain ! Putain putain putain putain putain putain. Il était foutrement diabolique cet homme. Il était démoniaque…. du cul…. et l’expression n’avait jamais été aussi bien choisie.

Je le fixais, je ne cherchais plus à cacher mes réactions. Je souris taquine, tout ce qu’il pouvait faire m’envoutait un peu plus. Sa manière de me mordre la lèvre inférieure, fichu coréen diablement sexy et excitant. Mais il n’avait pas l’air d’en avoir fini avec moi. Il me laissa à nouveau poser les pieds au sol, je ne manquais pas de râler alors qu’il s’éloigna de moi, me laissant le contre le mur, à moitié nue et le short à moitié ouvert. Je le regardais s’éloigner de moi, et ce regard qu’il avait sur moi. Je me mordis la lèvre inférieure, putain, il était tellement…. tellement. Un vrai démon avec une bouille d’ange. Avec une lenteur exagérée, il retira son tee-shirt. Je pus admirer doucement se révéler ses délicieux abdominaux puis le haut de son torse, puis il n’avait plus le tee-shirt. Putain, il cachait bien son jeu Amadeus. On avait toujours tendance à penser que les petits génies n’étaient pas gâtés par la nature - le cliché du geek potelé - mais là, mon petit copain avait foutu un gros coup de pied à ce cliché. Et j’aimais la manière dont il venait foutre en l’air ce cliché à la con. Je ne me dérangeais pour le reluquer alors qu’il confirma mes paroles. On ne ralentissait pas. D’un côté, comment je pouvais envisager de tout stopper alors que Monsieur Amadeus Cho venait de se mettre torse nu devant moi ? Alors là, c’était juste impossible. Mon coréen revint à la charge et m’attaqua au niveau de mon coup. Je penchais ma tête sur le côté pour lui laisser largement l’accès. Je lui déroulais le tapis rouge. Mes mains s’accrochèrent à ses omoplates à cause de la torture qu’il m’infligeait dans mon cou. Putain, Amadeus. Avais-je gémis plus fortement que les fois d’avant. Je me retrouvais prise en sandwich entre le mur et le parfait corps de mon petit ami.

Je souris quand je l’entendis parler dans mon cou. Reprendre la phrase que je lui avais dit un peu plus tôt. Son ton si sévère qui m’avait fait frémir. Putain, j’en voulais encore, encore un peu. Je ne répondis rien du tout sur l’instant, me sentant un peu honteuse. Mais les mains d’Amadeus glissa de mes cuisses à mes fesses - dans une caresse particulièrement sensuelle - m’arracha un gémissement, réaction galvanisée par le surnom qui venait de me donner. Un sourire lubrique s'agrandit sur mon visage. J’avais adoré ça. Beaucoup trop pour mon propre bien. Mes mains avaient glissé sur tout son dos, sur ses fesses. Je vais te montrer à quel point je peux être vilaine. Mes mains se stoppèrent au niveau de ses omoplates, avec une douceur et un geste félin, je laissais mes ongles glisser sur son épiderme. Il me cherchait ? Il me trouvait. Je continuais de sourire lubriquement. Je ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin. Je me mordillais la lèvre inférieur alors mes pattes de chaton glissèrent jusqu’à son torse, sans les faire les griffes cette fois. La pulpe de mes doigts voyagea doucement sur son épiderme, découvrant ses territoires à la manière d’explorateurs. La descente vers le sud était largement entamée, je me stoppais quelques secondes au niveau de cette fameuse tablette de chocolat. Je me mordais la lèvre inférieure avant commenter mutine. Je le adore ceux-là. Je ris légèrement avant de descendre un peu plus bas au niveau de son bas ventre. Je le fixais quelques secondes avant de descendre encore un grand plus bas, à la limite de son jean. Mes doigts glissèrent sur son bouton pour l’ouvrir et glissé sa braguette vers le bas. Je baissais son pantalon doucement, mollement, assez pour voir se dégager l’élastique de son boxer. Assez vilain ?

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Sam 15 Juil - 14:54

We can smile, if we’re together
Ft. Mercy & Amadeus

Généralement d’un tempérament calme et hyper-réfléchi, l’Amadeus actuel était méconnaissable. Contrôlé par des pulsions primitives, qu’il arrivait pourtant généralement à contrôler sans souci, il n’arrivait même presque plus à cogiter de façon efficace. Son cerveau d’ordinateur, noyé sous les informations au code différent à base de « Mercy » de « Vilaine Fille » et de « Oh yeah », n’arrivait plus à créer de notions concrètes pour mener ses actions à bien. A eux deux, les jeunes étaient comme des bêtes lâchés en pleine nature, incapables de profiter de la liberté sans atteindre des excès. Sans savoir à quel point cette situation était spéciale pour Mercy – qui avait toujours vécu sous la pression d’une mère folle – Amadeus s’était laissé aller. Un constat d’abandon. Un échec aux saveurs de noix de coco et d’un peu de cuivre après avoir mordu la lèvre de sa petite amie. Un cocktail détonnant agissant comme une drogue dure, se répandant dans son organisme et exacerbant ses sens pour mieux les focaliser sur la lycéenne. La sensation de ses mains sur les douces cuisses de la belle, l’odeur de ses cheveux, de sa sueur à force de le désirer, les bruits d’halètement se faisant de plus en plus fort, le goût de sa peau sous sa langue et cette vue extraordinaire sur le visage de cette dernière. Sans compter cette voix dans sa tête, plutôt comme un gémissement intérieur, qui lui scandait qu’elle lui appartenait.

Cesser d’embrasser Mercy n’avait pas été chose aisée et avait nécessité une bonne dose de contrôle mais le résultat en valait largement la peine. Elle le dévisageait, comme un lion observait un bon steak saignant, tandis qu’il avait commencé à se déshabiller avec toute la lenteur inutile à ce geste. Le simple fait de sentir son regard, demandeur et quasi-lubrique, suffisait à attiser le désir du jeune homme qui ne se lassait pas de ce petit jeu qui était visiblement tout nouveau pour la lycéenne. Comme quoi, les heures passées à suer, se muscler et s’étirer avaient prouvé leur utilité. Il était presque surprenant qu’il n’ait pas tout simplement déchiré ses vêtements sous le coup des hormones… mais il l’aimait bien son t-shirt, puis les vêtements c’est cher ces temps-ci… sans compter le fait que rentrer chez lui torse nu aurait été un brin louche. Juste un peu. Ouais grave louche surtout si sa colocataire décidait de rentrer chez elle pile à ce moment. On n’était jamais trop prudent.

Ne laissant pas à Mercy le temps de trop profiter du spectacle non plus, Amadeus s’était à nouveau rué sur elle, la collant contre le mur tandis qu’elle lui laissait libre accès à son cou rougi d’excitation. Elle gémissait, incapable de résister à ses assauts tandis qu’il continuait de la marquer, de la posséder. Le corps brûlant de l’étudiant se collait de plus en plus contre la demoiselle à moitié nue qui semblait perdre ses moyens face à ses attaques de baisers, de morsures et de suçons. Il la sentait trembler entre ses doigts, tel un petit animal partagé entre excitation extrême et peur. She’s mine, mine, mine. se répétait-il malgré lui, incapable de raisonner de manière cohérente. Amadeus n’avait jamais été du genre à considérer les gens comme des objets – ses parents lui avaient inculqué des valeurs, il n’était pas près de l’oublier de ci-tôt – mais il ne faisait aucun doute que le jeune homme posé et civilisé était parti depuis un moment de son esprit, recroquevillé dans un coin afin de laisser place aux instincts qu’ils avaient constamment tenté de réprimer. Aussi, il continuait de resserrer son étreinte autour des cuisses de la jeune femme, remonta sans gêne sur ses fesses, songeant à ce petit short qu’il n’avait pour l’instant fait que déboutonner.

La traiter de vilaine fille avait visiblement eu un impact certain sur l’excitation de la jeune femme qui ne cessait toujours pas de se mordre la lèvre inférieure, tel un moyen d’empêcher de gémir de plus belle. Reprenant ses mots, elle entreprit de poser ses mains sur la peau de son dos nu, y incrustant ses ongles tels des griffes écorchant sa peau. Ne pouvant retenir un gémissement sous la légère douleur mais surtout sous le coup de l’excitation qu’elle lui infligeait, il échappa un « Putain. » au creux de son oreille. Appréciant visiblement l’idée qu’elle puisse également le marquer, il l’observa sagement alors qu’elle déplaçait ses mains agiles vers son torse, dessinant doucement ses abdominaux à l’aide de ses doigts en précisant qu’elle les aimait beaucoup. Echappant un léger rire, Amadeus l’embrassa à nouveau tout en souriant à cause des mots de sa belle puis sentit ses doigts se diriger doucement vers son bas ventre pour finalement atteindre son jean qu’elle déboutonna et dézippa avec agilité. Faisant doucement descendre le bout de vêtement sans pour autant l’enlever, laissant tout juste l’élastique de son boxer visible, elle avait finalement demandé confirmation, assez vilaine ?. Oh oui une vraie sadique cette petite Mercy.

A son tour, l’étudiant posa ses mains sur le short de Mercy et le fit glisser doucement le long de ses cuisses sans manquer de dessiner de petits cercles à l’intérieur de ses cuisses pour la torturer un peu plus. Le vêtement rejoint rapidement le pauvre t-shirt d’Amadeus, ainsi que sa veste (une bonne lessive en perspective), laissant ainsi Mercy en sous-vêtements, complètement à la merci de son petit ami dont le souffle semblait devenir plus fort. Reposant ses lèvres sur la bouche brûlante de la lycéenne, il échappa un râle avant d’articuler difficilement sous le coup de la déception, « Et merde. J’ai pas d’capote en plus. » L’embrassant à nouveau, plus tendrement, il enchaîna, « ça va pas être pour aujourd’hui, désolé babe. » Malgré tout, ses mains continuaient d’explorer ses cuisses, se rapprochant malicieusement de la zone la plus sensible de son corps et clairement excitée par les gestes du jeune homme. Glissant ses mains sur ses fesses, s’immisçant sous le tissu de ses sous-vêtements, il reprit ses baisers dans le cou de la belle, attendant de voir sa réaction. Saurait-elle arrêter et contrôler sa frustration ou serait-elle trop emportée par ses hormones, optant pour des préliminaires prolongés et bien plus salaces. De son côté, Amadeus – qui ne comptait clairement pas passer à l’acte sans protection et dans un lieu pareil où il était aussi aisé de chopper le tétanos que de respirer de la poussière – ne put s’empêcher de poser une claque sur les fesses bien rebondies de Mercy, comme pour lui signifier qu’il était cependant prêt à user d’autres moyens pour la faire gémir. « Good girl. »

Amadeus ne l’aurait pourtant jamais imaginé mais, il semblait désormais évident qu’il avait un réel goût pour le rôle du dominant, sentant Mercy comme une proie sous ses mains qui continuaient d’explorer le bas de son corps sans pour autant atteindre cette zone désormais humide et bouillonnante de plaisir. Such a tease. Les gémissements de Mercy envoyaient sa conscience au loin, lui faisant imaginer des scènes érotiques à base de menottes et de bandeaux, de soirées sur un lit de satin, de caresses sur ses fesses qu’il ne pouvait s’empêcher de parcourir, et de petits mots salaces échangés tantôt avec tendresse tantôt avec sévérité. Lui-même ne pouvait empêcher son corps de réagir, piégé sous ce jean et ce boxer formant une prison solide, l’empêchant de ne faire qu’un avec le corps de Mercy. Douce torture.

© Belzébuth
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Mer 19 Juil - 19:20
We can smile, if we’re togetherOh ! Avais-je dit simple alors qu’Amadeus venait de se rendre compte qu’il était pas venu avec un préservatif. D’un côté, personne n’aurait pu prévoir que la journée allait se dérouler de cette manière. A la base nous étions venus échanger un repas, passer un premier rendez-vous entre petit copain et petite copine. C’était notre premier rencard en dehors des cours particuliers que m’avaient donnés Amadeus. Nous étions censé manger, découvrir des endroits abandonnés, des trésors merveilleux peut-être…. mais jamais au grand jamais, j’aurais imaginé que les choses finissent par partir autant en vrille. Je n’avais pas prévu que mes pouvoirs se réveillent à cause de ce crétin de Shades, je n’avais pas prévu cette absence et cette scène qui avait l’air tout droit sorti d’un film d’horreur. Je n’avais pas prévu de m’évanouir dans les bras de mon coréen pour finir par lui avouer que je faisais de cette partie de la population qu’on appelait les émergés. Et le sexe ? Encore moins. Bien que là pour le coup… ça semblait légèrement foutu sans préservatif. Je savais très bien ce que pouvait causer une grossesse involontaire, preuve étant, ma mère. Et clairement, je n’avais pas envie de reproduire ce même schéma… Déjà que j’avais pris physiquement des traits de ma mère, qu’on me disait que j’allais finir folle comme elle… si je pouvais éviter de tomber enceinte jeune comme elle…. je ne disais pas non. Alors, il faudra être sage chéri. J’étais convaincue qu’il allait s’élogner, faire cesser notre échange de salive et de caresse et pourtant… j’étais bien loin du compte. Très très trèèèèèès loin même.

C’était la plus douce de torture que m’avait offert Amadeus. Ses mains m’avaient largement fait connaître le réel du mot désir. Délicat, tendre, mais aussi dominateur, bien des aspects de la personnalité de mon petit ami que j’avais appris à connaître au fil des heures. Nous pouvions prendre notre temps pour apprendre à ne faire qu’un, mais cela ne nous avait pas empêché de jouer en toute…. innocence et luxure. Surtout en tout luxure en fait. J’avais pris un certains plaisir à découvrir le corps si parfait d’Amadeus, surtout ses zones les plus sensibles de sa peau, de son anatomie, avec une pointe de curiosité et de doute - vu que c’était bien la première fois que je découvrais le corps masculin autre part que dans un livre de biologie. J’avais également pris énormément de plaisir à lui dévoiler petit à petit le mien et tous ces secrets. Tout mon corps s'était agité de spasmes, secoué par des tremblements de plaisir, suinté de sueur d’excitation. Mon dos s’était cambré à s’en briser et ma voix de cris à la faire s’éteindre. Le fruit défendu était consommé, plutôt deux fois qu’une. J’avais découvert des plaisirs dont j’ignorais l'existence jusqu’ici. Un mélange délicat entre tendresse et sévice corporel. J’en frémissais encore.

Dans ma tenue d’Eve, je m’étais lascivement allongée sur le torse de mon petit ami. Mon oreille était posée contre son coeur, écoutant son rythme accéléré comme si j’écoutais une musique sur mon téléphone portable. Un délicat sourire se posa sur mes lèvres alors que je sentais à même temps à poitrine se lever rapidement sous mon oreille. J’avouais que moi-même, j’avais du mal à garder mon souffle régulier après tout ce que nous avions vécu. Nos vêtements nous avaient services de matelas de secours - et ils allaient avoir besoin d’un sérieux lavage - pour ne pas qu’on se roule dans la poussière, mais j’avais tout de même récupéré la veste d’Amadeus pour recouvrir nos corps nus. Je me redressais doucement, mais très peu car j’étais prisonnière de l’étau des bras musclés de mon coréen. Je tournais mon visage pour poser délicatement mes lèvres sur les siennes, dans un baiser qui respirait la tendresse. C’est ça ta notion de la sagesse honey ? Je ris légèrement avant d’enfouir mon visage de cou pour l’embrasser à nouveau avec toujours autant de tendresse. Je sentis la prise de ses bras se resserrer autour de moi alors que je lui glissais une nouvelle des mots d’amour. J’ignorais que je pouvais être aussi démonstratrice sur mes sentiments. Moi qui n’avait presque jamais dit à ma mère que je l’aimais. Je crois qu’il faudra garder tout ça secret… toi et moi. Je disais tout ça en passant un de mes doigts sur son torse, en dessinant tendrement les formes de ses muscles. ils avaient quelque chose d'hypnotique. Je ne voudrai pas… genre qu’on t’accuse d’abuser une pauvre petite mineure comme moi. Je suis tellement innocente après tout. J’entendis Amadeus rire de plus belle. Je le griffais légèrement alors que ma bouche s'entrouvrit pour lui laisser un suçon au niveau de son cou. Ca t’apprendra à te moquer, vilain garçon. Puis... Je remontai tendrement ma bouche près de son oreille pour lui glisser tout bas. ... faut bien que je montre que tu es à moi, ça serait injuste que je sois la seule à être marquée. Je ris à nouveau, je posais un bise dans sa nuque. Je pense qu’il faudrait qu’on se rhabille Deus. Mais je sentais qu’il gardait ses bras serrés autour de mon corps qui semblait tellement si fragile une fois posé sur le sien. Ou alors ça peut attendre. Oui, juste pour que je profite de cette sensation de bien-être absolu, de flotter sur un petit nuage. Avant que la vie me revienne dans la tronche à toute vitesse. Mais je savais que je ne serai plus seule pour l’affronter, j’avais un soutien pour m’aider à me confronter à ma vie presque pas normale. Un soutien qui savait que j’étais différente et qui l’acceptait… et surtout qui m’aidait à m’accepter comme un être unique et non comme un monstre de foire. J’étais spéciale et surtout, j’étais amoureuse.

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