Je t'ai manqué ? [PV Tasha]

Je t'ai manqué ?

J'avais du attendre encore des mois avant d'être bien remis sur pieds, maintenant l'infirmerie du SHIELD était du passé. Depuis il y avait eu cette prise d'otage au Pegasus, un virus étrange qui avait fait que beaucoup de monde avait fini en quarantaine. Heureusement un remède avait été trouvé et tout semblait aller pour le mieux, mais autant ne pas crier victoire trop vite, à Génosha il arrive toujours quelque chose. Maintenant que j'étais de nouveau sur le terrain, je n'avais toujours pas croiser l'agent Romanoff, ou alors celle-ci m'éviter ... Je pouvais me rappeler de notre première rencontre qui avait été assez comique en son genre, certes j'avais fini avec une nouvelle côté cassée car j'avais voulut "jouer" avec elle, mais en rien je ne le regrettais. Puis j'avais tout de même réussi à obtenir un nom ... Agent Romanoff, puis je ne l'avais plus revu. Combien de fois j'avais espéré revoir celle-ci, seulement ça n'avait jamais été le cas ... Moi qui était toujours du genre à faire rire les autres, j'avais perdu de ma jovialité, sans oublier que j'étais aussi du genre à draguer les filles facilement, maintenant je n'étais plus le véritable Clint d'avant ... Alors ce soir j'avais pris une décision, je mettais donné un coup de pieds aux fesses, j'avais aussi revêtue le costard et j'étais parti faire la "fête" si possible au Jarvis. A peine étais-je entrée dans le bâtiment que j'avais déjà envi de partir, non je n'étais vraiment pas d'humeur à faire la fête, seulement je me donna une claque mental et me forca à rentrer. Il y avait énormément de monde, de la musique, des rires, enfin les gens s'amusaient ce qui était aussi le but du Jarvis. Je devais avoir l'air pitoyable avec mon air de chien battu. Je tracé rapidement jusqu'au bar ou je m'assis commandant un double whisky. Perdu dans mes pensées, je reconnus une voix ... Comment aurais-je pus l'oublier, c'était l'agent Romanoff qui était en train de parler avec un autre homme, de suite je fus pris d'une sorte de ... De crise de jalousie, il n'y avait pas d'autre mot, mais visiblement ils étaient juste en train de s'échanger des banalités. Alors qu'elle quitté le bar pour retourner à sa table avec des amis, je demandais au serveur de servir une vodka à la "jolie rousse" de ma part et j'en profitais pour donner un billet supplémentaire à l'homme pour ce service. Je buvais alors mon whisky, ne quittant pas la scène des yeux.

☆☆☆ Beerus

HS

Spoiler:

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.La conversation avec le rockeur avait rapidement tourné à une sympathique petite commémoration de ce qu'ils avaient vécu il y a plusieurs mois. Natasha était maintenant rassurée car le musicien, artiste dans l'âme et donc d'une rare sensibilité, croyait encore parfaitement à sa couverture sans se douter de toute l'illusion que la fameuse Moïra à laquelle il s'adressait n'existait absolument pas. Quant à la banqueroute et aux problèmes judiciaires de son plus ou moins ami, Nathanaël n'avait fait aucun lien avec elle. Bref, ses doutes et ses inquiétudes s'étaient levés et, désormais, la rouquine dirigeait leur échange sur des sujets plus légers et plus personnels. Entre autre chose, Natasha s'intéressa à sa future tournée, histoire de préparer le terrain à l'avance si jamais il restait dans les parages pendant un moment. Mais heureusement, son devoir de star montante l'obligeait à ne pas rester très longtemps dans les mêmes villes. Au moins, elle pourrait ranger sa couverture un moment au placard. D'un autre côté, elle appréciait vraiment sa compagnie et trouvait dommage de ne pas pouvoir être sincère avec lui. Néanmoins c'était les risques du métier, et elle avait signé en toute connaissance de cause. Et puis, ne jamais s'attacher, c'était une ligne de conduite importante aussi. En dehors de quelques collègues et de ses amis de longues dates, rares étaient ceux qui pouvaient se vanter de la connaitre... Au bout d'un moment, Natasha s'excusa poliment envers le rockeur de devoir quitter sa compagnie et lui souhaita bonne chance dans sa carrière, tout en lui disant qu'elle espérait le revoir s'il repassait par ici. Elle serait d'ailleurs restée plus longuement mais... elle n'était pas venue seule et ça le faisait moyen de faire comme si leur compagnie n'était pas assez bien. Quittant la chaise haute, la rouquine revint vers ses collègues et amis. Cependant, force était de constater que plus de la moitié - dont la totalité des filles sauf une - avaient embarqué une bonne partie des mecs pour aller danser. Au moins son absence était presque passée inaperçue. C'est alors qu'une surprise et un homme du passé fit une nouvelle fois surface lors de cette soirée. Un serveur vint à elle pour lui offrir un verre, qui venait d'un certain gentleman installé au bar. Curieuse, Natasha repéra rapidement Clint. Et elle se sentit terriblement mal. Après l'avoir ratatiné sur le sol de la salle d'entrainement, elle l'avait ramené à l'infirmerie pour ensuite disparaitre. Elle avait même pris soin de suivre son évolution pour mieux l'éviter. Jusqu'à aujourd'hui. Un doute l'a pris... Est-ce que Doug avait pris sa blague au pied de la lettre et l'avait invité ? L'espionne ne savait plus trop quoi faire, mais l'éviter semblait désormais improbable. Pour autant, elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il pensait. Foutu pour foutu... Natasha accepta le verre avec un grand sourire pour le serveur, puis se leva et repartit en direction du comptoir sous le regard hagard et curieux de ses complices de soirée. Ils allaient vraiment commencer à se poser des questions sur ses va et viens et ses absences. S'installant à côté de Clint de manière naturelle, Natasha commença à se dire qu'elle aurait dû opter pour une autre robe plutôt que celle-ci qui lui collait trop au corps. « Merci pour le verre et... Bonsoir. » fit-elle sans le regarder au début, avant de se tourner vers lui et de planter son regard dans le sien. Quoi qu'il attende d'elle, Natasha ne comptait pas s'excuser de son silence. « Alors ? De nouveau sur pieds pour de bon ? » demanda-t-elle à la fois pour lui faire croire qu'elle ne s'était pas intéressée à son cas, même si c'était faux, et à la fois pour lancer une conversation plutôt que ce silence oppressant.

2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Non je ne suis pas jaloux du tout, juste qu'elle passe trop de temps en compagnie de cet homme. De plus, celle-ci s'entendre bien avec lui ce qui arrive à me faire froncer des sourcils. Je reconnais celui-ci, un rockeur dont j'apprécie la musique, bien je n'allais plus apprécier longtemps si ça continué ainsi. Certes l'agent Romanoff n'est pas à "moi", mais j'y suis pour rien si j'ai envoi de lui dire d'aller voir ailleurs. Après un long moment, bon après ça peut-être un "court" moment, disosn que pour moi cette conversation avait très longue, elle avait peut-être durée dix minutes, pour moi ça avait duré une éternité. Enfin l'agent Romanoff va regagner sa place, et je ne pus resister à lui offrir un verre. Lorsque celle-ci reçu la commande, le serveur avait sans doute rajouter que ce verre venait de moi, elle se détourna vers moi et je regardais celle-ci avec un léger petit sourire en coin. Après avoir capturer son regard, je fis comme-ci de rien était, retournant à mes occupations, ou disons, mon verre de whiksy. Je pouvais encore me rappeler de notre première rencontre, j'avais de nouveau fini à l'infirmerie mais ce jour-là, j'avais enfin gagné un nom. Avant je l'observais de loin, son côté félin et indomptable ayant réussi à envahir toute mes pensées. Lorsqu'elle avait quitté l'infirmerie, de suite, j'avais ressenti un manque ... Puis le temps a fini par s'écouler sans que je ne puisse la revoir. Revenant à mes esprits, je pus sentir une présence à côté de moi, détournant la tête vers la sublime rousse, elle me remercia pour le verre sans oublier un "bonsoir", j'eu alors un petit rire, prenant une gorgée de mon whisky avant de me retourner à nouveau vers elle.

-Mais de rien et ... Comment aurais-je pus faire autrement ? Ce verre est amplement mérité

Lui dis-je avec un clin d'oeil, faisant référance à notre premier combat. Puis elle reprit la parole et cette fois-ci je pris un air plus neutre.

-Oui enfin ... C'était long et disons que j'ai prolongé le séjour, mais me voilà enfin agent Romanoff

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Il le faisait exprès en plus, d'être aussi agaçant. Il arborait toujours ce fichu sourire en coin, comme elle se revêtait de son irrémédiable indifférence envers les gens. Chacun son défaut, mais la même route qui les menait l'un en face de l'autre. D'un autre côté, Natasha avait de bonnes raisons de rester sur ses gardes en plus que ça fasse partie de son éducation et de son travail. En se renseignant un peu sur lui, elle avait vite compris qu'il aimait flirter et, en avait naturellement déduit qu'elle devait être sa cible du moment. Elle savait aussi qu'en se montrant indocile elle l'aurait un bon moment sur le dos. Jusqu'à ce qu'il se lasse en fait. Pourtant, la rouquine ne pouvait nier qu'il y avait un étrange magnétisme qui se connectait entre eux dès qu'ils étaient dans la même pièce. Elle espérait juste que ça lui passerait, car elle n'avait clairement pas envie d'être victime de sentiments incontrôlables. Natasha n'avait ni le temps ni l'énergie pour cela. Tout comme ses parents avant elle, l'espionne s'était promis de consacrer sa vie à son boulot. D'ailleurs... comment avaient-ils fait pour se rencontrer et vivre harmonieusement ces deux-là ? Bref ! Natasha ne devait pas se laisser distraire par de potentielles éventualités qui ne s'appliquaient pas à elle. Néanmoins, elle ne pouvait pas passer son temps à l'ignorer. Surtout que... elle avait réellement apprécié ce moment qu'ils avaient passé à l'entrainement. Et malgré elle, Natasha n'avait pas été insensible à sa manière de la regarder, et de la retenir. A force de se battre pour être l'égale des hommes, la rouquine n'existait presque plus en tant que femme, mais uniquement en tant qu'agent. Ça lui avait rappelé qu'elle n'était pas que cela. Assise sur la chaise d'à côté, elle le salua et le remercia pour l'attention. « Mais de rien et... Comment aurais-je pu faire autrement ? Ce verre est amplement mérité. » Elle joua les malicieuses, une fois encore. « Entièrement d'accord. » Avant de remarquer qu'il avait l'air d'aller bien mieux. « Oui enfin... C'était long et, disons que j'ai prolongé le séjour. Mais me voilà enfin, agent Romanoff. » Natasha jura qu'il avait fait exprès de l'appeler pour son nom, juste pour lui rappeler qu'il ne l'avait pas oublier, et qu'en gagnant l'exercice contre lui, il avait finalement gagné son nom. Mais plutôt que de s'agacer, la rousse se dit que c'était de bonne guerre. Puis elle chercha à savoir ce qu'il attendait vraiment d'elle. Et du reste de sa vie en général. « Je suis sûre que vous avez adoré votre convalescence prolongée. » se moqua-t-elle gentiment, le regard espiègle. « Mmm, vous êtes dans quel service alors ? Et qu'allez-vous donc bien pouvoir de tout ce temps libre passé loin des infirmières et de votre lit attitré ? » demanda-t-elle avec une moue mutine, tout en espérant qu'en glissant le mot infirmière dans la phrase, ça le ferait naturellement réagir sur ses réelles intentions sans qu'elle n'ait à se mouiller. Quant au verre qu'il lui avait offert, Natasha hésitait à le boire. Bêtement, elle craignait que ça ne l'engage à quelque chose de plus. Son métier lui avait appris qu'on ne donnait jamais rien pour rien. Or, pour une bonne majorité des hommes qu'elle avait croisé, il s'intéressait davantage à son petit derrière qu'à son intelligence et à ses connaissances en assassinat. Natasha ne savait pas ce qu'elle préférait découvrir de Clint, qu'il ne le soit pas et qu'elle s'y attache, ou qu'il le soit et qu'il la déçoive ?© 2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

J'eu un léger sourire à la remarque de la jeune femme, voilà ce que j'aimais chez elle, elle savait comment se faire respecter et parler aux hommes, elle avait du caractère, je voyais en elle une véritable battante. Oui je l'admets je suis un grand dragueur, j'aime courtiser les femmes, mais lorsque je vois qu'elles s'accrochent de suite à moi, je dois dire que ça me refroidit, il n'y a aucun jeu, de suite elles n'ont qu'une idée en tête, et disons qu'avec moi il ne faut pas s'attendre à un lendemain. J'aime jouer mais pas forcément pour gagner, puis j'ai eu tellement d'aventure d'un soir? que depuis, je m'en suis lassé ... Peut-être que j'ai passé l'âge d'être un coureur de jupon comme on le dit si bien ? Je n'en savais rien, mais dès que j'avais vue l'agent Romanoff, quelque chose avait bien changé en moi. Je l'avais suivi, j'avais joué le détective à ma façon, puis j'avais joué et j'avais gagné un nom, seulement je voulais en savoir davantage sur cette mystérieuse rousse, elle était troublante et j'aimais son côté intouchable. Elle me fit remarquer que j'avais l'air d'aller bien mieux, oui comparé à la dernière fois que je l'avais vue, ce qui était aussi la première fois, j'allais même beaucoup mieux. Puis elle reprit la parole et j'haussais les épaules avec une légère grimace, prenant une nouvelle gorgée de whisky.

-Je n'étais plus à quelques semaines près ...

Surtout quand on a passé plus d'un an dans le coma. Me perdant à nouveau dans mes pensées, je fus surpris par les paroles de la rousse, cette fois-ci j'arquais un sourcil, regardant celle-ci de haut en bas. Bon ... Il y a des mauvaises langues au SHIELD à ce que je vois, j'eu un léger soupire, mais j'assumais parfaitement le fait qu'on me voit comme "le séducteur de ses dames".

-Je suis dans l'espionnage, je vais aussi sur le terrain, en tout le tralala et en ce qui concerne les infirmières, je suis bien content qu'elles se tiennent loin de moi ...

Me passant une main dans les cheveux je repris

-Quand on ne peut rien faire, quand on a besoin d'aide et qu'on est un homme, c'est mieux d'avoir pour infirmier un autre homme, disons que ce n'était pas comme ci que je n'avais qu'un bras cassé

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.La rouquine ne put faire autrement que ce sentir responsable à ses dernières paroles. Lorsqu'elle avait tenté une petite boutade sur son temps de convalescence, elle s'était plutôt attendue à un sourire mais... à la place il grimaça. Visiblement, il en gardait un mauvais souvenir. Natasha pouvait comprendre sa frustration. A sa place, l'attente interminable et l'interdiction de faire du sport la rendraient cinglée et irritable elle-aussi. Ou peut-être pas tant que ça ? En dehors de de son boulot et des entrainements, l'espionne aimait beaucoup enrichir ses connaissances et se plonger dans des bouquins. D'ailleurs, peut-être qu'elle aurait pu lui en apporter si elle avait décidé de venir lui rendre visite ? Mais est-ce qu'il aimait la lecture ? Natasha soupira intérieurement. Ce n'était pas évident pour elle de converser naturellement avec un homme alors qu'elle avait un penchant pour lui. Ça ne lui était pas arrivé depuis une éternité, et surtout elle évitait soigneusement que ça lui arrive au travail. Sinon, merci le cercle infernal ! Dans tous les cas, ses paroles résonnaient encore à ses oreilles. « Je n'étais plus à quelques semaines près... » Vraiment ? Il avait dû être rudement amoché alors... Il faudra qu'elle prenne le temps de lire méthodiquement son dossier. En étant là depuis autant de temps et avec quelques entrés, elle y aurait accès sans problème, surtout s'il était d'un rang inférieur au sien. En attendant, elle tenta une nouvelle approche en lui demandant dans quel service il avait été rattaché. « Je suis dans l'espionnage. Je vais aussi sur le terrain, et tout le tralala. Et en ce qui concerne les infirmières, je suis bien content qu'elles se tiennent loin de moi... » Espionnage... ? Elle allait le croiser souvent alors... Décidément, Natasha commençait à croire que le hasard se transformait en destin. Et pourtant, elle n'était guère du genre à croire à ces balivernes. Quant aux infirmières, elle devait avouer que ça la surprenait. Mais pas pour longtemps. « Quand on ne peut rien faire, quand on a besoin d'aide et qu'on est un homme, c'est mieux d'avoir pour infirmier un autre homme. Disons que ce n'était pas comme ci que je n'avais qu'un bras cassé. » Oh... la rouquine comprit où il voulait en venir. Décidément, ce soir elle était d'une rare maladresse. Et elle ne sut qui des deux étaient le plus mal à l'aise. « Euh, effectivement... Étrange qu'ils n'aient pas pensé à ce genre de détails... » fit-elle en détournant le regard et en cherchant un moyen de prendre congé. Cette discussion était une véritable catastrophe. Et encore, elle ne parlait pas du fait qu'il semblait terriblement vexé par ce qu'elle sous-entendait. Du coup, Natasha ignorait s'il réagissait de cette manière parce qu'elle avait vu juste ou parce que son passé lui collait encore à la peau. « Bon... eh bien merci pour le verre et... amusez-vous bien. » fit-elle en se levant. Puis elle se retourna vers lui. « Au fait, vous êtes venu seul ou accompagné ? » Pas sûr que ce soit une question pertinente. A tous les coups il allait encore se vexer parce qu'elle lui demandait s'il était seul - sans amis - ou avec une femme - donc bien dragueur. Bon en même temps, il avait l'air d'avoir sale caractère. Il lui sembla soudain très différent de celui qu'elle avait croisé. Ou du moins plus complexe que le simple dragueur qu'elle avait d'abord soupçonné qu'il était... Quels mystères pouvaient bien se cacher derrière ce regard sombre et pourtant si espiègle ? © 2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Le souvenir de l'hôpital n'était vraiment mon truc, j'y avais passé tellement de temps, puis lorsque j'étais sur le terrain combien de mes camarades j'ai vue souffrir, quand nous sommes sur le terrain, les soldats sont parfois amputaient sans aucune anesthésie, seulement il y avait des moments ou l'on avait pas le temps d'attendre les secours, si on voulait sauver l'un des nôtres, il fallait agir vite. J'ai vue aussi beaucoup de mes camarades mourir ... Puis moi j'avais faillit y passer, heureusement j'avais eu de la chance, j'avais fini par me réveiller au SHIELD, on m'avait dit que j'étais resté un an dans le coma, sur le coup ça fait un immense choc, ça avait été très dur à encaisser. Après j'y avais passé un long moment, le temps que j'aille mieux, puis rééducation ... Enfin oui, comme je le disais je n'étais plus à quelques semaines près. Puis finalement l'agent Romanoff me demanda dans quel service j'étais, cette fois-ci se fut beaucoup moins difficile pour moi de répondre, par contre le fait de savoir qu'on avait parlé de moi en arrière me faisait mal ... Oui j'avais la réputation de coureur de jupon, mais je n'étais pas qu'un coureur de jupon, j'avais fait aussi autre chose dans ma vie ... Alors lorsque je répondi à l'agent Roamnoff je fus assez sec, peut-être même trop, car je regrettais déjà mes paroles. A mes paroles je pus voir qu'elle était mal à l'aise, pour le coup je me senti vraiment mal, un véritable idiot. C'était une jeune recrue, elle ne connaissait pas ma vie sur le bout des doigts, la preuve, moi je ne connaissais même pas encore son prénom, même si j'avais essayé de la convaincre de me le donner. Alors qu'elle se releva pour me souhaiter une bonne soirée, cette fois-ci j'eu un pincement au coeur.

-Je suis seul ...

Puis j'eu un soupire.

-Désolé je ne suis pas comme-ça d'habitude ... Juste que j'ai eu des souvenirs qui ... Enfin ça n'a pas était facile, puis il y a cette prise d'otage au Pégasus, je dois aussi prendre mes marques au SHIELD, je pense aussi à tout mes camarades qui sont restaient sur le terrain, je suis grognon et j'en suis désolé

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Bon et bien, la rouquine n'allait pas le déranger plus longtemps. En dépit du verre qu'il lui avait offert, la tension était palpable entre eux. Natasha avait visiblement touché des points sensibles et il n'était pas chatouilleux pour un sou... Oups ! Mais bon, au moins ça obligeait l'espionne à se faire une raison et à ne pas succomber à ses charmes si tentants. Le remerciant néanmoins pour son attention, Natasha prit rapidement congé du beau trentenaire, tout en laissant le verre sur le comptoir, une manière de lui faire comprendre qu'il valait mieux s'arrêter là. Enfin elle essaya. Car au dernier moment, elle ne put s'empêcher de lui demander s'il était venu seul. Pour lui, elle espérait sincèrement que ce ne soit pas le cas. Ce serait tellement triste de le voir esseulé après ces longs mois de convalescence où il avait déjà été enfermé si longtemps et où il avait déjà supporté la solitude... Une autre partie d'elle espérait pourtant qu'il le serait, juste histoire d'avoir un prétexte pour l'inviter à passer la soirée avec d'autres collègues du SHIELD et... elle. Il se sentirait moins seul, et elle pourrait lui présenter de nouvelles têtes avec qui nouer des amitiés tout en apprenant peut-être à le connaître ? Clint avait l'étrange tendance à faire naître en elle beaucoup d'ambivalence... Il était perturbant, troublant mais pour le coup, aussi un peu blessant. « Je suis seul... » répondit-il finalement, comme dans un regret. Natasha l'observa, hésitant entre rester, lui proposer de venir, ou simplement le fuir. L'archer reprit, s'excusa, ce qui donna donner à la rousse une autre idée en plus des trois précédentes. « Désolé je ne suis pas comme ça d'habitude... Juste que j'ai eu des souvenirs qui... Enfin ça n'a pas était facile. Puis il y a eu cette prise d'otage au Pégasus, je dois aussi prendre mes marques au SHIELD, je pense aussi à tout mes camarades qui sont restés sur le terrain... Je suis grognon, et j'en suis désolé. » Silencieuse et toujours en l'observant, les traits de Natasha se firent plus doux et ses lèvres se dessinèrent dans un sourire. Sans mot dire, elle lui attrapa une main, le fit descendre de son siège et l'emmena avec elle sur la piste de danse. De son pas de danseuse, elle se créa un passage jusqu'au milieu, là où personne ne pourrait les remarquer sinon les autres fêtards, qui avaient d'ailleurs bien mieux à faire. Elle se tourna ensuite contre lui, et l'attira contre elle dans un slow qui allait à l'encontre de la musique ambiante. Mais cela importait peu, car ils étaient des solitaires de nature, et ce qui comptait, c'était de chasser ses idées noires. Ses bras autours de lui, elle planta son regard dans ceux du mystérieux agent, au comportement et à la psychologie bien plus complexes que ce qu'il laissait paraitre. « Je n'ai pas voulu te blesser. Tu as tes raisons pour être si mal et je ne les connais pas. C'est juste que... je ne suis pas la meilleure en relations humaines en dehors de mon travail et, je crois que j'ai compris trop tard que tu es plus que ce qui se dit. Ce n'est pourtant pas dans mes habitudes d'écouter les bruits de couloirs. Encore désolée, vraiment. » lui sourit-elle avec douceur, tout en bougeant avec légèreté contre lui. Natasha ne se laissait peut-être pas guidée par ses émotions, il n'empêche qu'elle ne voulait pas passer pour un robot sans cœur. Simplement, elle devait se souvenir qu'elle n'était pas qu'un agent qui devait posséder des alliés, mais une jeune femme qui avait besoin d'amitiés pour s'épanouir. Le problème c'est qu'avec quelqu'un comme Clint, l'amitié lui suffirait-elle ?© 2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Mon caractère grognon avait eu raison de moi, mon côté jaloux et possessif aussi d'ailleurs. L'agent Romanoff était libre de ses mouvements, mais la voir avec un autre homme, oui je devais admettre que ça arrivé à me mettre en rogne. Mon côté séducteur et charmeur était toujours présent, alors j'avais tout de même pris le temps de lui offrir un verre, espérant aussi qu'elle vienne à me voir, seulement je mettais comporté comme un idiot ... Alors que l'agent Romanoff allé repartir, je fini par reprendre la parole, mettant une croix sur ma fierté sur ce coup la. Non je ne suis pas comme ça d'habitude, je ne suis pas le genre grognon et râleur, d'ailleurs elle m'avait déjà vue. Enfin finalement je fini par me confier à la jeune femme, je n'allais pas rentrer dans les détails évidemment, mais si je pouvais au moins lui expliquer le pourquoi du comment j'étais aussi grognon, ce serait déjà ça de gagner. Entre la prise d'otage du Pégasus, ma sortie de l'hôpital, les cauchemars ... Ce n'était pas tout les jours facile de garder le moral. J'eu un dernier soupire, au moins j'avais fini de me plaindre et de geindre, quelque part ça m'enlevé une sorte de poids sur le coeur. Puis sans que je m'y attende, je senti la main de l'agent Romanoff prendre la mienne et je me laissa guider par celle-ci. C'est au milieu de la piste de danse que celle-ci m'emmena, sur le coup j'étais assez gêné, puis finalement je fini par plonger mon regard dans le sien, c'est avec un tendre sourire qu'elle était en train de me regarder tout en dansant un slow, souriant à mon tour, j'accompagnais celle-ci, profitant de sa proximité. C'était bien la première fois qu'une femme arrivé autant à me remonter le moral. Finalement elle reprit la parole, ses bras encerclant mon cou et moi me laissant bercer par cette danse.

-Non je te comprends ... Tu ne m'a vue qu'une fois, mais c'est le fait de savoir qu'on parle derrière mon dos, puis quand aux relations humaines rassure toi, je suis bien loin d'être doué, la plupart du temps je fais fuir pas mal de monde avec mon humour désastreux

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Des secondes chances, la rousse n'en avait pas dans son boulot. Si elle merdait, ça pouvait lui couter sa vie, ou pire. Aussi elle avait toujours visé la perfection, il n'y avait pas de place pour le facteur chance ou pour la hasard. Alors aussi étrange que ça puisse paraitre, elle avait décidé que dans sa vie de tous les jours, elle en donnerait toujours aux autres. Parce que finalement, personne n'était parfait, et la vie était trop courte pour qu'on la gâche en blessant les gens qui voulaient se racheter. Lorsqu'elle avait senti la tristesse et cette profonde complexité chez Clint, et qu'en plus il s'était excusé d'être de mauvaise compagnie, allant jusqu'à lui révéler les parties les moins joyeuses de sa vie, Natasha n'avait pas cherché plus loin. Elle lui avait simplement pris la main et emmené au milieu de la piste de danse. Perdu dans ce bain de foule, ou plus rien n'avait d'importance et qu'ils étaient juste deux inconnus parmi tant d'autres, l'espionne voulait en quelque sorte qu'il se dépouille de toutes ses émotions négatives. Ici, loin de la vue de tous, il n'avait personne à impressionner, plus rien à cacher. Natasha tentait de n'être plus qu'un portail vers une réconciliation intérieure avec lui-même. Il en avait visiblement terriblement besoin. Et même s'ils n'avaient de toute évidence pas le même parcours, elle le comprenait. Peut-être était-ce à cause de cette première rencontre qui sortait de l'ordinaire et qu'elle n'arrivait pas à oublier ? Natasha l'avait senti différent des autres hommes qui tentaient de l'apprivoiser. Et finalement, après s'être rapprochée de lui pour débuter un slow que ne s'autorisait d'ordinaire que les amoureux, la rousse s'excusa pour s'être montrée si vive à croire les bruits de couloir. Et après tout, même si c'était vrai, ça n'appartenait qu'à lui, à son passé, peut-être à son présent, mais pas à elle. Tout comme sa vie n'appartenait qu'à elle, la vie de Clinton lui appartenait entièrement. « Non je te comprends... Tu ne m'as vu qu'une fois, mais c'est le fait de savoir qu'on parle derrière mon dos. Puis quand aux relations humaines, rassures-toi, je suis bien loin d'être doué. La plupart du temps je fais fuir pas mal de monde avec mon humour désastreux. » Natasha haussa un sourcil. Humour désastreux ? Pour le moment, ils pataugeaient tous les deux dans le même genre d'humour. Quelque chose entre l'humour noir et le cynisme, se mélangeant aussi entre espièglerie et une pointe d’ambiguïté. « Ah oui ? Ça doit être parce qu'on a le même humour d'asocial que je te comprends alors. » rit-elle doucement, avant d'afficher un sourire en coin tout en le regardant avec tendresse. « Bon, je tiens quand même à préciser quelque chose. Ce n'est pas dans mes habitudes d'emmener des hommes danser au milieu de la piste. » continua-t-elle de sourire, pour lui préciser que ce n'était pas une tentative pour le séduire. Natasha avait beau être attirée par lui, elle n'était pas du genre à se laisser conduire par ses émotions. Elle limitait même les aventures d'un soir pour que ça n'en empiète pas sur son emploi du temps surbooké. D'un autre côté, sa confidence pouvait aussi lui faire comprendre qu'elle avait suffisamment de sympathie et d'attrait envers lui pour dérober à ses propres règles sociales. « Sinon, si j'ai bien compris, on va peut-être bosser ensemble un jour ou l'autre alors ? Moi aussi je suis dans la section espionnage au SHIELD. » Elle ne lui avait pas encore dit, et il le découvrirait tôt ou tard, si ce n'était pas déjà fait. Clinton s'était peut-être renseigné sur elle, tout comme elle l'avait fait de son côté. Après tout, cette attraction physique semblait réciproque et si elle l'avait bien cerné, il était tout à fait de ce genre-là. La connaissance était essentielle dans leur boulot. D'ailleurs, elle était curieuse de savoir quelles informations avaient pu filtrer sur elle. D'une autre manière, le jeu reprenait entre eux mais plus calmement, plus tendrement même. Ça devait faire une éternité qu'elle n'avait pas ressenti ce genre de sérénité naturelle. D'habitude ça ne venait que de ses nombreux exercices quotidiens ou de son yoga. Troublant et loin d'être désagréable. Il fallait juste qu'elle fasse attention de ne pas s'emballer. © 2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Mon retour à Génosha avait été synonyme pour moi d'un changement brutal d'environnement. Je n'étais plus un soldat, maintenant j'étais un agent du SHIELD et les règles étaient bien différentes, sans oublier les mentalités des autres agents. Bien sur je ne critiquais aucun des agents, non, juste que ce n'était pas la même ambiance que j'avais connus, disons que c'était plus secret. J'ai tellement eu l'habitude de jouer aux cartes avec les autres soldats, nous étions comme une grande famille, nous étions loin de nos familles, parfois ont venaient à se confier aux autres, au SHIELD tout était très différent ... Puis j'ai rencontré Natasha. J'étais comme attiré vers elle comme un aimant, certes elle était une véritable tigresse, une femme du genre sauvage, de suite, j'étais arrivé à lui parler. Natasha avait le même langage que moi et alors que nous étions sur la piste de danse, puis que j'expliqué à celle-ci mon mauvais caractère, ou le fait que je ne sois pas très doué avec les autres, celle-ci réussi à me comprendre. J'eu un sourire à la réponse de la magnifique rousse, d'ailleurs elle riait aussi de sa réponse.

-Comme ça je vais me sentir moins seul

Puis Natasha repris directement, qu'en aucun cas elle n'avait l'habitude d'emmener les hommes danser, cette fois-ci je croisais à nouveau son regard et je lui fis un clin d'oeil.

-Oh mais je suis sur que beaucoup d'homme sont en train de rêver d'être à ma place, en tout cass je serais bien capable de mordre si quelqu'un t'approche

Dis-je avec un sourire espiègle. Oh non je ne vais pas échanger ma place, ou il faudrait en venir aux mains et il est vrai, que je ne tiens pas à déclencher une bagarre, se serait mal vue par le SHIELD ... Finalement Natasha repris la parole, justement c'était pour parler boulot, alors que la danse venait de s'arrêter, je guidais Natasha vers notre place.

-Oui il y a des chances ... Je me demande d'ailleurs si on ferait un bon duo, enfin une chose est sur, maintenant je peux retourner à la salle d'entraînement

Lui dis-je avec un clin d'oeil.

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.La soirée s'annonçait plutôt bien finalement. Certes le début avait frisé avec la catastrophe, mais maintenant qu'ils se parlaient en toute franchise et entre adultes responsables, l'ambiance quelque peu tendue s'était naturellement harmonisée. Il faut dire que Natasha était le genre de femme a craindre les sentiments comme la peste, convaincue que ce n'était qu'une prison qui ôtait toute liberté à la gente féminine. De son côté, Clinton était un coureur de jupons, de ce qu'elle avait entendu dire, et elle-même devait avouer qu'un fort sentiment l'avait attiré vers lui dès leur rencontre. Autrement dit, il était un danger pour la rouquine qui n'avait non seulement aucune envie de perdre son indépendance, mais aussi aucune envie de se faire briser le cœur. Sauf que voilà, elle aimait bien sa présence, sa façon de la regarder et les efforts qu'il déployait pour entrer dans sa vie. Ça avait un côté amusant, et tout à fait charmant. Mais surtout, c'était délicieusement dangereux. Alors pour tromper son esprit, ce magnétisme entre eux inventait des histoires. Il la persuadait qu'ils pouvaient très bien être amis, tout comme elle l'était déjà avec Bucky et Steve. Qu'elle était suffisamment forte et pragmatique pour ne pas se laisser avoir aux jeux de la séduction, et qu'au final, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait, jamais rien ne pourrait la briser car elle était faite de métal. Froide et dure. Elle avait affronter tant de choses et tenue tête à tellement de monde... Son âme était parée à toute attaque, même celle que Clinton lui enverrait inconsciemment. Non, l'espionne ne succomberait pas à quelques sentiments que ce soit. Elle se le promettait, même si c'était à tort. Parce que, très clairement, Natasha ne s'était pas sentie aussi bien et autant en sécurité qu'en se logeant dans les bras du nouvel agent. Depuis combien de temps ne s'était-elle pas permis de s'adonner à autant de douceur ? Mon Dieu... comment un homme pouvait-il en un regard la faire autant changer d'avis et d'envie sur ses promesses de célibat ? Natasha se détestait déjà d'être si faible, mais impossible de faire autrement... Elle se promit alors qu'elle ne serait pas facile à avoir. Ou de prier ardemment pour que ce ne soit qu'une passade.

Discourant sur leur manque de sociabilité, la belle rousse eut un sourire. Clinton prétendait qu'il n'était pas doué pour être amical et se faire des amis, elle trouvait que c'était tout l'inverse. Il ne s'en rendait peut-être pas compte, mais c'était naturel chez lui. Il avait un caractère qui donnait naturellement envie de l'approcher. Il avait ses noirceurs, mais il était aussi quelqu'un d'incroyablement solaire. Et c'était sûrement parce qu'il avait ces deux extrêmes en lui qu'il capturait son cœur avec facilité et sans qu'elle ne veuille l'en empêcher. Mais Natasha ne dit rien, et affirma simplement qu'elle le comprenait, parce qu'ils étaient visiblement pareils. « Comme ça je vais me sentir moins seul. » Difficile d'imaginer qu'il puisse se sentir seul vu les regards intéressés qui se posaient sur lui. Mais de ce qu'il lui avait confié à leur première rencontre, il avait quitté l'armée pour rejoindre le SHIELD et comme il était passé par la case infirmerie avant de pouvoir être officiellement incorporé, il n'avait pas eu le temps de se faire des amis parmi ses collègues. Ça allait vite changer, la rousse en était persuadée. Il était du genre bon vivant et à ne pas se prendre la tête, mais aussi professionnel et compétent. Il allait vite faire partie du décor, et c'était tant mieux. Par contre, avant d'en venir à parler du fait qu'ils allaient justement être amené à bosser ensemble, l'espionne crut nécessaire de lui certifier que ce n'était pas dans ses habitudes d'emmener le premier venu danser au milieu de la scène. Elle ne voulait pas passer pour une fille facile. « Oh mais je suis sur que beaucoup d'homme sont en train de rêver d'être à ma place, en tout cas je serais bien capable de mordre si quelqu'un t'approche. » Surprise par sa franchise et cette facilité qu'il avait de parler de ce qu'il ressentait, Natasha se sentit désemparée. Heureusement, elle aperçut son sourire espiègle et se rasséréna, pour sourire à son tour. « Et ne t'en fais pas, je me battrai pour rester dans tes bras. » répliqua-t-elle alors avec le même air malicieux. Sauf que derrière les prétendus plaisanteries, ils savaient l'un comme l'autre que ça cachait quelque chose de vrai. Un jeu dangereux où il était facile de glisser et de se faire mal. Mais qu'importe, l'espionne savait retomber sur ses pattes. Elle acceptait finalement le risque.

A présent qu'elle avait remis les choses au clair, à savoir qu'elle ne sautait pas sur tout ce qui bougeait, il était temps d'en venir à un autre sujet. Maintenant que Clinton était guéri, il allait pouvoir intégrer le service pour lequel le SHIELD l'avait débauché : l'espionnage. Le même que celui de la rousse, ce qu'elle lui fit remarquer. Ils seraient ainsi sûrement amenés à travailler ensemble. « Oui il y a des chances... Je me demande d'ailleurs si on ferait un bon duo. Enfin une chose est sûre, maintenant je peux retourner à la salle d'entraînement. » Un bon duo ? Natasha n'avait aucun doute là-dessus et son sixième sens d'espionne et de femme ne la trompait jamais. Elle avait même hâte que ça arrive pour pouvoir le voir à l’œuvre de ses yeux. Elle eut aussi un sourire à sa dernière phrase. « Ca veut dire que je vais enfin pouvoir ne plus retenir mes coups ? » demanda-t-elle en minaudant, malicieuse. Impossible de faire autrement que de jouer avec Clinton, et pourtant s'ils continuaient ainsi, elle pressentait qu'elle allait voir le plus grand mal du monde à contenir ses envies...

2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Côté sociabilité je suis bien plus doué avec les hommes, il ne faut pas croire autre chose ... Non ce que je cherche à dire, c'est que c'est plus simple de parler femme, poker, sport à des mecs, je ne me voyais pas dire à Natasha qu'elle était un véritable canon, ce n'était pas très ... Délicat. Une femme a besoin de romantisme, enfin du moins c'est ce que je pensé, je ne suis pas doué avec les femmes, puis après avoir grandit avec mon frère et avoir terminé à l'armée, je n'ai pas vraiment y le temps de cotoyer la gente féminine. Avec Natasha j'avais de la chance, elle n'était pas comme les autres femme, pour commencer elle adorait le sport, c'était aussi une agent du SHIELD, elle connaissait très bien les armes et le combat, la femme parfaite pour moi! alors que je lui disais que je n'étais pas doué en relation humaine, elle me répondit que pour elle c'était la même chose, j'eu un sourire en coin, au moins j'allais me sentir moins seul de ce côté la. Une chose était sur, beaucoup d'homme devait m'envier, mais hors de question que je laisse Natasha aussi facilement ... Côté combat, je sais défendre ce que je convoite. Lorsque Natasha me répondit je crus que j'allais ronronner de plaisir, ancrant mon regard dans le sien, elle était tellement belle, merveilleuse, voilà j'étais complètement fou d'elle, bravo à toi Clint, en plus elle venait de me jeter un petit air malicieux. La danse terminé j'emmenais à nouveau Tasha à notre place au bar. Celle-ci reprit la parole par rapport à notre travail, oui nous étions tout les deux dans le même secteur, des espions, ont allaient sans doute faire équipe un jour ou l'autre, du moins je l'espère. Je ne pus m'empêcher de proposer à la belle rousse un nouveau duel avec un petit sourire en coin, toujours aussi malicieuse, celle-ci me répondit que cette fois elle n'allait pas retenir ses coups.

-Ey! la dernière fois tu m'a envoyé à l'infirmerie, côté retenir tes coups tu avais tout de même fait fort ce jour la ... Moi j'ai retenu mes coups mais c'est parce que je n'ai pas envie d'abîmer ton magnifique visage

Dis-je en prenant une gorgée de ma boisson, la dévorant du regard.

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Ils jouaient tous les deux, parce que c'était plus facile d'utiliser ce terme que de se dire qu'ils étaient réellement intéressés par l'autre et d'assumer. Et puis c'était une façon de se dire des vérités en usant de sous-entendus. Car Clint comme Natasha avaient la trentaine, étaient des agents rompus au combat et connaissaient leur boulot sur le bout des doigts. Sauf qu'en se plongeant à ce point dans leur carrière, ils en avaient oublié le reste. Une partie d'eux avait sûrement peur de l'engagement d'ailleurs si on considérait qu'ils n'avaient que des aventures et que très rarement - voire jamais - d'histoires à long terme. Car rien n'était plus important que leur travail, n'est-ce pas ? Jusqu'à ce qu'un regard, un geste, ne change complètement la donne. Natasha aimait flirté pendant son temps libre, et elle aussi avait ses besoins. Mais elle n'avait jusqu'ici clairement ni l'envie ni le temps de s'investir dans une relation amoureuse. Pensait-elle... Mais en la présence de l'archer, elle en ressentait étrangement le désir. Elle avait la sensation qu'il était l'homme qui lui fallait, tant ils se ressemblaient et voyaient les choses de la même façon. Clinton avait aussi une manière d'être avec elle qui la touchait sincèrement. Et cette flamme dans son regard lorsqu'il posait les yeux sur elle... ça la faisait frissonner. Peut-être était-elle enfin prête à passer ce cap dans sa vie ? Ou peut-être que Clinton était réellement celui qu'elle attendait ? Dans tous les cas, c'était troublant. Mais elle n'en montrait rien, jouant de ses charmes et se laissant séduire. Le moment était magique, la rouquine n'avait aucune envie que ça s'arrête. A ceci près qu'elle allait finir par franchir la ligne s'ils continuaient sur cette lancée. Natasha s'imaginait déjà le goût de ses lèvres et la chaleur de ses mains sur son corps. Puis la conversation fit un détour sur la forme physique de Clinton. Ce dernier pouvait enfin entamer son service au SHIELD après des mois d'arrêt. Natasha le taquina alors en disant qu'elle allait pouvoir le combattre sans retenir ses coups. « Hey ! La dernière fois tu m'as envoyé à l'infirmerie, côté retenir tes coups tu avais tout de même fait fort ce jour là... Moi j'ai retenu mes coups mais c'est parce que je n'ai pas envie d'abîmer ton magnifique visage. » La rouquine s'esclaffa. C'était horrible à dire mais, même s'il l'avait prévenu qu'il n'était pas au mieux de sa forme, Natasha avait tout simplement refuser de perdre. Un mal pour un bien, c'était de cette façon qu'il avait connu son nom qu'elle n'avait pas voulu lui dire, et aussi de cette façon que leurs regards s'étaient accrochés. Son amusement pour ce souvenir passant, elle la belle rousse eut un sourire à ses dernières paroles. « Ne t'inquiète pas pour mon magnifique visage, il n'a jamais rencontré qui que ce soit capable de l’érafler. » affirma-t-elle, espiègle tout en battant des cils pour le taquiner et le titiller tout à la fois. « Et puis, ose me dire que tu n'as pas aimé ça. » le provoqua-t-elle tout en flirtant, et s'engageant ainsi sur un terrain glissant.

2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

J'aimais jouer avec Natasha, surtout que c'était une excellente joueuse en ce qui concerné le charme et la séduction. Celle-ci était d'une beauté sublime, un visage de porcelaine, des lèvres à croquer et un regard envoûtant. Il y avait aussi chez elle une grande part de mystère, j'avais mis longtemps à venir vers elle, au début je mettais montré surtout curieux, je suivais celle-ci jusqu'à la salle de sport, jusqu'à notre première "véritable" rencontre. Certes je n'étais pas au meilleur de ma forme, mais je pouvais dire que je mettais drolement bien amusé ... Bon j'avais de nouveau fini à l'infirmerie, mais d'un autre côté, je l'avais bien cherché. Moi qui était assez du genre "coureur de jupon", je pouvais dire que la, je réagissais de façon différente avec Natasha, elle n'était pas du genre facile à approcher, mais plutôt le genre à se laisser désirer, voir jouer avec les hommes ... Cette fois-ci c'était à moi de me montrer plus persevérant et confiant. Je ne croyais pas vraiment au coup de foudre, seulement depuis que j'avais vue Natasha, je pouvais sentir que j'avais changé. Non seulement nous étions deux charmeurs, deux joueurs mais en plus, nous étions aussi deux espions, alors il y avait beaucoup de jeux mais aussi des sous-entendus. Puis ont en revint tout deux au travail ... Natasha était en train de me taquiner avec notre dernière confrontation, je ne pus m'empêcher de "râler" un peu (râler de façon taquine). Evidemment j'en profitais pour rajouter que j'avais retenu mes coups, en même temps comment la frapper ? Il faudrait qu'on me bande les yeux, en tout cas une chose était déjà sur, si je voyais quelqu'un lui faire du mal, la personne ne risqué de ne pas faire long feu. A mes paroles Natasha eu un rire et lorsqu'elle reprit la parole, j'eu un sourire un sourire en coin, en me rappelant notre première confrontation.

-De toute façon la personne qui oserait te faire du mal, je la découpe morceaux par morceaux ... Et effectivement, je me suis bien amusé même si c'était assez douloureux

Finis-je avec un léger rire.

-Enfin maintenant je sais ce que c'est que de me battre avec toi, puis avec des côtes déjà cassées

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Le moment était aux souvenirs de leur première vrai rencontre. Pourquoi vrai ? Parce que Clinton lui avait longtemps filé le train, avant de réellement se mettre à sa portée. Et Natasha l'avait laissé faire, se disant qu'il finirait par se lasser et parce qu'elle avait des choses bien plus importantes que le coincer entre deux portes et lui demander quel était son problème pour la suivre tous les matins comme il le faisait. Peut-être parce qu'elle sentait que son regard était différent ? Elle semblait l'intéressée, oui, mais il n'y avait pas que ça. Il ne la regardait pas juste avec du désir comme beaucoup le faisait, non, il y avait beaucoup que ça. C'était comme s'il était capable de lire en elle, de déterminer qui elle était derrière son joli petit minois et ses gestes de soldate au service du SHIELD. Il la regardait avec adoration, et non avec convoitise. C'était surprenant et déstabilisant. Puis ne rien dire lui avait permis de pousser ses entrainements plus loin. Natasha l'avait en quelque sorte utilisé pour apprendre à rester confronter malgré ce genre de surveillance. Jusqu'à ce que finalement, elle ne décide de le mettre au pied du mur. Il n'était déjà pas au top de sa forme, mais la rousse ne l'avait pas ménagé, devant même le ramener à l'infirmerie. En y repensant, elle se disait qu'elle y avait été fort... Mais si c'était à refaire, Natasha savait qu'elle recommencerait. Car elle détestait tellement qu'on la prenne pour une chose fragile qu'elle était prête à tout, même à taper sur un soldat en convalescence. OK, ça n'avait rien de noble, mais la voir comme une âme sensible qu'il fallait protéger à tout prix était ce qu'on pouvait lui faire de pire. A n'en pas douter, c'était sa corde la plus sensible, celle qui la mettait hors d'elle en un quart de tour. Et puis il n'était pas à tant que ça à plaindre, puisque ça lui avait permis de connaître son nom qu'elle avait refusé de lui donner. Et aujourd'hui, ça les embarquait dans un jeu des plus agréables. Ils flirtaient en voilant à peine leurs déclarations. Où est-ce que ça les mènerait ? Bonne question. Mais c'était agréable, même pour elle qui s'était pourtant juré de ne pas se faire avoir dans ce genre de piège foireux. « De toute façon, la personne qui oserait te faire du mal je la découpe morceau par morceau... Et effectivement, je me suis bien amusé même si c'était assez douloureux. » Natasha ne put s'empêcher de s'esclaffer. Le pauvre, elle ne l'avait pas raté... Au moins il n'était pas rancunier. « Mmm, quel agréable spectacle se serait. Mais j'espère que tu me laisserais participer. Je n'aime pas rester sur la touche. » sourit-elle, malicieuse. Une phrase qui à la fois lui en apprenait plus sur elle, et qui à la fois le mettait au défi. Clinton était un soldat, un homme fort et intelligent. Mais serait-il capable d'agir autrement que comme la majorité de ses pairs qui considèrent que les femmes sont plus faibles et qu'il faut les protéger ? « Enfin maintenant, je sais ce que c'est que de me battre avec toi, puis avec des côtes déjà cassées. » Une fois encore, la belle rousse eut un léger rire. « C'est vrai que je ne t'ai pas ménagé. Mais promis, désormais, pour chaque blessure tu auras droit de me poser une question. » Elle jouait, jouait, jouait. Il fallait juste que Natasha n'oublie pas de s'arrêter avant d'aller trop loin. Les peines de cœur et autre idioties du genre, très peu pour elle. Elle n'avait jamais eu de temps à perdre avec cela, elle n'allait pas commencer maintenant ; même pour les si jolis yeux de Clinton et ses bras vigoureux dans lesquels elle aimerait bien faire une halte entre deux combats.

2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

Etre avec Natasha était pour moi, la meilleur compagnie que je puisse avoir au monde. Depuis que j'avais croisé son regard, depuis que j'avais suivi en salle d'entraînement un lien c'était crée entre nous. Peut-être que je rêvais, je me faisais des illusions, mais en cette soirée lorsque je croisais à nouveau son regard, je pouvais y voir comme une étincelle. De la complicité, de la malice, pétillante de vie, j'avais envi de partir avec elle loin de cet endroit, pour qu'on se retrouve plus au calme, loin de cette foule étouffante. Je suis le genre solitaire, j'aime aller me cacher dans des endroits en hauteur, sans doute pour ça qu'on me nomme le faucon, je vois mieux de loin et je suis plus à l'aise. Y avait un endroit ici ou l'on pouvait se retrouver en hauteur ? Je savais que dans certain bar chic il y avait des étages, après peut-être que Natasha n'avait pas envi de bouger. Sortant de mes pensées, je revins à ma discussion avec la magnifique rousse, lui expliquant de quelle façon morbide je ferais souffrir, celui qui oserait la toucher. J'eu un sourire à sa réponse, beaucoup de femme aurait fuit, Natasha était différente, c'était pour ça que j'avais eu toute confiance en moi en lui parlant ainsi.

-Bien sur, si ça ne te dérange pas de te salir les mains

Dis-je avec un petit rire, tout en gardant un petit sourire en coin, le petit sourire genre taquin. Limite on pourrait croire une discussion de deux assassins et non de deux agents, d'ailleurs je ne pense pas que le SHIELD viendrait à approuver nos dires ... Ont finiraient sans doute en prison, voir dans un asile pour fou dangereux. A nouveau j'eu un rire aux paroles de Natasha.

-Tu aime me faire du mal ? Ou tout simplement me réparer ?

Lui dis-je avec un clin d'oeil. Puis je regardais vers le haut, il y avait un étage et cette fois-ci j'eu un sourire vainqueur.

-Que dirais tu de continuer cette discussion dans un salon en haut ? Ici ... C'est étouffant

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.S'il y avait bien un mot qui ne collait pas avec la rouquine, c'était assurément le terme de victime. Grandissant dans un foyer où les valeurs guidaient chaque acte et chaque décision, la jeune Natasha avait aussi appris à se battre dès son plus âge. Fille chérie de parents qui étaient des battants et dont le courage n'était plus à démontrer, ils avaient bien sûr léguer tout cet héritage à leur rousse adorée. Alors montrer les crocs et envoyer les importuns et ses ennemis au tapis avec style étaient plus que son métier et sa passion, c'était dans ses veines. Cela dit, elle trouvait particulièrement mignon que Clint lui fasse ce genre de promesse, d'autant qu'elle sentait que ce n'était pas que de la parlotte pour l'impressionner. Il en serait réellement capable. Mais plus encore, elle apprécia qu'il ne la regarde pas de travers lorsqu'elle affirma ne pas aimer rester simple spectatrice et vouloir participer au réjouissance du cassage de dents. Rares étaient les hommes qui envisageaient une relation avec une femme qui rivalisait avec leurs talents. Ce n'était pas le cas du beau blond, et c'était tant mieux ! « Bien sur, si ça ne te dérange pas de te salir les mains. » répondit-il en s'esclaffant, preuve que quelque chose se passait entre eux, au-delà des apparences. Pouvait-on réellement s'attacher aussi rapidement à quelqu'un qui nous correspondait sans que rien ne le prédéfinisse ? C'était en tout cas ce qui était en train de se produire. Comme si leur inconscient respectif avait su dès le départ, au moment où leurs regards s'étaient croisés, qu'ils étaient fais pour s'entendre. Et si elle devait en juger par sa manière de la regarder et par la manière dont elle se montrait si féline, il y avait même bien plus qu'une simple recherche amicale entre eux, comme l'indiquaient les nombreux sous-entendus. « Tu plaisantes !? Je suis née pour ça ! » sourit-elle, entre minauderie et défi. Mmm, ce nouvel agent était le premier à retenir à ce point son attention depuis... sacrément longtemps en fait ! Pour parvenir à ce genre de prodige, Clinton devait déjà être exceptionnel. L'espionne n'aurait d'ailleurs su dire à quel point ce jeu entre eux la distrayait (dans le bon sens du terme) et combien elle n'avait aucune envie que ça s'arrête ! Comme quoi, ses coéquipiers avaient bien fait d'insister pour qu'elle sorte ce soir... Dire que l'un deux avait justement voulu inviter Barton à cette soirée pour la taquiner. Il n'avait pas eu besoin finalement, pour le plus grand plaisir de la rousse. D'ailleurs, maintenant qu'ils se retrouvaient et qu'il lui affirmait être à nouveau opérationnel, il fut décidé tacitement qu'ils pourraient s'entrainer ensemble. Et comme Clint le faisait remarquer, il savait à quoi s'attendre... ou pas ? Car l'espionne avait été loin d'utiliser toutes ses compétences... « Tu aimes me faire du mal ? Ou tout simplement me réparer ? » demanda-t-il, taquin. En soit la question n'était pas piégeuse. C'était plutôt la réponse qui pouvait l'être en en disant trop sur ce qu'elle ressentait en sa présence. « Les deux. » éluda-t-elle dans un premier temps. Après tout, lorsqu'ils s'entrainaient, ils pouvaient être corps contre corps sans que ça ne paraisse étrange. Les distances sociales n'existaient plus. D'un autre côté, une fois qu'il fallait le soigner, l'agent se retrouvait généralement torse nu et elle pouvait autant profiter de la vue que se montrer plus bienveillante. Jouer les infirmières avec lui ne la dérangerait absolument pas. « Mais peut-être un peu plus la réparation. » ajouta-t-elle ensuite, un sourire mi-tendre mi-malicieux aux lèvres. Mmm, ils allaient finir par se jeter furieusement l'un sur l'autre s'ils continuaient sur cette lancée... « Que dirais-tu de continuer cette discussion dans un salon en haut ? Ici... C'est étouffant. » Natasha suivit son regard, et la proposition était intéressante. Mais deux choses la retenaient. Premièrement elle craignait qu'il ne se passe vraiment quelque chose entre eux et, comme elle fuyait les sentiments, elle se rendait compte qu'elle s'était passée toute seule la corde au cou. Peut-être était-il encore temps de reculer ? Et deuxièmement, elle n'était pas venue seule. Elle se voyait mal laisser en plan ses collègues, même si dans les faits ça ne la dérangeait pas vraiment. Elle était solitaire, et elle savait qu'ils n'avaient pas besoin d'elle pour passer une bonne soirée. Ils ne devaient d'ailleurs pas s'attendre à ce qu'elle le fasse. La rousse eut donc une hésitation palpable. « Eh bien... je suis venue avec des collègues. Je ne sais pas si c'est socialement correct de les quitter pour une autre compagnie plus charmante. » sourit-elle, non sans espièglerie. « Donc j'imagine que soit je les préviens, soit c'est toi qui viens avec moi et je fais les présentations ? » proposa-t-elle à son tour, prise entre sa raison et son désir.

2981 12289 0

Je t'ai manqué ?

J'eu un rire aux paroles de Tasha, elle n'était pas une agent du SHIELD pour rien, la-dessus on pouvait même dire qu'elle avait choisi le métier parfais pour elle. Au SHIELD il faut se salir les mains d'une façon ou d'une autre de toute manière ... Pour commencer les agents, les scientifiques (même si ils avaient moins de chance de se faire tirer dessus), il y a aussi Lilith qui est médecin légiste, la il ne fallait pas faire la fière ... Enfin pour en revenir à Natasha, dès que je l'avais vue, j'avais de suite compris que j'étais face à une battante, une parfaite espionne qui peut-être aussi bien doué à charmer, mais qui peut aussi faire facilement un ravalement de façade. Devant autant d'enthousiasme il était normal que j'en rigole, elle avait le même caractère que moi ... Peut-être un peu plus solitaire ? En tout cas je m'entendais très bien avec cette femme au cheveux de feu, et j'avais bien envie de tenter ma chance (même si je pouvais y perdre un doigt voir la main ou je ne sais autre ...). Parlant de notre première rencontre, je ne pus m'empêcher de poser "la" grande question à Natasha, est-ce qu'elle aimait s'entraîner au combat avec moi ? Ou me réparer ? Et cette fois-ci je pus voir un petit sourire en coin étirer ses lèvres, elle fit signe de réfléchir puis elle me dit "les deux", j'arquais un sourcil avant de rire à nouveau, terminant ce que j'étais en train de boire. Puis je pus voir qu'elle était à nouveau en train de réfléchir, cette fois-ci je faillis m'étrangler avec ma boisson.

-Je le savais!

De plus Natasha affiché un petit sourire de chipie, elle était tellement magnifique ... Aucune femme ne pouvait lui arriver à la cheville. Puis je voulus davantage d'intimité, j'étais mal à l'aise lorsque j'étais entouré par trop de monde ... Je proposais alors à Natasha de terminer notre discussion à l'étage. L'idiot que je suis avait oublié qu'elle était venu avec des collègues ... Je me donnais une claque mental alors qu'elle repris la parole.

-Si ça ne te dérange pas, pourquoi ne pas faire les présentations ? Je pense qu'ils ont le droit de connaître qui est l'homme qui veut te kidnapper

Dis-je avec un sourire.

☆☆☆ Beerus

I only miss my libertyCLINTASHA : N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.Contre toute apparence, l'espionne était une femme taquine et malicieuse qui aimait bien plaisanter. Mais ça dépendait de son humeur, de la situation dans laquelle elle se trouvait, et surtout de la personne qui lui faisait face. Parce qu'il fallait bien avouer qu'il y avec des gens qu'elle ne pouvait pas supporter, et avec qui le courant ne passerait jamais. Autant dire que même dans son meilleur jour, la seule chose que ces gens-là pourraient espérer d'elle serait son silence méprisant. Mais ce n'était clairement pas le cas avec Clinton. Elle appréciait sa compagnie, un peu trop même, comme elle n'en avait pas apprécié depuis bien longtemps. Peut-être parce qu'il lui ressemblait énormément ? Rusé, intelligent, espiègle et un bel esprit combatif, il était terriblement plaisant. Alors bien qu'ils ne se connaissaient pas vraiment, Natasha sentait qu'elle pouvait lui faire confiance et qu'il ne lui ferait jamais de mal. C'était une sensation aussi étrange que rassurante. Et franchement, si être solitaire avait ses avantages, pouvoir compter sur quelqu'un en avait sûrement de plus précieux. Qu'elle le veuille ou non, la rouquine devait bien se faire à l'idée qu'elle avait un faible prononcé pour ce beau blond et que rien ne pourrait empêcher cela, surtout qu'il semblait aussi attiré envers elle qu'elle ne l'était envers lui. Et comme ils étaient fait du même bois, elle savait qu'il ne renoncerait pas. Les hommes avaient cette tendance à être plus impulsif, surtout chez les militaires. Sauf que cette idée, au lieu de l'agacer ou de la laisser de marbre comme pourtant ça le faisait d'habitude avec ceux qui la courtisaient, lui fit chaud au cœur. Alors finalement, pourquoi chercher à résister ? D'autant que la soirée était faite pour se détendre, pour profiter de l'instant présent, et non pour se torturer l'esprit avec des et si ? Tout naturellement donc, l'espionne baissait ses barrières pour mieux se fondre dans ce jeu du chat et de la souris, bien que dans leur cas, ils étaient tous deux des prédateurs. Quoique... Natasha avait toujours eu un côté féline qui la rendait maître du jeu. Ça ne donnait que plus de piments à ce flirt. Cela se vit d'ailleurs lorsqu'il lui demanda si elle aimait s'entrainer durement avec lui, ou plutôt le réparer. Tranquillement, Natasha avait cherché ses mots pour répondre le plus justement possible, et surtout pour la taquiner un maximum. « Je le savais ! » répliqua-t-il alors, quand elle admit aimer le réparer. Bah quoi ? Une fois qu'on l'avait vu torse-nu, on aimait autant jouer les infirmières que les bourreaux. Natasha se mit alors à rire, amusée par sa réaction. Et... mon Dieu, depuis quand n'avait-elle rit ainsi ? La rousse afficha ensuite un air faussement innocent, bien que son sourire en coin ne trompait personne. Vraiment, la soirée était parfaite.

Néanmoins la réalité reprit ses droits lorsque Clinton voulut qu'ils se mettent en hauteur, histoire d'être moins oppressés par la foule ambiante. Natasha aimait l'idée, mais se souvint qu'elle n'était pas venue seule. Déjà qu'elle avait disparu depuis un bon moment alors qu'elle était simplement parti chercher un verre... Ses collègues allaient finir par se demander ou elle était passée, si ce n'était pas déjà fait. Du coup, Natasha proposa une solution qui, l'espérait-elle, lui permettrait de garder l'agent à ses côtés, tout en retournant auprès de ses collègues avant qu'ils ne lancent l'alarme d'une disparition. « Si ça ne te dérange pas, pourquoi ne pas faire les présentations ? Je pense qu'ils ont le droit de connaître qui est l'homme qui veut te kidnapper. » La rouquine sourit, soulagée qu'il accepte. Elle se leva donc de sa chaise, Clinton sur ses talons, et se dirigea vers la table ou ses amis avaient élu domicile pour la soirée. Lorsqu'un de ses collègue aperçut le militaire, il eut un sourire amusé. « Je vois que tu as pris mon idée au pied de la lettre. » Natasha se contenta de rouler des yeux. C'est vrai que la coïncidence était plutôt coquasse. Lui qui avait proposé d'appeler l'archer pour se joindre à eux, ayant remarqué que les deux agents se tournaient autour, non seulement il était déjà là, mais en plus il revenait avec Natasha. « Je vous présente officiellement l'agent Barton. Il sera sûrement rattaché à notre service donc autant que vous commenciez à le connaitre maintenant. » expliqua-t-elle. Puis elle présenta à Clinton chaque agent présent avant de s'installer sur le canapé. Elle observa ensuite silencieusement le beau blond tandis qu'il se faisait harceler de question par ses collègues. L'intégration commençait, et elle devait avouer que Clinton avait un tempérament naturellement solaire. Il répondait aux questions et usait de blagues autant que de sourires. Qu'il en soit conscient ou non, c'était un charmeur né, et la rousse avait bien du mal à le quitter du regard.

Fin du RP

2981 12289 0