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Come Live The Life[Lorenzo]
✦ Welcome to the panic room where all your darkest fears are gonna come for you ✦
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Lun 8 Mai - 12:37


Come Live The Life
Cameron et Lorenzo
Je n’avais voulu qu’une chose, partir de cet endroit, pouvoir prendre ma moto et mettre de la distance avec cet endroit pour me changer les idées. Je pouvais toujours sentir toutes ces sensations, je revoyais ce cauchemar, j’avais encore tous ces sentiments qui restaient ancrés en moi. J’essayais de reprendre une certaine contenance, alors que certaines personnes demandaient si tout allait. Je fis un signe de la tête pour leur dire que oui attendit encore un peu pour me remettre de mes émotions et puis partis prenant ma veste.

Tout ceci avait bien était trop perturbant, cela semblait si réel. La première vision que j’avais eux faisait écho à tous ces cauchemars que je faisais parfois me réveillant la nuit en sursaut. Il me laissait tellement de désespoir, tellement de tristesse comme si c’était un mal-être que je ne pouvais me défaire. Il était comme un chasseur, chassant sa proie sans relâche, tapie dans l’ombre, attendant une seule minute d’inattention de vous bondir dessus, vous obligeant à supplier pour votre vie. Et chaque nuit où il venait me hanter, je me levais sans savoir me rendormir par après. Betsy m’avait plusieurs fois accompagnée dans mes insomnies. Maintenant, c’était Lorenzo qui parfois se réveillait, me trouvait dans le salon en train de mettre mes angoisses sur papier, puis me faisait revenir dans notre lit. Rien qu’en pensant à cela, tout ceci m’apportait un réconfort que je cherchais tant.

En y repensant, je ne me serais jamais doutée de ressentir autant de choses pour ce bel italien, si rapidement. Il était un homme des plus doux, me faisait me sentir à ma place avec lui et son fils. Il réussissait à me rendre le sourire quand je n’arrivais pas l’avoir, me laissait dans ce doux sentiment de bien-être et de plénitude, me donnant ces papillons dans le ventre à chaque fois que j’étais en sa présence. Et le fait de savoir que j’étais en route pour le retrouver ainsi que Luca, m’apportait déjà un sentiment de réconfort dont j’avais tant besoin en ce moment même. S’il n’avait pas été présent dans ma vie, j’aurais surement été dans un bar, aurait appelé Betsy pour essayer de trouver un moyen de chasser tous ces démons qui avait fait leur apparition en cette journée.

J’arrivais devant l’immeuble de Lorenzo, soupirant légèrement, restant encore quelques instants sur ma moto. Puis enfin, je descendis de l’engin et pris la direction de l’appartement de Lorenzo. Je rentrais dans l’appartement, posant mon casque, pendant ma veste, alors que Luca arrivait prend moi en appelant et me serrant « Hé, mon loup. » J’en profitais un peu de cet accueil que le fils de mon cher et tendre m’accordait. Un petit moment rien qu’à nous deux, profitant déjà de cette affection que ce garçon m’accordait avec une tendresse et une facilité impressionnante. L’embrassant sur le dessus de la tête, puis je lui demandais où était son père, lui souriant. Et le jeune Viretti m’indiqua la cuisine.

Je m’y rendais donc en compagnie de l’héritier du bel italien, passais me bras autour de l’homme qui partageait dorénavant un bout de ma vie, l’embrassant sur l’épaule dans un premier temps « Salut. Ta journée c'est bien passé?» Et quand il tourna la tête, je posais mes lèvres sur les siennes sous les réclamations du plus jeune qui nous demandait de ne pas faire ça devant lui qui repartit à ses affaires, ce qui me fit largement sourire. Je restais encore quelques instants avec mes bras autour du bel Italien. Cherchant quelque part cette sensation de protection qu’il me procurait, je lui souriais lui disant simplement « Ca à l’air bon.Qu'est ce que tu nous prépare?» Cela était quand même fascinant, car rien que d’être dans cet appartement, avec lui et le petit bonhomme me réconfortait déjà plus que je ne l’aurais cru. Ce simplement moment avait une telle force, un tel pouvoir que je n’aurais jamais pu imaginer.


Codage par Emi Burton
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Ven 19 Mai - 22:21
La journée avait été productive pour Lorenzo. D'abord le boulot où on lui avait permit de partir plus tôt pour qu'il règle ses affaires privées. Autour de lui, il avait parlé de son idée de reprendre un restaurant qu'il adorait particulièrement, le Hells Kitchen. Il avait demandé un rendez-vous à son jeune avocat qui, jusque là, avait été particulièrement efficace quand il avait fallut défendre sa cause auprès d'un tribunal, lui laissant ainsi la garde de Luca. Keith, son avocat avait donc prit en main la constitution du dossier pour que l'ancien proprio du restau laisse les clés à l'italien qui était aussi excité qu'une puce à l'idée d'avoir son propre endroit. Déjà il essayait d'anticiper ce que ça lui coûterait de faire rénover l'endroit, ce qu'il pourrait apporter comme changement à l'endroit, comment agencer la cuisine pour qu'elle soit ergonomique, la déco et tout ce qu'il fallait pour rendre l'endroit plus attractif encore.

Au delà de ça, il y avait Luca qui lui prenait aussi son temps. La complicité du père et de son fils se développait bien plus chaque jour mais une nouvelle personne se voyait intégrer dans le cercle. Cameron... Si les débuts avaient été plutôt amusant, en y repensant, Lorenzo n'était pas toujours sûr de l'attitude à avoir avec la jolie brune. Il se sentait comme nouveau en amour et à chaque fois qu'il était avec elle, il se demandait comment il avait pu attirer la chance à ce point. Ce dont il était sûr, c'est qu'il était amoureux de la femme qui partageait sa vie et bien souvent, il ne manquait pas de le lui rappeler, comme s'il craignait qu'elle oublie en quelques heures leur toute jeune relation. Pourtant, malgré ses craintes, le cuisinier n'avait pas hésité un instant à donner un double de ses clés d'appartement à l'agent de protection, lui avait même laissé de la place dans l'armoire pour qu'elle y range quelques affaires si jamais elle décidait de rester quelques jours en compagnie des nouveaux hommes de sa vie. D'ailleurs... N'était-ce pas présomptueux de dire qu'ils étaient les nouveaux hommes de la vie du médecin ? Si, probablement mais ce n'était pas pour déplaire aux italiens, surtout au plus jeune qui appréciait grandement la jeune femme. Probablement qu'il espérait qu'elle devienne cette mère qu'il n'avait jamais eu.

En pensant à ses deux là, Enzo se mit à sourire lorsqu'il entendit un "Caaaaaaaam !" surexcité et des petits pas se diriger vers la porte d'entrée. Il aurait été tellement facile pour le rital de rejoindre les deux parties de son âme mais il préféra les laisser en tête à tête. Il comprenait parfaitement l'amour qu'avait à donner son fiston et ne pouvait en aucune cas briser l'instant qu'ils partageaient. Qu'y avait-il de plus beau qu'un amour innocent d'un enfant pour son "parent" ? A tous les coups, c'était ainsi que Luca devait voir la jeune femme... Le sourire du père s'agrandit lorsque les pas résonnèrent sur le sol du salon pour se diriger vers la cuisine, son domaine de prédilection. Tranquillement à son poste, derrière les fourneaux, l'homme écoutait son héritier parler à toute vitesse à la femme qui répondait par moment avant d'embrasser le père lorsqu'il tourna la tête, sous les réprimandes du petit bonhomme. L'enfant quitta finalement la pièce pour retourner à ses jeux, laissant ainsi les adultes en tête à tête.

Quittant des yeux sa préparation, Loren se tourna vers sa bien aimée, lui offrant un de ces sourires tendres qu'il avait pour elle, lui répondant un "Journée plutôt remplit mais agréable et toi ? " tout en se laissant câliner. L'homme n'avait certes pas la prétention de dire qu'il connaissait la brune par coeur mais il comprenait que quelque chose n'allait pas dans son comportement. Elle s'accrochait à lui comme s'il représentait son seul repère et cela l'inquiétait bien qu'il n'en fasse pas mention. A sa seconde question, Lorenzo fit une petite moue pas convaincu, avant de laisser échapper un "Agneau à l'égyptienne. Enfin... J'essaye en tout cas !" Un nouveau sourire vint étirer les lèvres du brun qui laissa mijoter son plat, se retournant pour faire enfin face à sa compagne, l'enlaçant avec autant de douceur que possible tandis qu'une de ses mains venait déjà frotter le dos féminin d'un geste qui se voulait lent et rassurant.

"Cameron ? Tu restes avec nous ?!" qu'avait balancé un Luca arrivé comme une fusée et qui disparu dans la pièce voisine quand la femme lui offrit une réponse, le tout avant même que son père ait pu dire un mot. En fait, la scène tira un petit rire attendrit au restaurateur alors qu'il venait voler un petit baiser à la tatouée, venant chuchoter un "Je crois qu'un autre homme t'a donné son coeur." contre les lipses qu'il assaillait tendrement. Après quelques échanges, l'européen s'éloigna et se dirigea vers un placard pour sortir verres et vin, remplissant les conteneurs transparents. D'un mouvement fluide et expert, l'italien vint mettre le ballon entre les doigts de sa moitié, récupéra le sien et trinqua paisiblement avec elle, laissant finalement échapper un "Tu n'as pas l'air bien. Qu'est-ce qu'il y a ?" sur un ton inquiet, ne pouvant retenir plus longtemps ses questions.
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Mer 24 Mai - 20:19


Come Live The Life
Cameron et Lorenzo
Décidément, être dans ses bras était le plus grand réconfort. Il me donnait cette impression que rien ne pouvait m’arriver, me donnait ce sentiment de sécurité. Et aujourd’hui, j’en avais besoin, surtout aujourd’hui. Et son sourire, il était un pur moment de bonheur, il ne le savait peut-être pas encore, mais je ne pouvais que fondre face à un tel sourire, et s’il me demandait tout et n’importe quoi je serais capable de lui dire oui sans hésiter. Pourtant, cela ne faisait pas si longtemps que ça que nous étions ensemble et cela paraissait complètement dingue de tomber amoureuse d’un homme aussi vite. Car ce que je ressentais pour lui était une chose qui n’était pas descriptible, aucun être ne pouvait le décrire avec de simples mots ou encore moi-même, je ne pouvais pas le dessiner. Il m’offrait un monde que je n’avais fait que toucher, m’y avait fait plonger à corps perdu sans que je ne puisse y résister. Alors à présent dans ses bras, j’avais le sentiment que ce qui s’était passé s’éloignait doucement et que c’était lui et son fils qui chassait ses noirceurs loin de moi. Alors quand il me demanda à son tour comment j’allais, j’esquissais un sourire contre sa peau lui disant « Ça va, maintenant. » Sa douceur me faisait un bien fou, et je fermais les yeux me laissant bercer par cette crassé qu’il fit parcourir le long de mon dos, posant me tète sur son torse, inspirant profondément. Il ne fallait pas être devin pour savoir que je n’étais pas dans mon assiette et la discrétion de l’italien me touchait. Il ne me demandait pas ce qui était arrivé, il me laissait prendre mon temps sans me presser. « Je suis sûre que ça sera excellent. »

Le petit homme de la famille fit une nouvelle apparition, me demandant si je restais avec eux ce soir. J’eus, un sourire à cette demande lui répondit, « Oui, je reste avec vous. » Et une fois que je lui avais donné cette réponse satisfaisante à ses yeux, il partit le sourire aux lèvres en poussant un petit « Ouais » ce qui me fit encore plus sourire. Ce bonhomme était vraiment adorable, il m’avait laissé rentrer dans sa vie avec une telle facilité que cela n’était impressionnant. D’ailleurs, le beau brun fit même une remarque alors que ses lèvres se posaient sur les miens et encore deux échanges, je lui disais, « On ne peut pas résister aux charmes des hommes Virreti. » Profitant pleinement par la suite de ses lèvres, passant mes bras autour de son cou et venant noyer une main dans ses cheveux. Puis le contact se rompit à regret, j’aurais voulu en profiter encore un moment, mais ce n’était pas grave, je profiterai de ses lèvres à un autre moment.

J’acceptais volontiers le verre de vin qu’il me servit, lui disant un léger merci et portant le verre à mes lèvres, prenant une gorgée. Et la question arrivait, celle où il m demandait si tout si j’étais sûr que tout allait bien. Je lui souriais comme pour le rassurer, lui avoua que la journée avait été éprouvante et c’était le moins qu’on puisse dire. « La journée a été plutôt dure et assez éprouvante…» Quelques images me revenaient en tête ainsi que quelques sensations, me faisant perdre mon regard dans la vague. Et le jeune Virreti revient encore une fois vers nous venant juste en face de mois avec un papier à la main avec un large sourire. Il me tendit sa feuille fière de lui tout en me demandant avec sa petite voix « T’as vu mon dessin ?». Je posais le verre sur le plan de travail de la cuisine. « Montre-moi, ça. » Le jeune garçon venait se mettre à côté moi et commença à m’expliquer son dessin oui, il y avait 3 personnes près d’un immeuble, « C’est Papa, moi et toi. On est tous dans la même maison.» Les mots me manquaient dans un certain sens, touché par ce dessin qu’il avait fait m’incluant de cette manière dans leur famille. J’en avais presque la voix nouée, me raclais la gorger « Il est magnifique bonhomme. Et là, c’est quoi ? » Il avait même dessiné un animal de compagnie juste à côté du personnage qui lui ressemblait, « C’est un chien. Mon copain Brian, il a un chien et il dit que c’est son meilleur ami.» JE lui disais encore une fois que sont dessin était magnifique, le lui rendit, mais au contraire, il me disait avec un grand sourire, « C’est pour toi. » Ce simple geste avait un don de m’émouvoir et dans un geste tendre, j’entourai une main autour de sa tête et déposai un baiser sur le sommet de son crâne « Oh, c’est vrai. Merci, il est magnifique. Je le mettrai à mon bureau, ainsi tout le monde pourra le voir. » Le jeune homme avait l’air satisfait « Oui ! Dis, tu viendras jouer avec moi. » Je lui souriais encore une fois, lui disant que je viendrai un peu plus tard « J’arrive, dans quelques minutes. » Et je le jeune garçon repartir une nouvelle fois dans le salon.

Je me retournais vers Lorenzo, un large sourire sur le visage « Tu l’as fait trop chou. ». Je pris une nouvelle une gorgée au verre de vin, venais blottir contre Lorenzo. Je faisais tourner nerveusement le liquide dans le verre regardant encore le dessin que Luca m’avait offert. Encore une chose sur laquelle Betsy allait pouvoir me taquiner. Puis doucement, je lui parlais de ce qui s’était passé, sans trop savoir comment ne pas l’inquiéter. Mais je changeais de direction, je regardais toujours ce dessin, avec un sourire radieux, puis posais mon regard sur le bel italien pendant quelques secondes d’un regard tende, puis l’embrassa avec passion lui disant ces simples mots contre ses lèvres qui pourtant était si dure à dire pour la plupart des personnes. C’était la première fois que je le lui disais, mais j’étais si sûre de moi « Je t’aime, Enzo. » Je posais mes lèvres encore une fois sur les siennes comme pour sceller ces quelques mots qui venaient d’être prononcés.

J’aimais cet homme, toutes ses sensations qu’il m’offrait à chaque instant et pour d’autres raisons que j’ignorais totalement. Mais je m’en fichais bien. Peut-être que je lui dirai ce que j’avais vu dans ses rêves éveiller un peu plus tard. Mais pour l’instant, tout ce dont j’avais besoin, c’était d’être là auprès de lui et de son fils


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Sam 10 Juin - 23:41
Enzo était inquiet et la simple phrase de sa compagne ne l'aidait pas vraiment à se rassurer. Généralement, c'est ce que l'on disait quand on avait pas envie d'en parler. Il comprenait cela, d'ailleurs, il ne voulait même pas la brusquer. Si elle disait que ça allait, alors il ferait l'effort de la croire bien qu'il ait eu envie d'ajouter qu'il serait toujours là pour elle, encore plus si elle avait besoin de vider son sac et de parler de tout ce qui allait ou non. Il n'eut pas le temps de le faire que Luca revint chercher l'attention de la petite amie de son père, retenant l'attention comme il pouvait de cette nouvelle personne dans sa vie. L'italien s'amusait de la scène en trouvant tout cela vraiment touchant. Le garçon aurait pu mal réagir, aurait pu refuser l'arrivée de Cameron dans sa vie, comme beaucoup d'enfant le faisait à son âge, en ayant l'impression qu'elle lui prendrait son père mais le petit Viretti n'en faisait rien. Bien au contraire. Il était heureux de voir son père heureux et amoureux, il était heureux de savoir qu'il pourrait avoir une potentielle maman et même, il trouvait la brune tellement cool qu'il en faisait presque son nouveau modèle de vie. Alors l'homme se contentait de siroter son vin en observant la scène sans intervenir. C'était un moment qui n'appartenait qu'à eux, qui était-il pour briser l'enchantement entre la femme et le petit bonhomme ? Tranquillement, l'homme attendit simplement que les deux parties de son âme finissent leur discussion, sourire aux lèvres.

"Le charme des Viretti, que veux-tu. Nous sommes forcément adorables." disait l'italien en ricanant, le tout en enlaçant tendrement sa moitié. A nouveau, le restaurateur vint caresser le dos de sa compagne alors qu'elle daignait enfin lui expliquer ce qui la tracassait. L'Alpha House était un endroit plein de mystère pour ceux qui n'y avaient pas été internés. Lo le savait bien puisqu'il s'était posé nombre de questions quand il apprit que sa bien-aimée allait y travailler pendant un temps. Pas mal de murmures s'étaient fait entendre sans pour autant que ce soit validé par quiconque. Le shield, les chercheurs en tout genre, tout avait été mis en oeuvre pour trouver une réponse à la maladie qui rongeait les pauvres erres enfermés entre les quatre murs de la maison des malades. Ce qu'il s'y était passé... Les trucs dans leur cerveau... Les choses qu'elle avait vu... Comment ne pas s'inquiéter de ce qu'il se passait et des choses que ça pourrait impliquer ? Enzo aurait voulu dire un million de choses, des milliards de mots pour encourager sa moitié et la rassurer mais il n'en trouvait aucun. Mieux, il n'avait pas à en dire puisque l'attention de la belle se trouvait être attiré par le dessin de Luca.

Lorenzo laissa la genosheene profiter de cet instant de bonheur après la sale journée qu'elle avait eu et tenait un silence solennel pour lui laisser son moment de tendresse. Lorsque les lèvre de sa chérie vinrent rencontrer les siennes, le cuistot ne les repoussa pas, se voulant aussi passionné que la jeune femme et l'embrassant même amoureusement. Il laissa ses yeux clairs parcourir le doux visage de Cameron puis bloqua lorsqu'elle avoua ses sentiments en y associant trois mots particuliers. "Je t'aime aussi Cam."; Ces mots s'étaient échappé des lèvres de Loren sans qu'il ne cherche à les retenir, sans qu'à aucun moment il ne défaille. Il l'aimait bien plus qu'il n'avait aimé Joanna, la mère de Luca et ça, il le sentait au simple fait que son palpitant veuille quitter sa poitrine à chaque fois qu'il entendait l'agent du Shield sans même l'avoir vu. Il le sentait quand son souffle se coupait alors que son regard croisait le sien. Il le sentait quand le sourire de sa petite-amie lui faisait avoir des frissons le long du dos. Chaque pore de sa peau respirait l'amour quand elle était à ses côtés et son âme se trouvait au paradis quand ils étaient ensemble, avec son fils, plus encore quand il les voyait être si complice. Alors forcément, il ne pouvait pas hésiter une seule seconde et ignorer le fait qu'il était éperdument amoureux de la brune.

" Maman ! Je t'attend pour jouer ! Je !..." et là, ce fut un bug complet pour Luca qui venait de débouler dans la cuisine. Avait-il vraiment appeler Cameron "maman" ? Totalement et ce fut un moment gênant pour le garçonnet qui se rendit compte de sa bourde. Son visage fixa le sol alors que son pied jouait avec un objet invisible tandis qu'il marmonnait un "Pardon, je voulais dire ton prénom mais je me suis trompé...". Le fait est que son père ne l'aidait pas à se sortir de l'embarras car Enzo se mit à rire de bon cœur après ce moment de flottement, assimilant également la phrase de son fiston. Entre la déclaration d'amour de sa compagne et celle de son héritier, l'italien se trouvait en joie. Délicatement alors que son gamin rouspétait après l'hilarité du barbu, le cuisinier embrassa l'agent, chuchotant par la suite un "Va t'occuper de TON fils pendant que je termine le repas." suivit d'un clin d’œil complice avant de la pousser vers le garnement qui déclarait qu'il n'aimait plus son papa à cause des petites moqueries.

Sifflotant paisiblement, l'européen se détourna de sa petite famille pour aller tranquillement observer son repas qui n'attendait que lui, tout en terminant son vin, sourire aux lèvres. Si la journée n'avait pas été rose pour tout le monde, au moins, la soirée s'annonçait bien, elle.
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Dim 11 Juin - 23:23


Come Live The Life
Cameron et Lorenzo
J'étais heureuse ici, me sentait à place, avait ce sentiment qu’en leur présence rien de ne pouvait m’arriver, que ces affreux cauchemars n’étaient qu’un simple cauchemar qu’il n’y avait pas lieu de s’en faire. Mais je ressentais toujours ces sentiments qu’ils m’avaient laissés, ressentait encore la douleur de chaque coup, la honte sous chaque assaut. Alors je trouvais ce réconfort dans les bras de l’italien, cette force dans sa douceur, ce sentiment de bien-être avec lui et son fils. Je me laissais envahir par tout cela, laissant toutes ces nouvelles sensations chasser celle qui avait pris place plutôt dans la journée. J’avais été me réfugier dans les bras de mon amant, lui avait dit ces quelques petits mots sans hésitation, sans réfléchir. Mes sentiments pour l’italien étaient tels que j’avais dit la seule chose que je n’avais jamais su dire à un de mes compagnons ou peut être avec Matthew, mais cela était encore différent. Je n’avais ne jamais aimer l’avocat, comme j’aimais le cuisinier, comme si au premier regard que nous avions échangé, nous avions su tous les deux que désormais s’appartenait. J’avais ressenti, ce frisson à son premier regard posé sur moi, cette sensation de bien-être quand il souriait, cette envie de me retrouver auprès de lui-même quand il n’était pas là.

Je l’avais embrassé une nouvelle fois, avec tout cet amour que je ressentais pour lui, avec cette envie qu’il reste à moi jalousement, qu’il sache que je lui appartenais corps et âmes. Mon cœur se souleva en entendant ces mots échanger. Mon esprit se demandait comme on pouvait aimer une personne avec une telle intensité aussi rapidement, pourquoi je ne l’avais pas rencontré plutôt, qu’il était le seul homme qui n’aurait à tout jamais le droit de me prendre ainsi dans ses bras. Mon esprit dérivait dans cette béatitude. Je l’aimais plus que tout, maudissait Betsy de m’avoir, faire, succomber à cet homme, juste en nous présentant, cette famille qu’il m’offrait avec son fils. Je me demandais déjà ce que je ferais sans eux, comme je pourrais vivre maintenant que je connaissais ce bonheur.

Mais, malgré tout, ce sentiment de bien-être. Je ressentais toujours les effets de ses rêves, quand je fermais les yeux, je pouvais voir cette porte s’ouvrir, je pouvais sentir chaque sensation. Alors je me blottissais dans les bras de mon amant, enfuyais mon visage dans son cou le resserrant mon étreinte, continuant à chercher cette sécurité dans ses bras. Je ne disais pas un mot, j’avais juste souri quand il avait prononcé ses 3 mots, l’avait embrassé. Je voulais rester ainsi, encore et encore jusqu’à ce que les ténèbres qui m’avaient prise un peu plutôt soient totalement parties.

Puis la voix de l’héritier s’était à nouveau fait entendre, avec des mots qui me surprirent. JE regardais l’enfant, savoir quoi dire, le voyait gêner à cause de cette manière dont il m’avait appelée. Je prenais une grande inspiration, les larmes qui montaient aux yeux ne sachant quoi dire. Il m’avait accordé son amour avec une telle facilité que cela était déroutant, m’accordait ce titre si important sans même réfléchir. Je me mordais la lèvre inférieure, émue par ce simplement, presque sur le point de craquer pour e bon. Lui disant d’un voix nouer « Ce n’est rien.. » Lorenzo, en rigolait de bon cœur, Luca fit cette mine boudeuse face à la moquerie de son père. Alors qu’encore une fois, j’enfuyais mon visage dans le creux de la nuque de l’italien, essayant de reprendre une certaine contenance. Jamais je n’avais été dans un tel état, sur le point de craquer, de fondre en larmes en mélangeant la peine et à la fois le bonheur. Trop d’émotion s’entrechoquait subitement en moi, se mélangeait les unes autres dans un tourbillon sans fin. J’entendis les paroles de mon amour, qui me fit sortir mon cœur de ma poitrine, faisant un léger mouvement de la tête pour dire oui.

Je reprenais une inspiration passant une main sous mes yeux pour éviter qu’elle ne coule et partis avec celui qui avait fait de moi sa mère. On s’installa dans le salon, il m’expliqua tout ce qu’il avait fait, me disait comment je devais jouer avec lui. Pour le taquiner, je faisais comme si je n’avais pas compris souriait face à sa mine boudeuse. Puis on passait à cette petite bagarre de chatouille. Les rires de Luca me faisant le plus grand bien. Tout se passait pour le mieux même si tout était toujours confus pour moi, je faisais de mon mieux pour éloigner tout ce que j’avais vu, tout ce que j’avais ressenti pour profiter de cet instant si particulier. Les mots de cet enfant étaient comme l’approbation comme quoi je faisais partie désormais de cette famille que maintenant, je n’avais pas intérêt à partir de là. Mais les mots qu’il prononçait encore une fois étaient ceux qui me faisaient basculent d’un coup, rompant ce barrage que je m’étais efforcée. « Je peux vraiment t’appeler maman ? » Je resserrai fort l’enfant contre moi lui disant que oui que je sois même heureuse qu’il m’appeler ainsi « Oui, bonhomme, je serai même heureuse… Continue à jouer un peu tout seul, je reviens. »

Cette journée était beaucoup trop riche en émotion, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Je ne pouvais plus contenir tout ce que je ressentais. Je prenais donc la direction de la salle de bain, ferma la porte, laissant tout ce que je contenais en moi sortir. Les larmes se déversaient sans que je ne puisse les retenir, je hoquetais. J’entendis quelqu’un frappe, puis la voix de Lorenzo, ainsi que le fait qu’il rentrait dans la salle de bains. Je lui disais de manière peu convaincante, « C’est rien. » Suivit d’un hoquet « Ça va aller. J'ai juste... » Besoin de temps.



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Mer 21 Juin - 19:24
Lorenzo avait laissé ses deux amours s'en aller vers le salon alors qu'il veillait sur son repas. Son verre de vin sur le côté, près de celui de sa belle, le fit sourire. C'était attendrissant pour lui de voir que la femme qui partageait sa vie se faisait si facilement accepter par son garçon. Jusqu'à présent, Luca n'avait jamais refuser la présence de Betsy ou Lydia dans sa vie, comprenant qu'elles étaient des amies d'Enzo. Il adorait sa marraine et voyait Lyly comme une tante. Lui qui ne formait qu'un duo avec son père, voyait toutes ces personnes comme sa nouvelle famille depuis qu'ils vivaient sur l'île. Le garçonnet se plaisait dans ce qu'il nommait son nouveau pays et déclarait à qui voulait l'entendre qu'il était un genoshéen dans l'âme même s'il avait vu le jours aux Pays-Bas. Et malgré tout ça, il ne s'était jamais trompé en appelant une femme "maman". Sauf avec elle. Un regard vers le salon où Cameron et Luca riaient. Avait-il fait exprès ou était-ce vraiment un lapsus ? L'italien n'aurait su le dire mais ce qui était certain c'est que dans tous les cas, le petit brun se sentait prêt à avoir une femme dans sa vie.

Quand le repas fut prêt, le cuisto prépara la table. Assiettes, couverts, verres. Le barbu allait tranquillement mettre le tout sur la nappe bleue nuit de la salle à manger et haussa un sourcil quand il constata que... Eh bien Luca jouait tout seul. "Bah... Elle est où ?" dit le père à son rejeton qui répondit en haussant les épaules avant de pointer la porte de la salle de bain, laissant échapper un "Dedans. Elle m'a dit qu'elle revenait."; Haussant un sourcil, le père se dirigea vers la salle d'eau et toqua à la porte sans réponse aucune. Un "Cam ? " inquiet quitta les lèvres de l'européen qui, déjà, ouvrait la porte de la pièce pour retrouver sa moitié, sanglotante. "Hey..." disais-il en s'approchant lentement de la jeune femme pour poser doucement les mains sur ses épaules. Ce n'était rien ? Vraiment ? Soupirant doucement, l'homme posa délicatement ses lèvres sur la nuque de son aimée alors que ses bras venaient enlacer la taille féminine. Lentement, Lorenzo colla sa joue contre la chevelure de Cameron pour venir murmurer à son oreille : "Je sais que ta journée a été difficile, j'en ai conscience. Ça va aller, d'accord ? On trouvera une solution que ça ne te blesse plus. Puis... Si tu ne te sens pas d'accepter que Luca t'appelle "maman" je peux lui en parler, tu sais. Il comprendra..." A mesure qu'il lui parlait, Enzo frottait doucement le corps de Cameron, comme on faisait avec un enfant pour le rassurer et le calmer. L'agent spécial était bouleversée et la voir ainsi faisait que le restaurateur se sentait triste de ne rien pouvoir y faire. "C'est de ma faute si tu es triste, Cam ?" répliquait une petite voix derrière eux. Loren se retourna pour regarder son héritier, larmes aux yeux, se sentant déjà coupable d'une chose qu'il n'avait pas fait. "Non mon gr..."; le grand brun ne termina pas sa phrase, son petit gars filant déjà à toute allure, probablement vers sa chambre.

Un regard hésitant vers sa petite-amie, Enzo soupira. Gérer deux combats, il n'en avait pas l'habitude mais il le fallait bien. Doucement, l'homme tourna la femme pour qu'elle soit face à lui et vint essuyer délicatement ses joues des larmes qui traçaient un sillon contre sa peau de soie. Tendrement, il vint poser ses lèvres sur celle de sa moitié et lui mit une mèche derrière l'oreille avec un petit sourire, chuchotant "Je vais lui parler, d'accord ? Ensuite je m'occuperai de toi." avant de s'éloigner suite à un énième baiser. De retour dans le salon, l'homme eut la surprise de voir Luca sur le balcon, installé contre la rambarde, menton posé sur ses avant-bras, regard sur le paysage. Il avait toujours eu cette manie quand il était en pleine réflexion ou alors triste. Un de ses points de chute quand ça n'allait pas. Paisiblement, le géant brun vint prendre place aux côtés de sa progéniture et lança la conversation d'un "Tu sais, ce n'est pas à cause de toi que Cameron n'est pas bien. " auquel l'enfant répondit sur un ton triste d'un "Je suis pas sûr... C'est quand j'ai commencé à l'appeler maman qu'elle a été triste...". Soupirant, le restaurateur ouvrit la bouche pour expliquer les choses mais son fils l'interrompit d'une phrase " Tu crois qu'elle ne m'aime pas, papa ?" et le palpitant de l'italien se serra. Doucement, le père vint enlacer son bonhomme pour le câliner avec amour, le serrant fort contre sa large poitrine en lui chuchotant de ne pas dire ça, qu'il était le plus merveilleux de tous les petits garçons du monde et que toutes les mamans du monde voudraient l'avoir. Le petit garçon se mit à pleurer, trempant le haut de son père et ce dernier frottait d'un mouvement expert, le petit dos et remontait parfois sur la nuque ou les cheveux du garnement. Pendant que Luca se vidait de ses larmes, son père le ramena à l'intérieur pour finalement se laisser tomber dans le canapé familiale.

Était-ce le premier drame de la famille qu'il fallait surmonter ? Lorenzo se sentait perdu mais il devrait faire face à ce souci comme il l'avait toujours fait. Il le fallait.
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Mer 12 Juil - 1:09


Come Live The Life
Cameron et Lorenzo

Lo s’était approchée de moi, doucement, me prenant à nouveau dans ses bras. JE pouvais à nouveau ressentir ce bien-être, cette sensation qu’avec lui rien ne pouvait m’arriver, qu’il serait toujours auprès de moi. J’avais même eu un léger frisson quand il déposa un baiser dans mon cou. Mes larmes continuaient à couler en silence alors que j’agrippais le t-shirt de l’italien, essayant de reprendre mon souffle, ma contenance. Il m’adressa quelques paroles douces, il parlait du fait que Luca m’avait appelé maman, que si je n’étais pas prête qu’il lui parlerait et c’est dans un début de sanglot que je lui disais « Ce n’est pas ça… » Car bien sûr que non ce n’était nullement ça. Au contraire, j’étais flattée et étrangement heureuse d’avoir entendu de pareils mots dans la bouche de cette enfant. Pourtant, je n’étais pas rentrée dans leur vie depuis très longtemps et déjà, il m’avait acceptée comme étant sa mère et plus je passais du temps en famille avec eux, plus le fils de l’italien devenait mon fils. « J’ai tout ressenti Loren. Et cette fois-ci, ça ne veut pas s’en aller… » Pour n’importer qui cela aurait pu être incompréhensible, mais lui, il savait. Il connaissait mes nuits agitées, même si je ne lui avais jamais dit en profondeur, il savait qu’il y avait une chose qui presque chaque nuit me réveillait, me laissant dans un état meurtri. Et je ne pus dire autre chose que Luca arriva, demandant si c’était de sa faute. À cette phrase, je sentis mon cœur se tordre de douleur, j’aurais tant voulu lui dire que ce n’était pas de sa faute, qu’il n’était en rien responsable, le rassurer, mais il partit avant même que je n’aie pu dire quoi que ce soit.


Lorenzo partant à sa suite, moi restant là essayant de me reprendre quelques instants respirant fort, quelques fois. Pauvre Lorenzo, aujourd’hui, je lui donnais du fil à retordre. Je prenais sur moi, fermai les yeux quelques secondes essayant de chasser pour quelque instant ses images qui s’étaient imprégnées dans ma tête. Puis je prenais la direction du salon, vis les deux hommes Viretti sur le balcon. Je les laissais entre eux, ne voulant pas interrompre Lorenzo et son fils et encore une fois mon cœur se retourna sur lui-même en entendant les paroles du jeune garçon, j’avançais vers eux, une boule à la gorge en entendant les sanglots de l’enfant, retenant mes propres larmes disant d’une voix un peu cassée « Non bonhomme. Au contraire. Je t’aime énormément Luca.» Luca restait dans les bras de son père hoquetant quelques fois, reniflant légèrement avant de dire « Mais alors pourquoi tu as pleuré ? C’est parce que je t’ai appelé maman ? » Hachurer par quelques spasmes. Mon regard était douloureux, de lui causer autant de peine, je me mordais légèrement la lèvre inférieure continuant à prendre sur moi « Non, non, au contraire, ça été le meilleur moment de la journée. » Ce qui était totalement vrai, ces simplement m’avait comblé de bonheurs au même titre que ceux de l’italien. Je prenais doucement la main de Luca, le faisant venir à moi et étrangement, il se laissait faire. Il fuyait mon regard, renifla encore « Vient là. » Je posais ma main sous son menton, lui releva doucement le visage pour pouvoir le regarder droit dans les yeux « Hé, regard de moi » JE ne savais pas très bien comment explique à ce jeune garçon, l’horreur de cette journée, l’effet de tous ces sentiments si contradictoires qui s’était entrechoqué rapidement. Alors, tout ce que je savais, c’était que je lui parlais d’une douce, même si dans mon regard, il y avait sûrement de la tristesse. « Aujourd’hui n’a pas été une bonne journée pour moi, il y a des choses qui se sont passées et qui m’ont fait beaucoup de mal... » Tristesse dû par ces visions, tristesse due à la peine que j’avais causée chez ce jeune homme et que j’essayais tant bien de mal réparer mon erreur. « Alors, non ce n’est pas parce que tu m’as appelé maman, loin de là. C’est une des plus belles choses que j’ai entendues aujourd’hui. Et rien ne me fera plus plaisir que tu continues à m’appeler ainsi. Je te le jure. Toi et ton père, vous m’apportez bien plus de bonheur que j’avais espéré. Il y a juste des choses, que je ne comprends pas encore très bien dans ma vie à moi, mais qui n’a rien avoir avec toi.» Je tentais d’avoir les mots justes, les mots qui lui permettaient de comprendre que tout ceci n’avait rien avoir avec lui. Que cette détresse que je ressentais aujourd’hui n’était nullement de son fait. Il me demandait quelles étaient ses choses qui me causaient tant de troubler « Quel genre de chose ?» Sûrement pour comprendre. Je lui souriais, d’un sourire tendre « Je t’en parlerai une autre fois. Tu veux bien ? » JE voulais encore le protéger e toute ceci, ce que j’avais vu était bien trop dur pour un petit garçon de son âge. Il n’avait pas à être confronté à ce genre e chose si jeune. Je le rassurerais encore une fois, toujours lui souriant espérant que cela suffise à calmer le jeune garçon « Mais sache que ça n’a rien avoir avec toi. Je t’aime plus que je n’aurais imaginé, n’en doute jamais.»Je le prenais dans mes bras, le serrant très fort « Je suis désolée mon ange. Je ne voulais pas te faire de la peine.»


Ellipse

Après toute cette histoire, nous avions pris le temps de manger, avec une ambiance qu’on avait essayé de remettre au beau fixe. J’avais pris sur moi le temps que Loren accompagne le garçon dans sa chambre. Je m’étais resservi un verre des vins en attendant, pris encore une fois une grande inspiration, allant sur la terrasse, reprenant un air pensif, un regard qui souffrait. Mon bel italien venait me rejoindre, alors que je reprenais une gorgée à mon verre, je lui présentais mes excuses pour son fils. Mon but n’avait jamais été de le blesser bien au contraire « Je suis désolée pour Luca » Je pris une nouvelle fois une gorgée à mon verre. Ne disant pas grand-chose dans un premier temps. JE laissais mon regard se perdre au loin et doucement ma langue se déliait petit à petit « Cette fois-ci, c’était comme-ci, c’était réel… » Je n’avais pas besoin de lui dire de quoi je parlais, il le savait « Ca n’avaient plus rien avoir avec un cauchemar »les larmes me montaient aux yeux encore une fois, les mots devenaient de plus en plus douloureux « On me.. » JE ne voulais pas mettre un mot dessus, ne voulait pas que tout ceci soit réel, car si ça l’était comment avais-je pu oublier une telle chose « Et si c’était…réel…» Malgré tout, comment ne pas penser que tout ceci n’était que fictif, comment ne pas penser cela s‘était bien passé ainsi. Et si cela était réellement arrivé… « Comment elle aurait pu… » pour quoi avoir laissé faire une telle chose. Est-ce que cela s’était produit, plus d’une fois ? Pourquoi j’avais tout occulté. Parfois, on oublie des choses qui nous sont trop insupportables. Je prenais une grande inspiration, luttais contre ses larmes qui voulaient s’écouler, prenait encore un peu de temps avant de reprendre la voix tremblante
« IL y a eu un incident, au labo… On vécut ou plutôt vu quelque chose… » Je prenais encore une gorgée, cherchant la force de dire ce que j’avais vu. « Moi… j’ai revu ce cauchemar » petit à petit, je déliais le mystère sur ces rêves malsains que je faisais et/ou j’avais toujours était évasive « … Mais c’était réel… Je pouvais sentir son souffle…Ses mains…Je peux… » Le regard se faisait encore plus douloureux « Comment aurait-elle pu… » Laisser faire une chose pareille.
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Dim 3 Déc - 12:08
Cameron avait parlé à Luca. Il avait été attentif et elle avait été patiente. La tristesse du petit garçon serrait le coeur du père tout autant que la peine de la femme le rendait malheureux. Il ne devait pas prendre part à cette bataille, il devait les regarder s'apprivoiser, se parler, se tester, se comprendre et pourtant... Ça n'empêchait pas Enzo de vouloir les prendre dans ses bras et de les serrer comme pour les protéger du monde entier. Finalement, la brune était quand même parvenue à rassurer le petit italien qui n'avait plus voulu la quitter. Il comprenait que la jeune femme n'était pas dans son assiette à cause du boulot et il comprenait qu'il n'aurait pas les réponses qu'il voulait mais il s'était contenté d'être un petit ours en peluche pour celle qu'il appelait désormais maman, lui offrant des câlins et quelques mots d'amour et pleins de sourires joyeux. Le repas s'était passé sans accroc, Luca avait retrouvé sa bonne humeur, il tentait d'amuser les grands, plaisantait comme il pouvait de toute sa petite innocence et il profitait de l'instant familiale. Au moment d'aller se coucher, il câlina la tatouée et fila dans sa chambre en compagnie de son père qui le borda jusqu'à ce qu'il s'endorme.

De retour dans la salle a mangé, Enzo s'étonna de la retrouver vide, jetant un oeil à l'extérieur pour trouver sa petite-amie sur le balcon, verre à la main. Un soupir et l'italien la rejoignit, se posant tranquillement à côté d'elle et l'écoutant attentivement sans rien dire. Elle devait se confier, il devait être l'épaule qui accueillait ses paroles.  Cependant, à mesure que les paroles venait, Cameron se perdait, inquiétant de plus en plus Lorenzo qui vint simplement se placer devant elle en fronçant les sourcils. "Cam..." commença l'homme pour capter l'attention de sa moitié. Ses doigts se posèrent doucement sur les jours du médecin et lui souleva le visage pour croiser ses yeux clairs. Tendrement, il vint poser son front contre le sien et se mit à murmurer des "Calme toi. Je suis là..." avant d'oser un petit baiser sur ses lèvres pour la canaliser. En s'éloignant un peu d'elle, il l'observa longuement, d'haut en bas pour finalement revenir et l'enlacer fortement, comme s'il ne voulait plus la lâcher. Après un long moment en silence, il soupira et revint murmurer à son oreille. "Si c'était réel... Il aurait mieux valut ne pas s'en rappeler mais peut-être que... Peut-être que c'était juste la fatigue, un mélange de... J'sais pas..." Un instant, l'italien se pinça les lèvres. Il ne devait pas la rassurer... "Tu sais... Peut-être que c'est pas réel et que... Je sais pas, c'est peut-être comme les rêves. Tes cauchemars qui se sont manifestés..."

Tendrement il frotta lentement le dos de la belle, la serrant un peu plus contre lui. "Je suis là, Cameron. Qu'importe ce qu'il s'est passé, je suis là..." fit-il en embrassant doucement son front. Lentement, il lui prit la main et la traîna à l'intérieur pour éviter les vents frais du balcon. Doigts liés aux siens, Enzo regardait la belle brune avec douceur. Il s'estimait chanceux de l'avoir alors pourquoi ne pas être là pour elle. Elle le méritait bien, d'avoir quelqu'un pour veiller sur elle... Sur le canapé, l'homme incita la jeune femme à poser la tête sur ses jambes et doucement, il lui caressait les cheveux avec douceur. "Je peux pas dire que je comprend et je suis désolé pour ça... Mais je suis là pour t'écouter et te soutenir autant que tu me permettras de le faire..." promit-il en glissant doucement sa main dans la sienne pour caresser ses doigts. La voir en si mauvaise posture lui brisait le cœur... Bon sang, ce qu'il aimait cette femme et la savoir triste le chamboulait bien plus que ce qu'il ne l'aurait pensé.

Doucement, il berça la femme, attendant qu'elle veuille a nouveau se confier ou même qu'elle veuille dire autre chose. En tout cas, il était là, prêt à la rassurer à toute occasion. Il se promettait de veiller sur la demoiselle. Elle était guerrière, médecin, savait forcément se battre pour se défendre contre le monde entier mais qui pouvait affronter ses sentiments seul ? Il serait le pilier de Cameron à n'importe qu'elle moment, c'était une promesse gravée dans le marbre.
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Dim 3 Déc - 16:32


Come Live The Life
Cameron et Lorenzo
Tu étais à ce petit balcon, faisant tourner le vin dans ton verre, tu pouvais revoir les images tournées dans ta tête, rester graver au fer rouge. Tu le pouvais les oublier comment tu le pourrais. Tu laisses échapper un soupire, essaye de repousser ses images, tu ne voulais pas que ta soirée soit dirigée par ce cauchemar qui était devenu plus réel. Tu ne voulais pas rester sur ces sentiments que tu avais ressentis, cette honte, cette peur, cette envie que ton esprit s’efface pour ne pas se souvenir de ce qui était arriver. Pourtant, au fond de toi, tu sais que cela est arrivé, tu ne sais pas dire pourquoi, mais tu savais que cela n’était nullement un rêve. Pourtant dans cette vie, tu n’avais jamais rencontré cet homme, ta mère avait senti un truc louche dès le premier rendez-vous et n’avait pas pousser sa relation plus loin qu’un simple dîner.

Tu portes à tes lèvres le verre de vin. Regarde devant toi attendant que l’italien revienne après avoir couché Luca. Tu regardes les lumières de la ville essayant de ne plus penser à ce que tu avais vue. Il te rejoint quelques minutes plus tard, tu vois son air inquiet, tu te laisses porter par cette douceur qu’il manifeste envers toi. Tu lui expliques ce qui était arriver, reprenant les forces dont tu avais besoin dans cet étreint qu’il t’offrait. Tu passes tes bras autour de son coup eu un léger soupir quand il te disait qu’il aurai mieux value que tu ne te souviennes pas. Tu l’écoutes te dire que peut être que cela était comme tes cauchemars et tu réponds doucement. «Je ne pense pas que ce soit juste des cauchemar. »

Après ce que tu venais de vivre, tu en étais sûr, cela n’était pas juste des rêves, il y avait une vérité que tu n’arrivais pas à saisir, du moins pas encore. Quelque chose t’échappait encore sans que tu ne sache quoi. Tu ressers ton étreint, te laisses envahir par la chaleur du bel Italie, par cette caresse dans le dos. Ces mots te touchent et te font sourire, tu lui réponds avec sincérité « Je sais » Tu le suis sans opposer de résistance, te laisse allant dans ce moment tendre qu’il t’offrait. Tu aimais cet homme, cela ne faisait aucun doute, te sentait en sécurité dans ses bras, ses caresser.

Pour rien au monde, tu n’aurais voulu une autre personne pour te rassurer, t’apporter sa présence pour effacer cette solitude que tu ressentais de temps en temps. Tu aimais ses bras, aimais sentir sa présence près de toi. D’ailleurs, tu fermais les yeux laissant rependre cette chaleur qu’il te procurait tout le corps. Tu te blottis contre lui cherchant sa protection, même si tu n'en avais pas vraiment besoin, mais au moins il te donnait une force que tu ne pouvais quantifier, une force qui dépassait tout. Il n’y avait que lui qui pouvait t’apporter cette sensation, que cet homme qui pouvait te donner cette impression qu’entre ses bras et ses baisers personnes ne pouvait t’atteindre.

Tu poses ta tête sur son torse, passe un bras autour de sa taille, alors qu’il glissait un de ses mains dans la tiennes. Tu fermé le yeux quelques seconde, te laissant bercer par la respiration calme de Loren, te laissant t’apaiser par celle-ci. Comme toute réponse à sa dernière parole, tu viens capturer ses lèvres, venant les embrasser avec envie, alors que ta mains qui avait entourer sa taille venait capturer son visage. Tu murmures sur ses lèvres un merci, puis viens à nouveau prendre ses lèvres.

Tu voulais laisser derrière toi ces visions sordides, voulais laisser de côté ses cauchemars qui te hantaient et ses questions qui s’insinuaient en toi. Tu voulais te plonger dans cet amour que l’italien voulait t’offrir corps et âmes, venant te placer sur ses genoux, glissant ta seconde main sur son visage les remontant pour venir le noyer dans ses cheveux. Alors que tes lèvres jouent avec les siennes. Et une petite voix vient interrompre cet échange ce qui te fis sourire. Tu te levais disant à l’italien que tu t’en occupais et accompagnais Luca pour le recoucher une dernier fois. Après quoi, tu revenais près du beau rital, pour passer le reste de la soirée avec lui.

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Come Live The Life[Lorenzo]
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